Mercredi 31 mai 3 31 /05 /Mai 01:53

        Image associée  c'est l'histoire d'un mec qui a offert un canard vibrant à sa femme -lol-  Résultat de recherche d'images pour "ginger man's front & eyes" Tom ?  

Photo via popperking.com

       

 Écoutez, vous là, stupides putains de baiseurs de meufs !
Nous les bouffeurs de queues et de bave-de-la-bête, aujourd'hui on a obtenu des "avantages" à double tranchant, on les paie quelque part : les homosexuels peuvent maintenant servir dans l'armée
, adopter des enfants (dans de nombreux états) et se
marier (dans quelques endroits du monde). Mais cela signifie
aussi que les homosexuels peuvent maintenant mourir à la guerre au lieu d'être réformés ou planqués, s'occuper de mécontents et se faire ruiner par un connard  qui les a trompés avec une pute et veut maintenant un divorce et pense qu'il peut prendre la moitié de ton fric.    
Fuck it, qu'il aille se faire enculer !   un comble : il va aimer le con       
 Cela signifie également que certaines des choses merveilleuses qui ont été conservées dans les coins les plus sombres et les crevasses du monde homosexuel voient maintenant la lumière du jour et, comme les choses les plus incroyables que les gays ont innovée, inventées, les gens du monde hétéro les découvrent et les ruinent complètement sans savoir s'en servir !
           
Prenez les poppers, par exemple. Mon ami hétéro, Tom (le nom a été changé) m'a appelé l'autre nuit et m'a dit qu'il venait de les utiliser pour la première fois. - "Ca a été en raison de quelques secondes de folie", a-t-il déclaré. Sans surprise, il utilise mal le popper. Donc, pour tous les hétéros là-bas qui choisissent de se familiariser avec cette dope homosexuelle, voici un petit manuel d'utilisation afin que vous puissiez vous y adonner sans vous faire du mal ou, pire encore, paraître emprunté vis à vis des gais rompus à cet usage.-lol-
- Et d'abord, qu'est-ce qu'un popper?
  Les "Poppers" sont des produits à inhaler que les homosexuels adorent. Vous êtes probablement déjà au courant de ces deux choses.
Ouais. Alors, qu'y a-t-il dans les poppers ?
  Les poppers se composent de nitrites alkyliques variés, principalement du nitrite d'isopropyle et du nitrite d'isobutyle, mais dans le passé, lorsque les poppers ont été explorés pour la première fois par mes ancêtres homosexuels, ils étaient essentiellement faits de nitrite d'amyle. Mais personne ne se soucie de ce qu'il y a dedans ok ? car ce qu'ils en font, c'est le plus important n'est-ce pas ?
- Là tu as raison. Quel effet ont-ils sur moi ?

- La plupart du temps, tu commences par te sentir un peu étourdi et bizarre et hilare, avec une envie de rire à répétition. C'est un peu l'effet que fait la colle inhalée dans un sac en plastique, mais vous n'obtenez pas cette sensation de WHAA-WHAA-WHAA -lol-
             
qui est si fréquente avec la colle. Les poppers n'ont jamais provoqué de délire comportemental ! Ils vous font ressentir une forte chaleur intérieure partout, en particulier  au visage. Vous pourriez même rougir un peu. L'autre chose que vous remarquerez, quand vous les utilisez dans un contexte sexuel, vos orifices vous transmettent le désir impérieux d'être remplis tout de suite, ou ce sont vos diverses "annexes" (doigts, pénis) -lol- qui exigent d'être confinés dans les trous de quelqu'un d'autre. -lol-Ils ne vous rendent pas nécessairement nerveux,ils vous donnent envie de baiser c'est tout.              
- Mais...j'ai toujours envie de baiser !
- Evidemment ! qui n'a pas envie de baiser ? Mais ça vous donne, si fort, une exigence "folle" de baiser à l'instant même que vous n'avez pas habituellement.
-Mais c'est vraiment bon, utile pour baiser ?
 - Les poppers sont parfaits pour la baise. Pourquoi pensez-vous que les gays ont inventé ces choses-là? C'est parce qu'ils sont particulièrement géniaux pour se faire baiser.                  
Ce que vous ne vous percevrez pas, c'est que les poppers desserrent tous vos muscles involontaires, ce qui rend une gorge, un vagin ou un trou du cul accessibles et très faciles à remplir              
avec une quantité de "viande d'homme" comme un doigt, une langue, un pénis  (ou tout ce que vous voulez utiliser à la place pour combler les vides -lol-). Cela, combiné à un désir intense d'avoir toutes les "crevasses" de votre corps remplies, signifie que les poppers sont géniaux pour  faire bander et même faire "bander vos culs" si vous voyez ce que je veux dire !                  
-Donc si je lui fais respirer du popper,  c'est imparable si je veux persuader une fille de prendre ma queue dans le cul ?
- Alors là, sans doute NON ! ça c'est le travail des sextoys, c'est aux vibros et autres de donner envie à son cul, mais, une fois qu'elle a accepté ça facilitera considérablement les choses !                       
- Et quels sont les effets secondaires de l'usage des poppers ?
Il n'y en a pas, vraiment. Pas si vous êtes en bonne santé. Personnellement, ils me donnent vraiment le vertige et comme je ne veux pas le faire voir, ce qui n'est jamais un look mignon pour les gens qui vous voient, je fais semblant de rien, mais c'est facile ! Les poppers dilatent également vos vaisseaux sanguins, de sorte que ça peut rendre votre queue un peu moins dure, mais si vous vous faites prendre, vous n'y faites même pas attention . Il peut aussi y avoir un mal de tête, mais ce n'est généralement pas important.
- Je peux le prendre avec viagra ou cialis ou autre ?
En raison de la stupidité de certaines gens  et des poursuites judiciaires fréquentes pour"exercice illégal de la médecine", nous ne pouvons pas répondre directement à cette question. Nous dirons cependant que vous ne devriez ABSOLUMENT pas le faire avec Viagra. Puisqu'ils agissent tous deux sur votre tension artérielle, vous pourriez vous retrouver avec une crise cardiaque. Ca a été la première cause de décès lors des  partouzes gay les années passées.
Bon à savoir hein ?
- Où puis-je avoir des poppers? Mon revendeur?
   - Hé, attends l'hétéro !  Il suffit d'aller dans une librairie gay ou une boutique de porno ou quelque chose comme ça. Vous pouvez même les commander sur Amazon. Mais, tout comme vous n'allez pas dans un restaurant de fruits de mer pour un steak, assurez-vous d'aller dans un lieu gay pour obtenir vos poppers. Ils ont toujours les meilleurs modèles et la meilleure qualité.
Satisfait ?                      
- Mais c'est qu'il y a des genres, des sortes de poppers ?
   
