Mardi 20 décembre 2 20 /12 /Déc 21:26

  d'abord "garçon manqué", puis "transsexuel"

, selon mes parents, les gens, les gays que je rencontre, je n'ai pas le droit d'être gay !

  androgyne:  

tout l'art de http://www.madore.org/ ~david/weblog/ gay.html 

Je dédie cette petite fiction à tous ceux et celles à qui la société rend les choses plus difficiles qu'elles n'ont besoin de l'être sous prétexte qu'ils ou elles ne rentrent pas bien dans les petites cases binaires dans lesquelles on veut ranger les gens :

J'avais quinze ans quand j'ai expliqué à mes parents que j'étais un garçon. J'avais espéré qu'ils comprendraient tout seuls. À force de m'entendre me faire appeler garçon manqué. De voir comment je m'habillais. Que j'insiste pour couper mon prénom. Je dois dire, ils n'ont jamais cherché à m'imposer ce que je ne voulais pas : depuis l'école maternelle, je refusais de porter des jupes, ils ne m'ont pas forcé, ni pour les fêtes ni pour l'enterrement de mamie. Mais mon père espérait quand même que cette phase me passerait, que je serais sa petite princesse. Alors j'ai dû leur dire. J'ai cru que je n'y arriverais pas, j'ai pas dormi de la nuit, j'avais une énorme boule dans le ventre, j'ai pas su les regarder dans les yeux, mais j'ai fini par arriver à articuler, papa, maman, voilà, je voulais vous dire, je suis un garçon. Leur réaction était réglo : on te soutient, Lé, tu seras toujours notre enfant, on t'aimera toujours, tout ça tout ça. Grand soulagement. Mais je sentais bien que ma mère retenait ses larmes. Après coup, j'ai su qu'ils pensaient que j'allais leur annoncer que j'étais enceinte.

Quand j'y repense, j'ai eu de la chance. Mes parents étaient super gênés lorsqu'on abordait le sujet, et moi aussi avec eux d'ailleurs, mais c'était vrai qu'ils me soutenaient. Ils avaient du mal à me parler au masculin, mais ils essayaient.

It's funny how photos conjure smells: bourbon, antique wood, leather, starched cotton, and cologne that hints of cedar. Oddly, not smoke.:

 

Je suis allé voir un psy : au début je n'aimais pas l'idée, mais il m'a expliqué qu'il n'était pas là pour me juger ou pour me faire dire que j'étais une fille, il était plutôt sympa et je pouvais lui parler vraiment. D'un autre côté, ce qui se passait au bahut ne l'intéressait visiblement pas des masses. Et au collège, puis au lycée, tous ceux à qui j'ai voulu parler, médecin scolaire, assistante sociale, conseillers d'éducation, se renvoyaient la balle et la renvoyaient à mon psy dès que le mot transsexuel était prononcé.

Au moins j'ai pu me faire prescrire un truc pour arrêter presque complètement mes règles. Ça c'est ce que je détestais le plus. Une humiliation mensuelle imposée par ce corps dont je ne voulais pas et qui me rappelait sa féminité. J'en pleurais à chaque fois. Un jour, un petit con macho que j'avais agacé m'a demandé si j'avais mes règles, j'ai bien failli l'envoyer à l'hosto, et j'ai eu des emmerdes à cause de ça. Mais pour le reste, mon corps était plutôt androgyne. Avec ma poitrine plate (heureusement !) sans besoin de la bander, avec mes cheveux courts, avec des fringues assez larges, je pouvais facilement passer comme un garçon tant que je n'ouvrais pas la bouche.

