Mercredi 22 mars 3 22 /03 /Mars 13:15

copié de" Plus loin de toi, mon pieu ! "(de  nextinpact.com )  

     TEL QUEL LE PROJET ! telle quelle la ministre !

 

  Résultat de recherche d'images pour "dessin d'humour écran contrôle parental"

« Sud Ouest »:  La ministre Laurence Rossignol souhaite bloquer l’accès des mineurs aux sites pornographiques. Une mesure compliquée à mettre en place

La ministre des Familles et des Droits des Femmes, Laurence Rossignol, a appelé la semaine dernière à « interdire l’accès des mineurs aux sites pornographiques, qui diffusent des images avilissantes pour l’amour, l’égalité femmes-hommes, et la représentation qu’on a de ce qu’est la sexualité ».

Comment cette interdiction pourrait-elle être appliquée ? La ministre n’a précisé aucune modalité.

 

Crédits : Pseudopixels/iStock/Thikstock
Loi

Sur le Padreblog, un site dédié à l’univers catholique, Laurence Rossignol a développé une longue critique contre l’industrie du X. La ministre des Familles, de l'Enfance et des Droits des Femmes estime par ailleurs nécessaire de bloquer l’accès des jeunes aux sites pornos. 

« La pornographie est une violence faite aux femmes, c’est une autre forme d’exploitation sexuelle pour celles qui jouent dans ces films ». Voilà comment Laurence Rossignol a introduit sa critique de l’industrie du sexe, l'accusant d'être « de plus en plus dégradante ».

Sur le plateau du Padreblog, la représentante du gouvernement dénonce un autre problème : « l’accès facile à la pornographie », considérée comme « une violence faite aux enfants ». Elle estime ainsi anormal « qu’un enfant jeune, 11 ans 12 ans, ait accès à des images pornographiques violentes qui vont lui donner des rapports hommes femmes et de la sexualité qui n’a rien à voir avec ce que l’on souhaite pour lui pour être un adulte heureux. »

La liberté d’expression, le porno et le contrôle parental

Quelles solutions ? « On travaille beaucoup là-dessus » assure Laurence Rossignol avant de dénoncer le rempart de la liberté d’expression : « On se heurte, c’est assez amusant d’ailleurs, à la liberté de création, à la liberté d’expression sur le net », qui viendraient « défendre la pornographie ». 

Bref, pour endiguer cette hémorragie, elle milite pour « refaire avec les parents la campagne de prévention sur les systèmes parentaux de verrouillage et les contrôles parentaux. Mais j’en connais la limite parce que maintenant les gamins ont des smartphones et n’ont pas besoin de contrôle parental ».

D'autres pistes existent, plus nerveuses : par exemple, « contraindre et fermer l’accès à des sites internet à des gamins ». Cependant « ces sites ne sont pas en France, c’est ça notre problème » reconnait-elle, avant d'esquisser le début d’un parallèle avec la Chine à sa vigoureuse politique de blocage d’accès. « Ce qu’on ne sait pas faire (…), c’est fermer l’accès à ces sites pour les enfants tout en les laissant accessibles pour les adultes ».

Contrôle d’accès par CB ou blocage d’accès

Reste une dernière alternative : un contrôle d’accès par numéro de carte bancaire. « J’y suis pour ma part favorable » tambourine-t-elle. Et « quand le site n’est pas dans la réglementation française ou même dans la volonté commune de faire », rien de plus simple : « Il faut couper l’accès ». 

Assurant qu’aujourd’hui, « on n’est plus dans les images que connaissaient nos grands-parents », elle termine ses propos par cette synthèse : « Il faut lutter contre l’industrie pornographique, ce qu’elle suppose d’avilissement pour celles et ceux qui y travaillent. Et il faut lutter contre l’accès des jeunes, des mineurs, à l’image pornographique qui est avilissante pour l’amour, l’égalité femme homme et la représentation qu’on a de ce qu’est la sexualité ».

La solution du contrôle d’accès par carte bancaire n'est pas une nouveauté. Elle avait été suggérée par exemple par un professeur de médecine en septembre 2012. « Aujourd’hui, exposait alors Israël Nisand, les jeunes surfent facilement sur les sites pornographiques sans débourser un seul centime. Les parents pensent parfois que le contrôle Internet suffit, mais les adolescents peuvent aller sur l’ordinateur d’un copain ou y avoir accès sur un smartphone ».

Laurence Rossignol et la pornographie sur Padreblog, à partir de 13'52

Le porno dans l’histoire parlementaire récente

Le thème plus général de l'accès des mineurs à la pornographie a inspiré lui aussi de nombreux parlementaires. En 2011 le député Christian Vanneste (LR) avait déposé une proposition de loi visant à lutter contre la pornographie. Inspiré d’un précédent britannique, l’élu LR plaidait pour un blocage administratif par défaut de l’ensemble des sites pornos listés par une autorité. Les FAI auraient cependant permis « l’accès à ces services uniquement à ceux de leurs abonnés qui en font expressément la demande ». La proposition est restée depuis lettre morte.

Plus récemment, le député Jacques Bompard (non inscrit) a proposé un blocage administratif plus radical encore. Il habiliterait le ministre de l’Intérieur « à interdire la diffusion de revues à caractère pornographique quel qu’en soit le public, et à fermer l’accès aux sites internet pornographiques, à faire poursuivre les hébergeurs et diffuseurs de tels sites ou revues ». Là encore, un texte resté dans les cartons.

