Vendredi 13 janvier
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Bonne bourre avec tes godes devant ton écran !
des jeunes (18+ matent le blog !!!)
Je vais me déssaper au vestiaire.
Il y a quelques hommes dans la quarantaine qui me matent.
J'ôte lentement ma chemise, découvrant mon torse bardé de muscles puissants.
Je descends lentement mon jogg laissant apparaitre mes fesse globuleuses ciselées et fermes sous leurs regards plein d'envie.
Je me retourne et ils voient ma grosse queue molle qui pend jusqu'à mi-cuisses, veineuse à souhait.
Mes couilles lourdes pendent délicieusement.
Ils ne peuvent plus enlever leurs yeux de mon corps.
Ils en ont tous envie ces salopards de Pd.
Je mets une serviette autour de ma taille fine et je vais me trouver une cabine.
Je croise quelques beaux garçons musclés qui me sourient, complices.
Je trouve une cabine vide, j'ôte mon linge et je m'étends.
J'ai tout mon matos dans ma main.
Des gants, de la crème, du poppers.
J'ai envie, une terrible envie.
Je m'allonge, j'écarte les cuisses laissant voir mon trou du cul.
J'ai envie de me faire fister.
Je regarde les mecs qui passent, ils me regardent, mais c'est moi qui choisi qui je veux.
Y en a même un qui me dit :
- Je peux t'embrasser ? Je dis -oui ! Je tends la joue mais c'est pas là qu'il veut...
ce monsieur dépose sur mon anus brûlant et offert, un tendre baiser.
En arrive un autre, genre voyou, brun, musclé et imberbe.
Il doit faire dans les 180 cm et près de 100 kg de muscles, ses pecs sont énormes, ses abdos carrelés. Il a des biceps géants.
Par contre je vois qu'il a des mains parfaites,assez petites, pour mon cul.
Je lui fais signe d'entrer.
Il me caresse, je lui suce le sexe. Il a une queue raide de près de 20 cm très dure et qui mouille beaucoup. Des couilles pleines.
Il me masse le torse et se met à me sucer la pine. Je me relève un peu et je dis :
-j'ai envie de ta main dans mon cul.
Il dit :
-j'ai jamais fait ça
Je dis :
-pas grave mec tu y vas doucement et tu verras c'est bon.
Je lui tends un gant.
Il enlève une bague et enfile le gant.
Je lui tends la crème, il comprend tout de suite, il s'enduit la main gantée de la crème.
Je m'installe.
Il présente sa main devant mon trou du cul Je snif du poppers à mort.
Il en prend aussi pour se donner du courage.
Je sens ses doigts serrés entrer dans mon anus qui s'ouvre, aspirant l'objet de son désir. Il pousse, je pousse aussi comme si je voulais
chier.
Ca entre ; il a passé ses doigts et maintenant il doit les mettre repliés dans la paume de sa main.
Je prends du poppers encore une fois.
La porte est ouverte et trois mecs regardent.
J'aime être vu quand je me fais humilier comme ça.
Il pousse sa main. Elle entre, elle est dedans, je grogne.
Il doit sentir mon intérieur chaud, mou et humide, il joue à l'intérieur de moi. Je suis bien. On dirait qu'il a toujours fait ça.
Il commence doucement un va et vient.
Un mec s'est glissé dans la cabine et me roule une pelle bien baveuse en me triturant les tétons.
Je me sens salope. Je sniffe du poppers, je sens le mec qui pousse encore, il a son avant bras presque entièrement dans mon anus dilaté, je pousse
pour mieux le recevoir, je lâche un pet ( ben au point où on en est on p pas être plus intimes).
Le mec se baisse et lèche mon sexe en me fourrant toujours sa main au fond du cul. J'aime avoir une main dans le cul, des fois, chez moi, je me fous
ma propre main dans le cul.
J'aime ça.
Il sort sa main et il la remet dedans, humm c'est bon j'en peux plus. Sous l'effet du poppers et du shoot que ça fait un fist comme ca, je sens que
j'ai plus ma tête, comme si j'avais trop fumé : selon ce que je sens, il me masse l'estomac, me pince les poumons et tout à coup... Je
sens sa main qui se trouve dans ma gorge, elle sort par ma bouche. Il m'a traversé entièrement ! fou, non ? La descente de ce shoot sera lente et laborieuse.
Son bras est en moi jusqu'à l'épaule. Ils sont là les voyeurs plus que jamais mais ma vue est trop floue, vaguement je les sens me toucher, comme
s'ils voulaient, en me caressant, capter mes sensations.
J'ai envie de plus, je le voudrais entièrement en moi. Je voudrais l'avoir en moi, ne faire qu'un. Sa main sort par ma bouche. C'est trop bon. A ce
moment là un garçon entre dans la cabine et dit
-j'aimerai aussi mettre ma main dans le cul de cette salope.
L'autre se retire, je me sens vide. Le nouveau garçon m'empale, il ouvre et ferme sa main dans mes tripailles chaudes.
Je suffoque de joie. Et soudain, il se retire de mon trou du cul et tout le monde s'en va.
Je me retrouve comme un con, le cul ouvert comme pas possible. Je reste là une demi heure et un type entre, il me demande : ça va ?
Non ça va pas. Le sevrage a été trop brutal.
- tu veux que je te prenne ? toujours shooté je ois qu'il a une grosse queue. Je murmure - oui...
Il a eu ma permission de juter en moi.
Les mecs qui se sont penchés dans la cabine se sont penchés tour à tout sans comprendre...je suis resté plus d'une heure comme ça !
J'aurais bien fait un pote de mon fisteur doué disparu...dommage
Bien sûr, après ...
ça revient plus ou moins à la normale...
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