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J'aurais voulu pouvoir être Léo au lycée, mais il y avait trop de gens qui me connaissaient déjà et qui m'auraient trahi, et c'était pas possible de changer d'endroit. Alors je suis resté , ni fille ni complètement garçon. J'y avais régulièrement droit : eh, t'es un mec ou une meuf ? ; je répondais toujours : tu préfères quoi ? — c'était une façon de savoir tout de suite qui était ami ou ennemi. Une seule fois quelqu'un m'a répondu, et toi, tu préfères quoi ?, même là j'ai pas osé lui dire vraiment, mais j'ai retenu que ce Florian était un mec bien. Sinon, y'avait Chloé, ma seule vraie amie pendant ces années, à qui je suis passé le plus près de dire la vérité. Elle elle m'a dit qu'elle pensait qu'elle était bi, on a commencé à faire des choses ensemble, mais ça n'a pas marché. Elle m'a reproché de ne pas savoir ce que je voulais, ce qui était vrai. Et nous nous sommes disputés. Puis réconciliés, mais c'était plus pareil. Je me suis mis à réfléchir plus fort à ce que je voulais.

Et à dix-sept ans, nouveau coming out à mes parents : au fait, je préfère les garçons. Eux, ils ne comprenaient plus rien. Alors finalement tu es un garçon ou une fille ? Je voyais bien mon père penser, même s'il a pas osé le dire à haute voix : mais à quoi ça te sert d'être un homme si c'est pour préférer les hommes ? Ben oui papa, c'est comme ça : je suis pas lesbienne, je suis gay.

À la fac, je me suis fait appeler Léo. Enfin la liberté ! Les enseignants, qui devaient forcément savoir que j'étais Léa sur le papier, étaient plutôt cool avec ça, de toute façon ils nous parlaient peu et nous connaissaient à peine. Plusieurs fois un autre étudiant m'a démasqué, mais la fac était grande, c'était plus facile qu'au lycée d'éviter les chieurs. J'avais appris à mieux déguiser ma voix, aussi. Être un homme, je m'en suis rendu compte, apportait des avantages dont j'avais même pas conscience : les gens me traitaient différemment, c'était subtil, mais une fille qui veut faire de l'info on lui fait des remarques (c'est bien, mais ce sera dur, vous êtes sûre que c'est pour vous ?) qu'on ne fait pas à un garçon. Évidemment, c'était pas les mêmes gens, j'étais à la fac et plus au lycée, mais la différence se sentait. Mais j'ai aussi découvert qu'il y a des choses que je n'avais plus droit de dire : un jour j'ai fait une remarque sur le joli petit cul du chargé de TD de maths, et ça a provoqué un grand silence, et au moins un type a changé d'attitude vis-à-vis de moi après ça. Leçon retenue : les mecs n'ont pas le droit de parler des mecs comme les filles.

J'ai pensé que maintenant que j'étais majeur je pourrais sans problème me faire prescrire un traitement hormonal. Mais après avoir essayé chez trois endocrinos (une vieille peau qui m'a regardé avec horreur dès que je lui ai dit être trans, un mandarin des hôpitaux qui m'a fait attendre six mois pour me voir et qui m'a à peine écouté, et un petit jeune qui avait l'air complètement dépassé par les événements), le mieux que j'ai obtenu était : revenez après encore deux ans de suivi psychiatrique.

Bon, j'ai quand même fini par faire valoir que j'étais suivi depuis longtemps, et par avoir ma testostérone un peu avant les deux ans. J'ai eu des problèmes d'humeur au début : des phases euphoriques dans les jours suivant l'injection et une énorme fatigue dans les jours qui la précédaient, mais ça s'est stabilisé. J'ai eu mes premiers poils au menton, et j'étais heureux comme un prince. Je me suis mis à faire du sport beaucoup plus souvent, en espérant être devenu beaucoup plus fort, ce qui n'était pas le cas, bien sûr, mais à force de persévérer j'ai quand même bien progressé.