En mars 2015, le gouvernement avait longuement expliqué au député Stéphane Demilly (UDI), inquiet de la pornographie en accès libre, l’efficacité des solutions de contrôle parental. L’exécutif misait encore sur l’utilité des « actions de sensibilisation des parents, mais aussi des jeunes (…) menées dans le cadre du Safer Internet de la commission européenne ».

En septembre 2015, rebelote. Cette fois, Jean-Jacques Candelier (GDR) lorgnait avec insistance pour l'instauration d'un code d’accès aux sites pornos... ou un blocage par défaut. Le ministère de la Famille lui avait répondu que « le blocage systématique des sites pour adultes n'est (…) pas envisagé par le Gouvernement qui privilégie des mesures plus efficaces comme la bonne utilisation des logiciels de contrôle parental, mais aussi des actions de prévention, d'éducation à la sexualité, de respect de l'égalité femmes/hommes et de déconstruction des stéréotypes véhiculés par de très nombreux sites internet ».

Juridiquement, ce blocage mondial d’une cohorte de sites pornos ne tient pas bien la route et serait probablement jugé disproportionné puisque bien d’autres solutions existent, pas nécessairement juridiques. Dernier détail, la secrétaire d’alors, qui n’avait donc envisagé d'autre système, était une certaine Laurence Rossignol.

 

Michaël Stora, psychologue et psychanalyste, interrogé par "l'Express":

Les applications de contrôle parental sont 'un outil de vieux con', rageant pour les ados, mais c'est aussi contenant pour eux, ils en ont besoin."?

besoin de vieux cons ? ça qu'il nous soit permis d'en douter !

Image associée

 

 

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commentaire : contre tout respect de la laïcité, la ministre s'exprime chez lez cathos....faut leur faire  olaisir ! (claudio)t 

 

 

 

 

Par nextinpact.com Express SudOuest - Publié dans : LOIS SUR SEXUALITE -MAJORITE-PROSTIT.-DELITS . - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 22 mars 3 22 /03 /Mars 10:42

 

 

fozgirl31: “enema-girl-18: “ enema girl ” I would love for a guy to give me a Enema. ”

kindlybeatingher: “Sometimes a douche from the drugstore just doesn’t cut the mustard ”

 

 

                                                                                   

sloppyanalmilkenema: “cafenastycore: “menu: massive anal milk fart treat ” Milk Enema Free Pictures !!!! Top Pornstars • Hailey • Henessy • Nataly Gold • Lioness • Arwen Gold • Sandra Luberc • Bambi Bella Are you more into Anal Enema or Whip Cream...

 

sloppyanalmilkenema: “softpornmustdie: “Lilo - Milk Junkies #5 ” More sloppy wife with assholes full of milk / cream : http://sloppyanalmilkenema.tumblr.com/ • More Gifs Here • More videos here ”

cette éjac' vaut bien deux enemas !

 

  au champ'  ...on espère qu'elle n'aura pas de dégâts !  

 

 

 

 

 

 

 

 

Par COSHONDELE - Publié dans : ELLES ET NOUS & VIDEOS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 22 mars 3 22 /03 /Mars 09:12

ce problème doit être résolu très vite : ces enfants sont en danger d'attirer des adultes mal intentionnés, prêts à en profiter

                        Le Monde & AFP:
Arrivée du Maroc d’enfants isolés et toxicomanes : un phénomène inédit à Paris

Ces migrants mineurs passés par l’Espagne refusent toute prise en charge et errent dans le quartier de Barbès.

 

Migrants dormant sur le trottoir dans le 18ème arrondissement de Paris le 15 février 2017. Enfants Migrants dormant sur le trottoir dans le 18ème arrondissement de Paris le 15 février 2017. ALAIN JOCARD/AFP

 

Ce soir-là, ils sont une quinzaine à arpenter ce petit bout de macadam, entre le square Alain-Bashung et la rue de la Goutte-d’Or, dans le 18e arrondissement de Paris. Le plus jeune n’a pas l’air d’avoir plus de 10 ans, le plus âgé, à peine 15. Bonnets ou casquettes vissés sur la tête, ils vont et viennent en petits groupes, passent d’un trottoir à l’autre, rebroussent chemin… Des allers-retours incessants, sans but, ponctués par un triste rituel : de temps à autre, ils plongent leur visage dans un sac en plastique et inspirent de la colle à pleins poumons.

Cela fait deux mois que ces adolescents sont arrivés du Maroc. Deux mois qu’ils errent ainsi dans le quartier de Barbès, seuls, refusant toute prise en charge par les pouvoirs publics. Difficile d’évaluer leur nombre : la Ville de Paris en a identifié vingt-quatre, âgés de 9 à 16 ans. Ils pourraient être une centaine, selon l’Office français de l’immigration et de l’intégration. « Des mineurs isolés aussi jeunes, toxicomanes et réfractaires à toute aide, c’est du jamais-vu à Paris », explique-t-on à la mairie. Le phénomène a pris les autorités de court. Et met les nerfs des riverains à rude épreuve.

