ELOGE DU BAREBACK A BAS LES TABOUS & NOKAPOTE

Lundi 2 janvier 1 02 /01 /Jan 07:40

  Il rentrait là chez-lui, content, le cul dilaté par la 1ère pénétration  

    En y repensant, son baiseur n’avait rien de bien séduisant, plutôt petit, les cheveux bruns dégarnis, un embonpoint caché sous son blouson, le souffle court de celui qui est excité par le plaisir à venir.

 

Benjamin ressemble à un jeune comme les autres. Un joli garçon aux cheveux châtains avec une petite mèche rebelle en travers du front, mince même s’il mange avec appétit, avec quelques poils sur le menton et un regard intense avec ses yeux verts. Il a reçu une éducation ferme mais affectueuse avec des parents aimants où l’on avait de la pudeur et où on ne parlait pas de sexe. La vie d’un jeune de notre époque dans toute sa banalité. Une bande d’amis qui ne se sont pratiquement pas quittés depuis l’école primaire dans cette petite ville où tout le monde se connaît plus ou moins, des attentes, des rêves et des bières qu’on boit tous ensemble sur un banc en demandant les cigarettes de ceux qui en ont. Et il y a les filles. À 18 ans, Benjamin est encore vierge. Il aimerait bien pouvoir faire l’amour mais difficile pour lui d’aborder celles qu’il trouve mignonnes. On se croit adulte mais on reste encore l’adolescent timide qu’on était, quand les premières fêtes entre copains étaient l’occasion de connaître les premiers flirts, avec l’alcool qui était le meilleur allié où le pire ennemi de ceux qui voulait se donner du courage.

 

Mais il y avait chez Benjamin une tentation qu’il n’avait jamais avouée. Il aimait les filles et les regardait dans la rue, il n’y avait aucun doute. Mais il se sentait excité par la simple idée d’avoir une relation avec un homme. Non pas des sentiments, mais une expérience sexuelle avec un inconnu. Il s’était déjà inséré des doigts dans l’anus et trouvait la sensation agréable. Il pensait qu’être pénétré par une verge pourrait lui provoquer un vif plaisir même s’il n’en était pas sûr. Dans cette petite ville de la Nièvre, difficile de satisfaire ce fantasme sans s’exposer. La crainte que les amis le sachent et en rigolent, que les parents l’apprennent, il en aurait été mort de honte. Difficile d’exprimer à son âge des fantasmes comme celui-ci sous peine de passer pour un « pédé ». Cette crainte donnait à ses fantasmes un piment encore plus irrésistible quand, dans la chaleur de son lit, Benjamin fantasmait à l’idée de s’offrir à un homme plus âgé qui profiterait de son cul, sans lendemain, sans sentiments.

 

Pourquoi des hommes mûrs ? Ce fantasme, s’il le tourmentait de plus en plus souvent depuis quelques mois, n’était pas pour lui une fierté. Le fait d’avoir une relation sexuelle avec un homme lui laissait un mélange d’excitation et de honte. Son éducation n’incluait pas qu’une personne puisse avoir des relations avec une personne du même sexe. Avec un homme plus âgé, cet écart de génération le rassurait plus que d’être avec un jeune de son âge. La distance de l’âge aurait été pour lui comme une distance avec cette expérience qu’il voulait sans pour autant se considérer comme homosexuel. Il avait lu sur internet que beaucoup d’hommes mariés cherchaient des expériences avec d’autres hommes, et souvent plus jeunes. Il n’aurait alors pas beaucoup de difficultés à donner envie, se sachant à son tour source de fantasmes. Et puis un homme plus âgé aurait aussi plus d’expérience pour que ce moment soit meilleur. Les femmes mûres étaient pour lui son autre grande source de fantasmes, il s’imaginait qu’elles aiment les jeunes inexpérimentés comme lui pour leur enseigner les choses du sexe, comme une relation de maître à élève.

 

Ce fantasme l’accompagnait souvent le soir avant de s’endormir. La frustration de ne pouvoir utiliser la connexion familiale à internet pour assouvir la vision de scènes homosexuelles l’incitait encore plus à chercher à passer à l’acte. Il aurait aimé voir des films gays, juste pour être sûr que ça pourrait lui plaire, mais c’était difficilement possible. Comme pour les filles, le poids de la timidité, de l’éducation et du manque d’expériences bridait ce sexe qui bandait plusieurs fois par jour en attendant de pouvoir donner ou recevoir du plaisir, laissant des traces blanchâtres sur ses caleçons. La peur de passer à l’acte nourrissait le fantasme, le fantasme nourrissait le désir.

 

Il savait qu’à quelques kilomètres de D. Se trouvait un bois connu pour être un lieu de rencontres homosexuelles. On en plaisantait dans les familles. Celui qui était soupçonné d’avoir ce genre de goûts tombait sous l’expression « d’aller de temps en temps au bois du T. ». Benjamin se disait que ce lieu pourrait être envisageable. Il n’y avait pas dans la région de lieux de rencontres homos comme des bars ou des discothèques et même si c’était le cas, il ne pouvait s’imaginer pousser la porte seule de ces établissements. Pendant plusieurs semaines, cette idée d’aller dans ce bois trottait dans sa tête. Le pour et le contre se mélangeaient dans son esprit : l’excitation de la rencontre avec un inconnu, y aller seul, sentir une sexe le pénétrer, la peur des maladies, le goût d’un sexe, le plaisir, la peur que ses proches l’apprennent, être agressé, avoir un orgasme, la honte d’une sexualité différente, toucher un sexe dur, la douleur de la pénétration, le sperme, mettre un préservatif, la gendarmerie qui viendrait faire une descente, le doute sur sa sexualité…

 