- Ben oui.
- Quelle est la différence?
 -
Oh, pas énorme. Ils font essentiellement la même chose. Mais, tout comme il existe différents types de boissons ou d'alcools qui génèrent des choses légèrement différentes, il en va de même pour les poppers.

- Qu'est-ce que les gays utilisent?
 
Maintenant, vous posez la bonne question. La plupart ont leur propre préférence personnelle. "Rush" et "Jungle Juice" sont probablement les plus connus et les deux sont très bons. À l'occasion où je les utilise, j'aime Rush parce que cela me donne l'envie de bizarrerie, d'aléatoire, d'inattendu et de "comme avant". Les papas en cuir préfèrent ce qu'ils appellent «anglais», qui vient dans une bouteille marron non marquée. Vous pouvez vous douter que cette merde est intense.

- Je crains les papas en cuir, mais je veux essayer des poppers. Comment fait-on ça?
 -
Ouvrez simplement le capuchon et prenez en une bonne inspiration en n'ayant pas peur de faire entendre un  gros reniflement, comme si vous vous teniez le nez entre les fesses de de quelqu'un devant votre visage.-lol- Prenez-en un max dans les narines.  

- EUH, pourquoi voudrais-je faire ça?
- Encore une incompréhension d'hétéro ! Ben si vous êtes "normal" vous aimez les odeurs de ce type qui, déjà, vous boostent la queue ou le cul. Ca
suppose simplement une expérience du sexe qui vous fait aimer les slips et culottes usagées...etc. Meilleur? Bien. Maintenant fermez une narine, maintenez la bouteille de l'autre côté et respirez profondément. Allez doucement au début. Il est naturel que vous ne vouliez pas trop prendre.

- Pourquoi pas?
 -
Rappelez-vous quand je vous ai prévenu de ne pas trop vous montrer téméraire et vouloir trop vite décoller? C'est pour ça. Essayez maintenant...
-Ah, oh,  euh, ah oui ! Merci 
mec. Je me sens ... Putain, je veux baiser quelque chose! Ouais, en ce moment. MAINTENANT! Woah, ma peau est brûlante. ah, c'est fini... maintenant, je suis de retour à la normale. Ca passe trop vite. C'est tout?
 -
Oui, c'est tout. Il te faut poursuivre ton expérimentation en inhalant plus longtemps, plus profondément, ...plus souvent. 

- Ah ok. C'est cool, mec. Merci.
-  
Pas de problème, mon pote. C'est pour cela que nous sommes là pour améliorer la vie de nos gens. Maintenant, vivez votre vie et, ne nous faites pas ch..
.-lol-

 le poppers ça ne marque pas les gens qui en consomment : n'ai-je pas l'air normal, gentil et ordinaire ?  ne vous y fiez pas : je suis un démon (de passibité au lit !    

      un démon au lit !  rejoignez-moi !        

  Tout ça tradui et adapté par claudio ici-même au blog cavaillongay-lesitelocal    


commentaire :

 

Par POPSTARBUCK - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 30 mai 2 30 /05 /Mai 23:09

nul besoin d'un masque pour administrer ainsi quelques spécialités utiles qui décuplent le désir d'un gars trop sceptique et morose :  

fagwhore4roughnastymasters: ““No fucking pants while you’re in this cell with me,faggot.You keep that cunt hole on show so i can fuck it anytime i wanna get off,and we’re gonna make good cell buddies.” ” 

-"Respire, respire fort prends-en bien"

    od2be2003: “Breath deep faggot! ”

 

l'exciter"à mort":

 

    pousser son désir plus avant,

May 11

 

céder à l'envie

niftynudeguys: “I forgot my lunch today, but my coworker was kind enough to let me have their protein shake. ”

 

réaliser  ses fantasmes les plus secrets  

thefallenwhiterace2: ““Yeah honky fucking tell me and my boy again how we have to leave your girlfriend alone!” “Please please no more! Your destroying me!” “Fuck yeah we are you deserve it honky!” ” 

 pousser son consentement plus loin...