 

Planté devant l’entrée d’une laverie automatique de la rue de Jessaint, Ouakka, 79 ans, ouvre l’œil. Sa mission ? Empêcher ces enfants de pénétrer dans l’établissement. « Ils fument, ils crachent, ils boivent, ils se droguent, ils insultent et vandalisent », souffle-t-il. Cherchant refuge pour la nuit, certains ont forcé la porte à plusieurs reprises pour camper sur les machines à laver. D’autres ont squatté des Autolib’. « Défoncés à la colle, ils sont hyper agressifs », raconte Théodore Ceccon, 37 ans, gérant du restaurant italien d’en face, La Bella Donna. « On les a vus se battre au cutter, agresser une jeune fille de 14 ans pour lui voler son sac, cambrioler le studio du boucher, défoncer la porte d’une école… »

Tous passés par l’Espagne

« On ne peut pas envoyer des enfants de 9 ans en prison !, rappelle-t-on à la Ville de Paris. Tous les services de la ville ont été missionnés pour trouver une solution. » L’association Hors la rue (spécialisée dans le soutien aux mineurs étrangers) est la seule à être parvenue à établir un contact. Mais les premières tentatives d’hébergement se sont soldées par un échec : ils se sont enfuis au milieu de la nuit. « A priori, ce sont des enfants des rues, explique-ton...


 

France info lire le reportage sur le site :

Ce sont des scènes dignes des favelas brésiliennes. Depuis quelques semaines, dans le quartier de la Goutte-d’Or, dans le XVIIIe arrondissement de Paris, des enfants d'une dizaine d’années sont livrés à eux-mêmes. Parfois violents, ils sniffent de la colle, le jour comme la nuit. Rétifs aux dispositifs de prise en charge traditionnels, ces enfants toxicomanes venus du Maroc laissent riverains et autorités désemparés. Qui sont-ils ? Comment sont-ils arrivés-là ? Franceinfo est allé à leur rencontre. 

 

Livrés à eux-mêmes en plein coeur de Paris, des enfants plongent dans la toxicomanie et la violence. Le reportage de Jérôme Jadot
 

 

 

Il est 18h30. Le square Alain Bashung vient de fermer. Furtivement, une silhouette en doudoune grise franchit la grille et s’installe au fond du parc. À intervalles réguliers, on voit devant son visage un sac en plastique orange qui se gonfle et se dégonfle. De temps en temps, le garçon sort de sa poche un tube de colle forte, en garnit les parois du sachet et replonge le nez dedans.

Il est agité mais veut bien échanger quelques mots. Il dit avoir 11 ans, même s’il en fait un peu plus. Il parle essentiellement arabe, dit être arrivé en France il y a cinq mois, être venu pour le travail. S’il sniffe de la colle, c’est parce qu’il a beaucoup de problèmes, explique-t-il. On n’en saura pas plus. Son œil devient vitreux. Il court dans un sens, puis dans l’autre, tente de nous chiper nos clés de voiture avant de chanter dans le micro.

 

La police nous montre certains produits, ici de la colle forte, utilisés par ces jeunes, âgés parfois d\'une dizaine d\'années seulement, pour se droguer.La police nous montre certains produits, ici de la colle forte, utilisés par ces jeunes, âgés parfois d'une dizaine d'années seulement, pour se droguer. (JÉRÔMEs JADOT / FRANCE INFO)

 

Un parcours chaotique 

Des enfants ou jeunes adolescents vivant dans la rue, on en croise d’autres dans le quartier. Youssef et Hamza ont souvent une cigarette ou un joint à la bouche, des yeux cernés. Ils racontent des parcours similaires. Partis du Maroc, ils ont passé quelques mois ou années en Espagne, puis sont arrivés en France récemment.

 

 

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(En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/societe/article/2017/03/14/arrivee-d-enfants-marocains-isoles-et-toxicomanes-un-phenomene-inedit-a-paris_5093968_3224.html#ZfcxgO8Kwb0TKZmP.99)

 

 

Par AFP FRANCE INFO LE MONDE - Publié dans : TABOUS & MYSTERES -ANGOISSES, - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 22 mars 3 22 /03 /Mars 00:39

BIENVENUE AU BLOG      Je suis Julie, une femme de 29 ans, en couple depuis 5 ans, et nous habitons à Toulouse. Je n’ai jamais été très portée sur le sexe par le passé. Petit à petit, Thierry, mon mari, a abandonné ses efforts « pour me rendre cochonne », comme il dit.

   ll a fini par me tromper il y a quelques mois, lors d’une soirée chez un ami à lui. Ce n'est que quelques temps après que j'en ai eu certains détails]. Certains diront qu’il a bien fait, de se soulager étant donné que la grande majorité de nos rapports se résumaient à une branlette vite fait, histoire de le calmer et d’éviter qu’il soit trop demandeur.  

 

Moi, cela m’a mise en rogne. Je l’ai découvert par hasard, même si je le soupçonne d’avoir fait exprès, pour me faire payer mon inactivité sexuelle.

  J’ai tourné cette histoire longtemps dans ma tête, lui rappelant à chacune de ses tentatives le mal qu’il m’avait fait.  

     Il a longtemps essayé de se justifier, me jetant qu’il a fait ça à cause de moi… Nous avons eu de nombreuses et longues discussions, souvent houleuses. Il a fini par me dire que son rêve était simplement de me voir « avoir envie ».  

  Le temps a passé ; nous n’avions plus de rapports sexuels du tout. Je m’échauffais dans mon esprit, me disant qu’il allait recommencer.    

Je me rendais compte que je devenais de plus en plus agressive avec lui, et j’avais conscience de faire exactement ce qu’il fallait pour qu’il recommence. Mais la rage ne me quittait pas et je n’arrivais pas à me contrôler. Il semblait de plus en plus évident que notre couple n’avait plus d’avenir !