Un samedi après-midi, Benjamin se décidait à y aller. Ce fantasme l’obsédait et il voulait le satisfaire pour calmer ces films qui se déroulaient dans sa tête. Il se disait qu’il était un peu dérangé de faire des choses comme ça mais durant le trajet, son cœur battait fort, sa queue grossissait dans son pantalon en même temps que sa bouche devenait sèche. Il venait de trouver l’endroit mais décidait de se garer un peu plus loin pour ne pas que quelqu’un puisse reconnaître sa voiture garée sur la petite clairière en terre battue qui donnait sur le petit chemin forestier bien connu des amateurs de plaisirs discrets et rapides. Le chemin qu’il faisait à pied pour atteindre cette clairière lui avait rendu la bouche complétement sèche à cause de l’excitation. On était en janvier, il faisait froid et le ciel était lugubre. Benjamin pensait qu’avec ce temps, il n’y aurait personne. Ça n’aurait pas été décevant pour lui, le simple fait d’être présent ici était déjà une victoire de sa volonté. Mais sa queue avait débandé sous le coup d’une légère angoisse qui l’envahissait à mesure qu’il se rapprochait du chemin forestier. Les feuilles tombées donnaient plus de visibilité au regard dans cette forêt. Une Opel Corsa grise était garée mais on ne devinait personne.

 

Après avoir fait une cinquantaine de mètres sur ce chemin, il vit un homme se rapprocher sur sa droite à travers les arbres. Ses pas faisaient craquer les branches mortes et soulever quelques feuilles mortes. Benjamin croisa son regard pendant une seconde et l’expression de cet homme ne laissait aucun doute sur ce qu’il cherchait ici. Il l’avait regardé avec insistance, le visage fermé et concentré de celui qui veut et attend quelque chose. Benjamin continua lentement sa route, sans s’arrêter, le cœur battant la chamade, paralysé par la peur d’être si près d’un homme qui pourrait répondre à son fantasme. L’homme semblait avoir arrêté de marcher, il n’entendait plus ses pas derrière lui. S’arrêtant à son tour, Benjamin vit l’homme à une vingtaine de mètres qui n’osait plus continuer, sans doute pensait-il que ce jeune homme n’était visiblement pas là dans cette forêt pour ce qu’on y fait habituellement. Benjamin fit alors demi-tour. Passer devant lui en faisant mine de s’être trompé de chemin pourrait peut-être provoquer un dialogue, l’excitation lui avait redonné une belle érection mais il n’était pas sûr des intentions de cet homme. Ce n’est qu’en se rapprochant qu’il vit que ce cinquantenaire avait son sexe sorti de la braguette de son pantalon. Un gros ver blanc que l’homme touchait de sa main sans s’arrêter de regarder Benjamin. L’homme lui demanda simplement :

 

— Tu en as envie ? en lui montrant du regard sa queue et Benjamin répondit par un timide « oui », la gorge serrée.

— Alors suis-moi, je connais un endroit plus tranquille dans la forêt. Tu viens souvent ici ?

— Non, c’est la première fois.

— Tu as quel âge, tu me parais jeune pour fréquenter un lieu pareil…

— Je vais avoir 19 ans en mars, je cherche juste du plaisir en fait.

— Et quoi exactement ?

— J’aimerais bien sucer mais je sais pas si je voudrais aller plus loin…

— Ok, on verra bien comment tu te sentiras. Tu es mignon toi, tiens, on est presque arrivés, c’est le petit bosquet que tu vois à gauche vers le talus.

 

L’homme n’avait rien de bien séduisant à vrai dire. Il était plutôt petit, les cheveux bruns dégarnis et un embonpoint qu’on devinait sous son blouson bleu sombre. Il parlait avec le souffle court de celui qui excité par le plaisir à venir, visiblement habitué à ce genre de rencontres. Il avait un air cochon, vicieux qui n’était pas pour déplaire à Benjamin qui ne cherchait pas à placer des sentiments dans cette rencontre. Seul le plaisir et le contact sexuel avaient de l’importance.

 

— Allez, tu veux te mettre à genoux pour me sucer un peu ?

 

Benjamin était à genoux devant cet homme dont il ne connaissait même pas le prénom. Il commença à sucer le sexe pas encore raidi de son amant de la forêt. C’était chaud et la peau du prépuce était douce quand il la pinçait avec ses lèvres. Il sentait son eau de toilette bon marché et dans cette situation, elle avait une bonne odeur : celle d’un homme à qui il suçait le sexe. C’était le parfum d’un moment intime en forêt.

 

— Il fait froid, hein ! Mais continue à sucer, ça va venir…

 

Lentement, Benjamin sentait que la queue prenait de plus en plus de place dans sa bouche et en voulant la branler, il voyait pour la première fois face à lui un sexe bandé autre que le sien. C’était chaud, sa main glissait le long du membre avec plaisir et il regardait ce gland lisse et brillant, bien plus gros que le sien. Il regardait tout de même autour de lui si personne ne venait. Mais tout était calme. Suçant de nouveau, il caressait avec plaisir les testicules qui étaient plaqués et durcis sous l’effet du froid contre le corps de cet inconnu. Sa main était posée sur la tête de Benjamin et cherchait à donner du rythme à ses allers-retours. Benjamin goûtait avec plaisir l’impression d’être une sorte de jouet sexuel, de sentir l’odeur d’un sexe. De la salive coulait de sa bouche à mesure que la pression de cette main sur sa tête s’accentuait. L’homme soudain s’arrêta, sortit la queue gluante de la bouche de Benjamin et lui demanda de baisser son pantalon pour le caresser un peu.

