Dimanche 21 mai 7 21 /05 /Mai 23:39

amendes, on pourra payer avec son téléphone ? -lol-

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streetpress :

"Ikael, 16 ans, raconte comment son passage au commissariat du Raincy (93) a tourné au cauchemar : passage à tabac, insultes… avec 3 jours d’ITT à la clé. C’est la seconde bavure au sein de ce commissariat, que rapporte StreetVox cette année.

Je m’appelle Ikael, j’ai 16 ans, j’habite le quartier Beno à Villemomble (93). Le lundi 8 mai, je suis sorti pour aller voir un ami vers 14h. Arrivé en bas de chez lui, rue de la Grande rue, je tombe sur deux connaissances du lycée. Je me pose avec eux pour l’attendre. Mon pote, c’est le genre de mec qui te fait toujours galérer quand tu viens le chercher.

Cette fois encore, il a tardé à descendre. Au bout de trente minutes, je m’ennuyais, et comme les deux gars c’est pas vraiment des potes, j’ai commencé à griffonner sur le mur « Moogli », mon surnom. Le tag faisait la taille d’un portable pas plus.

On nous embarque pour un petit graffiti

La ville de Villemomble est placée sous télésurveillance. Il y a une caméra juste au-dessus de là où on était. Une voiture de la police nationale s’est arrêtée à notre niveau. Les policiers sont descendus et nous ont fouillés. Je pensais que c’était un simple contrôle, mais non. Une seconde voiture de la police nationale est arrivée. Ils nous ont embarqués au commissariat du Raincy.

« Bande de batards » a lâché le conducteur en voyant le tag, posé à côté d’un « Nike la BAC ».

 

J’ai compris que c’était à cause du graff qu’on nous embarquait.

C’est au commissariat que le cauchemar a commencé.

« Tiens y’a Lolo »

 

Le policier qui était en train de se garer venait de voir un collègue dans sa voiture personnelle. Je me retourne pour regarder. L’un des policiers avec moi à l’arrière me met une grosse gifle de cowboy :

« Pourquoi tu regardes sa plaque ? »

 

Le policier pensait que je cherchais à identifier la plaque d’immatriculation de son collègue. Pas du tout ! J’ai tourné la tête de manière presque automatique. Je m’en foutais de sa plaque.

Lolo, un flic de la BAC connu pour être violent, me passe à tabac

On nous a fait descendre de la voiture et on est entrés dans le commissariat. On nous a fouillés une seconde fois. Détail important pour la suite de ce qui va se passer, une caméra filme en direction de l’endroit, où l’on nous fouille pour la seconde fois. Elle était juste en face de moi ; je la fixais, comme si je pressentais ce qui allait se passer.

Ce fameux Lolo est connu dans la ville et notamment dans un des quartiers de la ville, la cité de la Sablière, où il a l’habitude de tabasser les jeunes. Le frère d’un de mes potes s’est même battu avec lui pour défendre son petit frère.

Pendant que l’on attendait, assis sur un banc à l’entrée du commissariat, le fameux Lolo est arrivé, imposant, grand, le crâne rasé, un petit bouc au menton. Il s’est tout de suite dirigé vers moi et m’a collé une baffe devant mes amis.

« Alors comme ça tu regardes ma plaque ?! »

 

Ses collègues lui ont raconté que j’aurais essayé de mémoriser sa plaque. Une pluie de baffes s’abat alors sur moi. Tout ça devant mes potes et les autres policiers. Et surtout la caméra qui filmait toute la scène. Donc il doit y avoir une trace forcément :

« Allez, je t’emmène en salle de fouille, viens avec moi ! »

 

Lolo m’embarque et demande à un de ses collègues de fermer la fenêtre de la salle qui donne sur le couloir. J’étais là dans cette petite pièce, à l’abri des regards de témoins, à la merci de ce flic. Une fois qu’il a fermé la porte, il s’est tourné vers moi et j’ai compris ce qui allait m’arriver. Je me suis fait éclater la tête, comme jamais.

On m’a entendu crier de douleur dans tout le commissariat

Mes potes, assis sur le banc du commissariat, m’ont entendu pousser des cris de douleurs. C’est vous dire la violence de ce que j’ai subi durant de longues minutes. Combien de temps ça a duré ? Aucune idée. Une éternité pour moi. Des baffes et encore des baffes. Interminables. Sur la joue, sur les oreilles. Puis, il m’a saisit par la gorge et m’a monté en l’air. Je suffoquais jusqu’à ne plus pouvoir respirer. Je me sentais partir, alors je me suis appuyé sur le mur avec mes pieds pour diminuer la pression de ses mains sur ma gorge. J’ai réussi à retrouvé mon souffle.

Au moment où je retrouvais mes esprits, il m’a jeté par terre. Ma tête et mon ventre ont réceptionné ses énormes coups de pieds qu’il m’a envoyés sans aucunes retenues. Je me suis fait laminer.

Une fois qu’il a terminé, il m’a sorti et assis sur le banc à côté de mes potes. Comme si ce n’était pas assez, il m’a encore mis des baffes pleines de haine, en hurlant :

« Tu vas être ma pute de Beno (le quartier où j’habite) ! Pendant tes 24h de GAV, tu vas être ma pute ! »

 

J’ai jamais fumé, ni bu, ni vendu de drogue. Et je ne savais pas ce qu’il voulait que je balance. Je suis loin de ces histoires. Certes j’aime pas l’école, c’est pas mon truc. Mais ça s’arrête là. Je ne suis pas un voyou.

J’avais peur. J’étais sous le choc. Et surtout j’avais vraiment mal aux tympans, à cause de ses baffes. Mon objectif était de sortir vite de ce commissariat et m’éloigner de ce flic. Mais c’était loin d’être fini pour moi.

