Dimanche 27 août 7 27 /08 /Août 09:35

même la provoc' ne sert à rien : c'est le désert rural français dès le 15 septembre !

 

 

Par OHMY - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 26 août 6 26 /08 /Août 22:20

Quand j'avais 16 ans, j'ai décidé d'aller seul faire une petite rando', avec l'intention de faire une nuit de camping sauvage.
 
 
Quand je suis arrivé à un endroit où je devais sauter, une des sangles de mon sac à dos s'est desserrée, alors j'ai dû m'arrêter pour la réparer.
 
A ce moment, je ne l'ai pas compris tout de suite, mais il y avait quelqu'un qui avait tout vu, il avait environ 30 ans, il m'a approché pour m'offrir son aide, ce qui m'a semblé être une vraie chance  !
 
Il m'a demandé ce que je faisais là ? et il me proposa de m'accompagner. Il m'a dit qu'il était là parce qu'il avait bu la nuit précédente, et c'était sa façon de cuver sa gueule de bois en allant respirer dans la nature en solitaire. Nous avions déjà beaucoup marché , et nous avons trouvé un endroit plat pour nous reposer. J'ai sorti mes couvertures, je les ai étendues, je les ai ouvertes, je lui ai offert de manger, il n'a pas voulu.
 
Nous avons commencé à parler, il m'a dit qu'il avait été avec une fille, il le racontait tellement explicitement, que... 

son récit c'était à peu près ça : il avait fait l'amour à une minette et moi le puceau j'étais médusé
bien que je sois innocent et vierge, je voyais en imagination les images de leur rencontre, ce qui m'a amené à avoir une érection.
 Il l'a remarqué et m'a demandé s'il pouvait me la toucher, très excité, je fus d'accord, il se mit à me la frotter tellement savamment que j étais sur le point d'exploser.
 
Il m'a demandé alors s'il pouvait me la sucer, j'étais dans un tel état que je ne pouvais qu'être d'accord de nouveau, et là encore il le faisait si bien que je vins dans sa bouche et qu'il se lécha les lèvres.
 
Ensuite, tandis que je récupérais doucement il me dit quelque chose qui, à la fois me glaça, que je compris tout de suite et me tétanisa de désir : est-ce que je peux te tirer ?
 