 

Benjamin avait remonté son blouson pour défaire son pantalon, baisser son caleçon et montrer sa queue. Trop ému de la situation et peut-être sous l’effet du froid, il ne bandait pas mais son excitation était à son paroxysme. L’homme caressait son sexe d’une main et de l’autre lui caressait l’entrejambe en cherchant à approcher ses doigts de son anus. Benjamin se retourna et par réflexe se pencha en avant en plaçant ses mains contre un arbre. Il se sentait prêt à être pénétré. Son initiateur se prépara, sortit un préservatif qu’il plaça sur son gland en le déroulant avec la rapidité que donne l’habitude. Il mouilla le bout de ses doigts pour humidifier le trou de Benjamin et le bout de latex. Sans chercher à le pénétrer avec des doigts au préalable, il plaça son sexe à l’entrée de l’anus et demanda à Benjamin de plier tout doucement ses jambes en basculant le bassin pour faire entrer en douceur sa bite. Après la troisième tentative, Benjamin sentit que son trou s’était élargi et que la queue pénétrait son intimité, élargissait son muscle intime.

 

Il n’avait pas mal contrairement à ce qu’il avait pu lire sur la sodomie. Une douce chaleur envahissait son bas-ventre, la sensation du sexe dans son anus lui procurait un vif plaisir en lui coupant toute possibilité d’avoir une érection malgré les caresses de l’homme qui du bout des doigts caressait son sexe circoncis. Il sentait la respiration bruyante de son étalon qui faisait en douceur de petits allers-retours tout en lui demandant si tout allait bien. Il laissa tomber de la salive sur son sexe pour lubrifier encore un peu et accéléra la cadence. Penché en avant, embrassant de ses bras le petit arbre qui lui servait d’appui, le blouson remonté au niveau du nombril, Benjamin goûtait à sa première sodomie avec le délice d’avoir eu le courage d’aller jusqu’au bout de l’expérience.

 

Les mains calleuses de l’homme sur ses hanches (il devait avoir un métier manuel pour avoir des mains aussi râpeuses) lui procuraient une agréable sensation, il se sentait soumis, dominé par la lubricité d’un cochon trop content d’en profiter sur un jeune qui avait l’air de goûter au cul pour la première fois. Benjamin découvrit aussi par la même occasion, que son corps pouvait donner du plaisir à un autre, qu’il pouvait soulager l’excitation d’un homme en écartant tout simplement ses fesses pour laisser entrer sa queue. Il se sentait un peu salope et il aimait ça. Il n’y avait pas de recherche des deux côtés autre que celle du plaisir et ils en étaient bien contents. Ils étaient venus dans ce bois pour du cul, le premier avec sa curiosité et son émotion, le second avec son habitude.

 

L’homme ne tarda pas à jouir, Benjamin sentait ses mouvements désordonnés et ses râles en même temps que sa queue s’enfonçait jusqu’à la garde. Il resta quelques instants puis se retira de Benjamin. En se retournant, il vit avec plaisir le préservatif rempli de sperme qui pendait au bout de la queue. L’homme l’enleva, fit un nœud et le jeta plus loin. Tout en essuyant sa queue avec un mouchoir et en lui en proposant un pour nettoyer son anus dilaté, il lui demanda s’il avait aimé.

 

Benjamin sentait une petite douleur dans son anus mais qui n’était pas désagréable. Il répondit d’un « oui » aussi bref et timide que le « oui » qui avait débuté l’échange avec cet homme qui semblait ne plus faire trop de cas de Benjamin maintenant qu’il avait joui. Il lui demanda simplement s’il avait besoin d’être ramené quelque part. Benjamin ne voulait pas dire la vérité pour qu’il puisse identifier sa voiture et lui dit simplement qu’il connaissait un chemin à travers les prés pour retrouver le petit village voisin où il habitait. L’autre lui dit alors qu’il venait souvent les samedis ici et que s’il voyait sa voiture, il pourrait lui donner de nouveau « des coups de sa pine ». Sans trop savoir pourquoi, Benjamin lui demanda s’il était marié. L’homme eut une mine de dégoût avant de lui dire que non. Ils n’avaient plus rien à se dire.

 

Le terme « coups de pine » résonnait dans la tête de Benjamin durant le trajet retour. Il était encore ému de ce qu’il avait réussi à faire, ne pensant pas qu’il en aurait été capable. Il avait donné du plaisir à un homme et même s’il n’avait pas éjaculé, la vision de ce préservatif contenant la semence avait été pour lui une source de plaisir. Il avait eu du plaisir à donner du plaisir. Il espérait simplement ne pas croiser cet homme quand il sera avec sa famille ou ses amis. Il aurait eu du mal à cacher son trouble face à cet homme qui lui a révélé le plaisir de la sodomie. Il rentrait chez ses parents avec la sensation agréable de son cul dilaté.

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"Jeune auteur de textes à mes heures perdues mais sans trop savoir quelles qualités (ou absence de qualités) je possède dans mon style, je voudrais vous faire partager mon imaginaire pour pouvoir mieux me connaitre en tant qu'auteur."Julien Mar

commentaire : "un vrai partage de sensations éprouvées avant, pendant et après la draague. Merci." stylestylo

Par JULIEN MAR - Publié dans : ELOGE DU BAREBACK A BAS LES TABOUS & NOKAPOTE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 31 décembre 6 31 /12 /Déc 09:33

  Des capotes… Ouais bien sûr j'en ai, mais mon kif c'est de rendre mon mec bien pute et ça me fait tripper qu'il se fasse tirer au jus. Je sais qu'il vaudrait mieux mettre des capotes mais une pute c'est fait pour se faire remplir, non ? Puis merde, c'est mes potes, quoi. Je lui dis :
-       Ouais si tu veux, dans la table de nuit. Mais je te fais confiance, t'es pas obligé. 