En fin de licence, j'ai rencontré un mec un peu plus vieux, sur un terrain de sport de la fac. Très vite nous avons commencé à sortir ensemble. J'ai voulu aller trop vite, sans doute. Mais j'étais émotionnellement affamé, je voulais à tout prix avoir un copain : alors quand il s'est ramené avec son visage de Zac Efron sur un corps de gymnaste, et qu'il s'est mis à me draguer, mon cœur a fondu aussi vite que de la neige au Sahara. Comme un con, j'ai pas osé lui dire tout de suite que j'avais un vagin. Je voulais croire au grand amour. Je voulais croire que ça n'aurait pas d'importance (pragmatiquement, je me disais, j'ai une bouche et un cul, c'est ce qui compte). Peut-être que je croyais qu'un homo serait forcément ouvert d'esprit. Et ce qui devait arriver arriva : quand il a commencé à vouloir aller plus loin que les dîners en tête à tête, les câlins tout habillés et les pelles, j'ai dû lui parler de mon anatomie, et il est presque parti en courant.

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Immédiatement après, il m'a envoyé un SMS pour me larguer : dsl je pense pas pouvoir sortir avec 1 trans. Quarante-quatre caractères (je les ai comptés). Il a même pas eu le courage de décrocher quand je l'ai appelé pour en parler, et quand je l'ai recroisé il a fait semblant de pas m'avoir vu.

Je pense notamment aux femmes trans (i.e., « MtF »), qui sont en ce moment dans certains états des États-Unis ciblées par le nouveau dada des puritains : celui de les obliger à utiliser les toilettes des hommes (en se basant sur l'argument aussi absurde qu'abject : ah, mais si on permet à n'importe qui de fréquenter les toilettes pour femmes, n'importe quel prédateur sexuel pourra se faire passer pour trans et aller agresser les petites filles). Mais j'ai préféré raconter l'histoire d'un homme trans (i.e., « FtM »), gay qui plus est, (a) histoire de rappeler que ça existe, et (b) parce que ça m'aide à mettre un peu plus d'empathie, donc de ressenti personnel, dans cette histoire.

 

 

biexpress: “ jake bass is too cute ”

"aller plus loin que les dîners en tête à tête, les câlins tout habillés et les pelles"

DOES TESTOSTERONE TURN TRANS MEN GAY?Afficher l'image d'origine

EST-CE QUE LA  TESTOSTERONE FAIT 'UNE TRANS UN GAY ?

D

  rien d'un garçon sinon... 

    My imagination runs wild! ~ Lola

 

Par LEO_NIE - Publié dans : TRANS - ET- CHANGER DE GENRE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 20 décembre 2 20 /12 /Déc 16:32

qui ne s'imagine pas à la place de la chienne ? ah non taisez-vous les anti-zoophiles !    et empêcheurs de jouir !

avec un mec :

 Baisé par son chien. Je l'envie dit celui qui parle.

vidéo américaine

 Cet homme est baisé par son chien. D'abord, l'homme suce la dure bite du chien , et puis il se met en position de levrette (doggyposition), de sorte que le chien puisse entrer dans son cul.

Le chien semble être entraîné à baiser. Il a rapidement pénétré le cul serré de l'homme après l'avoir monté par derrière et a donné une baise ordinaire. Quand il est redevenu calme, j'ai senti qu'il a noué sa queue dans le cul de l'homme. L'homme ne peut pas s'échapper (c'est  comme s'il avait un gros plug gonflable dans le rectum !) et ça jusqu'à ce que le clebs jute à l'intérieur et, à ce moment, sa bite reste immobile. Après le chien se retourne à ce moment-là comme avec une chienne. Pendant un bon moment le mec a pu apprécier la sensation de gonflement du bulbe de la bête à l'intérieur de son cul . Après avoir été rempli de sperme de chien il voulait être baisé dans la bouche. Ok mais moi ça m'aurait excité de baiser le cul béant de l'homme humide du sperme de chien. Certes, je l'aurais monté et baisé spontanément si j'avais été là. Au lieu de ça, malheureusement, comme ça n'était qu'un vidéo, je n'ai baisé que mon poing et je suis venu en abondance !
avec une chienne :

Nouage 

Le mâle en rut effectue d'abord des tentatives de monte pour introduire son pénis dans le vagin de la femelle.  

le chien n'a pas à proprement parler besoin d'érection CAR IL A UN OS PENIEN. L'érection intervient pour grossir ce qu'on appelle le "bulbe" qui sert de "verrou" au coït. Ca marche avec un humain.