Je ne savais que vaguement ce que cela signifiait, et encore une fois, tout abasourdi de jouissance, je fus de nouveau d'accord, nous nous sommes installés sur les couvertures . Il me maintenait en érection en me masturbant à des rythmes variés, j'y voyais un peu trouble au fond d'une fièvre encore inconnue. Il avait tout le lubriiant qu'il fallait dans ses poches il s'en mite t surtout il m'en mit ce qui ne l'empêcha pas d'ajouter de sa salive en lubrifiant son membre dressé à mort. Plus tard j'ai su que c'était l'usage il m'a déployé  la rondelle, a mis un doigt et mon corps déjà s'est tendu et cambré, puis un deuxième doigt et, avec force salive, un troisième. Je ne pensais qu'à ce qui allait se produire : je me suis préparé à recevoir ce grand membre dans une intimité que moi-même je n'avais jamais explorée. A ce moment il fit mine de tout arrêter : "tu sais je n'ai pas de capotes, cest toi qui dis si on le fait ou si on le fait pas". En fait, en y repensant, c'est la procédure du consentement. Dans un halètement j'ai dit "ouihhhhh, on le fait, vas--y, encule-moi" car j'étais à sa merci, éperdu de désir homosexuel. Il est entré très doucement à la fois respectueux et plein de savoir-faire.  Après quelques centimètres de pénétration il s'est arrêté assez longuement. -"Ca va ? tu as mal ? je ne veux pas que tu aies mal" je discerne aujourd'hui qui'il mêlait diplomatie et démagogie. J'avais mal, oui, mais de ce mal nécessaire quand on veut s'accomplir. Lubrifiant encore, il sortit et me regarda attentivement l'anus. Son regard très privatif sur mon anus me "brûlait". Il reprit enfin et il it de petites allées et venues me demandant toujours si ça allait, si on continuait. Mes oui étaient noyés dans mon souffle. Je oulais sentir son corps, mes mains cessèrent d'être immobiles. Je mis un doigt à la lisière de mon anus pour sentir la dureté de sa verge et comme elle allait, comme elle venait. Là c'était devenu trop bon. Il fit encore quelques interruptions pour constater les effets de sa pénétration. Il était satisfait ça se comprenait à ses ouais ! murmurés : il se régalait. Et moi sans m'inquiéter vraiment je touchais mon anus et contatais qu'il n'était"plus tout à fait pareil". -" si tu voyais comme tu es ouvert". Je hochais la tête... ça a duré. Il était fort, aimant, caressant...et endurant.  Surpris, je n'y avais jamais pensé, mais je me sentais bien, aimé, initié. En y repensant, sans  m'avoir forcé puisque j'avais donné mon consentement, ce jeune homme avait forcé mon destin.  Là en pouvant constater l'ouverture de ma virginité, j'avais, MOMENTANEMENT, interrompu une certaine solitude mêlée d'INDEPENDANCE. En y repensant, à partir de ce moment j'ai eu besoin d'un homme pour jouir. Disposant maintenant totalement de mon conduit il m'avait fait allonger Mon cul serrait davantage son sexe, je pouvais sentir tout son poids, son souffle sur mon cou, les caresses savantes sur ma peau qui exhaustaient mon plaisir sans le distraire car mon cul demeurait le centre de cette grande vibration. Le plaisir que mon AMANT - puisqu'il fallait l'appeler par son nom- que mon AMANT me prodiguait généreusement. Je mettais encore mon doigt pour le sentir ce pénis adoré. Et son poids sur tout mon corps n'était rien sinon la joie d'être à lui, eh oui, dominé  ! 
Longtemps il est resté en moi, toujours me demandant si j'étais bien ? si vous vivez ça comme moi, vous guettez les halètements de votre amant et ses soupirs, les arrêts qu'il est obligé de marquer quand la jouissance s'approche trop et l'attente délicieuse à deux, que "ça passe" pour pouvoir rester encore collés, souffles et transpirations mêlés. Je considère comme une déception que mon dominant taise sa jouissance, mais mon amant de ce soir-là, sûr de n'être entendu que de nous, rugit, prit mes flancs dans ss mains, froissa mes chairs. Mon cul était rempli de sperme. Et quoi se dit-on, et moi ????  Si votre amant est convenable, il va vous masturber, vous sucer jusqu'à votre satisfaction. Non, il ne le fit pas et me laissa ce soin. C'est vrai que jétais complètement débandé...et ça se reproduisit toute ma vie, mon sexe dégoulinant de sperme sans avoir joui.    
 
Maintenant tout épuisés on était chacun sur le côté, je touchais mes fesses glissantes et odorantes, lui était obnubilé par "la blessure" que son pénis m'avait faite, il touchait aussi et nos doigts se mêlaient dans cette " célébration"  il regardait ce que je ne pouvais pas voir :  mon anus marqué par son passage qui gouttait, un mélange de sperme et un peu de mon caca, et bien sûr du sang.
 
Cette image restera à vie.
 
Après nous nous sommes caressés l'un l'autre et enfin embrassés, ce qui avait tardé. J'avais amené de l'eau et c'est lui qui m'a lavé. Ce geste m'a toujours manqué, excepté quand j'ai été à l'hôpital. Je me suis préparé, en marchant je sentais (délicieusement) les parois de mon rectum frotter l'une contre l'autre, il m'a accompagné sur le chemin jusqu'à la partie goudronnée et on s'est dit au revoir.
 