On me colle 20 g de cannabis sur le dos

On nous a emmenés pour être auditionnés par l’officier de police judiciaire (OPJ). Pendant que les autres étaient entendus, un des policiers qui nous a interpellés est venu me voir avec un sachet. Dedans, il y avait 20 g de cannabis.

« Tu connais ça, hein ?! »

 

Le policier faisait balancer le sachet devant mes yeux. J’ai pas cherché à lui répondre.

Quand c’était mon tour, je n’ai pas fait mention de ce qui venait de m’arriver.

« A qui il est ce shit ? », me demande l’officier.
« Votre collègue vous a dit qu’il était à moi et là vous me demandez à qui il est ? »

 

Je me retrouve face à cet officier pour détention de produit stupéfiant et pour avoir gribouillé mon surnom sur un mur. L’un des deux « amis » leur a dit que c’était moi.

Je voulais en finir au plus vite. J’ai à peine cherché à me défendre.

« C’est à toi. On t’a vu le jeter ! », me répond l’officier
« Vous m’avez arrêté pour avoir tagué sur le mur à la base et maintenant vous dites m’avoir vu jeter le shit ? »

 

À partir de là, j’ai été placé en garde à vue. Il était 17h55.
On m’a emmené voir un médecin. Comme avec l’OPJ, je n’ai rien dit au sujet des violences. J’avais peur qu’il balance aux flics que j’avais parlé. C’était une erreur. J’avais peur.

Pour ne pas inquiéter ma mère, mon pote lui a envoyé un sms pour lui dire que j’allais dormir chez lui ce soir là. Le lendemain, quand ils m’ont relâché, j’ai appelé ma soeur, majeure, pour venir me chercher. Malgré tout, ma mère est tombée sur ma convocation au tribunal. J’ai dû tout lui raconter.

J’attends donc de comparaître le 20 juin 2017, devant le tribunal de Bobigny. Je flippe, là. J’ai jamais eu affaire à la justice et je me retrouve dans un véritable bourbier.

 

Le commissariat du Raincy encore impliqué dans des bavures


En janvier, StreetVox rapportait le témoignage de Maxen « J’ai 16 ans, je me suis fait tabasser par la police, alors que je n’avais rien fait », qui racontait les insultes et son passage à tabac par la BAC, au Raincy. Un récit, à base de coups et d’injures, à rapprocher de celui d’Ikael, que nous publions aujourd’hui : la description physique de l’agent de la BAC auteur des coups et des insultes, laisse également penser qu’il s’agit du même officier de police.

En plus de publier aujourd’hui le témoignage d’Ikael, StreetVox a pu consulter ses certificats médicaux avec les ITT, ainsi que plusieurs éléments du dossier. Nous avons également pu recouper son témoignage auprès de différents témoins. Ikael a effectué un signalement à l’IGPN et devait déposer plainte ce jour auprès du procureur de la République. Le commissaire du Raincy, joint par téléphone, n’a pas souhaité répondre aux questions précises que nous souhaitions lui poser.

  Propos recueillis pour StreetPress par Aladine Zaïane        

  Résultat de recherche d'images pour "le tag mowgli"  Baloo protège le  Mowgli de Kipling

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 Mais ce n'est pas la BAC :

JT 20H - En patrouille avec la brigade anti-incivilités de Paris

 

Mégots de cigarette, déchets ou déjections canines,  la brigade anti-incivilités, elle,  ne rate rien. Les agents patrouillent dans les rues de Paris afin de rappeler à l’ordre les individus qui prennent la voie publique pour une poubelle. Et pour les prendre la main dans le sac, ils se déplacent parfois même en civil afin de mieux se fondre dans la masse. 

 -   " Lolo, un flic de la BAC connu pour être violent, me passe à tabac "

« Moogli »tabassé par «Lolo-Baloo» dans la jungle de Béno ,Tandis que le gouvernement envisage des amendes pour les incivilités élémentaires, bavures en série au commissariat


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Par STREETPRESS - Publié dans : MEDITATION & REFLEXIONS "Tempus Fugit" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 21 mai 7 21 /05 /Mai 21:52

  Erik Rémès : amour, littérature et fist fucking  

     

        « La sexualité est liée aux maladies vénériennes. La sexualité c’est la mort. Tu ne vas pas dire à un jeune de 20 ans “tu es irresponsable parce que tu ne mets pas de capote”. On ne peut pas faire l’amour correctement avec une capote, c’est une supercherie ! »

Histoires de baise sans capote

       7 Décembre 2015

Erik Rémès : amour, littérature et fist fucking    Résultat de recherche d'images pour "gay porn man on his bed wanking" 

Erik Rémès publie 21e SEX, un roman qui mêle cul et idées. L’écrivain est un habitué des controverses pour ses récits de sexe sans capote. Lui jure faire de la prévention… à sa manière.

Emission Paris Dernière, 1999 - Dans la chaleur sèche d’un sauna gay, on distingue des dizaines de paires de fesses recouvertes de mousse. Puis un homme seul sous la douche, complètement nu. La vie en rose fait office de bande son. « J’aime bien les saunas, tout le monde est à poil, c’est convivial », lance Erik Rémès tout en se rinçant.

StreetPress le retrouve dans un café de Daumesnil. L’ancien journaliste, remarqué pour ses livres trash sur le sexe et la communauté gay se souvient de la séquence :

« Mon pari c’était de montrer mon cul pour ma première télé. J’ai réussi. »

 

Un léger sourire traverse son visage rond et barbu. A la rentrée, il a sorti 21e SEX, une autofiction trash. « Les trucs gentillets à la 50 shades of grey, ça ne m’intéresse pas », tranche t-il.