 

niftynudeguys: “My brother snuck into my room last night filling the air with a stench of alcohol. He’s been doing this a lot lately. I knew this meant he was about to force himself on me again. I’ve stopped fighting it… ”
                                                           

 et son   contentement aussi 

                                                           

pervertedgaycaptions: “Tony loved photography, or more like he loved taking selfies. So when he came across an abandoned camera he thought he would try some old school shots of himself with the help of a friend. This is just one of the pictures that...  hum c'était hyper bon ! 

 

 

Par SEX(ZOB)SERVER - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 30 mai 2 30 /05 /Mai 15:18

Londres reportage traduit de Newsbeat

c'est bête, mais il vaut mieux que les choses aillent au bout, sinon, frustré, insatisfait on risque bien d'attendre "la suite" toute la vie et devenir un gay obsédé !

 

Dean Eastmond

Dean Eastmond


Dean Eastmond, âgé de dix-neuf ans, déclare qu'il n'est jamais allé à la police après avoir été violé parce qu'il pensait que lui-même serait «considéré comme le criminel».

Maintenant, qu' il a parlé à Newsbeat, la chaîne radio des ados,  de l'après-midi qui a changé sa vie, il espère que d'autres hommes se présenteront - maintenant il y a  une Asso, -"Survivors UK"-   qui soutient les victimes masculines  de viols,  subventionnée  par le bureau du maire de Londres.

"Survivors UK" avec l'aide financière espère organiser plus de lieux où les victimes peuvent trouver de l'aide.

Dean a récemment eu le courage de parler de ce qui lui est arrivé.
 

     Nous n'avons aucune raison de ne pas croire à son histoire mais ne pouvons pas le confirmer de façon juridiquement certaine car son cas n'avait jamais été signalé.

- «Mon école a pris une grande initiative pour inciter les gens à participer aux Jeux olympiques de 2012», nous dit-il.

"À l'époque, je n'étais pas ouvertement gay. J'étais encore dans le placard.

«Je me suis lié d'amitié avec quelqu'un que je pensais être gay. Nous travaillions environ neuf heures par jour ensemble et il a suggéré d'aller chez moi alors que mes parents étaient sortis.


Il y a si longtemps que je tâche de bloquer ce souvenir !


Dean dit qu'il était «crédule» en tant qu'ado à l'époque et qu'avoir un ami sans la permission de ses parents lui semblait la chose la plus commode et naturelle qu'il pouvait faire.

Quand ils sont arrivés à la maison, son ami a commencé à agir de façon étrange.

Avant que Dean ne sache ce qu'il se passait, il était attaqué et violé sur son lit.

"Je sais que cela n'a pas duré très longtemps, mais il était évident qu'il l'avait fait.

"Je me souviens avoir été tellement confus parce que je ne savais pas ce qui m'était arrivé."

Dans les jours et les mois qui suivirent, Dean était terrifié. Il dit : «chaque fois que je rentrais dans la maison de mes parents je pensais le trouver dans ma chambre».

Alors, pourquoi Dean n'était-il pas allé à la police? IL EST GAY IL LE DIT et il l'était sans le dire à cette époque . Est-ce qu'en fait ça lui a plu et ce qui luia manqué dès lors c'est que cette relation n'ait pas débouché sur son consentement et une vraie relation suivie. Sans être trop intrusif on pourrait s demander de mieux expliquer ce que ça a produit enlui d'être ok...sans l'être, genre, « Oui, mais pas comme ça ! » ?

Dean Eastmond

Est-ce qu'en fait ça lui a plu et ce qui luia manqué dès lors c'est que cette relation n'ait pas débouché sur son consentement et une vraie relation suivie. Sans être trop intrusif on pourrait se demander de mieux expliquer ce que ça a produit en lui d'être ok...sans l'être, -lol-genre, « Oui, mais pas comme ça ! » ? (Notes de la rédaction)

           Image associée  un peu crédule peut-être ?  ça fait vite un dominant un dominé, un qui se sent victime et un qui ne sait plus s'il a franchi la ligne rouge...

commentaire :

Par NEWSBEAT - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 30 mai 2 30 /05 /Mai 08:46

Xavier ne manque pas de photographier en rafales ma soumission à ce sceptre viril qui fait loi.

During Lab.oratory, this room is full of naked and half-naked men of all shapes and sizes, youn...

Rien de plus glaçant, rien de plus bandant -lol-

 Tous les deux ils m'ont enculé et couvert de sperme et de pisse dans cet endroit absolument sordide où j'étais entré par simple curiosité :

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Dans l'usine désaffectée où ils le retiennent prisonnier,  Eric regarde sa montre et indique à ses complices qu’il doit filer :
- Les mecs, amusez-vous avec lui si vous voulez, mais faites disparaître les photos et assurez-vous de son silence – il me regarde – t’as compris connard ? Tu fermes ta gueule et tu oublies tout ça.

Il tourne les talons. Sad me remet sur les pieds et me pousse pour que je le suive. Xavier ramasse mon sac et l’appareil photo. Eric disparaît par un escalier métallique tandis que nous rejoignons le petit bureau où ils conditionnaient la drogue. Sad me fait m’assoir dans un coin, me jette un chiffon immonde pour m’essuyer le visage barbouillé de sperme puis range avec Xavier la dope exposée. En quelques minutes, tout est remis dans deux sacs de sport et je redeviens l’objet de leur attention. La maîtrise de lui-même de Sad est assez effrayante et ne présage rien de bon pour moi. Je vois pourtant à la bosse qui défonce son jogging blanc qu’il est toujours très excité.