  Tout a basculé un samedi après-midi. Il était parti chez un ami à nous. Un ami à moi, pour être exacte. Seule à la maison, je tournais et retournais mes angoisses et mon anxiété dans ma tête. J’ai fini par démarrer son ordinateur, à la recherche de preuves pour conforter mon sentiment de malaise.  

  J’ai longuement fouillé, et j’ai fini par trouver… des choses. Pas de preuves ni de relations secrètes. Mais j’ai découvert qu’il consultait quotidiennement des sites pornographiques. Des choses que je ne soupçonnais même pas. Moi qui ai toujours considéré le sexe comme une obligation de couple, je découvrais un univers totalement étranger.  

Mon mari se branlerait devant toutes ces horreurs ? Comment dois-je le prendre ? On connaît tous l’histoire d’une femme qui a découvert que son mari est bisex voire gay ; mais trouver de l’excitation dans ces situations n’est-il pas pire ?  

  Totalement incapable de gérer mes émotions, j’ai tenté d’appeler Thierry. Il n’a pas répondu, et je savais déjà qu’il me trouverait une bonne excuse pour ça. Mais ça m’avait donné à moi une bonne excuse pour faire « ce que je veux ».  

  Sauf que je ne savais pas quoi faire.  

  Après avoir parcouru mon répertoire téléphonique, j’ai finalement appelé Amandine, une fille que j’avais croisée dans un précédent boulot. J’avais gardé peu de contacts, mais on s’était bien entendues, même si elle était mon opposé : de sortie 2 ou 3 fois par semaine, une réputation de chaudasse, et une capacité naturelle à placer des allusions osées dans n’importe quelle situation.Elle est venue me chercher chez-moi et nous sommes allées chez des amis à elle dans une réception un peu "collet-monté"  

  Au bout d’une bonne heure, j’ai beaucoup trop bu. Malgré mon état, j’ai bien conscience que c’est de l’inconscience. Il me propose d’aller prendre l’air dans le jardin. Sans sentir le loup venir, je me dis que c’est une bonne idée pour me rafraîchir et reprendre un peu mes esprits.  

  Nous nous sommes baladés un peu pour nous retrouver finalement sur une balancelle, tout ce qu’il y a de plus romantique au milieu du jardin[...].  

 

Malin, il avait dans sa main qui ne me tenait pas la hanche une bouteille de champagne et deux verres… Je n’avais même rien vu. Rien vu venir non plus. Et j’ai accepté de reboire…

  Les choses étaient tellement floues et emmêlées dans ma tête que, alors qu’il espérait certainement autre chose, j’ai complètement craqué. Je me suis mise à pleurer et à lui raconter tout ce que j’avais sur le cœur. Le vrai, le faux, les faits, mes angoisses et ce que je m’imaginais…  

 

Dans mon état tout ne devait pas être très clair, mais il a dû comprendre l’essentiel. Et, contrairement à ce que je me serais imaginé, il ne s’est pas du tout enfui. Au contraire. Il m’a écoutée, et nous avons parlé longtemps, longtemps… Il est reparti chercher des bouteilles à plusieurs reprises, mais je ne saurais pas dire combien…

  Bien sûr, j’étais blottie contre lui pendant nos discussions, et ses mains commençaient à se faire plus baladeuses que je n’aurais dû le laisser faire. Mais, de sentir sa chaleur, de pouvoir lui parler, de pouvoir vider mon sac sans jamais qu’il me contredise… J’aimais ça.  

    Heureux hasard,quand la discussion ayant bien entendu dérivé sur le sexe, il a adoré quand je lui ai dit que je faisais ça « par derrière » pour éviter de prendre la pilule. Il m’a fait sentir son érection à travers son pantalon à plusieurs reprises. Je me laissais faire, me laissais aller. Sans savoir l’heure qu’il était, le temps passait. Au petit matin, alors que le jour commençait à poindre, nous étions tous les deux aussi épuisés et vaseux l’un que l’autre.  

  Soit par faiblesse, soit par impatience, soit à cause de l’alcool, il a commencé à sortir son sexe en me disant qu’il bandait depuis bien trop longtemps pour le laisser encore enfermé. Nous continuions à discuter pendant que je le branlais doucement. Il m’a doucement suggéré de la main sur ma tête de le sucer. J’ai refusé, d’autant que j’aurais certainement vomi si je l’avais tenté. Et j’ai commencé à lui dire que nous ne pouvions pas faire plus, que j’avais déjà fait bien trop de choses, que ce n’était pas bien…  

  Il a alors changé d’approche. Il a commencé à me dire que c’est une juste vengeance, que tant que je ne serais pas allée jusqu’au bout, ça n’irait pas, que de toute façon mon mari fantasme d’être cocu. J’ai fini par lui dire qu’il avait raison. Sans perdre de temps, il s’est levé et m’a guidée pour me mettre à quatre pattes, genoux par terre et poitrine collée contre l’assise de la balancelle. Je ne savais pas trop ce que je faisais, mais je me laissai faire lorsqu’il commença à me lécher l’anus. Il avait simplement relevé ma jupe et baissé un peu ma culotte. Je laissais mon cerveau flotter dans un monde fictif pendant que mes fesses se détendaient sous l’action de sa langue et de ses doigts. J’étais proche de l’endormissement quand son gland vint se placer à l’entrée préparée.  