  • S'il est expérimenté, il saisit les flancs de la femelle entre ses antérieurs et éventuellement lui agrippe la peau du cou avec les dents, puis monte par l'arrière. La pénétration se fait alors en moins d'une minute.
  • S'il est novice, les premières montes ont lieu au hasard par devant(lol!), sur le côté ou par derrière et ses tentatives peuvent durer des heures.

L'accouplement est accompagné de mouvements saccadés du bassin du mâle et, quelquefois, de la femelle...ou de l'humain pénétré (-lol-)

          Nouage      

qui ne s'imagine pas à la place de la chienne ?
Le mâle n' a une complète érection que lorsque le pénis est introduit dans les voies génitales femelles.

Le début de la pénétration est facilité par la présence de l'os pénien qui manque tant à l'homm et fait le bonheur des fabricants de viagra !

  • Puis, le bulbe du gland entre en érection (corps spongieux du gland) après l'intromission: il peut se dilater jusqu'à 8 cm environ et est, en grande partie, à l'origine du " nouage " du mâle à la femelle pendant l'accouplement.
  • Cette érection " complète " provoque une contraction des muscles vaginaux  (constricteur du vagin, constricteur du vestibule), ce qui empêche toute séparation des deux animaux accouplés (" nouage " du mâle à la femelle).
        Nouage chez le chien :  (Photo : creativecommons.org/m-louis)

Le phénomène de " nouage " dure entre 5 et 30 minutes (14 minutes en moyenne).

  • Le mâle peut rester dans la position de monte ou descendre en plaçant les antérieurs au sol et un des postérieurs sur le dos de la femelle.
  • Il peut aussi faire demi-tour de telle sorte les chiens se retrouvent alors dos à dos (possible par la flexion du  pénis à 180°), peut-être pour pouvoir se défendre des prédateurs dans cette situation plutôt dangereuse pour eux ?

La chienne cherche parfois à s'éloigner du chien lorsqu'ils sont " noués " . Celui-ci est alors traîné ou jeté sur le sol.

La stimulation tactile du pénis dans le vagin de la femelle provoque des contractions des voies génitales permettant la progression plus rapide des spermatozoïdes (voyage vers la fécondation).

   

Essai de dénouage Essai de " dénouage " (à éviter absolument)


N'essayez surtout pas de les " dénouer " !

 

Vous pourriez provoquer une déchirure vaginale accompagnée de graves hémorragies ou une fracture de l'os pénien. Leur jeter un seau d'eau (?) ne sert à rien !

L'éjaculation de type vaginal, commence dès la pénétration. Cette émission liquide est émise en trois phases espacées de plusieurs minutes :

  • la fraction urétrale (glandes urétrales produisent le précum du chien), émise en quelques secondes, de couleur claire, ne contient pratiquement pas de spermatozoïdes et sert surtout de lubrifiant ;
  • la fraction spermatique (Spermatozoïdes et sécrétion épididymaire),de couleur blanche, apparaît ensuite en moins d'une minute ;
  • la fraction prostatique enfin, la plus abondante (10 à 20 ml, environ 90% de l'éjaculat), s'écoule durant 5 à 30 minutes, pendant la phase de " nouage ".

Quand l'érection du mâle s'achève, le spasme vaginal de la femelle disparaît et les animaux se détachent.

       

Comportement postcopulatoire chez le chien

Après avoir "fait l'amour"Les animaux se lèchent brièvement les régions génitales.

Paraphimosis du chien  

Le mâle se recalotte et reste réfractaire à tout comportement sexuel pendant un certain temps (on le comprend ! ).      