Sad m’indique de son regard dur la pièce d’à côté : un atelier peuplé de machines fantomatiques. Je bouge et me retrouve adossé à un établi métallique graisseux. Sad, très droit, me regarde en silence tandis que Xavier commence à fouiller mon sac. Il en extrait mon portefeuille et mes papiers :
- Matthieu Girard, 38 rue du Tilleul. C’est bien, comme ça, on fait connaissance, on saura te retrouver.
J’étais déjà coincé, je le suis un peu plus encore. Sad m’ordonne sèchement : « déshabille-toi ». Je m’apprête à protester mais son regard noir m’en dissuade et je me soumets. Je retire d’abord mon sweat-shirt que je pose sur une surface pas trop sale. Je tente maladroitement de prendre mon temps mais un froncement de sourcil de Sad me montre qu’il est illusoire de biaiser. Je retire mon T-shirt quand j’entend le bruit caractéristique de l’appareil photo. Xavier utilise mon numérique pour me shooter. Super, leurs moyens de pression sur moi ne cessent de se renforcer. Pour autant, je dois continuer mon effeuillage. Je retire mes baskets et mes chaussettes, commençant déjà à me sentir drôlement nu. Les yeux de Sad m’invitent à poursuivre. Je déboutonne mon jean et le retire proprement. Intérieurement, je me réjouis qu’ils se contentent d’un déshabillage méthodique : ils auraient pu exiger que je fasse un strip-tease digne d’un peep-show.
Je me retrouve en sous-vêtement. Je me rends grâce à moi-même d’avoir choisi ce matin un slip Calvin Klein noir avec une bande blanche : sobre et pas trop ridicule. Je me sens déjà assez vulnérable comme ça, soumis à la volonté de Sad et aux photos de Xavier. Je regagne un peu d’estime en me rendant compte qu’ils bandent l’un et l’autre. Je ne sais faire la part des choses dans ce qui stimule leur désir : mon corps dénudé ou ma soumission ? Un peu des deux probablement.

Les yeux de mon bourreau noir se durcissent à nouveau : je dois aller jusqu’au bout. Je baisse mon slip. Quand je me redresse pour aller le poser, ma bite est soumise à leur regard. Un petit bout de bite en fait, la peur et l’humiliation la faisant se rétracter au maximum. Elle se trouve noyée dans mon pubis châtain. Forts de leurs grosses bites en érection, mes tortionnaires me dominent plus largement encore. Xavier se marre : « ouh, mais c’est une chiote biloute, ça ! »

Sad ne rit pas. D’une voix rauque, peut-être altérée par le désir, il m’ordonne de me branler. Autant ça peut-être une pratique très plaisante quand on le fait seul ou lors d’ébats amoureux, autant sous la contrainte et sans excitation, c’est juste dégradant et vain. Je tire le prépuce de ma queue qui se cache et je commence un va-et-vient maladroit, qui se révèle sans aucun effet. Je vois Xavier qui zoome sur mon sexe, renforçant ma confusion. Sad me laisse ainsi m’humilier quelques minutes.

Puis, un sourire carnassier se dessine sur son visage.
- Je sais ce qui va t’exciter moi. Me dit-il, en caressant la bosse considérable de son jogging. Il retire sa casquette et la jette sur mes fringues avec adresse. Il enchaîne en virant son T-shirt super large, dévoilant tout d’abord des abdos en tablettes de chocolat puis une poitrine musclée aux pectoraux bien dessinés. Ses épaules et ses biceps sont également parfaitement galbés. Musclé fin, imberbe, ce type a un buste de sculpture grecque. Sa peau est très noire et mate. Le T-shirt s’envole pour rejoindre les autres fringues.

Syndrome de Stockholm naissant :

Me fixant d’un regard prédateur, il s’exhibe, fier de ce magnifique corps de jeune sportif. Il est incroyablement sexy : torse nu, avec son jogging d’un blanc éclatant qu’il porte bas et qui révèle une large bande de son caleçon Calvin Klein – tiens, quelle originalité !  Il fait rouler ses muscles et esquisse un petit sourire satisfait. Ma bite, que je ne tripotais plus depuis quelques temps, se dresse fièrement, trahissant mon excitation. Xavier ne me loupe pas et continue de me mettre dans la boîte.

Sad retire ses chaussures de sport et ses chaussettes dans la foulée. Il joue ensuite avec la ceinture de son jogging, montrant une plus grande partie de boxer visiblement blanc. L’intensité de ma curiosité s’accroît quand il se met à baisser le haut de son caleçon, révélant des obliques à tomber. J’ai le souffle court, oubliant de respirer.

Il baisse finalement son jogging. Sa grosse queue se dessine parfaitement sous le tissu blanc de son boxer. Courbée vers la droite, elle file loin vers la hanche. Et tandis que Sad retire ses pieds du jogging, son paquet ballotte lourdement. Le tissu peine à contenir la bête.

Débarrassé du vêtement, Sad s’avance vers moi. Plus grand que moi, il me toise du regard et m’appuie sur l’épaule pour me mettre à genoux. Je me retrouve face à ce sexe prisonnier du petit morceau de tissu. Je crois deviner la suite. Sad me détrompe en se reculant et en m’ordonnant à nouveau de me branler.

Cette fois-ci, j’ai la queue bien raide, montrant ses proportions respectables, bien qu’elle soit beaucoup plus modeste que celle de Sad. Très excité, ma masturbation déclenche aussitôt des ondes de plaisir et de chaleur qui parcourent mon corps. La jouissance risque d’être rapide, ce que je ne veux pas. Mon mouvement devient donc plus doux et plus lent sous l’objectif de Xavier, qui bande fort aussi, très visiblement.