Journal d’un barebacker

Clip Erik Rémès dans l’émission Paris Dernière

Au début des années 2000, Erik Rémès a fait plusieurs apparitions télés dans les shows de Taddeï et Ardisson. Chacun de ses passages provoque invectives violentes et mines ébahies des autres invités. Il faut dire que les bouquins du grand bonhomme en doudoune bleue North Face ne font pas dans la dentelle. Dans son livre « Serial Fucker, journal d’un barebacker », il évoque le bareback : la baise sans capote, même pour les séropositifs, et ce quitte à transmettre le VIH au partenaire. Extrait :

« Pour plomber [=contaminer] quelqu’un, c’est également très simple. Il suffit d’un peu de doigté (…). On retire discrètement la capote pendant la baise. On fait semblant de la mettre. Des plombeurs crèvent préalablement les capotes avec une aiguille, etc. »

 

10 ans plus tard, Rémès ne regrette rien. Cavalier, il se définit même comme un « lanceur d’alerte », comme si ses conseils pour plomber un partenaire faisaient office de prévention :

« C’est clair qu’avec mes prises de position, je suis tricard. Pour moi, l’éthique du respect de l’autre est foutue. Donc forcément on fait peur aux gens. Ca remet en cause toute la morale établie. »

 

De quoi mettre en colère les assoc’ de lutte contre le Sida. Face à Erik Rémès à la télévision le journaliste et militant Didier Lestrade dénonce un double discours dangereux.

De Montpellier aux backrooms du Marais

Le romancier de 51 ans a passé son enfance sur le départ. Fils d’un commissaire des Renseignements Généraux, il est baladé de la Guadeloupe au Tchad en passant par le Niger. C’est à Montpellier, dans des lieux de drague gays, qu’il fait ses premières expériences sexuelles. Très jeune, à 13 ans, il se dit attiré par des adultes. Eux sont surpris de voir un ado trainé dans ces coins sombres. « Ça leur passait vite » se rappelle Rémès qui décrit des expériences « un peu dans la douleur, dans la souffrance ».

A cet âge, il est aussi sorti avec des filles « pour être normal ». En faisant de longues pauses entre ses phrases, il rembobine la bande de cette époque, les réactions violentes de sa mère :

« Ça ne se passait pas très bien avec elle. Il y avait des insultes, des crises, des gifles. Moi je m’enfermais dans ma chambre. Je prenais un rôle de rebelle. »

 

Une maîtrise de philo et de psycho plus tard, Erik Rémès débarque à Paris à 25 piges. Il veut « vivre sa sexualité au grand jour ».

Tatouage, piercing et sidas

L’émission Paris Dernière continue. Erik Rémès est passé à l’étage fitness. Une serviette bleue entoure sa taille. Taddei balance : « J’ai l’impression que la trajectoire du gay dans les années 90, c’est tatouage, piercing … et sida pour les plus malchanceux ». Un brin caricatural ? « Ce n’est pas moi qui suis caricatural, c’est la vie », rétorque Erik Rèmès sans broncher. L’écrivain est séropositif depuis 28 ans. Il dit que ça ne le touche pas vraiment dans son quotidien. Il prend un cachet par jour : une trithérapie. Il doit aussi se soumettre à 2 contrôles médicaux par an. A l’écouter, c’est presque une fatalité :

« La sexualité est liée aux maladies vénériennes. La sexualité c’est la mort. Tu ne vas pas dire à un jeune de 20 ans “tu es irresponsable parce que tu ne mets pas de capote”. On ne peut pas faire l’amour correctement avec une capote, c’est une supercherie ! »

 

Love story

Dans son dernier roman, 21e SEX, l’auteur raconte une histoire d’amour hyper sexuelle, entrecoupée de passages qui se rapprochent plus de l’essai que de la fiction. Un bouquin qu’il classe lui-même dans la littérature « fist fucking » :

« C’est un peu comme un fil Facebook, il y a tous les registres. C’est ce qui plaît aux gens aujourd’hui »

 

Erik Rémès 1 « Avec Internet, tu peux avoir 10 grammes pour 10 euros. » / Crédits : Matthieu Bidan

 

Le fist, les backrooms, la drogue, tout y passe dans un flot soutenu de baise hardcore et d’interrogation sur le couple. Parmi les sujets égrenés, une scène avec un slameur, ces gays qui s’injectent en intraveineuse des produits destinés à booster leur performance sexuelle. Il écrit :

« Les slameurs sont parfois enfermés dans leur tête (…) les voir faire n’est pas toujours des plus excitant : ils tentent tant bien que mal de trouver une veine pour se piquer, s’y reprennent à plusieurs reprises, ont les bras défoncés. Parfois ça pisse le sang, les aiguilles se tordent… Glamour. »

 

Dans son style, Rémès décrit la contamination de la sphère sexuelle par la drogue.

« Dans les années 90, c’était l’ecstasy pour le clubbing. Aujourd’hui, il y a un rapport entre la sexualité extrême comme le fist et la prise de drogue, ça devient plus facile. Et avec Internet, tu peux avoir 10 grammes pour 10 euros. »

 

« Il faut assumer ses paradoxes »

Sur certains termes, l’écrivain qui doit frôler le mètre 90, a tendance à baisser la voix, sans doute conscient qu’ils pourraient choquer nos voisins de terrasse. Rémès évoque aussi le mariage pour tous dans son bouquin. Lui s’est marié il y a deux ans, dès que la loi est passée. Pourtant, il n’était pas favorable à cette réforme.