 

Il entra doucement, lentement mais sûrement. Il ressortait de temps en temps pour remettre un peu de salive. Une fois au fond de moi, il se pencha pour s’approcher de mon oreille. Il me murmura :

 

— Lààà… Tu sens ma bite au fond de toi ? C’est ça que tu voulais ? Te sentir salope pour te venger de ton homme ? Ça te plaît de savoir que tu vas rentrer le voir la conscience tranquille et le cul plein ?

 

Il commençait à bouger en moi, et sa main s’est glissée entre mes jambes pour chatouiller mon clitoris. Je commençais à y prendre goût. Et lui commençait à dire des choses de plus en plus osées, certainement encouragé par mon silence et mes soupirs.

   — Ça te plaît de savoir que tu vas enfin pouvoir rentrer et lui montrer que tu t’es vengée ? Tu aimes savoir que c’est une autre bite que la sienne en toi ?  

  À force de me poser des questions, j’ai répondu, doucement au début.  

  — Oui, je crois ; je sais pas trop, c’est agréable bon ! .  

  Sure, she “knows” that Daddy owns her body, But occasionally she needs to be pushed very hard to fully remember what that means. 

Et effectivement, c’était agréable ! Dans l’état second où j’étais, sentir ce sexe coulisser en moi et ces doigts branler mon clitoris me procurait une extase douce… Et si au début je ne pensais pas à Thierry, les paroles de mon amant finirent par me faire prendre également un plaisir sadique à le tromper.

 

Je ne sais pas combien de temps le rapport a duré. Mais mon amant semblait très excité de baiser une femme en couple.

 


  — Je vais te remplir les fesses ; tu lui feras constater ton état. Tu sens ton petit trou tout dilaté ? Tu pourras lui dire de te baiser sans te prévenir : tu seras toute chaude, ouverte, et lubrifiée…  

  Et mon esprit de s’échauffer :  

  — Oui, je lui ferai tester sa chienne déjà saillie ; je lui ferai sentir ton odeur…  

  Finalement, il a joui en moi sans que je ne le sente vraiment. C’est quand il s’est affalé sur moi que j’ai compris. Nous sommes restés comme ça un moment, profitant de l’instant. Le jour était presque levé. J’étais toujours dans la même position, mais le soutien de la balancelle avait évité que je ne sois mal. Mes genoux commençaient tout de même à souffrir, et je le dis à mon amant.  

  — J’ai mal aux genoux un peu ; enlève-toi.  

— Attends, reste comme ça.

  Il s’est retiré lentement, laissant mon anus béant… Puis il a attrapé un bouchon de liège, vestige de notre nuit alcoolisée, et l’a introduit dans mes fesses avant de remonter mon string.  

 

  — Voilà : comme ça, tu resteras bien pleine pour ton homme !  

     Je me suis relevée et nous sommes retournés vers la maison. Tout le monde dormait évidemment ; je ne savais pas où était passée Amandine, ni même si elle était revenue… Jean-Claude, mon cocufieur improvisé, a proposé de me ramener chez moi, ce que j’ai accepté vu l’heure et mon état.  

Le trajet s’est fait sans commentaires, mais il a insisté pour me raccompagner jusqu’à ma porte.

 

— Ça m’excite de savoir que tu es pleine pour ton homme. Ça t’excite, toi ?

— Je ne sais pas. Je ne sais plus. De toute façon, il ne sera pas là avant au moins midi ; donc d’ici là, je me serai lavée.

— Non, tu n’as pas le droit : reste comme ça et attends-le. Couche-toi et attends qu’il te réveille !

— Mais de toute façon, il n’y aura plus rien d’ici là !

  Toujours l’esprit dans le flou, je répondais mécaniquement sans trop réfléchir.  

Il a commencé à me caresser les fesses, glissant sa main sous ma jupe pour titiller le bouchon toujours en place.

 

— Un petit remplissage de dernière minute pourrait améliorer les choses non ?

  — Tu sens le sexe. Je ferai ce que tu veux, mais raconte-moi ce qui s’est passé.  

    Je ne savais plus quoi faire

N’ayant pas réellement joui, j’étais toujours un peu réceptive et ma volonté n’avait toujours pas décidé de revenir… Je n’ai pas répondu, mais il a pris ça pour un oui.

  — Entrons chez toi…  

  — Non !  

  Un mouvement de panique me prit. Tromper Thierry, pourquoi pas ? Ce n’est qu’un juste retour des choses. Mais le faire chez nous, ça, je n’en étais pas capable.  

  — OK, pas de soucis…  

    Sauf que du coup, je me suis retrouvée avec mon débardeur relevé, les seins à l’air, la jupe levée, le string baissé, et tout ça sur mon palier de porte alors qu’il devait être 6 h du matin…  

  Jean-Claude a retiré mon nouveau bijou des fesses et me l’a mis dans la bouche pendant qu’il me reprenait par derrière. Sa pénétration était nettement moins douce que précédemment, mais mon derrière y était aussi nettement mieux disposé, encore dilaté et lubrifié de la nuit.  

  J’ai fait mine d’enlever ce bouchon malpropre et odorant de ma bouche, mais Jean-Claude me l’a tout de suite remis, se lâchant dans des commentaires salaces :  

  — Non, garde ça dans ta bouche ; ton homme devra sentir le sexe se dégager de tout ton corps. Je vais te remplir et tu ne te laveras pas. Ou plutôt, ce sera à lui de te laver. C’est ça : tu lui feras lécher ton corps plein de mon sperme.  

     — Je veux juste me venger, pas qu’il me quitte. Il n’acceptera jamais.  