On peut observer jusqu'à cinq accouplements par jour.

 

 

Un autre homme passif sailli par son chien.

         

 

 
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Par WOUAH WOUHA - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 20 décembre 2 20 /12 /Déc 16:08

 

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dude4mk9: “Not me but this is how I enjoy spending my weekends. ”

 

 

 

  1998-09-17 par FIDOChien chaud

Quand j'avais 16 ans, ma préoccupation principale était le sexe, comme la plupart des gars de mon âge. Comme j'ai toujours été du genre gêné, mes partenaires sexuels étaient moins fréquents que je l'aurais aimé et ma principale relaxation était celle que mes mains habiles me procuraient.

Je m'étais justement installé pour une bonne session de plaisir en solo cette soirée-là. Mon père était parti pour quelques heures et j'avais la maison à moi ; la situation idéale pour prendre soin de moi-même. Je me suis pris une bière dans le frigo et j'ai mis de la musique relaxante. L'anticipation me causait déjà des effets et ma queue commençait déjà à pousser contre la toile de mon jeans.

J'aime bien prendre mon temps dans ces sessions, quand il ne suffit pas de soulager une pression accumulée, et je prends alors le temps de stimuler mon corps entier, graduellement. J'ai commencé à me flatter le torse à travers mon t-shirt, et le tissus a vite fait de mettre mes mamelons au garde-à-vous en se déplaçant. Je suis retourné à ma chambre et me suis assis sur le petit sofa qui s'y trouve. Ma main libre (l'autre tenait la bière) parcourait mon corps, se glissait parfois sous mon t-shirt. Ma peau frissonnait au contact délicat de mes doigts qui parcouraient ma peau, le long de mes bras, mon cou. Comme je ne porte jamais de sous-vêtements sous des jeans, ma queue maintenant bien bandée en soulevait la toile haut et demandait mon attention.

J'ai déposé ma bière presque finie sur la table du côté pour libérer mon autre main. Alors que d'une main glissée sur mon torse j'enlevais mon t-shirt, j'ai commencé à doucement masser mes couilles, laissant tout juste mon avant bras effleurer les 7" de ma queue à travers le denim. Sam, le golden retriever de la famille, devait s'ennuyer seul et est venu me rejoindre dans la chambre. Il a sauté sur le lit et s'y est couché, me regardant avec le regard "vaguement blasé, vaguement curieux" qu'il réserve pour ces moment où, d'un air distant, il semble observer ses compagnons humain en pensant "ils sont fous ces humains".

J'ai toujours été exhibitionniste et l'idée d'un spectateur, tout canin soit-il, me donna une poussée supplémentaire de désir ; ma queue devint encore plus raide et le contact indirect que je lui accordais me fit pousser un petit gémissement de plaisir. L'oreille gauche de Sam se déplaça un peu, et il ouvrit grand un de ses yeux semblant se demander "Bon, qu'est-ce qui se passe, cette fois ?" L'attention de mon spectateur impromptu me fit lui sourire et je lui ai dit "Comme ca t'est voyeur, toi ?"

Il prit mes paroles comme une invitation et sauta du lit pour venir se coucher sur le sofa à coté de moi (un endroit où, normalement, je n'aime pas le voir laisser ses poils) et m'offrit sa tête pour que j'accomplisse mon devoir d'humain : le gratter derrières les oreilles. Pendant ce temps, ma queue commençait à mouiller mes jeans sous l'attention indirecte que mon autre main lui prodiguait, et je les ai détachés pour laisser sortir la barre bien raide qui s'y cachait. Le chien sortit complètement de mon esprit alors que mon corps réclamait maintenant tout mon attention avec insistance.

Ma main gauche flattait et massait maintenant mes pectoraux pendant que ma droite se glissait sous mes couilles pour aller stimuler mon anus. À défaut d'une queue bien chaude pour s'y glisser, je suis bien en mesure de me stimuler agréablement. Mon avant-bras serré contre mes couilles et ma queue bandée à bloc m'excita d'autant plus, et je commençai à me tortiller sur le sofa pour me donner meilleur accès.