Une sonnerie de portable interrompt la séance. Sad s’apprête à sortir de la pièce mais se ravise et ordonne à Xavier de m’attacher les mains, avant d’aller répondre dans le bureau à côté. Xavier est un peu surpris de l’ordre reçu – il faut avouer que je ne leur ai pas donné beaucoup de fil à retordre jusqu’à présent – mais il s’exécute. Pour mon malheur, il trouve rapidement un morceau de ficelle en sisal. Comment a-t-il pu dénicher ce truc ici ? Il me met debout et me plaque contre l’établi. Je me retrouve le torse et la face contre le métal froid et huileux. Il m’attrape les bras et m’attache les mains dans le dos. Il n’a pas l’air bien doué avec les nœuds mais avec un peu de temps, il a réussi à m’entraver solidement, le fil mordant un peu mes poignets. Pendant sa manœuvre, je sens son sexe gonflé dans son pantalon se caler entre mes fesses. D’un geste furtif, il me caresse les couilles.

Sad revient. Xavier m’attrape par le cou et me remet en position à genoux et se met en retrait, laissant son copain black reprendre la conduite des opérations. La fête dans le slip du jeune dealer semble s’être calmée, même si le membre reste de proportion honorable et pas complètement au repos. Moi-même, j’ai sérieusement débandé au contact du métal. Ma queue s’orne même d’une légère tache  sombre de cambouis  tout comme ma poitrine, qui en a plusieurs et comme mon visage probablement.

C’est un beau spectacle de voir Sad évoluer en sous-vêtement. Il a une démarche souple qui sollicite tous ses muscles. Il est vraiment très beau. Son visage aussi est gracieux, avec des traits réguliers, durs parfois, malgré sa jeunesse – 18 ans, 20 ans grand maximum.

Il s’approche de moi, me dominant de toute sa hauteur. Son boxer est à quelques millimètres de mon visage – je résiste à l’envie d’aller au contact. Xavier a repris l’appareil photo et semble ravi de celle qu’il vient de prendre : une gros plan sur moi, la tête effleurant le paquet d’un mec. Sad reste ainsi quelques instants. Je perçois la chaleur de son corps et son odeur, à la fois propre, saine et animale.

Il s’écarte largement de moi, semblant me narguer. Il se met de côté et passe les pouces dans l’élastique de son sous-vêtement. De profil, je peux voir nettement ses fesses fermes et rebondies et son paquet avantageux. Il me laisse profiter du spectacle avant de commencer à baisser son caleçon. Ses abdominaux obliques indiquent le chemin pour le regard qui s’attarde sur son bas-ventre parfaitement plat. Ses poils pubiens apparaissent puis la naissance de sa queue. Il s’attarde puis baisse complètement le boxer, libérant sa queue. C’est une très grosse bite qui confirme, cette fois au moins, la légende sur les blacks. Pas complètement dure, elle est dans sa plus grande partie en position horizontale avant de retomber un peu au niveau du gland. Non-circoncis, son prépuce prolonge encore un peu ce sexe immense, à la fois long et épais. Les testicules de bonne taille eux aussi complètent le service. On dirait un modèle du photographe Mapplethorpe.

Lentement, il revient vers moi, le sexe dressé. Il s’arrête près de moi, me laissant admirer son magnifique gourdin. La tentation de sortir ma langue pour l’effleurer est énorme, mais j’y résiste par prudence. La situation l’excite car sa verge durcit et l’élève au-delà de l’horizontale. Il pose ses index sur mes tempes et me penche le visage en arrière. Il avance ensuite son bassin, positionnant ses couilles sous mon menton et pose sa queue sur mon visage qu’elle traverse entièrement. Xavier ne manque pas l’image et photographie en rafales ma soumission à ce sceptre viril qui fait loi. Sad baisse alors le regard vers moi avec douceur, acceptant avec bienveillance ma soumission. Lentement, il se retire. Son gland zigzague sur mon front, mes yeux, mon nez et mes lèvres puis s’éloigne légèrement. Je redresse la tête pour ne pas perdre des yeux ce serpent noir qui m’hypnotise.

Avec humilité, j’embrasse le bout de cette queue royale et me décale pour couvrir de baisers délicats toute la longueur de ce sexe. Les mains attachées, ce n’est simple, mais je parcours de la même façon le chemin inverse. Contrôlant du regard la volonté de Sad, je prends enfin le bout de ce phallus dans ma bouche. C’est une bite vraiment énorme et je dois faire des efforts rien que pour prendre cette extrémité : je peine à imaginer comment je pourrais l’avaler toute entière. Xavier est toujours avec son appareil immortalisant mon travail de dompteur de serpent.

Sad pose ses mains sur ma tête et imprime le mouvement qu’il souhaite. C’est tout d’abord un lent va-et-vient, pas très profond mais de plus en plus néanmoins. Je me laisse aller, obéissant à ses ordres. La progression s’arrête toutefois quand sa queue arrive à l’orée de ma gorge. Impossible pour moi d’aller plus loin. Il reste pourtant un bon tiers à avaler. Sad m’adresse un regard sévère et donne des coups de rein plus insistants. Je commence à étouffer, assailli de hauts-le-cœur. Je vois des étoiles et les yeux impérieux de Sad. Je me force au calme et tente de détendre ma gorge. Le serpent noir progresse aussitôt. Je me contracte par réflexe, douloureusement. Je m’impose le calme à nouveau, fermant les yeux et laissant cette queue envahir ma gorge.