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Trop bon cette p'tite soirée entre mecs. Ma poule est pas là, elle révise pour ses examens, alors j'en profite avec mes potes. A part moi, Mehdi, y a Kamel, c'est un poto d'enfance, on se connaît depuis, j'sais pas, 20 ans ? Il est cool, toujours calme, il a l'air timide comme ça mais c'est un mec en or et je l'ai vu 2 ou 3 fois foutre une putain de raclée à des mecs de la cité d'à côté. On se méfie pas assez des mecs calmes ! À côté de moi y a Jordan, un pote du taf, il fait au moins 1,90 mètres et il est tout keuss. On bosse ensemble dans une boîte de dépannage de PC. Il est comme moi Jordan, il a arrêté le lycée avant le bac et il a bien galéré pour trouver un taf après avoir zoné un ou deux ans. Il est sympa mais un peu bizarre, il parle tout le temps de meufs, à l'écouter il s'en tape trois par semaine. Je crois qu'il mythone pas mal quand même, en plus il est trop laid, il a des dents pourries et un pif de ouf. Ce soir il a ramené un autre pote à lui, Ahmed, putain il est trop gros lui, je sais pas comment il fait, il doit faire 100 kilos ! Mais ça va il est tranquille et il a ramené v'la de la beuh* ! D'la bonne en plus, ça se sent. (*herbe en verlan)

Les deux autres c'est Jean-Luc, il était au collège avec moi, on se tape des bonnes barres lui et moi, je le charrie sur son look de rappeur avec ses strass partout sur sa casquette et tous ses bijoux en plaqué. Il a déménagé y a 3 ans et il habite loin maintenant, donc ça fait longtemps qu'on s'est pas vu mais on s'adore. Et le dernier, Steph, un grand hyper barack avec des bras musclés de fou, lui je le connais pas trop mais je sais qu'il bosse dans la sécurité et ça me brancherait bien de changer de taf, du coup je l'ai invité pour faire plus connaissance. Bref on est tranquille, on s'est ouvert des bonnes bouteilles de whisky et on fume depuis une heure au moins.

