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  DR LACASS

Comme cadeau d'anniversaire de son épouse, Scott avait été inscrit à un essai médical intensif, d'une durée de plusieurs mois, qui visait à aider les gens à surmonter leur bégaiement, il avait juste besoin d'un peu d'aide professionnelle pour le mettre sur le bon chemin.

Après quatre mois sans orgasme, Scott a été poussé au bord de la folie. Pendant toute la durée de son séjour à la clinique, il a été empêché de faire des tentatives de parler, par l'intermédiaire d'un bâillon épais et serré autour de sa tête. Les médecins avaient l'espoir qu'après un temps suffisant sans libération sexuelle, l'homme vocalement contesté trouverait la force de prononcer des phrases complètes avec une facilité consommée. Ils ont imaginé que - comme tous les hommes inscrits dans le processus de recherche avant lui - la première exclamation de Scott serait «J'ai besoin de décharger, vite !" Ou "S'il vous plaît laissez-moi décharger !" Ou quelque chose de similaire.

Les mots de malédiction et les cris d'animal ne comptent pas comme des phrases complètes, selon les règles de la clinique. Souvent, quand un homme est soudainement capable de s'exprimer de nouveau après des mois de tourments sexuels et de forcer son mutisme, il sera trop excité pour s'exprimer au-delà des grognements et des gémissements. .

Le bégaiement de Scott avait disparu après un mois de diète, son besoin de libération sexuelle avait magnifiquement peaufiné ses compétences en matère de vocalisation. Les trois mois supplémentaires ont été le résultat d'une erreur humaine de la part des médecins qui ont rempli ses papiers, leur incompétence ayant des ramifications terribles sur sa liberté et sa santé sexuelle. Au sein de la clinique, quelques clics mal contrôlé vérifiées avaient le pouvoir de faire dérailler les espoirs d'un homme «guéri» . C'était tout ce qu'il fallait.

Le jour de sa prochaine tentative de parler est arrivé et, après cinq heures que des  stagiaires médicaux tourmentant sa corona et pisslips avec Q-tips humidifiés, le bâillon de bave a été enlevé. Malheureusement, le premier mot de Scott fut un "Fuuuuuuuuuuuuck !!!" bredouillé. Sa langue se battait vaillamment contre le baillon envahissant, mais les mains fortes du jeune stagiaire avaient rempli sa bouche en un rien de temps, laissant Scott incapable de faire autre chose que de crier avec une rage incohérente. Sa femme a été tellement déçue quand elle a reçu l'appel l'informant que son mari ne rentrait pas à la maison. Mais les médecins lui ont dit qu'ils étaient confiants que Scott était dirigé dans la bonne direction. Avec toute sa frustration sexuelle accumulée, ont-ils raisonné, il trouverait sûrement la volonté de parler tôt ou tard.

... Ou il perdrait son esprit, et serait remis à la garde de l'hôpital pour le reste de sa vie. Un ou l'autre. Le temps nous le dira. 

  Dr Lacass et ses collaborateurs :  

Le professeur prit son temps et utilisa tous ses jouets sur le jeune homme, le bordant sans pitié. Maintenant il était temps pour la sonde vibrante profonde, et la lente agonie de la roue de langue de latex. Cette épreuve est loin d'être terminée

there   

   Ayé, il balbutie... 

  sa détend !