Lorsque qu’enfin mon nez atteint le pubis, je suis tout surpris d’avoir réussi à avaler la totalité de cet énorme gourdin. Sad me sourit, appréciant l’exploit.

Xavier se met à jurer : plus de pile. A mes yeux, ce n’est pas trop tôt. Fini les photos avilissantes. Sad se retire doucement de ma bouche et me fait me relever. Il repère un établi un peu plus loin adapté à ses envies. Il m’y entraîne et se colle à mon dos : mes mains effleurent sa bite turgescente. Il me planque les jambes contre la table métallique et me force à coucher la poitrine dessus. Je me retrouve les fesses ouvertes et la tête dans le vide. Mes mains, toujours attachées dans le dos, me font mal dans cette position. J’imagine bien ce qui va suivre mais l’idée de me faire déflorer par un engin aussi énorme me terrifie.

Xavier, inoccupé, trouve vite un nouveau passe-temps et prend place devant moi : j’ai le nez sur sa braguette. Il ne perd pas de temps en préliminaire et baisse son baggy et son caleçon affreux. Sa grosse queue rose jaillit, décalottée et humide, au milieu d’une broussaille de poils blonds. Sans hésiter, il saisit ma tête et enfourne son dard sans ménagement. Même si son sexe est plus modeste que celui de Sad, sa brusquerie me meurtrit la bouche et la gorge.

Sad, de son côté, commence à me préparer. Il me fait écarter les jambes plus largement pour me rendre plus ouvert - plus offert en fait - et me crache sur la rondelle. Il a la délicatesse de commencer par m’introduire un doigt. La peur me contracte intensément et son index passe douloureusement. Toutefois, les coups de rein maladroits de Xavier détournent mon attention : je dois me concentrer pour éviter que sa bite rape sur mes dents, sinon gare à moi ! .

Sad est déjà passé à trois doigts et mon cul commence à s’ouvrir. Il se place pour faire glisser ta teub entre mes fesses. Son gland vient flirter avec mon trou. Il fait tranquillement quelques mouvements puis, en changeant d’angle, il me pénètre légèrement. Une douleur immense me saisit et des larmes me coulent aussitôt des yeux. Le pénis de Xavier n’étouffe pas complètement mon cri. L’un et l’autre perçoivent ma détresse. Heureusement, la pénétration presque à sec de Sad n’a pas été confortable pour lui non plus. Il propose à Xavier d’échanger leurs places. Le grand blond ne se fait pas prier et retire le pantalon qu’il avait sur les chevilles ainsi que son T-Shirt informe, avant de changer de côté.

Je dois me remettre à sucer l’impressionnante verge noire que Sad me propose. Ma position ne me permet pas de l’avaler aussi profondément qu’à genoux. Heureusement, le jeune black ne l’exige pas.

Xavier, toujours un peu maladroit, se cale derrière moi et tente de me pénétrer sans succès. Mauvais angle et pas assez de lubrifiant. Il crache sur sa queue et l’astique un instant puis il retente. Après avoir recherché le bon axe, il le trouve et me pénètre d’un coup. Je gueule et je pleure à nouveau. Quelle brute ! Sad me caresse la tête et se contente de petits mouvements doux, tandis que Xavier s’est immobilisé. Je sens sa verge pulser dans mon cul : il doit être à deux doigts de jouir. Ce petit moment de calme nous apaise tous et mes tortionnaires reprennent doucement un mouvement de va-et-vient. Mon cul est en feu, mais la douleur s’apaise.

Xavier me saisit par les hanches et entreprend un pilonnage intensif. Il me secoue si fort que je peine à sucer correctement Sad. Celui-ci d’ailleurs se retire et se branle, me battant régulièrement le visage avec son gourdin de chair. Ma propre queue frotte contre le métal de l’établi.

Xavier, déchainé, m’attrape par les épaules pour me pénétrer plus profondément encore. Sa bite me semble se gonfler encore un peu plus tandis qu’il respire bruyamment. Il me donne quelques coups de reins particulièrement profonds et je sens son foutre se répandre en moi. Il se colle à moi, presque amoureusement, en donnant quelques ultimes petits coups pour prolonger ses sensations. Il reste immobile quelques instants puis se retire, trempé de sueur. Je ne peux pas le voir, bloqué comme je le suis. Ce que je vois en revanche, c’est le sourire lubrique de Sad qui affirme clairement que maintenant, je ne vais pas y couper.

Il contourne l’établi et commence par faire glisser sa queue entre mes fesses. Le foutre de Xavier a lubrifié ma raie comme mon cul. Son gland trouve vite l’entrée et il m’encule doucement et progressivement. Plus détendu, j’ai beaucoup moins mal même si j’appréhende le gigantisme de son membre. Il m’enfonce d’abord à peine plus que le gland pour que je m’habitue puis entame un léger va-et-vient. Cette délicatesse me donne des sensations agréables et mon cul commence à en demander plus. Son mouvement prend de l’ampleur et un bon morceau de sa bite est en moi maintenant. Je me sens déjà « plein » mais il continue de s’enfoncer en moi. La douleur et la panique reviennent en force. Sad me donne des coups de queue plus vifs et je la sens passer. Les larmes aux yeux, j’essaie de ne pas gueuler. Excité par ma détresse et son pouvoir de domination, le jeune black devient bourrin et me prend d’un coup jusqu’à la garde. Je crois défaillir de douleur : j’ai l’impression que mes organes vont exploser dans mon ventre. Sad s’accroche d’un bras à mon épaule pour rester bien en moi, mais reste immobile un instant avant de reprendre de petits mouvements. La douleur et la peur refluent un peu et se mêlent à d’autres sensations : le plaisir et l’excitation. Sad me donne quelques petits coups de reins secs qui me font voir des étoiles, à moitié de douleur, à moitié par le massage de ma prostate. Puis il se retire presque entièrement de moi : je me rends ainsi bien compte de la longueur de sa queue. Evidemment, il m’encule à fond aussitôt et commence une série d’amples mouvements qui rendent mes terminaisons nerveuses saturées d’électricité et de sensations. Malgré moi, honteux de ce sentiment, je me régale maintenant de cette sodomie forcée. Je cambre les reins et Sad me chevauche sauvagement, une main sur l’épaule et l’autre sur ma hanche. Les mains attachées, je me peux me tenir et suis complètement soumis à ses ruades.