« Au niveau politique, j’étais contre à cause de l’embourgeoisement des PD. »

 

Il répète souvent « PD » pour parler des homosexuels. « Je reprend l’insulte à mon compte pour en faire une force », éclaire t-il. A tel point qu’il se présente souvent en hétérophobe convaincu dans ses interviews. Cette fois, surprise, il tombe le masque.

« C’est une posture que je prends. L’hétérophobie, c’est une bêtise. »

 

Pas à un paradoxe près. Mais il n’en à pas grand-chose à faire. « Il faut tous qu’on assume nos paradoxes », dit-il pour se dédouaner. S’il est une chose sur laquelle il ne tergiverse pas, c’est le sexe. « Ca occupe une place phénoménale dans ma vie », admet-il. A tel point que la psy qui le suit a instauré un petit jeu avec lui :

« Pendant une séance, elle m’a dit : ‘on va faire un ni oui ni non, mais avec le sexe’. Je n’ai plus le droit d’évoquer la question avec elle. Il faut croire que j’en parlais beaucoup. »

Le 21ème sex      Paru le 1 juin 2016 Roman (broché)

  Présentation de la Fnac :   Le 21e SEX est un roman porno-philosophique, un ouvrage politique qui tache bien les draps, parce qu'à travers la sexualité, et notamment une homosexualité dépravée, toxicomane et juteuse, ce sont tous les rapports de pouvoir qui se mettent en branle dans nos sociétés dépressives et anxiogènes, sur le déclin. Le 21e SEX est tout à la fois un roman gay, une histoire d'amour passionnelle et poétique sur fond de drogues et d'orgies, ainsi qu'un pamphlet sur l'homosexualité et la place qu'elle tient dans la société. Ce récit est écrit sur les marges, pour déconstruire les normes, lutter contre l'hétérocentrisme. Le 21e SEX reste avant tout un roman cru, brut et décomplexé dont le but est de s'en prendre plein le derrière. Encore un livre qu'on va lire d'une main, oui, mais pas seulement. Érik Rémès, écrivain et sexologue, né en 1964, ancien journaliste à Libération, Nova Mag et Gai Pied, est titulaire de maîtrises en psychologie et en philosophie. Il a publié dix ouvrages dont "Je bande donc je suis", "Serial fucker", "journal d'un barebackeur" et le "Guide du sexe gay"  0 noter que le tirage est épuisé chez l'éditeur.

Par ERIK REMES - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 21 mai 7 21 /05 /Mai 21:50

  moi je listerais les programmes et je comparerais plutôt que de me laisser aller à imaginer qu'ils soient, l'un ou l'autre, ou les deux tentés par les hommes...-lol-

 

Admiré dans le monde entier pour ses épais cheveux ondulés, sa politique libérale, et son charme enfantin"46 ans, le premier ministre canadien Justin Trudeau pourrait bien être le favori de tout le monde. Mais il vient peut-être de se voir opposer un concurrent. 
    Dimanche dernier, 39 ans, Emmanuel Macron a prété serment comme président de la France, ce qui fait de lui le plus jeune officiellement chef d'Etat français depuis Napoléon. Comme Trudeau, il est si mignon et libéral avec un sourire adorable et jawline frappant.

Honnêtement, nous ne sommes pas sûrs qui nous excite le plus, donc nous avons besoin de votre aide.

S'il vous plaît aidez-nous à décider qui est le plus mignon en examinant les photos et participant à notre sondage ci-dessous ...(fake)
 
 
 
       

Emmanuel?

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    Emmanuel?  Or Justin?

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 président français Emmanuel Macron ou caadien Justin Trudeau     
Par QUEERTY - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 21 mai 7 21 /05 /Mai 08:14

 

Baise gay en champs non minés. Nous voyageons a la découverte de l'aventure, de nouvelles expériences, de nouveaux paysages et de nouveaux amis.

Dans un climat  solide et généreux, découvrons un Sahara authentique loin des clichés touristiques , des situations réelles, une nouvelle génération d'Arabes pleins de sève, complètement libérés et sans complexes, qui embrassent, sucent, lèchent sans limites leurs amants Européens. Tous les lieux, sont propices à la fougue de leur jeunesse explosive ou de leur "vieillesse" libidineuse .

Laissez vous séduire par le charme érotique de ces princes dont la séduction est l'art ancestral des mille et une nuits, romantisme et tendresse rythment des pénétrations perverses et spectaculaires. Une escalade dans le partage du plaisir.Les photos ci-après sont de Jean-Daniel Cadinot( film Princes Pervers)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cadinot

 

 

 

 

 

 

 


  sodo-mi~>Baise gay en gandurah et champs non minés. Tous Nomades, Dieu ! le nb de queues qui nous ont pénétrés et l'inverse ! Voyage, découverte de l'aventure, nouvelles expériences & nouveaux amis

 


commentaires :

Par INGMAAR - Publié dans : RELAIS - ZAPPINGS- PARTAGES photo expo - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 21 mai 7 21 /05 /Mai 07:08

  Parmi mes nouveaux amis fervents pratiquants de la sodomie depuis plusieurs années, il y a Omar. C’est un Ingénieur âgé d’un peu plus que trente cinq ans et qui travaille dans une compagnie de pétrole en plein Sahara. 

 

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Parmi mes nouveaux amis fervents pratiquant la sodomie depuis plusieurs années, il y a Omar. C’est un Ingénieur âgé d’un peu plus que trente cinq ans et qui travaille dans une compagnie de pétrole en plein Sahara. Il fait quatre semaines sur les champs de pétrole et vit dans une base de vie, une sorte de camp saharien où ne résident que des hommes, cadres et ouvriers. Puis il passe la cinquième semaine, en congé chez lui, en ville, pour se reposer. Il pratique ce cycle depuis, maintenant plusieurs années.