Après à peine une minute à me stimuler de cette façon, mes jeans devenaient un obstacle distrayant. Je me les suis presque arrachés tant j'étais excité, et je les ai lancés du bout du pied sur le lit. Mon index de la main droite était maintenant bien planté dans mon anus désireux, et stimulait doucement ma prostate pendant que ma main gauche prodiguait ses délices au reste de mon corps, sans jamais s'attarder sur ma queue pour éviter que j'explose trop vite.

Les yeux fermés et gémissant doucement, je me concentrais sur le plaisir que me procurait ma main qui se glissait sur tout mon corps, mon doigt bien enfoncé dont les stimulations devenaient plus robustes avec mon excitation montante, et la sensation agréable de la langue douce et chaude de Sam sur l'extérieur de ma cuisse gauche !?! J'ai sursauté en réalisant que le chien s'était glissé dans mon plaisir sans même que je ne le réalise, et mon réflexe fut de le repousser doucement de la main gauche. De quoi j'me mèle ? C'est pas le temps de me distraire ! Frustré de ma réaction, Sam sauta du sofa et quitta instantanément mon esprit alors que ma main retourna rapidement à satisfaire les besoins de plus en plus pressants de mon corps.

Je commençais à m'approcher du moment où ma queue deviendrait le centre de mon attention, et ma main s'en rapprochait inexorablement, mais lentement pour maintenir mon plateau d'excitation le plus longtemps possible. C'est ce moment que Sam choisi pour revenir à la charge, en décidant sans avertissement de licher vigoureusement le bas de mes couilles et le tendre et sensible bout de chair entre celles-ci et mon anus. Ma main commença un geste pour repousser le chien que mon excitation grandissante et l'incroyable sensation de plaisir que me donnait la langue chaude imprévue ne me permit jamais de terminer. Ma main retourna à mes pectoraux alors que je me laissais glisser dans les sensations voluptueuse que le chien m'apportait. Sa langue se fit plus entreprenante, et lichait maintenant toute la région, me rendant fou d'excitation. Je me glissai sur le sofa pour lui donner meilleur accès et Sam ne se fit pas prier pour licher ma queue gonflée à bloc et m'envoyer dans un paradis que jamais avant nous avions partagés. Après à peine quelques secondes de son attention dévouée, ma queue explosa en jets de dèche et mes gémissements de plaisir devinrent cris de passion. Sam ne cessa pas de licher, et nettoyait tout le jus que ma queue était capable de lui donner avec passion.

Tout tremblant de plaisir et de passion éveillée, j'ai ouvert mes yeux et me suis rassis droit pour remercier mon ami canin des sensations de plaisir qu'il m'avait accordé. Je l'ai flatté derrière les oreilles, geste qu'il aime tant, et lui dis "C'est pas un joke quand ils disent que le chien est le meilleur ami de l'homme, hein ?". Mon regard toujours empli de désir s'accrocha sur un détail auquel je ne m'attendais pas : sa queue (de mâle, pas de derrière) commençait à pointer et sortir de sa gaine de duvet. "Ca t'a excité aussi, on dirait." Je me suis mis à genoux sur le sol tout contre lui. "Va ben falloir que je te remercie pour ce que tu m'as fait sentir."

J'ai commencé à lui flatter le ventre, puis à effleurer sa queue pour voir sa réaction. Sam devint immobile, langue tombante, et se mit à respirer fort. Sa queue sortit plus de son abri, et commençait à gonfler. "T'as besoin d'une bonne baise, toi, non ?" Les idées s'entrechoquaient dans mon esprit à vive allure. Le désir interdit, mon cul qui hurlait pour se faire planter, le /thrill/ du tabou. Mais finalement, c'est la passion pure qui prit le contrôle, et tout autre considération disparut de mon esprit. Ma main avait cessé de stimuler la queue à Sam dans ma distraction, et celui-ci avait commencé à prendre l'initiative. Il mit une de ses pattes sur mon épaule, et fit des mouvement de va-et-vient sans équivoques. Ma queue était déjà revenue bien bandée, et plus rien ne comptait pour moi que la passion animale qui se cache en nous, êtres de "raison".

