prélude : - votre compagnon aime que vous marquiez votre désir paroxystique de lui en dirigeant son sexe dans le vôtre. -Garçons receveurs ne croyez pas que ce soit différent pour  vous.

  Toi, jeune gay, tu prendras sa queue et la dirigeras vers ton puits d'amour   

dire qu'il y a   des femmes qui font l'amour toute leur vie la lumière éteinte et n'ont jamais dit à

leur compagnon : " Amour, laisse -nous nous regarder sous notre meilleur jour" et ta mâle perfection .

  certains époux ont attendu le geste d'acceptation et de désir  ci-dessous toute leur vie, tant l'idée que c'est à l'homme d'avoir l'initiative et à la femme d'avoir le rôle passif est ancrée en elles.  

 ne croyez ni lui déplaire, ni perdre du plaisir à faire éclater en lui  un orgasme externe

Bien sûr, pendant l'amour nos yeux ne peuvent pas tout voir et la pronographie est là pour corriger ce manque ; même les hommes des cavernes ont exprimé la pornographie avec leurs moyens de l'époque préhistorique. C'est un besoin humain.

c'est d'ailleurs-là sa fonction essentielle : exhauster la vie

vous ne pouvez pas le voir, ni lui non plus mais il faut cette taille pour révéler votre délicieux anneau vous ne pouvez garder pour vous seul(e) ces merveilleux témoignages      

vous ne pouvez garder pour vous seul(e) ces merveilleux témoignages de votre parfaite

jouissance et vous les confiez à la pornographie 

montrez votre désir et quittez votre pudeur innée pour appeler le sexe à vous

un vrai tableau de peinture immortel

l'homme vibre de se sentir impatiemment désiré écarter les fibres textiles  s'inspire de l'exaspération des sens et d'une symbolique transgression ; le pénis s'élance il éprouve de la joie à ressentir cette friction

un vrai travail de fusion des corps et des coeurs

vous captez une énergie que vous n'avez pas

telle la morsure paralysante de l'araignée, dès la première entrée, le pénis a sidéré* sa proie

qui recevra, dans l'apaisement de sa fièvre, l'injection d'un poison bienfaiteur en forme de gelée royale

* 1. 1894 sidérer« frapper quelqu'un d'une stupeur soudaine » (Sachs-Villatte, Fr.-deutsches Supplement Lexikon, Berlin ds Quem. DDL t. 5); 2. 1895 « anéantir subitement les forces vitales de quelqu'un » (Valéry, Corresp., p. 233) 

"La nature virale des photos amateurs me fascine. Je vis encore des photos que j'ai vues pour la première fois il y a des années, qui ont été diffusées en ligne tout ce temps-là, qui existaient avant même que je les aie vues. Une fois que je les ai vues c'est inoubliable.

Et c’est la nature de ce site, d’afficher des photos virales qui sont toujours entre les mains du public. Ces hommes se sont librement laissés photographier, ils ont consciemment pris ce risque, mais ils ne s'attendaient probablement pas à ce que ça devienne viral. Il existe littéralement des millions de photos flottant sur Internet qui échappent à tout jamais au contrôle des gens qui sont dessus. Maintenant, leur nudité fait partie du canon du porno en ligne.

"Il y a 7 ans, en septembre 2011, en organisant les anciennes photos pour les garder pour moi dans un nouveau site Web de photos, je suis tombé à plusieurs reprises sur des photos que j’avais vues récemment et que j'avais oubliées et que j'avais déjà posté depuis longtemps. Ces photos ne meurent jamais.

Nous ne pouvons que vous encourager à télécharger et à distribuer de telles photos, contribuant ainsi à leur exposition publique. Si je devais un jour demander à un sujet photo de retirer ses photos, même si je les supprimais, elles seraient toujours présentes dans le monde virtuel du cyberespace. Ils étaient déjà là-bas avant que je ne les aie vus.

Toutes les photos des sites Web que je fréquente ou organise ont été trouvées gratuitement et publiquement disponibles au public, ce qui en a fait un succès viral dans le cyberespace". hypersex

 Vous voulez  voir la bite de Dooley  ?