Je tire sur mon joint tranquille quand Kamel, mon pote d'enfance, me fait :
-       Eh au fait il est où ton mec ?
-       Il révise, il a des examens bientôt. Il bosse comme un chien là.
J'ai pas de problème avec ça, mes potes savent que je suis avec un mec. J'suis pas gay, plus bi, mais lui c'est juste le mec parfait pour moi et ma bite. Il me suce trop bien et son cul est juste parfait. En plus il a un corps de nana, tout mince avec des hanches de meuf et pas un poil. Mais je vois Steph, le baraqué de la sécurité, qui fait tilt quand même et me lance :
-       T'es pédé toi ?
-       T'es ouf mec suis pas pédé. Mon mec c'est ma poule, c'est ma pute, c'est tout. C'est un mec mais c'est comme une meuf.
Y a Kamel qui confirme :
-       Ah ouais tu l'as jamais vu en fait ? Sérieux c'est vrai ce qu'il dit, franchement on dirait une meuf au lit.
-       Quoi tu te l'es tapé ou quoi ? fait Jean-Luc, mon pote du collège.
Steph s'en étouffe dans son verre de sky et je vois Ahmed, le gros, qui nous regarde avec deux yeux comme des soucoupes. Y a Jordan, du boulot, qui  dit rien, il connaît pas encore toute ma vie mais y a quelques jours au taf je lui avais déjà expliqué certains trucs quand même. Je fais un petit récap pour Steph le baraqué et Ahmed le gros :
-       Ok les mecs je la fais courte, au départ je baisais que des nanas, parfois des p'tits keumés quand j'étais en chien, mais y a deux ans j'ai rencontré un mec, un putain de bogoss qui m'a trop fait tripper. On s'est installés ensemble et maintenant c'est comme ma meuf, sauf qu'en plus il kife vraiment grave la bite donc j'en fais profiter les amis quoi. Hein Kamel ?
Kamel, mon pote d'enfance, acquiesce. C'est un des premiers à avoir baisé mon mec quand je me suis mis avec. Depuis à chaque fois qu'il vient à la maison il a droit à une pipe ou même plus. Je lui fais une totale confiance.
-       Nan c'est vrai, fait Kamel, franchement son mec c'est mieux qu'une meuf, il suce trop bien et il a un boule de fou.
Je vois le gros Ahmed qui a l'air bien intéressé quand même :
-       Il paraît que les pédés ils sont plus putes que les meufs. Surtout les françaises, elles veulent pas faire plein de trucs.
-       Putain ça c'est clair, lance Jordan, le grand maigre du taf. Trouver une meuf qui avale c'est trop galère.
Je confirme :
-       Moi mon mec il fait ce que je veux, si je lui dis d'avaler il avale, c'est tout. Et si je veux lui niquer le boule je le nique et voilà. Il a pas le choix de toutes façons.
Avec l'alcool et la beuh, ils sont tous curieux. Ils me posent plein de questions sur les trips que je me suis tapé. Je leur raconte comment je prête ma poule à mes potes et comment lui il est toujours opé ! (=Prêt)  Franchement ils ont du mal à me croire, sauf Kamel qui sait bien et qui leur raconte :
-       La semaine dernière c'était quoi ? Vendredi ? On l'a niqué en tournante avec Mehdi et Karim, un cousin, putain Karim il lui a mis la misère. C'est un vrai ouf ce gars.
-       Il lui a démonté la chatte, un truc de ouf. Sérieux mon mec il en pleurait. A chaque fois qu'il lui demandait d'arrêter il se prenait un coup de pied dans le ventre, c'était grave kiffant.
Je raconte ça sans problème, je sais que mon mec a kiffé. Parfois ça va loin mais je sais qu'on peut dépasser certaines limites. C'est toujours sous contrôle ; il a des p'tits bleus des fois mais je prends soin de lui quand même. N'empêche c'est vrai que ce Karim c'était un peu un malade.
À ce moment-là j'entends la clef dans la serrure et mon mec arrive. Il est trop mignon. Il fait genre 1,75 mètres, tout mince, tout blanc, il a aucun poil et une p'tite gueule d'ange. En le voyant on se doute pas mais moi je sais que c'est une vraie salope. Il kiffe tellement la bite, putain ! C'est trop bon d'avoir une pute comme ça à dispo. Je lui lance :
-       Ça va ma poule ? On parlait de toi justement !
-       Ah ouais ? J'ai bien fait d'arriver avant que ça devienne méchant alors !
-       Mais nan t'inquiète on parlait de vendredi soir dernier. Je disais que Karim t'avait méchamment abîmé, tu te souviens ? Hein Kamel ?
Je vois Kamel qui se marre et je regarde mon mec en souriant. Lui aussi il sourit mais il a l'air un peu gêné. Je me rends compte qu'il connaît presque personne alors je fais les présentations :
-       Les mecs, je vous présente ma poule ; ma poule, je te présente Jordan, Jean-Luc et Ahmed. Et Steph tu le connais non ? Il était là au nouvel an.
Je vois les yeux de mon mec qui pétillent. Ben ouais il se souvient, Steph on l'avait vu ensemble à la soirée du réveillon et je connais assez bien ma pute pour savoir qu'il se le serait bien tapé. Ça m'avait chauffé d'imaginer ça mais ce con il s'était barré avec une nana. Bref je reviens à ce que je disais avant que ma poule arrive :
-       Les gars je vous dis pas comment Karim il s'était défoulé. Mais bon c'est un pote, c'est normal, j'allais pas le priver de ça quoi.
Kamel sourit, Jean-Luc et Ahmed se marrent. Jordan, lui, ne dit rien, il me regarde bizarrement et me lance :
-       Mais sérieux ça te fait pas chier que ton mec se fasse tirer par d'autres keumés ? Moi ça me foutrait les boules que ma nana aille voir ailleurs.
-       Mec c'est pas d'autres keumés, c'est mes potes. Je partage. Ça me fait plaisir. Je me fais pas chier avec une meuf parce que j'ai besoin d'une bonne salope au lit ; j'en ai trouvé une je vais pas la garder que pour moi. Je suis un communiste moi !
On se marre et mon mec aussi. La conversation commence à m'exciter, je sens ma bite qui se tend sous mon calbut mais mon mec fait :
-       Bon, je vais me coucher, suis naze. Faites pas trop de bruit.
Je pense putain, non ! Pas tout de suite…
-       Attends ma poule, prends juste un verre.
Et là y a Jean-Luc, mon pote du collègre, qui fait :
-       Eh mais sérieux, si t'es ok Mehdi moi je veux bien me vider les couilles, hein ! Suis pas pédé mais t'as l'air de dire que c'est comme une meuf, quoi !
Putain c'est bon ça ! J'avais pas trop prévu ça mais je suis toujours opé pour filer la chatte de mon mec à mes potes :
-       Mais mec c'est mieux qu'une meuf, je réponds. Et si t'es cho vas-y, fais-toi plaiz. La chambre est à côté.
Jean-Luc s'est levé, en bougeant y a ses chaînes autour de son cou qui font du bruit :
-       Bon ben les gars, à plus hein ! Mehdi t'es sûr de toi là ?
-       Putain fais pas chier et éclate-toi. T'inquiète tu peux y aller, il a l'habitude.
-       T'as des capotes ?
Des capotes… Ouais bien sûr j'en ai, mais mon kif c'est de rendre mon mec bien pute et ça me fait tripper qu'il se fasse tirer au jus. Je sais qu'il vaudrait mieux mettre des capotes mais une pute c'est fait pour se faire remplir, non ? Puis merde, c'est mes potes, quoi. Je lui dis :
-       Ouais si tu veux, dans la table de nuit. Mais je te fais confiance, t'es pas obligé.
Jean-Luc va vers mon mec, qui passe une main sur mon épaule. Je lui lance « à tout de suite ma poule » pendant qu'ils partent vers la chambre.

