Jeudi 23 mars 4 23 /03 /Mars 08:51

 

laisse-moi voir, j'emporte ta photo

ce n'est en aucun cas de la brutalité plutôt une communion dans l'action !

tendresses musclées

 

parce qu'il le vaut bien !  


tant d'affection tranquille derrière ce gay regard

 

du muscle mais pas que...

un symbole...

Prélude à un petit film en épisodes :

qui sera le passif ?...

celui qui se penche et qui suce avec affection ?...

on le voit maintenant...

doué, ça l'actif est doté et doué !

le type qui a fait ces gifs est plein de talent...

aux limites, comme on fait tous ! ...

on a tort de penser qu'une éjac c'est seulement dans la bouche ou dans le cul 

y arriver ensemble c'est une immense joie passe une bonne journée !

 

on se douche ensemble ? (pour plus de joie !)

 

 


Par DUNEBOYJR - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 23 mars 4 23 /03 /Mars 08:19

au moins eux ils assument....pas comme les petites bouches de curés pédos

 

 

 

Vidéo enregistrée en 2010 à l'occasion du 75e anniversaire de la Chorale de l'ULB
© Jean Corbreun 2010.

 


1. Nous sommes les moines de Saint-Bernardin (bis)
Qui nous couchons tard et nous levons matin (bis)
Pour aller à matines, vider quelques flacons
Voilà c' qu'est bon et bon et bon !

Et voilà la vie, voilà la vie, la vie chérie ah! ah!
Et voilà la vie que les moines font.

2. Pour notre déjeuner du bon chocolat (bis)
Et du bon café que l'on nomme moka (bis)
Et la tarte sucrée et les marrons d' Lyon
Voilà c' qu'est bon, et bon et bon !

3. Pour notre dîner de bons petits oiseaux (bis)
Que l'on nomme caille bécasse ou perdreau (bis)
Et la fine andouillette et la tranch' de jambon
Voilà c' qu'est bon et bon et bon !

moines

32 chansons à boire,éd.Grimaud

digue

L'illustration est extraite de
Chansons Cochonnes
Chansons estudiantines traditionnelles
adaptées en bandes dessinées par L-M
CARPENTIER - MALIK - JIDÉHEM - KOX
couleurs LAURENT album 48 pages
cartonné couleur format 22-29cm
 


4. Pour notre coucher dans un lit aux draps blancs (bis)
Une belle nonne de quinze à seize ans (bis)
A la taille bien faite et aux appas bien ronds
Voilà c' qu'est bon et bon et bon !

5. La nuit tous ensemble nous nous enculons (bis)
Jusqu'au jour ensemble nous buvons buvons (bis)
Après dessous la table nous roulons et dormons
Voilà c' qu'est bon et bon et bon !

6. Si c'est là la vie que les moines font (bis)
Je me ferai moine avec ma Jeanneton (bis)
Et couché sur l'herbette j' lui chatouill'rai l' bouton
Voilà c' qu'est bon et bon et bon !


Rappelons tout d'abord que Saint Bernardin, fête de tous les moines lubriques, est fêté le 20 mai.


On trouve la chanson qui ne comporte que la partie gastronomique mais avec plus de précision dans les Chansons nationales et populaires de France publié en 1846 par Du Mersan. En voici le texte intégral:

1. Nous sommes des moines
De saint Bernardin,
Qui se couchent tard
Et se lèvent matin,
Pour aller à matines
Vider leur flacon,


Et bon, bon, bon,
Et v'la qu'est bon,
Et bon, bon, bon,
Ah! voilà la vie, la vie suivie,
Ah! volà la vie que les moines font.