Il décide ensuite de changer de position. Il passe ses bras sous ma poitrine et m’accroche ainsi les épaules. Nos deux corps sont plaqués l’un contre l’autre, uniquement séparés par mes mains attachés qui touchent son ventre. Ses assauts me semblent plus profonds encore et me défoncent littéralement. Une nouvelle douleur apparaît et je me rends compte qu’il me mord le cou et la nuque. Mon excitation gagne alors en intensité, je me sens bander. Un coup de queue plus fort que les autres déclenche un formidable orgasme en moi. Je pousse un puissant cri de plaisir qui me fait prendre conscience de mes gémissements précédents. Sad n’y est pas insensible : il me donne encore quelques coups de bite brutaux et jouit intensément en moi. Je sens ses jets de foutre qui ne semblent pas vouloir s’arrêter : il m’inonde de sperme puis s’immobilise enfin.

Nous redescendons lentement vers le monde réel, prenant conscience de nos battements de cœur, de nos corps en nage, de nos sexes poisseux et de Xavier qui nous photographie. Le con a retrouvé des piles. Il s’est aussi rhabillé.

Sad se retire et m’ignore splendidement, très macho. Je m’écroule au pied de l’établi, totalement vidé et me sentant très sale. Le jeune black va chercher son boxer mais avise sa bite gluante. Il revient vers moi et me la présente. Dégouté, je ne fais néanmoins pas d’histoires et j’avale puis je lèche son membre en semi érection. J’avale ce mélange des spermes de Xavier et de Sad.

Le dealer noir me délaisse pour se retrouver ses fringues, m’abandonnant dans ma triste posture. Il revient ensuite vers moi avec Xavier pour m’accabler de son mépris. Glacial, il me balance :
- T’es vraiment une sacrée pute. N’empêche tapiole, tu dois bien comprendre que tu dois fermer ta gueule sur tout ça. Xavier a plein de photos à diffuser pour te détruire. Et si ça ne te paraît pas suffisant Matthieu Girard, rue du Tilleul, on connait ton adresse. Ce sera facile de buter tes vieux si on veut. Alors, tu vas la fermer ?
La tête baissée pendant sa diatribe, je la relève, le regardant tristement pour dire que oui, je vais la fermer.
Il a l’air convaincu, certain de ma lâcheté. Son mépris s’accroît encore : il me crache au visage et je reste les yeux baissés. Il me semble que cela va enfin se terminer, mais non, il a un dernier outrage à me faire subir. Il sort à nouveau sa queue, qui même molle et protégée de son prépuce, reste de belle taille. Je le regarde pour comprendre et saisit aussitôt. Un jet de pisse me frappe le visage. Son pénis en main, il m’arrose la tête, les oreilles, les yeux puis le corps et le sexe. Xavier sort aussi sa bite et urine aussi sur moi. Sad m’ordonne d’ouvrir la bouche, mais dans un bien tardif sursaut d’honneur, je choisis de l’ignorer. Je ne remarque même pas son sourire satisfait. La douche s’achève enfin. Me voilà un peu plus souillé encore.

Non je n'éprouve pas de syndrome de Stockholm  : je ne peux que leur en vouloir, ils me traitent de tafiole mais, actifs ou pas, ils ont été un bon moment homos avec moi.    

L’un et l’autre remballent leur verge. Ils jettent un regard sur la pièce, histoire de ne rien oublier et regagnent le bureau à côté, tandis que je reste prostré. Ils récupèrent les sacs de drogue, quand Xavier revient vers moi, un couteau à la main. Une terreur paralysante me saisit, je vois ma vie défiler, me préparant à cette mort infamante. Le film que je me fais s’interrompt quand le dealer blond coupe mes liens. Il m’adresse un petit sourire complice et file rejoindre Sad qui l’attend.

Me voici libre.

 


commentaire : "ne te plains pas Lionplus, ils t'ont baisé comme il faut.C 'est des gars sûrs de leur virilité, pas comme toi qui l'as ...hésitante...Tu le dis pas, mais même la golden shower je suis sûr que tu as aimé...tu vas pas l'oublier."(Josepine)

Par LIONPLUS/cyrillo.com - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 30 mai 2 30 /05 /Mai 08:31

               Cet organe, complexe et merveilleux, que l’on appelle la main, n’est pas limité seulement à sa capacité de saisir et manipuler des objets de manière extraordinairement étonnante, mais qu’elle est aussi un moyen de communication et de l’expression de la vie, notamment de celui à qui elle appartient.  