Quand la porte se referme, y a un silence gêné qui s'installe. Je sais qu'ils essaient tous d'écouter pour savoir ce qui se passe. Heureusement y a Kamel qui a pas besoin d'entendre et qui relance la conversation :
-       D'ailleurs en parlant de Karim je lui ai parlé hier, il m'a dit qu'il kifferait trop avoir une pute à dispo lui aussi.
Ahmed en bougeant son gros ventre pour se prendre la place vide laissée par Jean-Luc sur le canapé dit :
-       Mais mec on kifferait tous ! Mais moi je me suis jamais tapé un keumé quoi, voilà c'est tout j'suis pas pédé.
-       Vas y qu'est-ce tu racontes toi, genre tu t'es jamais fait sucer par un mec ? lui fait Jordan, son pote, le grand maigre. Arrête ton délire on vit dans la même cité, on s'est tous fait pomper la bite une fois par un mec quand on était en chien !
Kamel et moi on se regarde et on se marre. Y a que Steph qui dit rien. Je commence à charrier :
-       Putain mais voilà, regardez les mecs on est 6 et ça nous est tous arrivé, non ? Jean-Luc il doit être en train de se faire sucer la queue là, Kamel il y est déjà passé, Jordan apparemment aussi et Ahmed tu dis que non mais sérieux, avoue ! Juste moi y a un moment où j'ai arrêté de me prendre la tête avec des meufs qui pensaient qu'à se marier, quoi. Mon mec ouais c'est un mec mais au lit je m'éclate et il me demande pas de pas faire des gosses quoi.
Ils rigolent tous sauf Steph qui dit toujours rien. Ahmed veut pas l'avouer mais je vois une putain de bosse sous son jogg'. D'ailleurs c'est lui qui relance la conversation :
-       Mais genre ton mec tu le prêtes vraiment à tous tes potes ?
-       Ben ouais mec, on a tous besoin de se vider les couilles quoi. Et franchement il a une de ses bouches, un truc de fou. Et son cul c'est comme une chatte, mais en vachement plus serré alors que putain il s'en est pris des bites. Par contre je le file qu'à des rebeux, je veux pas qu'il se fasse baiser par des cefrans.
-       Ouais, les cefrans c'est des vide-couilles pour nous les rebeux, c'est tout, fait Kamel.
A ce moment-là on entend un cri dans ma chambre. Je lance un coup d'œil à Kamel qui se lève et va vers la porte vérifier si tout va bien. Pendant ce temps je continue :
-       Sérieux les mecs, si j'étais avec une meuf elle me casserait les couilles, elle me laisserait pas sortir avec mes potes, elle me péterait un câble parce que j'ai des potes qui viennent chez oim. Là Mon mec il est tranquille, il dit rien, je vis ma vie.
Kamel revient, il me dit doucement « C'est bon j'ai ouvert la porte tout va bien, je crois que Jean-Luc il y est juste allé un peu fort au début. »
Ahmed me relance :
-       Mais tu te tapes plus de meuf alors ?
-       Si ça m'arrive, j'sais pas, de temps en temps, mais franchement voilà je m'éclate plus avec mon mec.
-       Ah ouais ? Et ton mec il dit rien ?
-       Ben non, il s'en fout, il sait que c'est comme ça. Sérieux mec t'en connais des nanas qui te laisseraient faire ça ? Moi j'en connais pas man.
-       C'est clair, fait Jordan, le grand maigre moche. C'est pour ça que je veux pas me mettre en couple, elles sont trop relou les meufs.
On se marre tous, y a que Steph qui continue à rien dire. Il boit son verre de sky et tire sur son joint. A ce moment-là y a Jean-Luc qui revient de la chambre et qui fait :
-       Putain les mecs elle est trop bonne cette pute. Je lui ai éclaté la chatte, un truc de fou !
Je lui tends un verre en lui faisant de la place à côté de moi :
-       C'est bien mon poto, t'as mérité un autre joint. Viens-là.
-       Sérieux je m'étais déjà fait sucer par des keums mais ton mec c'est une vraie chienne. Il a un boule de ouf.
Le gros Ahmed s'est déjà levé et lance :
-       C'est bon moi j'y vais, j'suis cho là ! ça m'a excité vos conneries les mecs.
-       T'es sérieux ? lui fait son pote Jordan. Putain t'as raison, j'irai après toi.
-       Allez-y ensemble les gars, je leur fais. A deux c'est encore meilleur, un dans sa gueule et un dans sa chatte.
Jordan se lève :
-       Ahmed t'es opé ? On se le nique à deux ?
-       Grave. Putain Mehdi t'assures, merci.
Ils vont tous les deux vers la chambre mais Ahmed revient et fait à Jean-Luc :
-       Mec tu l'as baisé avec capote alors ?
-       Nan Mehdi m'a dit que je pouvais sans.
Je leur dis :
-       Y en a dans la table de nuit les mecs, mais c'est comme vous voulez sérieux.
Ils ouvrent la porte de la chambre et on reste tous les quatre, avec Jean-Luc qui s'allume son joint, Kamel qui me fait un clin d'œil et Steph qui regarde dans le vide. Je fais à Jean-Luc :
-       Alors mec ça va mieux ? Tu t'es bien vidé ?
-       Grave putain, franchement t'as de la chance.
-       Tu reviens quand tu veux man, t'es un pote, tu le sais.
-       Ouais mais c'est con j'suis à 400 bornes maintenant ! Mais t'inquiète je vais essayer de me trouver la même chez moi, c'est clair. Tu viendras essayer poto.
-       Tu trouveras jamais aussi bien ! En plus je me tape pas d'autre mec, juste des meufs. Les mecs à part ma pute ça m'intéresse pas.
-       Tu m'étonnes, c'est trop une chienne. Ça se voit qu'elle kife la bite. Tu l'as déjà prise en double ?
Je me mets à lui raconter les trucs les plus hardos que j'ai fait faire à ma poule et ça nous prend bien 10 minutes, en résumant. Kamel, qui connaît bien les détails parce qu'il a souvent participé, complète. Au bout d'un moment Jean-Luc regarde son iphone et fait :
-       Putain les mecs faut que j'y aille. J'ai rendez-vous là.
Il se lève, on se check, je sais que je le reverrai pas avant pas mal de temps mais je suis content qu'il ait essayé ma pute. Kamel parle avec lui à la porte de l'appart et je me retrouve seul avec Steph. Je lui dis :
-       ça va mec ? Tu dis plus rien.
-       Ouais ouais ça va mais franchement mec je suis pas à l'aise avec vos trucs là. Ça me branche pas moi les trucs de pédés.
-       Ben c'est comme tu le sens man, je comprends si t'as pas envie, mais je te dis le cul de mon mec c'est une vraie chatte. Si tu veux tu peux juste te faire sucer, pour voir. Mais après c'est comme tu le sens.
-       Nan ça va. J'ai un rencart avec une meuf de toutes façons. Mais t'inquiète mec je te juge pas, tu fais ce que tu veux. Par contre là où je bosse je sais que mon boss il se tape des minets des fois, si ça te dit je peux vous rencarder, je sais que t'aimerais changer de taf.
Ça c'est cool, je me dis. Il est pas con ce Steph, il a compris pourquoi je l'avais invité. En plus si le patron kife les pédés, ça va le faire.
-       Mais c'est un rebeu ton boss ?
-       Ben ouais mec, dans la sécu on n'est que des arabes ou des blacks. Mais lui c'est un rebeu. Viens mardi, il est là, tu pourras lui parler. Il va te trouver un job, surtout si tu lui files ta pute.
-       Nickel ça le fait.
-       Bon faut que je me casse aussi. Allez mec à plus et ci-mer pour la soirée.
Il écrase son joint et se tire ; au même moment y a Kamel qui revient.
-       Putain ils font quoi dans la chambre ?
-       J'sais pas, ils ont bientôt fini je pense. Tu veux rester dormir mec ?
-       Nan c'est bon j'suis venu en caisse.
On entend la porte de la chambre s'ouvrir et Ahmed et Jordan reviennent. Ahmed me fait :
-       Putain c'est vraiment une chienne ton mec. Il aime trop la bite, moi j'assumerais pas d'avoir une meuf comme ça. Je flipperais trop qu'elle se tape tous mes potes !
-       T'inquiète je contrôle. T'as vu comment ça se passe, c'est moi qui la fais baiser. Ça va c'était cool ?
-       Grave bon, man. On lui a éclaté la chatte. Jordan lui a bien rempli la gueule et moi j'ai déchargé dans sa chatte.
-       C'est bon ça !
Jordan attrape son blouson et me tends la main :
-       Bon les mecs moi j'y vais, merci hein ! J'avais trop les couilles pleines.
On se dit salut, Ahmed suit Jordan parce qu'il n'a pas de caisse et qu'il habite loin. Je reste seul avec Kamel, on continue à teaser et on se roule un dernier joint. On comate 10 minutes puis je lui fais : « ça te dit de te vider ? »
Il fait « ouais », on se lève tous les deux, je remplis un verre d'eau et on va dans ma chambre. Mon mec est endormi, à poil allongé sur le lit. Il a les cheveux dans tous les sens. Elle a du bien se faire mettre, ma p'tite pute ! Je le secoue doucement par l'épaule : « Ma poule ! T'es encore en forme ? » ; il ouvre les yeux, me regarde amoureusement, je lui tends le verre d'eau : « Vas y rince toi la bouche ». Il obéis et je l'embrasse, puis je lui dis « S'il te plait bébé, Kamel veut juste se faire sucer. Ok ? ».
Je sais qu'il est ok, il peut pas me dire non. D'ailleurs il aime trop la bite pour ça et de toutes façons c'est moi qui décide.