2. A notre déjeuner,
Du bon chocolat
Et du bon café,
Que l'on nomme moka,
La fine andouillette,
La tranche de jambon,

3. A notre dîner,
Un bon chapon gras
Qui trempe la soupe
Comme au mardi gras,
Lapins de garenne
Sentant la venaison,

4. A notre goûter,
Des petits oiseaux
Que l'on nomme cailles,
Bécasses et perdreaux,
La tarte sucrée,
Les marrons de Lyon,

pf

La chanson est devenue un grand classique de la chanson paillarde et a notamment fait l'objet, avant la 2e guerre mondiale, de plusieurs enregistrements: en 1931: par Stello du célèbre cabaret parisien "Le lapin à Gill" (devenu par la suite "Le lapin agile") et, en 1936, par l'orchestre de Ray Ventura et ses collégiens.

Dans l'Anthologie hospitalière et latinesque de 1911, nous trouvons le texte suivant qui est plutôt centré sur la vie "sociale" de ces joyeux moines:

Voila qui est bon, bon, bon, (bis)
Et voila la vie, la vie, la vie.
Et voila la vie que les moines font.

 

1. Nous sommes les moines de Saint-Bernardin,
Nous nous couchons tard et nous levons matin,
Pour aller à matines boire un verre de Mâcon.

2. Nous couchons la nuit dans des draps bien blancs,
Avec des fillettes de quinze à seize ans,
Bien dodues des fesses, bien fermes des têtons.

3. La nuit tous ensemble nous nous enculons,
Jusqu'au jour ensemble nous buvons, buvons,
Puis après sous la table nous roulons et dormons.

4. Si telle est la vie que les moines font
Je me ferai moine avec Jeanneton,
Puis, couché sur l'herbett', j' lui chatouill'rai l'bouton(1)
(1) variante: Puis, couché sur l'herbett', lui patinerai le con.

 


 

Par baumedestbernard - Publié dans : LA CHANCE AUX CHANSONS PROMO PASCAL SEVRAN - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 23 mars 4 23 /03 /Mars 07:40

attends j'arrive !

 

 

1932 on n'imaginait pas un gay s'exprimer aussi clairement

Je me sens, dans tes bras, si petite
Si petite, auprès de toi
Que tu peux, quand mon cœur bat trop vite
Le briser entre tes doigts
Quand tu vois qu'une peine m'agite
Tu me berces, doucement
Je me fais, dans tes bras, si petite
Si petite, ô mon amant

Je suis venue un beau jour, dans ta vie
Tout simplement
Et tu fis naître en mon âme ravie
L'enchantement
Ce que tu veux, je le fais, sans contrainte
Sans murmurer
Car je ne puis, toujours, sous ton étreinte
Que t'adorer !

J'ai beau savoir, mon trésor, que tu m'aimes
De tout ton cœur
Il est des soirs où je doute quand même
Où j'ai bien peur
Je crains toujours qu'un autre amour t'emporte
Et sans tarder
Je me dis tout bas: “Serai-je assez forte
Pour te garder ?”

_________________________________________

  Robert Jysor auteur compositeur interprète de ces années-là

 

– Chéri, voilà minuit qui sonne
Il est temps de te reposer !
– Encor un instant, ma mignonnette
Mon tableau n’est pas terminé
Je veux t’offrir une toilette
Et je n’ai pas beaucoup d’argent
Mais elle, s’approchant coquette
Lui dit : J’n’en demande pas tant

Prends-moi dans tes bras
Parle-moi tout bas
J’suis heureuse
Amoureuse
Tout mon cœur est à toi, rien qu’à toi
Laisse-moi te chérir
C’est tout mon plaisir
Je me donne
J’m’abandonne
J’suis à toi devrais-je en mourir…

– Écoute, je vais t’faire de la peine
Mais quand un homme est arrivé
Le passé devient une gêne
Il va falloir nous séparer !
– Chéri, je me f’rai si petite
Que personne ne m’apercevra
Mais tu m’taquines, rassure-moi vite
Pourrait-on s’quitter comme ça ?