J'ai enlevé la patte de Sam de mon épaule et me suis mis à quatre pattes, dos à lui. À peine retourné que Sam lichait mon anus en manque, me faisant gémir de plaisir. J'ai étiré mon bras derrière en me tournant un peu pour prendre une de ses pattes de devant pour la déposer sur mon dos. Il ne se fit pas prier et sauta littéralement sur moi, sa queue cherchant désespérément l'entrée qui le soulagerait. L'os de sa queue donna des coups un peu trop bas et me fit un peu mal mais mon excitation, au contraire, montait. Je le voulais qu'il me prenne, qu'il me plante sa queue bien creux, qu'il me baise comme une bête, sans autre délai.

J'ai pris une main pour le guider à ma rosette, et sa queue naturellement lubrifiée aidée de la salive qu'il m'avait apposé en lichant entra d'un coup. J'ai poussé un cri mi-douleur mi-extase à la violence de son entrée, et il me pris comme je le voulais - avec force et vitesse. À chaque coup qu'il donnait, il pénétrait plus profond, plus creux, et sa queue gonflait à une vitesse qui me surprit. Je savais, intellectuellement, que la base de sa queue gonflerait à la grosseur d'une balle de tennis ; et qu'il serait bloqué en moi jusqu'à assouvi. Mais rien au monde n'aurait pu me préparer à la sensation incroyable du nœud qui gonfla en moi, me remplissant comme jamais je ne l'ai été ! Sam me baisait comme jamais on ne m'a baisé, et le concept à lui seul me fit venir sur le sol, ma queue explosant sans même que je ne l'ai effleurée.

Puis, sans avertissement, Sam vint. Il tremblait de jouissance et avait arrêté ses va-et-vient. Pendant une seconde, je fus désolé de la brévité de la chose, puis je l'ai senti... son nœud gonflé à bloc contre ma prostate commença à faire des pulsations régulières, et sa dèche qui semblait bouillante à se faire pomper en moi. J'ai fermé mes yeux et me mis à gémir d'extase pendant que je me faisais remplir de la semence d'un chien et que ma prostate recevait un massage intensif et incroyable. Pendant quatre, cinq minutes je ne pensais pas, je ne voyais pas, mon univers était la sensation incroyable que Sam me donnait. Ma queue faisait mal tant elle était bandée dure (encore!) et ma main s'y rendit pour la soulager. Un autre orgasme, une autre fois le plancher fut arrosé de ma dèche.

Mon anus s'était contracté sous les vagues de plaisir, et Sam poussa un gémissement rauque que j'espérais de plaisir. J'en ai eu la confirmation quand il a donné une poussée pour planter sa barre encore plus creux en moi, et les pulsations de son nœud semblèrent redoubler de rythme et d'ardeur. Encore une fois ma queue s'était remise au garde-à-vous, sans même avoir eu le temps de ramollir, et de nouveau ma main dansait dessus, me faisant revisiter le paradis.

Puis, à mon grand désaroi, les pulsations finirent, et la queue de Sam se résorbait. Il sorti de moi avec un "plop" audible, et sa dèche coulait le long de mes jambes. Je me suis effondré d'épuisement et de contentement, et je suis resté ainsi pendant presque quinze minutes la respiration haletante, rien d'autre en tête que la baise incroyable qu'on venait de m'accorder.