Je ne l'ai jamais revu.¤
gingerbuttandearslover: “ I wish someone was asking me that question! ” ~
jacopocamagni: “ The Wild #3 ” ~
 
 
 
  nakedpublicfun: “Fucking the ground ” ~
  ~
~ Thanks for the submission!
~
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commentaire :

Par ALEXANDRE - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 26 août 6 26 /08 /Août 15:08

J'ai commencé jeune et maintenant je suis à la recherche de ces moments magiques

J'ai entendu des histoires de gitans qui formaient leurs enfants ou des enfants enlevés à devenir, à leur propre profit, "escort" mâle ou emelle. Là il n'en est rien, mais c'est bien pareil pour ce qui est du résultat sur ma propre personne : je suis pédé de chez pédé et heureux de l'être.

Image associéeOn jouera à l'avion ? ou bien au train ?   Image associéeles images accompagnant ce texte n'appartiennent pas à Cavaillongay sont prises sur le net dans les catégories 18+ et peuvent être retirées sur dmande 
   Moi, Lazaro, je ne suis pas gitan et cette histoire, la mienne, est bien proche d'être vraie.
Cette histoire s'est produite il y a plusieurs années, lorsque je n'étais pas encore ado, mais à l'aube de l'adolescence, mes parents  avaient accepté de participer à une fête, pour laquelle ils ne voulaient pas qu'on soit seuls,  mes frères et moi, alors qu'ils ont demandé à un voisin, de les accompagner, ils ont demandé à son grand neveu de nous tenir compagnie, de crinte que nous ayons peur, n'étant pas encore d'âge à dmeurer seuls. D'abord, il a regardé la télévision dans la maison.
 
Le garçon, il devait avoir environ 17 ans, peut-être moins, plus je ne crois pas. Bon, les aînés allaient à la fête, presque tout de suite, nous avons commencé à jouer.
Mes frères ont commencé à dormir, puisque nous jouions sur un lit.
 L
aissés seuls, pour ainsi dire, le garçon m'a proposé de jouer à piloter un avion.
 
Je pensais que c'était la chose la plus cool.Je me voyais déjà aux commandes. Nous nous sommes couverts ensemble du dessus de lit qui figurait la carlingue, mais on était face à face. il m'a fait prendre un levier, qui était censé destiné à diriger l'avion, et le levier était son pénis, qu'il m'a invité à saisir comme un bon pilote ! J'ai fait comme il me disait.
 Quand j
e l'ai saisi il a tenu ses mains sur les miennes, disant que je devais apprendre et, soi disant, on montait nos mains et l'avion montait et on les descendait pour faire des piqués bien marrants et il me chatouillait pour me faire rire. A un moment il a dit que le moment du combat aérien était arrivé, que je devais aspirer le levier, parce que nous étions en difficulté par manque d'essence et qu'on pouvait s'écraser d'un instant à l'autre. Les jeux, quel qu'ils soient exigent qu'on se prenne au sérieux, même si on invente les règles au ur et à mesure. Ma tête s'est retouvée très proche de son pénis et son pénis dans ma bouche. Fais venir l'essence me répétait-il. Et j'aspirais sans doute ne croyant pas qu'il y avait de l'essence dans un imaginaire et invraisemblable réservoir, et sans doute non plus incapable de déceler la vérité de ces gestes et prenant au vol l'aubaine de ce jouet inconnu si peu semblable dans sa dimension au mien. 
 Je ne savais pas ce qu'il allait lui arriver , mais il m'a retourné, m'a mis sur le ventre, et a commencé à bouger plus vite jusqu'à ce que je me suis senti mouillé sur le dos.
 
J'ai alors compris que lui avait apprécié ce moment, m'a essuyé le mieux possible et m'a promis de ne rien dire sur ce qui s'était passé.
 
