AMOURS & VIE DU BLOG

Dimanche 3 février 7 03 /02 /Fév 08:24

YASMINE GRASSER Ce fichier a été publié le Lundi 28 janvier 2013 à 11:46 

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Yasmine Grasser, psychanalyste, membre de l'Ecole de la Cause Freudienne  ECF

"Depuis Freud, on sait un peu mieux que la notion même de sexualité est une aberration. Sauf à invoquer le nom de Dieu, jamais personne ne pourra la justifier. Alors de tous temps, les sociétés ont cherché à fixer le partage entre le licite et l’illicite, à encadrer les pratiques sexuelles en les inscrivant à la fois dans un cadre moral, religieux, légal. Aujourd’hui, ce cadre tendant à devenir scientifique du fait que la reproduction se disjoint de la conjugalité, le désarroi agite toutes les sociétés, aucune ne peut rester indifférente. De ce côté-ci de la Méditerranée, le « Mariage pour tous » place au cœur de ces enjeux sociaux l’homosexualité, puisqu’elle fait émerger la notion de couple de même sexe au cœur du mariage. Comment ce bouleversement se répercute-t-il d’un côté et l’autre côté de la Méditerranée, dans les communautés musulmanes ?

Deux remarques d’abord : Premièrement, la jouissance sexuelle pour un musulman est un don de Dieu, qui n’a aucun lien avec le péché originel ou l’impureté corporelle, et doit trouver son épanouissement dans le cadre du mariage d’un homme et d’une femme. Deuxièmement, l’activité sexuelle relève du registre de la sphère privée, elle ne doit pas être énoncée publiquement car l’homme ne doit de compte qu’à Dieu.

Il en résulte que les pratiques homosexuelles chez les jeunes hommes ont toujours été considérées comme transitoires, elles permettent de contourner l’interdit des relations sexuelles avec la femme avant le mariage. Lorsque le choix homosexuel est plus définitif, ces pratiques ne peuvent en aucun cas être corrélées à une identité de genre ni s’inscrire dans la sphère publique. Le Coran ne dit rien à ce propos selon les théologiens. En général, la société ferme les yeux sur un acte que la justice des hommes par le Code pénal criminalise, sanctionne dans la plupart des pays musulmans et parfois punit de mort.

Aujourd’hui, dans « l’après » des révolutions arabes qui ont largement libéralisé l’usage d’Internet, une communauté discrète de musulmans homosexuels a émergé et s’internationalise, fait rompre l’isolement mortel qui enferme.

La controverse est lancée dans la communauté musulmane par ceux qui ont osé s’arracher à la clandestinité. Plusieurs « quotidiens d’actualité » sur Internet relayent largement ces informations. Ainsi, en 2010, les deux seuls imams ouvertement gays, venus d’Amérique du Nord à Paris pour participer à une conférence internationale sur l’homosexualité, ont déclaré : « être homo et musulman est possible ». À la suite, au cours de l’année 2012, un imam a célébré un mariage gay dans la région parisienne – mariage qui s’est voulu œcuménique en réunissant des croyants des trois religions monothéistes, et avant-gardiste. Toujours en 2012, une femme imam s’est déplacée de la mosquée de Los Angeles à Paris et a marié deux femmes.

Le débat a été relevé par le recteur de la mosquée de Bordeaux, Tarek Oubrou, théologien musulman en France. Dans une interview de mai 2010, elle aussi largement diffusée, il disait : « le fait de considérer un homosexuel musulman comme un apostat est une hérésie… Il concluait : « je ne veux pas que les homosexuels de confession musulmane désespèrent de leur religion… Je ne veux pas que ma religion soit stigmatisée, cataloguée parmi les religions homophobes dans le sens où elle fait la chasse aux homosexuels ». Tarek Oubrou vient d’être élevé au grade de chevalier de la légion d’honneur.