Je m'écarte pour laisser la place à Kamel. Pendant qu'il enlève son t-shirt, je vais m'asseoir dans le fauteuil à côté pour mater. Mon mec commence à caresser le torse de Kamel qui lui caresse tendrement la tête en sortant sa bite. Il bande déjà, ses 18 centimètres se posent sur la joue de mon keum qui ouvre la bouche et lui lèche le gland, puis il descend jusqu'à ses couilles pour passer sa langue tout le long de sa queue avant de toute la prendre d'un coup entre ses lèvres et de lui faire un fond-de-gorge direct. Kamel gémit doucement, je sais qu'il kif ça, il s'est déjà fait pomper la queue par ma pute v'la le nombre de fois, et il lui a défoncé la chatte autant de fois. Kamel c'est mon complice, quand je suis pas là et que des mecs que je connais pas me demandent de baiser mon keumé c'est lui que j'envoie checker que tout va bien. Plusieurs fois aussi je lui ai demandé de rester à côté quand je fais faire la pute à ma poule contre du fric ; ça mon mec je lui ai jamais dit mais parfois je suis ric-rac en termes de tunes et je file sa chatte contre 50 euros à des rebeux en manque. Kamel c'est mon complice, je vous dis, je sais qu'il me trahira pas.

Je mate mon mec qui enchaîne sur la queue de mon pote, il sait y faire, c'est un pro, il se la prend en fond-de-gorge, puis il y va plus doucement, je vois Kamel qui prend grave son pied et putain ça m'excite grave ! Kamel se tend, il va gicler, mon mec lui attrape les couilles, prend toute sa queue dans sa p'tite bouche et avale comme une bonne chienne qu'il est. Il garde sa bite dans sa bouche jusqu'au bout, jusqu'à ce que mon keum lui ai tout tiré et que mon pote lui ai bien rempli le ventre de son jus de rebeu. Kamel se penche vers lui, il lui fait un bisou sur les lèvres, c'est ok, lui il a le droit. Putain j'ai les couilles pleines moi aussi. Je fais à Kamel : « Tu connais le chemin mec » et il s'arrache. Je m'approche de ma pute, d'une main je le retourne sur le lit, je le fous à quatre pates, je mate son boule cambré, son trou serré, et je m'enfonce d'un coup jusqu'au fond de sa chatte humide. Je lui fais « Putain de salope, t'as la chatte bien lubrifiée ! C'est trop facile de te baiser avec tout ce jus de rebeu là ! Je vais te mettre ma dose moi aussi, t'es à moi tu m'entends ? Je tasse bien tout le sperme dans ta chatte et je te remplis sale pute ! »

C'est ma chienne, même s'il s'est fait doser le trou par mes potes c'est à moi de le remplir en dernier. Je veux laisser ma marque, c'est toujours comme ça. Je veux lui baiser la chatte jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus et me supplie de le remplir pour que ça s'arrête. C'est moi son boss, putain ! Je gicle dans son cul, je lui tapisse ses entrailles, déjà bien lubrifiées, avec mon foutre et je m'effondre sur son corps.