Malgré tous les efforts que je déploie, je n'arrive pas à avoir autant de culot que mon copain, Dooley. Et je vous prie de croire que je m'y efforce - mais il m'a toujours eu. Il l'a toujours fait.
Il a aussi une plus grosse pine que moi. Un jour nous en  avons fait ce pari. J'ai perdu. Mais - je ne l'ai fait que parce que je voulais le voir bander. Et, en le provocant, je l'ai fait.
- putain, ouais je veux dire .
Et tout à l'heure, il m'a surpris en train de le regarder. Encore.
- putain, ouais je veux dire .
«Mec», me dit-il en me poussant d'un coup de coude avec son bras puissant,  . "Voilà, tu le fais encore". Tu dois arrêter ça.
«Pourquoi?» Dis-je, me surprenant moi-même.
«Eh ben…» dit-il en me regardant avec ses yeux sexy (sexy ils le sont toujours, à mon avis). "Je veux dire - si tu es pas hétéro, alors tu trouves bon je suppose." Il me sourit alors.
"- putain, ouais je veux dire . Il m'a piégé !  "
«Es-tu gay, mon pote?» Me demande-t-il avec un sourire narquois. Puis il ajoute : - "Comme certains tu ne sais pas" dit-il en se moquant- comme un enfoiré arrogant qu’il est. Il faisait chaud, si vous voyez ce que je veux dire !
"Non," dis-je, "en quelque sorte", en toussant. Cela n’a probablement pas semblé aussi convaincant qu'il aurait fallu. Mais je ne l'étais pas. Je veux dire - je ne pensais pas l'être. C'était juste parce que c'était Dooley. Je veux dire: eh ben merde !
«Es-tu bi, gamin?» Demande-t-il, m'approchant maintenant, mon dos contre le mur.
"Je - je ne sais pas", dis-je, gêné maintenant. Nerveux. Mais bon sang - je voulais continuer à le mater,   il était est si sexy et tout. Vous voyez?
«Moi je le suis» , dit-il en haussant les épaules, posant sa main contre le mur, son visage très près du mien, pour que je puisse le sentir. Cette répartie résonna comme un (doux ) tonnerre

- "putain, ouais je veux dire".- Dooley a toujours senti bon, même quand il venait de se lever ou des toilettes.
"Vraiment?" Demandai-je, un peu optimiste. Surpris. Heureux aussi
«Ouais - moi et un pote nous avons beaucoup baisé au lycée- je veux dire, pas tout le temps. C’est mieux que les salopes - c’était à l’époque, cependant, parce que nous n’avions pas eu d'occase . Je ne baise  plus de chatte maintenant , mais… «alors il s'approche plus près, comme pour me tuer. Je l'ai vu faire ça sur les filles. Maintenant, il le faisait sur moi. J'étais dur, maintenant. Comme collé, lui étant si proche.
«Ça me manque», dit-il doucement. Je sens la chaleur de sa respiration sur mon visage.
Donc, ne sachant pas quoi dire, parce que je ne suis pas si doué avec les mots, je fais juste ce que je pense devoir mieux faire, qui est de l’embrasser. Lui aussi. Moi je l'embrasse Un peu mollement comme lui. Et il sourit. Puis sa bouche ventouse la mienne. Alors sa langue est en moi. Puis je le goûte. Ensuite, son corps est contre le mien.
Et… putain.
Sa grosse bite dure est tellement bonne. Il attrape aussi la mienne, qui est brûlante et raide. Je ne m'attendais pas à ça.
«Tu es vierge?» Demande-t-il en gardant ses lèvres sur les miennes.
"Non - ouais - je veux dire -" ne sachant pas la répons qu'il souhaitait.
"Avec qui l'as-tu fait ?"
«Pas avec les filles, mec» dis-je assez troublé, et là ilcommence vraiment à faire chaud.

"Mais avec les mecs oui?"

"Ouais un peu."