Ce fut le début d'une série de rencontres identiques où il me demandait si j'avais aimé qu'on joue et si, naturellement, je voulais qu'on recommence. Bien certain de la confiance que nos parents lui accordaient, saisissant tous les instants où on pouvait échapper à toute surveillance, il a commencé à s'occuper de mes fesses en les caressant agréablement ce que moi, couché dans l'herbe, j'appréciais très fort. Puis, après ses mains, lors de plusieurs rencontres c'était son pénis qui venait me caresser la raie et chatouiller l'anus. Anus dont il faisait le tour avec son index mouillé de salive. Il me demanda si ça me plaisait quand il entrait son doigt à l'intérieur. Je dis oui. Ca s'est terminé comme on ne peut que l'maginer par une pénétration largement acceptée puisque pour rester dans le domaine du jeu "on jouait au train" en rigolant  car je n'étais plus dupe et j'y prenais goût et si "faute" il y avait, je participais pour un bon 50%. D'abord, comme vous pouvez l'imaginer ce fut douloureux, mais très très vite je commençai à aimer ça.
 
Nous avons commencé à le faire souvent, je devenais déjà son petit copain, flatté de ce qu'un grand me soit si attaché. Une fois qu'on  baladait, un de ses amis m'a caessé les fesses, là j'ai eu peur : quelqu'un d'autre savait... Je le reprochai à Kevin. Je me mis à avoir honte chaque fois que je me trouvais hors de la maison. J'en souffrais.
 
Au fil du temps, Kevin m'expliqua, c'était souhaité par ses amis, et il proposait, si je voulais, que je puisse essayer avec l'un d'entre eux, qui voulait essayer de me "tirer"comme disait Kevin.
 
Avec le temps et la façon dont il m'expliquait et tâchait de me convaincre, j'ai fini par céder et  recevoir le sperme de un, puis deux, puis ses cinq amis qui voulaient bien faire la locomotive alors que j'étais simple wagon ! .
 
C'était le début de ma poursuite de plaisir avec les autres garçons, et j'ai eu de la chance en ce sens, parce que j'ai rencontré des garçons, et progressivement plus tellement si jeunes, des garçons, devenus ou quasiment ou complètement hommes avec qui j'ai passé de bons moments, et quelquefois les meilleurs moments de ma jeunesse. Jamais je n'oublierai Kevin ni son rire désarmant...ah, jouer encore à l'avion !!!!¤
LAZARO

COMMENTAIRE :

Par LAZARO - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 25 août 5 25 /08 /Août 18:23

    Image associéeSe les (faire ) couper ? La dépendance au sexe revient, pour un gay, à une dépendance à un autre homme. Ayant subi le tiraillement désir, après des échecs dans leurs rencontres, certains envisagent cet acte extrême qui consiste, pour un mâle, à supprimer la cause physique de ses ennuis : la castration volontaire.

La pulsion sexuelle peut être vécue comme une souffrance ou une soumission insupportable à l’impératif naturel par certains hommes. D’où leur désir de recourir à la castration chimique (réversible) ou physique (définitive).

La question de la castration est rarement évoquée publiquement, sauf quand il s’agit de l’imposer ou de la proposer à des pédophiles ou des violeurs. L’acte volontaire, lui, est rare.

C'est un phénomène que l’on comprend généralement mal. Il existe une grande variété de profils d’hommes qui choisissent cette solution. D’âges très différents, ils commencent généralement à envisager la possibilité aux alentours de 20 ans et passent à l’acte en moyenne vers 40 ans.

Ces hommes souhaitent une chute de leur libido

Mais attention, ils n'obtiennent pas sa disparition totale ce qui continuera à les faire souffrir et pourront-ils  arriver à soulager leur mental s'ils ne peuvent plus soulager leurs glandes mortes ?

  Les conséquences de la castration

Les conséquences les plus connues de la castration, physique ou chimique, sont une chute de la libido (mais pas sa disparition totale), un rétrécissement génital, un certain gain de poids et une diminution de la pilosité. Le fait est que ce sont précisément ces manifestations qui sont recherchées.

 

A l'extérieur on veut rester un homme, en son for intérieur on ne l'est plus

Philippe Liotard raconte la difficulté d’accès aux informations sur ce sujet : « Le caractère secret de la démarche comme la volonté de conserver une identité sociale honorable ne pousse pas à la confidence. Cependant, avec l’avènement d’Internet, des communautés virtuelles se sont constituées qui permettent des échanges mondiaux sur la question ».