On a beaucoup discuté sur nos expériences de sodomie et réalisé quelques séances communes avec des amants communs en petit groupe de plaisir. Un jour, en confidences, il m’a raconté comment il a été initié. Il devait avoir un peu plus de dix huit ans et il était en deuxième année d’études d’ingénieur dans un Institut d’hydrocarbures dans la capitale. Et l’école décida de l’envoyer, durant les vacances de pâques, en stage pratique dans un de ses champs de pétrole au Sahara.

Et c’est ainsi qu’il débarqua un jour dans un camp saharien, en plein désert. Il devait faire un rapport précis sur la description et le fonctionnement des unités et des puits, il sera suivi et aidé par un cadre du champ et son travail sera noté au niveau de l’école, après le stage. On lui a donné une chambrette dans un chalet et il était pris totalement en charge, transports sur sites, restauration et même un petit présalaire.

 Résultat de recherche d'images pour "very old smiling slim arab man"Le chalet ou il logeait était entretenu par un homme très âgé et tout gris, nommé Toumi et qui travaille au Sahara depuis toujours. Tout décharné, mais vigoureux et très sympathique, il rendait service à tous les locataires du chalet et très vite, Omar s’est lié d’amitié avec lui. Chaque fin d’après midi, au retour de son travail, après un bon nettoyage dans les douches, Omar venait s’asseoir avec Toumi devant le chalet pour discuter longuement et sur tout.

   

Le troisième jour, leur rencontre s’est transformée en longues soirées dans la chambre de Toumi qui possédait un poste radio diffusant de la musique arabe. Le climat étant très chaud et étouffant, Omar a dû s’habituer à de nouveaux habits. Au travail, il avait une chemise et un large short kaki et un large chapeau de toile.

Mais le soir, Omar a dû se débarrasser de sa tenue jogging et la remplacer par une large tunique, une gandourah saharienne, sous laquelle il pouvait être totalement nu, sans problème. C’est le vieux Toumi qui lui a prêté une gandourah car lui-même en avait une de couleur bleu et sous laquelle il était, lui aussi, totalement nu.

Le vieux Toumi, comme beaucoup d’hommes du camp, pratiquait la masturbation pour se soulager de sa tension sexuelle. Mais, parait-il, d’après Toumi, dans l’autre camp des ouvriers, il y avait un gars, hélas assez âgé, qui offrait sa terma (son cul) aux ouvriers, moyennant quelques billets mais qui n’intéressait pas Toumi qui préférait se branler dans sa chambre. Il a donc conseillé à Omar de faire de même sans honte puisque tout le monde le fait, parfois entre hommes, sans se gêner.

Suivant les conseils de son ami, cette nuit là, Omar s’est donc masturbé dans sa chambre. Le lendemain soir, Omar a avoué à Toumi qu’il s’était soulagé la veille car dans ce camp isolé et ce climat lourd, il avait été très excité pendant toute la journée. Ils en ont rigolé, puis l’étudiant a avoué que même ce soir, il était aussi excité et avait envie de se masturber.

Après cet aveu, assez innocent, du jeune Omar, Toumi a été sensiblement ébranlé. Déjà que depuis le premier jour, il se sentait attiré par le jeune homme, par cette chair juvénile, alors les paroles d’Omar l’ont un peu excité. Il a donc observé plus attentivement son jeune ami et ce qu’il a vu l’a complètement affolé sexuellement.

En effet, la gandourah d’Omar, sans qu’il se rende compte semble t-il, se collait souvent sur le derrière du jeune homme et le profil de ses fesses se dessinait à faire bander, ce qui arriva au vieux Toumi. Quant Omar se déplaçait dans la chambre, on voyait ses fesses qui bougeaient et se dandiner nettement, un tableau érotique qui finit par affoler le vieux Toumi.

De plus, cette gandourah provocatrice s’infiltrait parfois dans le sillon entre les fesses du jeune homme, et le zob de Toumi, totalement conquis, pointait en chapiteau sous sa vielle gandourah. Il s’est posé la question si Omar le faisait exprès ou s’il était vraiment innocent. Préférant cette hypothèse, Toumi décida de draguer et de niquer coûte que coûte son jeune ami. Alors, il passa à l’action.

Mettant un peu de musique arabe de sa radio dans une ambiance intime, Toumi souleva prestement sa gandourah et sortit son long sexe pour commencer à se branler devant Omar. Comme il était assez excité par les fesses du jeune homme, sa queue était assez gonflée. Omar, d’abord surpris ouvrit de grands yeux mais comme Toumi lui souriait tout en activant son zob, il se calma assez vite et rendit le sourire à son ami.

Puis, observant avec insistance ce tableau érotique, il commença à s’exciter sexuellement, d’autant plus que Toumi se branlait en émettant des ah rauques et des soupirs bruyants de jouissance qui ajoutèrent à l’excitation du jeune homme. Toumi, trop échauffé depuis le début éjacula assez rapidement au bout d’une dizaine de minutes, puis, soulagé, il conseilla, fermement à Omar d’en faire autant, sans hésiter, puisqu’on etait entre hommes.

Omar était totalement sous le charme de cette branle bruyante, excitante, affolante et son sexe se réveillait tout seul sous sa gandourah. Observant, malgré lui et pour la première fois de sa vie, un homme, un adulte dans la force de l’âge, se branler le zob avec ardeur, puis une éjaculation puissante de plusieurs jets de sperme, le jeune homme était au top de l’excitation et son fond sexuel se réveilla brusquement.