Prends-moi dans tes bras
Parle-moi tout bas
J’suis heureuse
Amoureuse
Tout mon cœur est à toi, rien qu’à toi
Tu peux m’faire souffrir
Si ça t’fait plaisir
Je me donne
J’m’abandonne
J’suis à toi devrais-je en mourir…

Toc ! toc ! mais qui frappe à cette heure ?
– C’est toi, que viens-tu faire ici ?
Tu voulais savoir si je pleure
Sois heureux, tu as réussi…
– Pardon, j’ai fait une folie
J’ai cru aux honneurs, à l’argent
Mon bonheur, c’était toi, ma mie
Elle lui répondit simplement :

– Prends-moi dans tes bras
Tout comme autrefois
J’suis heureuse
Amoureuse
Tout mon cœur est à toi, rien qu’à toi
Tu m’as fait souffrir
Ça t’a fait plaisir
J’te pardonne
J’m’abandonne
Car sans toi, j’aimerais mieux mourir…

_____________________________________________________________________________________

commentaire :  "de la douceur, de la poésie...et, quand tout va bien, ça finit toujours par  (à peu près) une bite dans un cul!"(SKEPTIK')  

Par MAMAN - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 23 mars 4 23 /03 /Mars 07:16

on en bave !

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Brrr il fait froid ! On rentre, tu veux ?-lol-

 

 

 

 

 

 

Par GAY CHAMP' - Publié dans : RELAIS - ZAPPINGS- PARTAGES photo expo - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 23 mars 4 23 /03 /Mars 06:37

papa merveilleux champion de Body-Buildinggrâce à son fiston assez fusionnel somme toute !

Résultat de recherche d'images pour "mighty body builder"

 

"— Je t'aime, mon Papa... je t'aime si fort. Tu es le plus beau, le plus fort des Papas... Oh Papa, serre-moi fort, prends-moi, garde-moi dans tes bras... toujours !

— Pierrot...

— Papa...

Puis, aux petites heures du matin, alors qu'aucun d'eux n'avaient encore trouvé le sommeil tant ils étaient tous deux avides, affamés l'un de l'autre, de leur corps, de leur tendresse d'homme et de garçon, le ton changea. Incidemment et contre toute attente, ce fut Pierrot qui en donna le signal.

— Quand même, Papa... sans ce sale con de Marc et sa grognasse... sans eux... !

— Pierrot !

— Tu crois qu'il la bourre, comme tu as dit, en ce moment, Papa...?

— Pierrot... !! C'est... c'est un vocabulaire pour ta brute de père, çà,... pas pour mon doux, mon merveilleux, fiston, mon Pierrot, mon petit ange... ou bien... est-ce que...

Les yeux de Pierrot, sous ses paupières mi-closes, avaient changé, eux aussi.

— ... par hasard...

La main du garçon, lentement, sensuellement, caressait son bas-ventre, s'insinuait entre ses cuisses.

— ... mon doux, mon merveilleux petit ange...

La tête renversée en arrière, il se cambrait à présent.

— ... mon Pierrot, mon petit Pierrot serait aussi...

Finalement, comme d'elles-mêmes, comme par instinct, les cuisses du garçon s'ouvrirent.

— ... une petite salope qui a envie, aussi, de...

— Baise-moi, Papa... ! Bourre-moi comme la grognasse de ce sale con de Marc qui veut toujours te sucer la queue dans les chiottes de la salle de gym... !

Alors, il n'y eut plus de "virilité", plus de "sexe", plus de "membre viril". Pierre Formambre n'eut plus entre ses cuisses énormes qu'une bite dressée, raide à en être douloureuse, qui bavait de mouille au-dessus d'une paire de couilles de taureau, une queue cherchant un trou, un orifice où vider le contenu bouillant de ces couilles.

Alors, il n'y eut plus "d'anus", plus de "jeune garçon vierge"... Il n'y eut plus qu'une petite salope chaude dont la chatte humide de garçon que les doigts de son père ouvraient déjà, cherchait à se faire fourrer, remplir, mouiller. Un petit trou serré qui se languissait du mâle, d'un mâle bien particulier, son père, son Papa.

Et la bête s'éveilla tout à fait en chacun d'eux.

— Tu la veux ? Tu la veux, mon Pierrot... ma petite salope à son Papa...