Selon de nombreux interlocuteurs, le fondement de la décision doit reposer sur la certitude qu’a la personne que la castration entraînera bien une amélioration de sa vie.

J. est un des rares Français assidus sur les différents forums (anglophones) de discussion consacrés aux eunuques. Dans des propos recueillis par Philippe Liotard, il explique que, pour lui, « l’idéal ce serait de ne plus être rien. Ni homme, ni femme ». (ndlr !!!!)

« Les effets principalement espérés de la castration ne se réduisent pas à des questions d’anatomie, note P. Liotard. Bien au contraire. Les témoignages des eunuques (témoignages qui alimentent les désirs de ceux qui aspirent à le devenir) privilégient un état de bien-être, un calme qu’ils ressentent peu de temps après l’opération. »

Au centre du désir de devenir eunuque se situe la volonté d’accéder à une nouvelle sexualité, mieux maîtrisée, moins « animâle », la volonté aussi d’échapper aux comportements attendus des hommes en matière de sexualité.

La pression des normes morales

Mais, pour J., la question principale reste de trouver quelqu’un qui puisse réaliser l’opération. En effet, l’acte castrateur, en raison notamment de son irréversibilité, fait peur.

Les médecins sont réticents (voir encadré), à tel point que sont apparus des « cutters », autrement dit des « coupeurs ». Il s’agit de non médecins qui réalisent ce type d’intervention, le plus souvent en dehors de toute structure hospitalière. Avec tous les risques que cela comporte, comme les faiseuses d’ange dans les pays où l’avortement est interdit. Une extrémité à laquelle J. ne se résout pas : « Avec un cutter : moi je le ferai pas. Je regrette de ne pas trouver en France un médecin qui accepte de m’opérer. Ce serait une manière d’avoir le choix. Là, on ne me laisse pas le choix ».

Les médecins sont réticents
Voici ce qu´écrit un internaute sur le forum :« Je n´ai pas l´âme paisible et le self-contrôle d´un moine capable de balayer ses pulsions sexuelles. Je n´ai pas la chance d´être naturellement asexuel. Je regarde du porno pour combler mon manque ce qui ne fait probablement que l´augmenter et me fait terriblement honte (j´ai 100 fois essayé en vain d´arrêter, c´est une vraie addiction).
Les rencontres d´un soir ne m´intéressent pas, et je n´envisage pas non plus de recourir à une « professionnelle », l´idée même me dégoute.
Je sais qu´il existe des traitements dits de « castration chimique » qui éliminent les pulsions sexuelles de façon hormonale. S'ils sont utilisés pour les pervers et autres pédophiles, je ne vois par pourquoi ça ne marcherait pas sur un homme « normal ». Un tel traitement me permettrait de me débarrasser de toute frustration et probablement d´être heureux. »La réponse du site :« La notion de « castration chimique » ne peut se concevoir que dans 2 cas: certaines formes de délinquance, comme signalé plus haut, et dans le cadre du traitement du cancer de la prostate.
L´envisager dans la problématique de [l´internaute] ne me parait pas possible. L´éthique médicale française interdit d´attenter à l´intégrité physique ou physiologique d´un individu sain de corps et d´esprit, même sur sa demande. De plus, libéraliser cette pratique serait la porte ouverte à bon nombre d´abus condamnables.
En bref, il ne faut pas « jouer » avec la normalité physiologique, ce n´est pas très sain et peut engendrer des regrets trop tardifs.
Bien sûr, il existe des médecins moins « regardants » ou avec une morale plus élastique. Mais dans ce domaine là, ils ne doivent pas être très nombreux. »La réaction de l´internaute un peu plus tard :« Je retombe un peu par hasard sur mon message près d´un an après. Merci à ceux qui m´ont répondu, certains messages m´ont bcp éclairé.  Avec le temps, j´ai compris que si le désir était physique et hormonal, la frustration, elle, est cognitive, et aucun produit chimique ne m´en débarrassera. »

 

« Cognitive » et… « affective ou émotionnelle », comme le dit bien une intervenante dans la discussion.