  — Oh, détrompe-toi ; je te connais maintenant, et je le connais aussi un peu. Tu verras qu’il adorera.  

  — Non, je pense pas. Et je ne saurais même pas comment lui demander ça.  

      Mais tu ne dois pas demander : tu dois exiger. Tu verras, un mari cocu, y’a pas plus fidèle. Ça changera ta vie !  

  — Mais c’est sale !

Rien n'est sale en amour!  

  — Arrête un peu avec tes principes idiots. Comment veux-tu t’amuser si tu t’interdis tout ce qui est sale ? Et puis, c’est sale tant qu’il n’a pas fini ; une fois qu’il t’aura bien nettoyée avec sa langue, tu seras propre !  

  Il continuait à faire des va-et-vient en moi, a priori très excité par nos propos, mais plus long à venir car c’était un « deuxième coup »… J’avais échappé à avoir le bouchon dans la bouche, et je me forçais à lui répondre pour qu’il ne le remette pas.  

  — Quand il arrivera, tu lui diras de te lécher partout.  

     — Mais j’ai jamais fait ça, il va savoir.  

  — Bien sûr ; mais il sera trop excité pour te demander quoi que ce soit, et bien trop content que tu montres de l’envie pour refuser.  

  — Mais quand il comprendra que je l’ai trompé ?  

  — Fais-moi confiance, ça lui plaira !  

     — Mais je vais lui dire quoi ? « Lèche-moi le cul maintenant ! » ?  

  Cette dernière parole a provoqué son éjaculation… Il s’est planté le plus au fond possible, et cette fois j’ai senti les spasmes de son sexe qui se vidait en moi. Après quelques secondes, il s’est retiré et, bien sûr, m’a remis le bouchon et replacé le string. J’avais eu de la chance qu’aucun voisin ne soit passé !  

  Je me suis rhabillée en lui disant que maintenant il devait y aller. Il n’a pas insisté et il est parti.  

  J’ai sorti la clé de mon sac à main, ouvert la porte, et je suis rentrée… Ouf, enfin chez moi !  

 

J’étais dans le couloir de l’entrée. Décoiffée, sale, les bas mal mis, le cul encore tout ouvert et bien plein grâce au bouchon… Je tentais de reprendre mes esprits, le front appuyé contre le mur. 

  Surprise ! devine qui est là?  

— Chérie, t’es là ? Mais t’étais où, putain ? J’étais mort de peur !

  Moment de presque panique dans ma tête. Presque, car mon état général ne me permettait plus de penser très vite. Je n’ai pas bougé. Il s'est approché, changeant de ton :  

  — Ça va ? Tout va bien ?  

  Je sentais une vraie inquiétude dans sa voix.  

  — Oui, oui…. Ça va… Tout va bien.  

  Diplomate, il s’est mis contre moi, m’embrassant doucement dans le cou.  

  — J’ai eu peur ; je suis revenu au milieu de la nuit car tu ne répondais toujours pas…  

  Il a tourné légèrement ma tête pour m’embrasser sur la bouche. Je me suis laissé faire, et j’ai laissé sa langue entrer et jouer avec la mienne. Il a eu un sursaut de recul.  

  — Mais, putain, tu sens la bite !  

 

Ses yeux étaient remplis de colère, d’inquiétude, mais aussi peut-être d’autre chose… Son ton énervé, ma lassitude de fatigue… Je ne sais pas ce qui m’a pris. Jamais je n’aurais pensé que ça pouvait arriver…

  — Je suis fatiguée, et je n’ai rien fait que tu ne mérites pas. Alors, lèche-moi le cul ; maintenant!  

  — Quoi ?  

  Et voilà. Je savais que ça ne marcherait pas. J’ai reposé ma tête contre le mur, désespérée.  

  J’ai senti ses mains sur mes hanches. Et quelque chose frotter doucement sur mes fesses. J’ai tourné la tête : il était agenouillé, les mains de chaque côté de mes fesses, le nez contre ma jupe.  

  Il n’a pas osé me regarder dans les yeux.  

 

     Je me sentais sale, j’avais honte de ce que j’avais fait et, s’il m’avait engueulée, je n’aurais probablement pas répondu grand-chose. Mais de le voir ainsi… J’étais vexée qu’il ne fasse pas de scandale. Moi, je lui avais fait chèrement payer son infidélité ; et lui, il me laissait faire ? Non seulement il me laissait faire, mais il acceptait « tout »?

 

« Tu veux faire le fier ? Allons-y ! »

  — Tu veux savoir ce qui s’est passé ? Je me suis fait baiser le cul ; deux fois ! Et on m’a même demandé de tout garder en moi pour te montrer.  

  J’ai soulevé ma jupe et cambré mes fesses sous son nez. Il ne pouvait pas rater le bouchon bien planté dans mon petit trou.  

  — Tu vois, ça ? On me l’a mis pour être sûr que tu ne rates rien.  

  Toujours à genoux, en caleçon, il se produisit un déclic décisif dans notre relation : j’ai vu son érection prendre forme à une vitesse surprenante ! J’ai reculé mes fesses vers lui. Par principe, il a reculé la tête en même temps. J’ai donc reculé jusqu’au mur opposé, à moins d’un mètre. Sa tête bloquée contre le mur, j’ai poussé mon bassin contre son visage. J’ai senti sa langue commencer à jouer avec mon sexe. J’étais cambrée au maximum pour qu’il puisse atteindre mon clitoris. Je sentais son nez appuyer sur le bouchon. Il me léchait profondément et je sentais même sa langue remonter de temps en temps jusqu’au bord de mon anus.  