 

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  « La main, c'est l'Homme ».  Anaxagore, philosophe grec du Vème siècle av. JC

 

Nous sommes tous pareils et pourtant tous distincts    distincts les uns des autres, comme il n’y a pas une main identique à une autre.  

 

Depuis la haute antiquité et dans toutes civilisations et différentes religions, et jusqu’à aujourd’hui par ailleurs, la main reste le symbole et l’image de la protection, du respect, du pouvoir et de la domination, et de nombreux autres aspects de la vie. Nos mains nous permettent d’être un lien, pour nous maintenir dans la connaissance de ce qui nous entoure, pour écrire, donner, prendre, tenir l'outil ou le façonner, transmettre nos sentiments voire notre amour et notre volonté.

 

C’est toujours avec émotion, que je regarde ces oeuvres pariétales, de mains peintes en négatif dans des grottes, pouvant dater de plus de 30 000 ans et en particulier ces mains dont il manque des doigts, représentées dans la grotte de Gargas, située dans le département des Hautes-Pyrénées. Elles nous parlent évidemment bien plus de la vie de l’individu, que de ses mains à proprement parler. Ces mains, énigmatiques, sont des photos, des instantanés représentatifs des hommes et des femmes qui nous ont précédés. Et même si l’on ignore leur véritable signification, nous sommes certains qu’elles parlent de ce qu’ils vivent, de leur spiritualité, de leurs pratiques. Ce ne sont pas juste des mains.  

  On pourra toujours « discutailler »sur la les vérités historiques, une seule demeure, ces mains ont sans nul doute pu tuer, étrangler, gesticuler, mais elles ont forcément et selon nos instincts caresser, l'un, l'autre, soi-même, masturbé, pénétré...AIMé ! et c'est encore plus émouvant que de cela il ne reste rien alors qu'il reste tant de preuves des guerres, les luttes, des violences, du TRAVAIL et de HUMAINE.

Vous protestez ? oui, je vois, vous dites que l'amour se manifeste surtout dans les ARTS durables, que ce soit dans les écrits, les peintures, les sculptures. Oui.

A commencer par l'art pariétal des cavernes:    

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 ou l'art de la Grèce, de l'Egypte, de la Rome antique : 

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ou la recréation imaginaire par un art plus récent :  

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  Bonjour ! Un court moment de méditation et de réflexion.   

 

    Petit fist -lol-Résultat de recherche d'images pour "main homme cul homme et fist" -lol-

      http://www.grottesdegargas.fr   Résultat de recherche d'images pour "GROTTES DE GARGAS ESPAGNE MAIN" tu penses à quoi ?

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Résultat de recherche d'images pour "GROTTES DE GARGAS ESPAGNE MAIN"Une vraie partouze de mains des temps préhistoriques -lol-

 

 Le parallèle que l’on peut faire entre la main et tout ce qu’elle représente, devient alors une occasion d’élargir les pensées  que l’on pourrait éprouver à partir de cette affirmation d' Anaxagore, philosophe grec du Vème siècle av. JC qui, lucide, déclarait déjà :

« La main, c'est l'Homme ».

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Depuis la haute antiquité et dans toutes civilisations et différentes religions, et jusqu’à aujourd’hui , la main reste le symbole et l’image de la protection, du respect, du pouvoir et de la domination, et de nombreux autres aspects de la vie. Nos mains nous permettent d’être un lien, pour nous maintenir dans la connaissance de ce qui nous entoure, pour écrire, donner, prendre, tenir l'outil ou le façonner, transmettre nos sentiments voire notre amour dans l'acte d'amour. 

 

( et notre volonté :

     volonté lol, )

C’est toujours avec émotion, que je regarde les oeuvres pariétales, de mains peintes en négatif dans des grottes, pouvant dater de plus de 30 000 ans3 et en particulier ces mains dont il manque des doigts, représentées dans la grotte de Gargas4, située dans le département des Hautes-Pyrénées. Elles nous parlent évidemment bien plus de la vie de l’individu, que de ses mains à proprement parler. Ces mains, énigmatiques, sont des photos représentatives des hommes et des femmes qui nous ont précédés. Et même si l’on ignore leur véritable signification, nous sommes certains qu’elles parlent de ce qu’ils vivent, de leur spiritualité, de leurs pratiques, y compris sexuelles. Ce ne sont pas juste des mains.  

    Si par bonheur, je peux encore me servir de mes mains, il pourrait bien y avoir des domaines de mon être qui auraient pu être touchés par des accidents de la vie, des souffrances subies et non guéries, dont les gens, même les plus proches, ne peuvent discerner l’intensité et ne pas comprendre que ma vie en soit complètement bouleversée et fragilisée.

    A ceux qui ont été accidentés de la main le chirurgien dit :  

  «OK, Mais finalement, ce n’est qu’une main ! On peut survivre  », quelle erreur ! on survit si mal avec un organe absent !

La main est l’image de la protection, de la combattivité, de l’autorité, de la guérison, de l’adoration, de la bénédiction, du travail et de bien d’autres aspects de la vie.

  Oui, image de la protection, parce que la réaction naturelle lorsque vous êtes agressé, ou lorsque vous voulez défendre quelqu’un, c’est bien évidemment de mettre votre main devant en protection.    

 

 

 


« La main, c'est l'Homme ».nous sommes tous distincts, comme il n’y a pas une main identique à une autre. La main est omniprésente dans l' homosexualité humaine


commentaire :

 

 

 

 

Par PERE CLAUDE - Publié dans : MEDITATION & REFLEXIONS "Tempus Fugit" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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