Alors, Omar, dont la bite était déjà partiellement gonflée, souleva sa gandourah et écartant largement ses cuisses, commença à se masturber devant son ami Toumi. Ce dernier, devinant que le jeune homme était maintenant tombé dans son piège, lui conseilla d’y aller avec plus d’énergie. Omar, tout en se masturbant, était encore en observation fixe sur la queue de Toumi et semblait presque hypnotisé car ce zob d’homme restait encore assez gonflé malgré son éjaculation.

Toumi décida d’amplifier le stress sexuel de son ami, alors, brusquement il empoigna lui même la queue de Omar et commença à la branler avec force. Puis, poussant l’audace à l’extrême, il prodigua à cette bite juvénile quelques lècheries avec ses lèvres et des succions avec la bouche. Omar, totalement conquis abandonna son corps à son ami. Il se laissa faire et se coucha de tout son long, le dos sur le lit et les cuisses largement écartées.

La queue d’Omar était tellement bandée qu’elle lui faisait presque mal et il criait de joie et de plaisir. Et Toumi s’activa si bien que rapidement, Omar éjacula presque sans se rendre compte et il hurla de jouissance. Son sperme remplissait les mains et la bouche de Toumi qui a préféré ne pas s’écarter pour goûter cette jeune sève.

Cette première expérience, de masturbation par un homme, a presque étourdi le jeune Omar qui restait étendu presque nu sur le lit. Toumi lui nettoya gentiment le sexe et lui prodigua, en douceur et en catimini, quelques caresses avec les mains et les lèvres, sur ses belles cuisses blanches et charnues. Toumi laissa même ses mains se faufiler et glisser un peu vers les hanches d’Omar qui restait couché, sans force.

Comme les jambes d’Omar étaient largement écartées, Toumi ne put s’empêcher de pousser ses mains un peu plus loin, sous les cuisses et le périnée du jeune homme, se faufilant vers les fesses et cherchant à atteindre, si possible le sillon et l’anus. Il aida Omar à se tourner sur le coté et le jeune se laissa faire encore sous le charme de son éjaculation.

Ainsi, positionné, le derrière d’Omar était à portée de Toumi qui le flatta, le caressa et glissant ses doigts dans le sillon des fesses, il les frotta légèrement, doucement. Il posa plusieurs doux baisers sur les hanches d’Omar et, écartant les fesses avec ses doigts, il glissa sa langue dans le sillon et goûta la douceur de cette peau juvénile pendant plusieurs minutes. Omar, enfin semblait revenir à lui, alors Toumi s’écarta pour ne pas le brusquer. Il n’avait pas l’entière certitude qu’Omar l’avait laissé faire consciemment, mais il était sûr que le corps de son ami avait répondu positivement à ses avances sexuelles.

Toumi complimenta Omar sur sa belle queue, jeune et douce et sur la puissance de son éjaculation. Il le flatta en lui affirmant qu’il avait un beau corps d’athlète alors que lui, il était tout décharné. Omar était content des remarques de son ami et restait presque nu sur le lit. Alors, Toumi, toujours dans son offensive sexuelle, et soit disant pour montrer son corps décharné, il se débarrassa de sa gandourah pour apparaitre tout nu devant Omar. Comme celui-ci restait, encore une fois, sans réaction et sans bouger, c’est Toumi qui décida de forcer la situation. Il empoigna gentiment le jeune homme et lui ôta totalement sa gandourah Ainsi, apparu le corps juvénile et imberbe d’Omar devant les yeux affamés de Toumi.

Alors Toumi releva le jeune homme qui se laissait faire sans résister, puis il tourna autour de lui pour l’admirer par devant et par derrière. Il ne put s’empêcher de murmurer, à voix basse mais qu’Omar entendait parfaitement : « Ö mon zob ! que ce corps est beau, bien rempli et doux » (Ah ya zébi ! ch’7aal hadhal el’jism j’mil ! m’3ammar wa h’lou).

Et, et il se permit même de toucher la poitrine d’Omar puis ses jeunes cuisses dodues et enfin son dos, son derrière, ses fesses et en objectif final, ses hanches charnues, imberbes et dorées. Omar, dépassé, se laissait faire et souriait de contentement à son ami qui le flattait. Ces attouchements sur le corps du jeune homme ont affolé le sexe de Toumi qui bandait de nouveau et se gonflait à lui faire mal.

Il se retenait pour ne pas sauter sur son jeune ami pour le violer tellement ces hanches et ces fesses étaient diablement désirables. Le sexe de Toumi, excité commençait même à mouiller un peu et un léger filet de désir suintait déjà de son gland. Le tableau de ces deux corps nus et la tension sexuelle à son comble enveloppait la chambre d’une atmosphère érotique qui poussa Toumi à foncer.

Alors, sans plus tenir de la volonté d’Omar, Toumi poussa le jeune homme vers le lit, sur lequel il s’assit, puis, il invita avec douceur Omar à s’assoir sur ses cuisses nues. Tout de suite la queue de Touma se trouva en contact avec les chaudes fesses d’Omar. Ce dernier semblait comme paralysé. Pourtant, c’était la première fois qu’il était totalement nu devant un étranger et, plus grave encore, il était assis sur la queue de cet homme sorcier.

Omar sentait parfaitement la chaleur de ce zob d’homme sur ses fesses et le désir commençait à irradier totalement dans son corps. Non seulement sa propre queue bandait d’excitation mais une certaine chaleur irradiait aussi dans sa terma (son cul) qui le chatouillait de façon bizarre mais qu’il acceptait avec espoir que ça continue.