Au Maroc en 2007, l’écrivain Abdellah Taïa révélant son homosexualité, a fait la couverture du magazine francophone Telquel : « homosexuel envers et contre tout ». Il écrit dans une lettre à sa mère : « Il y a une nécessité dans ce pays de ne plus vivre l’hypocrisie qui mine le Maroc… L’histoire des sociétés passe par des minorités qui forcent les sociétés à aller de l’avant. C’est ce que j’essaye de dire dans ma lettre. Le combat est plus large que la défense des homosexuels… »

En Algérie, une fatwa récente promue par le Ministère des affaires religieuses, issue de la jurisprudence sunnite et reconnue licite par une fatwa de l’Organisation de la Conférence islamique de 2006, autorise en Algérie le zwadj misyare ou « mariage du voyageur » (à ne pas confondre avec el moutâa, mariage de jouissance des années du terrorisme). Ce mariage, ignoré par bon nombre d’algériens, dissocie la relation conjugale de l’idée de famille et de procréation, rendant licites les relations entre hommes et femmes.

Au Liban, la directrice de publication d’une grande revue libanaise ayant pour objectif de donner la parole aux citoyens afin qu’ils parlent de leur sexualité, de leurs impasses et de leurs contradictions, reçoit régulièrement des menaces de mort. Il n’est guère probable que puisse y être posée la question du mariage des homosexuels.

Conclure alors avec un vœu : il se pourrait que toutes ces sociétés musulmanes en profonde mutation s’éveillent un beau matin de leurs rhétoriques traditionnelles, et alors… il se pourrait qu’un autre Robert Badinter, cet immense ami de la vie, musulman, obtienne la dépénalisation de l’homosexualité en terre musulmane…

 

Yasmine Grasser avec la collaboration de Fouzia Liget et Mohamed Baraké."

  Des atrocités contre les homosexuels en Irak. 

 

 

 Arabes et homosexuels. 

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Dimanche 3 février 7 03 /02 /Fév 08:19

 

L'union homosexuelle, 150 ans d'histoire

LE MONDE | 31.01.2013 à 16h37 • Mis à jour le 31.01.2013 à 17h07Par Régis Schlagdenhauffen


L'homosexualité serait provoquée par une interaction entre des facteurs génétiques et hormonaux dans l'embryon.
 

 

 

Sur France Culture, le 12 janvier, à propos du "mariage pour tous", face à la sociologue Irène Théry, Alain Finkielkraut a voulu faire parler les morts. Peut-onimaginer, a-t-il dit en substance, Walt Whitman, Verlaine ou Rimbaud, sacrifiant au mariage, cette institution bourgeoise ? Leur homosexualité était à la fois refus de l'hétéronormativité, rejet des conventions et des académismes. Instituer le couple homosexuel dans le code civil, lui donner une reconnaissance juridique et sociale, serait se moquer d'eux, les ridiculiser post mortem, pratiquer un crime contre l'art en tarissant une source majeure de l'inspiration poétique et littéraire. Loin de faireparler les morts, il faut au contraire faire parler l'histoire, pour replacer la question du "mariage pour tous" dans une généalogie qui lui restitue son ancienneté. C'est, en effet, dans le dernier tiers du XIXe siècle que des juristes ont nommé, pensé et théorisé le mariage des couples de même sexe.

C'est au juriste allemand Karl Heinrich Ulrichs (1825-1895) que l'on doit la première mention publique de l'ouverture du mariage aux personnes de même sexe. Cela eut lieu lors du 6e congrès des juristes allemands, le 29 août 1867. Selon lui, le mariage n'était qu'un versant parmi une somme de revendications plus vastes dont on retrouve le détail par le menu dans son ouvrage L'Enigme de l'amour entre hommes. En somme, il s'agissait d'assurer la reconnaissance des "uranistes" - les hommes qui aiment les hommes avant l'invention du terme homosexuel en 1869 -, de lutter contre leur discrimination et d'instituer l'égalité des droits. Conspué à la suite d'un discours trop en avance sur son temps, banni de la société des juristes, il fut voué à l'exil.