Le chien est vraiment le meilleur ami de l'homme.

  http://www.gai-eros.org/w/index.php/Chien_chaud

 

 

 

 

 

Par FIDO - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 20 décembre 2 20 /12 /Déc 16:00

 

Horny man gets fucked by dog

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Par WOUAH WOUHA - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 20 décembre 2 20 /12 /Déc 06:43

     Collé-collé ou le « syndrome pénis captivus » : voici le remède : un doigt dans le cul !

      Image  *

Tout le monde a déjà entendu parler de ces chiens qui restent « coincés » en plein accouplement [*la photo ne dit  rien ! ] … L’incident prête à rire, d’autant qu’on le croit réservé aux pauvres canidés. Grave erreur : Deux humains peuvent parfaitement connaître pareille mésaventure, que la littérature médicale a judicieusement nommé « syndrome du pénis captif ».
 
CONTRACTION MUSCULAIRE RÉFLEXE DU VAGIN
 
Et soudain, le va-et-vient est interrompu. Un blocage. D’abord vous n’y croyez pas, vous donnez, une légère secousse en arrière et vous vous apercevez, paniqué, que votre sexe est coincé dans le vagin de votre partenaire ! L’excitation laisse alors place à l’affolement. Puis à la honte d’appeler au secours et d’arriver aux urgences dans cette position. Vous êtes victime d’un pénis captivus.
 
Chez le chien, le phénomène est assez fréquent et dû au gonflement du gland de l’animal. Il n’est pas rare de voir deux chiens accolés, étonnés de ce qui leur arrive [*]. Mais chez l’homme ? « La seule explication pourrait être un spasme du muscle releveur de l’anus, en forme de double huit, entre l’urètre, le vagin et l’anus. Si on touche une de ces trois zones, ça relâche le reste, ainsi si on touche par exemple autour de l’anus, cela relâche le muscle. Donc si par hasard, l’homme se retrouve coincé, il y a toujours une solution ».explique le Dr Neidhart, professeur d’anatomie à l’Université de médecine de Lyon 1. « Un des faisceaux de ce muscle part du pubis, passe sur les côtés du vagin et fait le tour du rectum. S’il y a un spasme, comme une crampe, cela peut avoir pour effet d’écraser le vagin le contre le pubis et d’emprisonner la verge ».
 
« Le pénis captivus + résulterait donc d’une contraction musculaire involontaire, ce mécanisme est assez proche de celui du « vaginisme » causé par une contraction réflexe des muscles entourant le vagin », explique le Dr Sylvain Mimoun, gynéco-andrologue et spécialiste de la sexualité. Mais si, dans le cas du « vaginisme », la contraction a lieu avant la pénétration, rendant celle-ci impossible, dans le cas du « syndrome du pénis captif », elle intervient juste après.
 
CAUSES À CETTE MALÉDICTION INCONNUES
 
Tétanie, crise de panique, les causes sont méconnues, et semblent involontaires. Mais le résultat est là : la verge reste coincée. Embarrassant, mais pas dramatique en soi. « Il n’y a pas de danger pour la verge », assure les spécialistes, même s’il reconnaît que les muscles sollicités peuvent être très puissants, citant des « shows érotiques » qui mettent en scène des « femmes asiatiques ayant appris à les gérer de façon impressionnante ».
 
UN REMÉDE EXISTE : UN VALIUM ET UN TOUCHER RECTAL
 
Mais alors que faire dans cette situation délicate pour éviter de se retrouver coincés l’un dans l’autre ? « On peut améliorer la situation, en mettant un doigt dans l’anus de la femme et en tirant en arrière », explique le Dr Neidhart : « On élongue alors le muscle ce qui lève le spasme. Comme il suffit de mettre le membre en extension pour lever une crampe du mollet ou de la cuisse ». Si le stress peut être excitant, il peut aussi exceptionnellement provoquer ces étreintes involontairement prolongées. Dans ce cas-là, « un traitement myorelaxant par valium administré à la femme avait été nécessaire pour desserrer l’étau vaginal ».

 

 

Par WOUAH WOUHA - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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