C’est une sensation très nouvelle et très agréable. Le vieux Toumi le tenait bien sur ses cuisses, entourait sa poitrine de ses mains et lui faisait aussi quelques caresses douces sur ses seins. La gentillesse et la sympathie de Toumi ont totalement désarmé le jeune étudiant qui s’abandonnait à ces sensations  jouissantes. Il savait qu’il aurait dû penser que tout ceci devait être interdit et que la suite sera peut être difficile, mais il était prisonnier de ce nouveau plaisir. Il rejetait la suite et ne pensait qu’à ces attouchements merveilleux dans sa terma et à ce désir qu’il commençait à aimer, désir qui irradiait tout son corps.

C’était une sorte de frémissement général et agréable qu’il souhaitait infini. Toumi lui murmura à l’oreille si cela lui plaisait et Omar approuva de la tête sans un mot. Pour s’assurer que son jeune ami goûtait vraiment la douceur de son zob sur ses fesses, Toumi lui demanda de bouger du derrière. Alors Omar, sans réfléchir et sans hésitation, commença à osciller pour frotter ses fesses sur la longue queue dure de Toumi qui se retenait d’éjaculer.

Comprenant que le poisson était totalement ferré, Toumi se dégagea pour aller chercher dans son armoire un tube contenant de la vaseline. Puis, il demanda à Omar de se retourner et de se mettre à genoux sur le lit, ce que fit le jeune homme sans hésiter quoique devinant, à peu près, ce qui allait se passer mais il en avait le désir profond et il se courba en écartant même ses cuisses. Il savait certainement ce que Toumi allait lui faire et il avait presque une hâte, qui lui faisait un peu honte, mais la passion avait pris possession de son jeune corps et de son esprit. Toumi ouvrit son tube de vaseline et, avec précaution et douceur, il enduisit le sillon des fesses d’Omar en frottant légèrement et en faisant glisser son doigt.

Omar ne bougeait pas car cet attouchement lui procurait encore du plaisir. Lorsque Toumi lui toucha l’anus et poussa son doigt vers l’intérieur, Omar eu un premier geste de crispation pour serrer son cul, mais Touma lui flatta les fesses et le sillon et lui murmura quelques gentillesses à l’oreille tout en glissant le doigt à travers l’anus, puis il s’arrêta. Grâce à cette lente lubrification et l’ouverture aisée de son anus, Omar se détendit un peu. Il se concentra sur ce doigt dans son cul et cette présence lui procura aussi un certain plaisir de domination. En effet, ce corps, ce doigt, dans son intérieur, était le signe de la possession de son corps, et plus exactement de son cul par un étranger.

Le vieux Toumi lui demanda doucement ses impressions et Omar lui avoua que cela lui plaisait beaucoup. D’ailleurs, il commença à bouger légèrement du derrière pour essayer de faire pénétrer ce doigt encore plus dans son cul. Toumi a compris que son entreprise était un succès total et il enfonça plus profondément son doigt dans le cul d’Omar en lui faisant quelques légers massages sur la peau interne du sphincter.

Omar, à ces attouchements commençait à souffler fort de plaisir. Il a accepté avec plaisir ce doigt qui commençait à lui donner des frissons de jouissance. Toumi commença, avec son doigt, des va et vient de plus en plus énergiques dans le cul du jeune homme qui poussait même, maintenant, des ah de plaisir. Après un bon moment de sodomie avec un doigt, Toumi décida de passer à une autre étape. Il ajouta de la vaseline puis poussa deux doigts dans l’anus d’Omar.
Toumi a bien calculé son nouveau geste car Omar n’a senti que peu de gène et les deux doigts pénétrèrent sans mal dans son cul et commencèrent à le sodomiser encore mieux qu’auparavant. Il accepta avec des ah encore plus haletants cette intrusion et son jeune anus, assez élastique, s’élargit avec facilité aux gestes de Toumi. Ce dernier tout en continuant ses va et vient écartait ses doigts pour élargir l’anus et l’expérience fut un succès total.

Alors, Toumi, mettant beaucoup de vaseline sur sa queue gonflée, pointa son gland à l’entrée de l’anus d’Omar. Puis, avec dextérité et adresse, il retira prestement ses deux doigts et plongea, à la place, le gland de son sexe. Son geste a été assez rapide ce qui lui permit de pénétrer tout de suite dans l’anus de Omar. Ce dernier, ayant eu     nécessairement ressenti ce passage en force s’est crispé en feulant de douleur. Mais Toumi le retint bien par les hanches puis se bloqua sans bouger.

Il expliqua doucement dans l’oreille d’Omar que c’était fini, que le zob était déjà à l’intérieur et que maintenant tout allait changer avec du plaisir. Restant sans bouger, Toumi ajouta à Omar que c’était comme lorsqu’il a eu sa circoncision, un peu de mal puis beaucoup de bien. Omar restait assez crispé mais comme le gland était déjà dans son sphincter, il n’avait plus mal et, en se concentrant sur cette image, il en fit un fantasme. Oui, c’était fini, il était déjà sodomisé, ouvert pour ce zob d’homme et d’autres peut être. Ces pensées le détendirent et il commença à goûter cette chair dans sa chair.

Le vieux Toumi avait senti la détente d' Omar, alors il poussa doucement son sexe vers l’intérieur du cul de son ami. Grâce à la vaseline, sur le zob et à l’intérieur de la terma, le gland écartait le sphincter d’Omar et le sexe de Toumi s’enfonça avec jouissance jusqu’au fond. Lorsque ses couilles touchèrent les fesses du jeune homme, Toumi poussa un grand soupir de satisfaction. Il avait réussi à dépuceler le jeune homme et maintenant il s’agissait de lui faire aimer la sodomie, la danse des zobs dans les Terma, les plaisirs sexuels entre hommes.