Je n’arrivais pas à savoir si le fait qu’il fasse ce que je demandais m’excitait ou m’énervait. J’ai décidé de « pousser le bouchon trop loin », en enlevant le bouchon justement.

Ce que je n’avais pas prévu, c’est que j’étais réellement pleine et que, dès le bouchon enlevé, j’ai senti que j’allais me vider sans rien contrôler… Par pur réflexe, j’ai collé mon anus contre sa bouche. Je sentais que la situation était compliquée pour Thierry aussi, et qu’il ne savait pas trop s’il devait aller aussi loin. Mais, sans que je comprenne pourquoi, je me suis mise à jouir doucement à mesure que mon fondement se vidait dans sa bouche.

  — Lèche !  

     J’ai senti sa langue commencer à remuer autour et dans mon anus.  

Déjà en temps normal, je trouve cette pratique un peu sale ; mais je l’ai laissé faire car, après tout, ce n’était pas désagréable pour moi.

Mais là, la situation était bien au-delà de n’importe quel fantasme que j’ai pu avoir. Je me suis appuyée sur le mur en face, les fesses complètement en arrière, et je me suis laissée aller complètement. J’avais l’impression que Thierry roulait une pelle des plus baveuses, sauf que c’était avec mon cul et le sperme de mon amant pour salive…

Je me suis caressé le clitoris jusqu’à la jouissance…

  Une fois cet instant passé, toute la fatigue et le sommeil ont choisi de me tomber dessus. Sans un mot, le string toujours baissé, la jupe à moitié relevée, je me suis dirigée vers la chambre. Cette andouille avait le sexe à l’air : il s’était branlé pendant qu’il me léchait le cul ! Je ne savais pas s’il avait joui, et n’étais pas en état de m’en préoccuper.  

Je me suis affalée sur le lit sans même me déshabiller.

Il est arrivé, le sexe raide, et m’a demandé s’il pouvait me faire l’amour. Il n’avait pas joui, donc.

  — Tant que tu ne me demandes pas de bouger, fais ce que tu veux !  

  Je me suis endormie pendant que je sentais son sexe entrer en moi sans difficulté.  

 




« ’tain, t’es une sacrée salope, en fait… »

« T’es vraiment une chienne de rentrer pleine à la maison ! »

« T’es contente ? Tu t’es bien vengée. »

« Putain, il est tout gluant, ton cul ; c’est trop booonnnn… »

 

J’ai vaguement entendu ces phrases et j’ai senti, à la force de son bassin, qu’il se vidait à son tour en moi. Il s’est retiré et j’ai senti mon cul rester ouvert et les semences mélangées s’écouler doucement contre ma cuisse. Il est parti se doucher, me croyant certainement endormie.

À son retour, sans ouvrir les yeux, j’ai murmuré :

 

— Tu t’es lavé, mais moi je suis à nouveau sale. Alors nettoie-moi.

 

Je m’attendais à ce qu’il aille chercher une serviette ou quelque chose ; mais non, il s’est docilement agenouillé sur le lit pour lécher mon sexe et mon cul tout ouvert, et m’a complètement nettoyée, allant jusqu’à aspirer mon cul et ma chatte… Ce que je trouvais profondément dégoûtant, mais aussi parfaitement excitant… Il m’a laissée dormir, et je ne me suis réveillée qu’en fin d’après-midi…

 

Au réveil, un tourbillon de sentiments contradictoires tournait dans ma tête. J’étais en pleine confusion, n’osant même pas sortir de la chambre et affronter son regard. Je suis sortie à pas de loup, espérant même que Thierry soit parti faire un tour…

Aucun bruit dans l’appartement. Je me dirige vers les toilettes et, passant devant le bureau, j’entends un léger bruit. J’entrouvre la porte tout doucement et… le vois se masturber devant son ordinateur.

Monsieur se masturbe de la main gauche, se servant de la main droite pour passer de vidéo en vidéo, ne restant jamais longtemps sur la même.

Je ne vois pas son sexe mais je peux savoir exactement quelle scène lui plaît plus ou moins, car la cadence de son bras est variable en fonction de chaque moment.

D’où je suis, je vois parfaitement les images à l’écran. Je reste hypnotisée. Des femmes sont prises d’assaut par des hommes bien, voire très bien membrés. Et systématiquement, un acteur fait office de mari et regarde la scène.

    Je n’ose pas bouger et je suis curieuse de voir sur quoi il cliquera pour les prochaines scènes.  

Une femme qui jouit de son amant devant son mari attaché… Le bras de Thierry ralentit.

Une femme à quatre pattes qui embrasse son mari pendant que l’amant la baise en levrette… Légère accélération.

Une femme qui se fait prendre à côté de son mari endormi… Accélération. Un amant qui inonde la chatte de la femme devant son mari : forte accélération. La femme se place au-dessus de la bouche de son homme et laisse couler la semence de sa chatte rougie : accélération.

Une femme se fait prendre à la chaîne devant son mari : ralentissement.

Une femme demande à son mari de lui lécher la chatte pendant que son amant fait des va-et-vient dedans : accélération.

Un amant crache sur le mari qui porte une ceinture de chasteté : branlette quasi stoppée.

Un mari qui suce la bite de l’amant chaque fois qu’elle sort de la chatte de sa femme : accélération.