A sa suite, Eugène Wilhelm (1866-1951), juriste connu pour ses écrits avant-gardistes concernant les questions sexuelles (le droit à l'avortement et le droit pour les hermaphrodites de choisir leur sexe), formula une réflexion plus globale sur la question. Il nous est possible de retrouver la genèse de sa pensée dans laPsychopathia sexualis (Pocket, 1999), ouvrage de référence au milieu des débats qui ont participé à la mise en ordre du monde par une série de clivages entre le normal et le pathologique, l'hétérosexuel et l'homosexuel. Dans l'édition française de 1895, nous pouvons y lire cet aveu prémonitoire de Wilhelm : "S'il existait un mariage entre hommes, je crois que je ne reculerais pas devant une vie commune qui me paraîtrait impossible avec une femme (...). Je suis convaincu et certain que le préjugé disparaîtra et que, un jour, on reconnaîtra, à juste raison, le droit aux homosexuels de pratiquer sans entraves leur amour." Ce propos, à première vue naïf, est désajusté par rapport aux normes en vigueur à la fin du XIXesiècle. Premièrement, il met en son centre l'idée d'amour, à un moment où le mariage civil était affaire de transmission patrimoniale. Deuxièmement, parce qu'il ne fonde pas l'interdit sur une quelconque "nature" ou sur la religion, mais sur des préjugés.

Troisièmement, parce qu'Eugène Wilhelm reconfigure la question homosexuelle. Il s'interroge, à la manière des sociologues interactionnistes de la seconde moitié du XXe siècle, sur les effets de la stigmatisation des homosexuels considérés en tant que membres de la collectivité. Plus encore, et c'est sans doute à cet endroit qu'il est un précurseur, Wilhelm envisage la question à travers le prisme du lien social : l'engagement mutuel entre deux personnes et la reconnaissance de cet engagement par la société et par l'Etat.

L'idée du "mariage pour tous" peut donc se prévaloir d'une histoire que ses détracteurs s'emploient à gommer pour l'ériger en idée neuve. Elle trouve ses fondements dans la pensée de juristes bourgeois du XIXe siècle, plutôt conservateurs mais en avance sur leur temps.

Sociologue, chercheur à l'Institut

de recherche interdisciplinaire

sur les enjeux sociaux (IRIS), EHESS

Régis Schlagdenhauffen

 

 

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Vendredi 1 février 5 01 /02 /Fév 11:01

Têtu, qui que nous soyons est notre ami. Merci à lui.

nous nous efforçons de relayer l'actu gayà travers sa news letter.

Thomas est très beau à regarder, la sagesse vietnamienne qui transparaçit dans ses traits lui va à merveille, mais il faut aussi écouter ce qu'il dit 

 

Thomas, Mister Gay Janvier: «Je m'intéresse à tout!»

Par Mister gay samedi 26 janvier 2013, à 16h21 | 14967 vues
Plus de: Mister Gay

Ce mois-ci, c'est Thomas, le breton métis, que vous avez élu premier Mister Gay de l'année. Il ouvre le bal avec la traditionnelle interview du vainqueur, et même avec quelques photos inédites.

 

A plus de 400 voix du daddy pompier Marc-André, Thomas remporte incontestablement le titre de Mister Gay janvier. Fier de l'écharpe du 1er Mister Gay de l'année, l'eurasien se livre dans la traditionnelle interview du gagnant, et nous prouve qu'il n'est pas seulement qu'un physique. 

TÊTU.com: Tu peux en dire plus sur toi en quelques mots? Ce que tu fais dans la vie? 
Thomas: 
Je m'appelle Thomas, alias Tomi Garnier pour les intimes sur le net. Je suis originaire de Quimper où j'ai, hélas, hérité de bien des défauts bretons, compensés un chouilla par la sagesse vietnamienne qui coule dans mes veines... Je suis têtu, grande gueule, radin à la Bigouden et j'ai aussi un vrai coeur d'artichaut.  C'est ce qui m'a valu le droit de quitter ma famille dès 18 ans, mon bac en poche pour rejoindre mon premier grand amour et faire ma fac d'Histoire à Bourg-en-Bresse. Puis j'ai continué en fac de Biologie à Lyon. Un cursus scientifique que j'ai terminé en Bretagne en Master 1. Un retour aux sources de courte durée puisque je vis depuis quelques mois à Paris où je vais bientôt passer mes concours de la fonction publique afin d'entrer enfin dans la vie active que je suis impatient de vivre! Parole d'ancien étudiant chevronné! 