— Mets-la moi, Papa... mets-la moi toute... bien profond ! Baise-moi bien...

Tant parce que Pierrot était entièrement vierge que parce que son père était monstrueusement monté, la pénétration fut difficile, douloureuse même pour le garçon, au début. Mais bientôt, grâce à la patience et le savoir-faire instinctif, animal de l'homme et le désir désespéré que le garçon avait d'être enfin possédé par son propre père, allongé sur le dos, les reins cambrés, la taille maintenue fermement par son baiseur, les cuisses largement ouvertes, le garçon accueillit magnifiquement son père en lui, recevant tout l'énormité de son membre au plus profond de lui.

— Aahh... Papa... c'est... c'est énorme... t'es énorme... !!

— Tu... tu m'as souvent traité de brute, mon Pierrot, mon fiston... Je vais te faire voir ce que c'est que... que de se faire baiser par une brute... !

Pierre Formambre, au bord de l'extase, réalisait soudain qu'il n'avait engendré son fils que pour le baiser, que c'était ce vers quoi il avait tendu depuis la naissance du petit garçon, ce qu'il avait toujours désiré... cette forme parfaite, entière d'amour paternel... l'aboutissement de tout son être, la finalité de sa tendresse, de son affection pour l'enfant... une forme de désir et d'amour à nulle autre comparable... quelque chose de merveilleux que seuls son Pierrot et lui pourraient jamais connaître et s'offrir l'un à l'autre. L'inceste du père et du fils apparu soudain aux yeux de Pierre Formambre comme la forme la plus extraordinaire, la plus entière d'amour. La même bite qui avait conçu le petit Pierrot, un jour, le baisait aujourd'hui. Le foutre qui l'avait fait allait bientôt inonder sa chatte de garçon.

— Tu me sens...? Tu sens bien ton père, mon Pierrot...? Tu sens comme ton Papa t'aime fort...?

— Papa... oh Papa... !!

Alors qu'il se sentait tout près de venir en son fils, Pierre Formambre cessa de lutter contre les pensées interdites, perverses qui l'habitaient. Il les accepta, les accueillit en sa conscience et, soudain, il voulut les partager avec l'objet de son amour, de son désir.

— Pierrot, mon Pierrot... mon amour... !

— Papa... !

— Je ... je voudrais tant... te féconder de mon foutre... je voudrais t'engrosser... ! Mon Pierrot, je sais bien que... mais je voudrais tant te faire un petit... que tu portes un petit de moi... un petit qui serait à la fois ton fils, notre fils ... et aussi ton frère... tout uni en un... !

— Papa... je le voudrais tant aussi... un petit de toi... ! Nous ne le pouvons pas mais... vois : je suis ton fils et aussi ton amant... tout uni en un, aussi... !

— Pierrot... je... je...

— Oui, Papa... fais-moi tien... complètement, entièrement... !

— Pierrot, mon Pierrot... donne-toi... sois à moi... Pierrot ! Pierrot !!

— Je suis à toi, Papa... mon Papa... Viens, viens en moi...!


Alors, enfin, ils furent unis, aussi unis que deux amants peuvent l'être, aussi unis qu'un père et son fils peuvent l'être, aussi unis qu'ils l'avaient toujours désiré tous deux."


Par @nonyme Sur une idée originale de Mister Marvelous Joker !

__________________________________________________________________________________________________

INCEST=>(on en comprend toujours mal les motivations) UN FILS pour son père et un PERE pour son fils, tous deux volontairement incestueux (peut-être sommes nous éclairés  par cette scène si bien décrite ?)

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LIRE TOUTE LA NOUVELLE / http://www.gai-eros.org/w/index.php/Champion

commentaire : "aucune nécessité d'illustrer une si merveilleuse nouvelle, l'auteur est un artiste"(claudio)

"Rien de plus répulsif pour moi que toucher à ce qu'on voit comme la chair de sa char"  (Itzack)

Par Mister Marvelous Joker - Publié dans : L'ART DE /erotic music ciné danse peintur litter.. - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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