 

Cela doit faire une demi-heure que je regarde toutes ces horreurs, mais qui ne me dégoûtent plus, vu la soirée passée. J’ai une terrible envie d’uriner mais je me retiens. Je suis curieuse de voir la suite.

Finalement, il lance une compilation où les scènes s’enchaînent très vite. Je reste interloquée devant le thème de la compilation : chaque scène présente un mari qui lèche la semence de l’amant sortant de la chatte ou de l’anus de sa femme ; de l’amant, ou même des amants…

Thierry se cale au fond du dossier de son fauteuil et je comprends qu’il compte « conclure ». Sachant qu’après chaque éjaculation il a un moment où toute libido le quitte, je m’approche de lui, place mes mains sur ses épaules et colle ma tête contre la sienne, l’empêchant de me regarder mais me permettant de lui murmurer des choses à l’oreille. Il n’ose pas bouger et je le sens gêné que les vidéos continuent à défiler à l’écran. Il ne se masturbe plus.

Ma main droite s’approche de son sexe et je le prends délicatement.

Je lui fais une branlette très, très lente et lui murmure à l’oreille :

  — Alors, c’est ça qui te plaît ? Lécher ma chatte et mon cul pleins de foutre ?

— Mmmmmm.

  Il n’ose pas répondre, et se contente d’un petit « oui » marmonné. Je m’en contenterai !  

  — Tu aimes que je me fasse baiser par d’autres ? Ça te plaît d’être cocu ?    

  Je sens bien à sa bite que tout ça ne lui déplaît pas.  

  — Tu veux que je me fasse baiser par d’autres ?

— Mmm…

— Dis-le, je veux l’entendre.

— Oui… Ça me plaît…

— Quoi donc ? Dis-le !

— Que tu te fasses baiser par d’autres…

— Tu voudrais être présent ?

— Je sais pas. Je sais pas si je pourrais. Tu pourrais, toi ?

— Je t’ai vu te branler devant des maris qui suçaient l’amant…

— Mmm…

— Tu sais, moi qui n’aime pas sucer, tu me rendrais un fier service si tu t’occupais de ça !

— Mmm… Quoi ?

— Arrête : j’ai bien vu ce qui t’excitait. De toute façon, notre vie sexuelle était morte. Soit on arrête tout, soit on essaie cette nouvelle direction, non ?

— Cette nouvelle direction ? Me faire sucer tes amants pour qu’ils te baisent ?

— Oh oui, entre autres. Et me nettoyer après aussi.

 

À cette phrase, j’ai senti son sexe durcir un peu plus… Je décidai d’accélérer la branlette.

  — Tu me lécheras avant, pendant, après, et tu t’occuperas de ce que je ne veux pas faire ; d’accord ?    

— Mmm…

  Je décidai de le laisser à la limite de l’explosion pour lui faire dire clairement ce que je souhaitais.  

  — Alors, dis-le-moi, si c’est ce que tu veux !    

  N’y tenant plus, il se mit à me dire :  

  — Oui, je veux te servir et servir ton plaisir. Je ferai ce que tu veux : je te lécherai quand tu veux, avant, pendant, après ; je ferai tout ce que tu veux… Tu m’excites trooooooooooopp…    

  Les jets de sperme ont maculé son tee-shirt et ma main.  

J’ai approché ma main de sa bouche ; et sans que je le lui demande, il a commencé à lécher.

  — C’est bien, mon chéri ; on va bien s’amuser maintenant. Tu aurais dû me dire plus tôt que tu avais ce genre de fantasme. Mes règles sont simples : pas de changement dans notre vie quotidienne ; et en dehors des moments sexe, on ne parle pas de tout ça. Par contre, dans le sexe, je décide tout, et tu exécutes. Si tu me trompes ne serait-ce qu’une fois, je te quitte. Et moi par contre, je te garantis que je vais rattraper les occasions perdues de cette vie et de toutes mes vies antérieures. Je te laisse, je vais aux toilettes. Si tu es d’accord, rejoins-moi au salon comme si de rien n’était.    

  Je suis partie, le laissant essoufflé et pensif.  

Après m’être soulagée, je suis retournée au salon, craignant que l’éjaculation ne lui ait trop refroidi sa libido. Il est arrivé, mal à l’aise, et m’a dit :

    — Je peux demander une règle ?    

  Je ne savais quoi répondre, et tout cela était bien trop nouveau pour que je sache ce qu’il avait en tête. J’en étais presque à me dire que tout était fini… Comme je ne répondais pas, il a continué :  

  — Si tu baises sans que je sois là, je veux que tu me racontes tout…    

  J’ai éclaté de rire en disant :  

  — C’est tout ? Mon chéri, c’est une nouvelle vie qui commence !  

  cocu et parfaitement heureux ! 

Voir tout le texte, auteur Julie2     http://revebebe.free.fr/histoires/rvb161/reve16105.html


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  à la recherche de preuves  Il a longtemps essayé de se justifier, me jetant qu’il a fait ça à cause de moi… j’ai découvert qu’il consultait quotidiennement des sites pornographiques homos et bisex

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Par JULIE - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 21 mars 2 21 /03 /Mars 16:27

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Image associéeune certaine inconscience de toute une vie ....Image associéequand l'évéil arrive enfin ....il est rop tard, la vie est passée et lui il es reste tout con d'avoir été floué  

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Noodles sous l'effet de la fumée d'opium

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Noodles est devenu un authentique "mort vivant"

 

 

Par claudio - Publié dans : TABOUS & MYSTERES -ANGOISSES, - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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