Ta liste de goûts était vraiment... éclectique. Tu peux en dire plus?
En effet je m'intéresse vraiment à tout. Je suis un passionné de géopolitique, des cultures britannique et coréenne dont je compte bien apprendre la langue d'ailleurs. Ensuite il y a les sports. Pour un breton, les sports nautiques, cela va de soi: canoë-kayak et aviron notamment. Côté musique, j'assume suivre Britney depuis le début mais j'aime beaucoup le côté réservé mais carrément sexy d'Alexandra Stan, ma compatriote celte Nolwenn Leroy, le talent de Peter Rauhofer, l'excentricité humoristique de Lady Gaga, le charisme d'Ayumi Hamasaki, le simplicité de Beatriz Luengo, 2NE1 (vive la K-Pop!) ... J'écoute vraiment de tout! Côté ciné, je suis très calé en films d'horreur et bonnes comédies à la française. Côté télé, plutôt adepte de bonnes vieilles séries US d'épouvante ou de science-fiction telles que Buffy et X-Files. Depuis peu, j'avoue avoir un faible pour les frères Winchester de Supernatural. J'aime la mode et les nouvelles technologies mais je suis aussi très curieux de  tout ce que l'homme fait de bien pour l'humanité: la conquête spatiale (petit je voulais devenir astronaute), les avancées de la médecine, de la préservation de l'écosystème ... 

Qu'est-ce qui t'a poussé à participer au concours Mister Gay?
A vrai dire je me tâtais depuis fort longtemps. J'adore la photographie et c'était l'occasion de l'exprimer plus officiellement et surtout professionnellement. J'adorerais percer là-dedans, faire de la pub... Un rêve de gosse quoi! Et dans ce domaine il y a trop peu d'eurasiens. Rebellons-nous!

Pour qui aurais-tu voté?
Je pense que j'aurai voté Geoffrey ou Marc-André. J'aime la simplicité de l'un, l'implication dans la société de l'autre.
 
Est-ce ton entourage sait que tu es gay? Comment cela s'est passé?
Oui tout le monde le sait depuis que je le sais moi même, c'est à dire à 17 ans. Mes parents ont eu du mal à l'accepter mais maintenant il n'y a plus aucun soucis. Ma mère est la première à s'intéresser à ma vie sentimentale. Quant aux amis, ils étaient les premiers à m'épauler et à le revendiquer. Ils adorent la culture gay, qu'ils soient hétéros, bi ou homos. Mon coming out s'est plutôt très passé.

Le fait de porter un titre de «Mister Gay», d'être sur le site de têtu, tu assumes? 
Ah oui et complètement! Je suis fier de porter les couleurs du mois de janvier pour un magazine tel que le vôtre, qui offre une telle visibilité à travers le monde de la culture gay francophone. Qui n'aimerait pas être le 1er mister gay de l'année 2013?

Et est-ce qu'il y a quelqu'un dans ta vie?
Hey oui, un beau trentenaire montpellierain qui m'aime et que j'aime. Une vraie perle rare qui a su s'intéresser à autre chose que mon physique et sur qui je peux compter 24/7, aussi bien dans bons et les mauvais moments. 

Quel est ton type de mec idéal?
On a tous un idéal, je n'échappe pas à la règle. Je suis friand du mec réfléchi, responsable et intellectuellement cultivé. Il faut bien compenser mon côté Bridget Jones un peu gauche et naïf! Physiquement, je n'ai pas de genre pré-établi ... Mais bon j'ai une subtile préférence pour les grands sveltes hispaniques aux yeux marrons je dois l'avouer! 