"Seulement un peu ? Mmmmhhh. J'aime les vierges. “

"Non - je veux dire - je ne suis pas sûr de vouloir ... tu sais ... que tu me baises ..." dis-je, en m'éloignant alors que sa main me saisit par la taille.

«Tu peux me baiser d'abord, mec. Tu vas adorer ça. Alors…. »Il se frotte contre moi, enfonçant sa bite contre la mienne.

    - "putain, ouais je veux dire".Il y avait une contre partie si je le baisais en premier...-
    - "putain, ouais je veux dire".
"Allons dans ta chambre- Brandon est pas dispo'. Lauren m'a largué. Je suis excité comme une puce. Besoin de ça et tout de suite, dit-il en attrapant mon cul.

Et je suis comme… ..

    - "putain, ouais je veux dire"...

Il est plus que doué et vicieux à souhait et il aime comme moi le nokapote.

L'autre jour Dooley m'a montré le truc le plus cool que je puisse faire nu, avec mes jockstraps ou même en slip.   et son sperme sert de lube

 Il y a un petit scénario que j'adore. Quand je l'entends arriver, je m'allonge et fais semblant de dormir en espérant qu'il croie que je l'aie pas entendu.

J'aime beaucoup aussi quand il veut partager le dildo et surtout sans l'essuyer avant le partage pour partager aussi le lube de sperme. On est aussi mystiques que maniaques tous les deux !

                                     maniaques tous les deux ! 

  - "putain, ouais je veux dire!".

Chaque fois que nous sommes seuls à la maison et qu'il se sent à l'aise, il peut simplement se saisir du double gode , me baiser de manière agressive plusieurs fois, puis le repousser loin dans mon conduit. Certains jours, si j'ai de la chance, il tire simplement le jouet de mon trou et me fourre sa grosse bite dans le cul. Il me baise ainsi, couché sur le ventre ou debout appuyé à un meuble quelconque et finit avec une putain de charge au fond de mon trou. Une fois que nous avons fini, il repousse le jouet dans mon trou et me renvoie à mes plaisirs solitaires le sperme rendant les frottements plus doux et plus vicieux encore. Je dois alors faire attention de me redresser s'il y a quelqu'un pour que la personne continue à ne se douter de rien, car j'ai tendance à marcher un peu courbé quand je porte le double dildo quand je suis seul. -lol-

-  - "putain, ouais je veux dire!" "Cest constamment le plan hot avec Dooley".

Matrice de l'intro :

Et Dooley a aussi une plus grosse pine que moi. Nous en avons fait le pari. Et j'ai perdu. Mais - je ne l'ai fait que parce que je voulais le voir bander. Et j'ai Réussi. Et même à le prendre en photo. Vous voulez  voir la bite de Dooley  ?

COMMENTAIRE  :

cet article ne voulait pas avoir "arabes gay" pour thème    ...  le hasard l'a fait, je vais pas m'en plaindre !  

 MICA HELL

LE PROFIL DE L'AUTEUR DU CLIP CI-DESSOUS  (MICA HELL ) EN DIT LONG SUR LA SINCERITE DE SON AMOUR DE LA SODO AVEC UN ARABE OU UN AUTRE

JUSQU'A QUEL POINT PERD-ON CONSCIENCE LORSQU'ON S'ENDORT ? comment vais-je faire pour le baiser sans qu'il se réveille ? et d'abord lui retirer son jean et son slip ?

ON LE VOULAIT TOUS LES DEUX Quand on dit "ça veut pas rentrer" c'est seulement dans la tête. Ici encore plus qu'ailleurs, quand on veut on peut (un salut à nos visiteurs entrés dans cavaillongay  malgré les interdits)

C'est presque incroyable et ça montre comment une très grosse bite et un cul bien "gérés"arrivent à ce qui paraît un exploit  

Passif de dix-huit ans baisé par un ami plus âgé - scène hot de sexe anal avec un jeune garçon aimant  se faire défoncer par la méga bite de chez méga bite! :

Touriste français baisé brutalement par la grosse bite d'un escort marocain à Marrakech au Maroc