Il murmura à Omar que son cul était merveilleux, doux et étroit, ce qui serrait son zob et lui procurait beaucoup de plaisir. Omar était aussi très content et il décocha, au milieu de son souffle haletant, un doux rire de reconnaissance complice  à son ami qui l'avait dépucelé avec facilité et savoir-faire. Maintenant, il ressentait à fond la longue queue de Toumi dans ses entrailles et il comprit qu’il venait de passer à une toute nouvelle étape de sa vie sexuelle, de sa vie tout court. Il imaginait, certes très succinctement, cet avenir de plaisirs sexuels, de nouveaux amis spéciaux, d’hommes vigoureux, puissants avec des zobs merveilleux qui lui donneraient des jouissances et sa Terma devenait maintenant un centre important, vital, de sa vie.

Toumi, par des mouvements lents et quelques petites brusqueries, sodomisait son jeune ami doucement avec des glissades appuyées, dans les deux sens et surtout lorsqu’il s’enfonçait dans le cul d’Omar, ce qui amplifiait son excitation et faisait maintenant souffler de plaisir le jeune homme. Les deux amis baisaient à leur guise, sans se presser, en goûtant ces jouissances communes et leurs souffles rauques et leurs rires saccadés et parfois leurs cris de folie s’entrecroisaient sans qu’ils se rendent compte.

Enfin, hélas, rien n’est éternel et Toumi arriva à son top de plaisir. Ses va et vient vigoureux s’accélérèrent et Omar en redemandait encore plus, son cul était maintenant totalement ouvert et le zob glissait et heurtait son fond sans aucune retenue. Après une vingtaine ou trentaine ( personne ne comptait !), de va et vient, Omar réagissait à fond à la sodomie. Même son sexe bandait sans volonté de sa part, et sa Terma frémissait et mouillait de jouissance, alors il tendait son cul vers la queue qui le transperçait et tortillait du derrière pour bien la sentir au fond de ses entrailles.

Son souffle s’est accéléré et il murmurait des mots sans suite. Puis il implora Toumi de le défoncer encore plus, oh ! ce dernier n’avait pas attendu cet appel pour baiser à fond son jeune ami. Il tirait les hanches du jeune homme pour s’enfoncer plus profondément dans le cul et hurlait de jouissance. Enfin, ne pouvant plus retenir son plaisir, Toumi s’immobilisa et se crispa sur les hanches d’Omar et son zob se déclencha pour éjaculer une dizaine de jets d’un sperme puissant et chaud dans les fondements de son jeune amant ainsi "baptisé". Il libéra entièrement ses couilles de leur nectar laiteux, visqueux, âcre. Omar, dès le premier déclenchement dans ses entrailles poussa un hurlement de jouissance.

Sa Terma venait, pour la première fois, de recevoir cette semence d’un mâle comme une terre arrosée de liqueur céleste. Il reçut avec plaisir le message de sa Terma qui jouissait non seulement de ce long zob qui l’avait sailli, puis frotté de l’intérieur, chatouillé puis pilonné avec la vigueur d’un mâle en rut, mais aussi de cette semence puissante, chaude qui la remplissait totalement.

Omar se promit déjà de satisfaire sa Terma à toute occasion et de lui choisir des zobs à la mesure de ses désirs, de ses fantasmes. Il hurlait de jouissance sans retenue. Toumi, épuisé de ses efforts, de sa trop forte excitation pour ce jeune cul qu’il venait de dépuceler puis de satisfaire et de l’inonder de son nectar, resta quelques instants soudé sur le derrière d’Omar pour bien lui faire sentir et goûter la présence d’une queue d’homme dans son cul. Il fallait qu’Omar jouisse beaucoup et bien pour en redemander par la suite, et l’expérience fut un succès total pour les deux amants.

Cette initiation a été une réussite totale pour Omar et un cadeau formidable pour la queue de Toumi qui allait en jouir chaque soir pour tout le reste du séjour du jeune Ingénieur. Ainsi, chaque soir, dans la petite chambre du chalet, Omar offrait son cul à sodomiser, une et parfois plusieurs fois à son sympathique ami Toumi. Ce dernier lui apprit comment tortiller des fesses, comment aspirer et serrer la queue avec son cul, avec l’intérieur de son sphincter. Ensuite, il lui apprit à lécher et sucer correctement une queue jusqu'à la faire gonfler de désir et la faire juter. Enfin il lui fit aimer le goût du sperme chaud et visqueux de la même manière que sa Terma. Il lui apprit à nettoyer une queue et la sucer de manière à la faire bander de nouveau.

Ainsi, le séjour technique quotidien d’Omar a été totalement suivi, en parallèle, par un stage sexuel chaque soir grâce à Toumi. Au bout de plusieurs jours, Omar a eu l’impression que ses hanches se sont épanouies de plaisir, que le sillon de ses fesses s’est élargi et que son anus s’est ouvert encore plus. Et il a tellement aimé ces changements que, maintenant il adorait se caresser le derrière, les hanches et glisser ses doigts dans le sillon de ses fesses et même, faire pénétrer ses doigts dans son cul.

Il constata, effectivement, que son trou de cul, son anus, heureusement très élastique, s’ouvrait presque avec facilité, même avec deux doigts. Il s’habitua à se branlait le sphincter avec ses doigts et en tortillant du derrière. C’est devenu tout un monde nouveau, des attouchements nouveaux et agréables, des mouvements de plaisir personnel sur cette partie de son corps qu’il avait négligée auparavant.

 

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Par INGMAR - Publié dans : HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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