Tu as envie de faire passer un message à ceux qui ont voté pour toi?
Je tiens déjà à les remercier de tout coeur de leur soutien. Aux personnes qui me connaissent qui se sont vraiment mobilisées via les réseaux sociaux et aux personnes que je connais moins ou pas qui ont su se laisser séduire par le p'tit breton viet que je suis. Merci encore à vous tous !  

Les hispaniques sont ton choix ? qu'à cela ne tienne, nous on adore tous les mélanges ! 

Bonne suite, Thomas !  

 

 

 

 

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Mercredi 23 janvier 3 23 /01 /Jan 14:21

...mêler homosexualité et pédophilie...voire, en France, y mêler aussi la polygamie ! 

Moscou: des militants homos agressés lors d'un kiss-in contre l'homophobie Une vingtaine de personnes s'étaient aujourd'hui réunis devant la Douma pour protester contre l'examen d'un projet de loi fédérale homophobe. Ils ont aussitôt été passés à tabac.

Alors qu'ils menaient une action de protestation en s'embrassant devant la Douma pour dénoncer le prochain examen d'une loi jugée homophobe, des militants défenseurs des LGBT ont été agressés. Environ vingt personnes s’étaient en effet réunis pour s'embrasser devant la chambre basse du Parlement, dans le centre de Moscou, où ils ont aussitôt été attaqués par une quinzaine d'opposants qui les ont passés à tabac et ont jeté du ketchup et des œufs sur eux.

Les agresseurs n’ont pas hésité à rouer de coups des militants, jusqu'au sang pour certains (photo), et ont également frappé des journalistes qui couvraient l'action. Au moins cinq assaillants auraient été interpellés par la police, a déclaré sur Twitter Elena Kostioutchenko, l'une des organisatrices de l'action. Aucun homosexuel n'a, a contrario, été interpellé selon elle.

«Le jour des baisers»
Les militants tentaient de dénoncer l'examen d'un projet de loi fédérale qui punit les auteurs de tout «acte public» faisant la promotion tant de l'homosexualité que de la pédophilie auprès de mineurs.

Cette loi, qui prévoit des amendes allant jusqu'à 500.000 roubles (12.500 euros), est déjà entrée en vigueur dans plusieurs régions russes, notamment dans la deuxième ville de Russie, Saint-Pétersbourg. Si ce nouveau projet de loi était entériné, la mesure concernerait alors le pays entier.

Examen du texte reporté
«Ce régime illégitime veut rendre la communauté gay invisible. Cela ne marchera pas. Nous nous embrasserons quand nous voulons, où nous voulons, et avec qui nous voulons», ont indiqué sur Facebook les organisateurs de l'action. La Douma devait dès aujourd’hui examiner le projet de loi, mais cela a finalement été reporté, a rapporté l'agence de presse Ria Novosti.

Les militants LGBT sont très mal vus en Russie. L'homosexualité y était considérée comme un crime jusqu'en 1993, et comme une maladie mentale jusqu'en 1999, bien après la chute du régime soviétique en 1991. Depuis 2006, les tentatives de gay pride sont régulièrement interdites par les autorités et dispersées sans ménagement.

Photo: un militant passé à tabac aujourd'hui à Moscou/AFP.


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Mardi 22 janvier 2 22 /01 /Jan 14:34

Peut-être (???) nous les homosexuel(le)s sommes nous les plus et mieux avancés pour l'égalité et l'abolition de toutes les discriminations ?  Je voudrais répondre oui.

Naître au Monde aujourd'hui serait-il plus aisé et heureux qu'il y a seulement dix ans ? 

A cet instant plus pasteur des homosexuel(le)s que Président...

Obama mentionne «nos frères et sœurs homosexuels» à son investiture  

 

Regardez son discours (la mention à 14:25):

 

Regardez Beyoncé chanter l'hymne national:


Une personnalité ouvertement gay a pris la parole pour la première fois lors d'une telle cérémonie. Regardez le poète gay Richard Blanco lire un poème de sa composition, One Today:

Photo: capture d'écran.

 

 

 

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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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