À sa connaissance, il n’y a pas d’eunuque volontaire en France. La quasi totalité des eunuques « réalisés » vivrait en Amérique du Nord. Sans doute en raison de la forte pression des normes morales qui y sont à l’œuvre. « Le tiraillement est tellement douloureux entre les pulsions sexuelles ressenties et l’exigence de maîtrise que la castration apparaît un moyen radical d’entrer dans le droit chemin », écrit le rédacteur de l’article.

Pour en savoir plus

Pour faire face à des pulsions sexuelles incontrôlées, différentes voies sont possibles :
– opération chirurgicale. Irréversible, elle est à déconseiller la plupart du temps.
– traitement par médicament (castration chimique). Attention, la voie chimique seule risque de n’être pas suffisante. Il sera intéressant également de se faire accompagner sur le plan psychologique ;
– traitement psychologique, psychanalytique, psychothérapique. Pour ces trois voies (opération, médicament ou psychologie) : renseignements dans les services d’andrologie ou d’urologie de votre région ;
– voie spirituelle : méditation, prières, changement de nourriture, naturopathie, etc.
Tâchez de trouver une personne de confiance et impartiale pour vous accompagner dans vos démarches.

Face au refus des chirurgiens de les opérer, des hommes trouvent des praticiens qui acceptent de le faire dans la clandestinité, comme l’avortement auparavant, c’est-à-dire avec des risques non maîtrisés. Ces opérateurs sont accessibles par internet.
D’autres peuvent tenter leur chance dans des pays où la pratique existe à certaines conditions, comme en Suisse, au Canada ou en République Tchèque.

On peut aussi se renseigner :

– auprès des différents CRIAS (Centres de Ressources pour les Intervenants auprès des Auteurs de Violences Sexuelles) existant en France :
http://www.criavs.org/
– Association L’Ange Bleu (Association Nationale de Prévention et d’Information Concernant la Pédophilie) : elle écoute aussi bien les victimes des pédophiles que les pédophiles qui cherchent des conseils pour s’en sortir :
http://www.ange-bleu.com/
Les principaux moyens chimiques d’agir sont : Androcur (comprimé) et Salvacyl (injection).

 

Par LIOTARD + claudio - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 25 août 5 25 /08 /Août 15:25

prêt à me flinguer pour toi

Image associée MI AMOR! MON MÂLE D'ARMOR

 

 

Un matin, un matin chagrin,

je me suis réveillé(e), avec envie de rien.

J'avais perdu le goût de vivre.

Je voulais en finir , même mourir.

Tu es parti, il ne me reste que des souvenirs.

Ta photo jaunit, je la déchire.

Ma tête bourdonne à ne plus en finir,

de ces nuits trop longues où je me meurs sans toi.

Tu étais mon amour, tu étais moi.

J'ai gâché ma vie, je l'ai ratée .

Laisse- moi au moins une chance.

La chance de tout recommencer.

Comment? Tu ne veux plus de moi .

Mon corps est en émoi, je rêve de toi.

Bien sur je peux changer de vie.

Je peux même changer de village.

Mais à mon âge, ce serait qu'un mirage.

Je m'en fous du monde entier.

Je veux juste t'aimer.

Si tu ne reviens pas bientôt.

Je te jure , je me fais la peau.

Quoi ?Mes mots dépassent mes maux .

C'est vrai , tu n'es qu'un gigolo!

Tu as trouvé une petite jeunette,

pour faire avec toi la fête.

Oui! Mais, je t'ai dans la peau.

J'ai le mal d'amour, le mal de toi .

Tu étais mon mâle d'Armor.

« Mi Amor » .

Je t'aime encore....


Read more at http://amtealty.e-monsite.com/pages/defis-d-abeilles-50/mi-amor-mon-male-d-armor.html#547ZqfThWtdjQ7E6.99

 

 

Par TIRNOUTIENOU - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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