On s'endort ensemble, je sais qu'il pense qu'il ne s'est pas fait sauter par Steph, le seul qui n'a pas voulu se taper un mec, et je me dis déjà que je vais faire une putain de surprise à ma pute en le filant à mon futur patron. C'est normal, c'est ma pute.

 

 

 information Échangiste, mélangisme, partouze, gang bang, des termes à la mode mais qui ne signifient pas la même chose.

Une partouze, c’est la participation de tout le monde, actifs, passifs à une baise générale. La question peut se poser du nombre de participants nécessaires pour décréter une partouze: 4,5 ou plus. A vous de choisir.

Le mélangisme est un peu différent. Dans une même soirée, vous pouvez passer d’un partenaire à l’autre, voire à plusieurs partenaires en même temps. Tout le monde se mélange mais selon ses envies et humeurs, à la différence de la partouze, la participation à un grand ébat général n’est pas obligatoire.

Le gang bang, c’est un passif pour plusieurs actifs. Celui-ci va offrir sa bouche et/ou son cul à la chaîne. Unité de temps, de lieu d’action.

Enfin l’échangisme se pratique uniquement en couple. Vous arrivez à deux et vous échanger votre partenaire contre le partenaire d’un autre couple. Pas de plan à 4 sinon on frise le mélangisme.

 

Par XROMAIN SUR CYRILLOr - Publié dans : ELOGE DU BAREBACK A BAS LES TABOUS & NOKAPOTE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 11 décembre 7 11 /12 /Déc 18:08

j'ai dit oui, pourquoi ?  la réponse est vite venue !  -lol-

 

 

 

 

 

c'est moi Jérem :  

Je vois bien que, malgré l'interdiction totale de , le pasteur a transigé et s'est uni à moi. Qu'elles soient hétéro  ou homo sexuelles, les relations sexuelles sont interdites en dehors du mariage (hétéro) Le pasteur espère une compréhension de la communauté mormone qui considère qu'on n'est pas homo pour toujours. Quoique déviantes, les pensées homosexuelles ne sont pas désirées et que  sentiments et comportements peuvent et doivent être changées par le repentir. Ca c'est sa voie à lui.

Moi je veux rester mormon et faire évoluer l'église des saints des derniers jours et que les homos en soient memmbres à part en tière . Maintenant que me voilà majeur et encouragé par un prêtre mormon, je compte militer dans l'organisation Affirmation.

AFFIRMATION

Deux homosexuels MORMONS se sont suicidés après avoir subi à Brigham Young University une "thérapie par aversion" * (par électrochocs) censée les guérir de leur orientation sexuelle, thérapie dont ils s'étaient portés volontaires comme cobayes et pour laquelle ils devaient rompre tout contact avec leurs amis homosexuels. À la suite de ces événements tragiques, Stephan Zakharias décide de fonder un groupe de soutien aux mormons homosexuels.

En 1977sous le nom initial de Affirmation: Gay Mormons United, est fondée à Salt Lake City par Stephan Zakharias le 11 juin 1977 avec un groupe de mormons et ex-mormons homosexuels. Stephan Zakharias venait de perdre deux amis homosexuels  cités plus haut: ceux-ci s'étaient suicidés après avoir subi à Brigham Young University une      Therapie par aversion   (par électrochocs) censée les guérir de leur orientation sexuelle, thérapie dont ils s'étaient portés volontaires comme cobayes et pour laquelle ils devaient rompre tout contact avec leurs amis homosexuels. À la suite de ces événements tragiques, Stephan Zakharias décide de fonder un groupe de soutien aux mormons homosexuels.

Le mouvement commence son expansion lorsque Paul Mortensen fonde le groupe localde Los Angeles . Par la suite, de nombreuses antennes apparaissent dans le reste des USA

Au cours des décennies suivantes, Affirmation se consacre à sa mission de soutien aux mormons et ex-mormons homos . Bien que le mouvement n'a nulle intention de former une religion, certains de ses membres, sous l'impulsion de Antonio A. Feliz, décident de créer en 1985 une Église qui accepte les homosexuels : L'église de Jésus Christ du rétablissement

Dans le milieu des années 1980, une scission de l'antenne d'Affirmation de Kansas City  donne naissance à Gay And Lesbian Acceptance (GALA) qui est un groupe de soutien pour les membres gays, lesbiens, bisexuels et transsexuels de la Communauté.

Affirmation tisse également des liens avec d'autres organisations plus récentes de soutien aux homos mormons, comme Gamofites (association de pères gays), Family Fellowship (association de parents d'homosexuels), LDS Reconciliation et Gay LDS Young Adults.

Avec la venue d'Internet, des antennes locales s'organisent à l'étranger, particulièrement enAmérique Latine. En 2001 est constitué le premier groupe non-anglophone à Mexico Par la suite, d'autres antennes sont créées  au Vénézuela et au Chili.

     * sans doute le même principe que le collier ant-aboiement du chien ! -lol -

    texte amélioré et adapté de l'américain par   cavaillongayyRésultat de recherche d'images pour "petit logo copyright"hihi !

Par JEREM - Publié dans : ELOGE DU BAREBACK A BAS LES TABOUS & NOKAPOTE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 11 décembre 7 11 /12 /Déc 09:28

croyez-vous que je l'aie regretté ? Hummmmm tu sens bon fiston !

dadhaveallthefun: ““You smell like lavender, just like your mother.” ” The smell is what attracted him to his son in the first place.

-"laisse-moi goûter !"

J 'ai fait semblant d'être shooté !....*

* shooté par la bit' à p'pa ! -lol- 


Par ERNESTO - Publié dans : ELOGE DU BAREBACK A BAS LES TABOUS & NOKAPOTE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 21 novembre 1 21 /11 /Nov 07:07

on ne fait qu'un, nos sentiments se confondent  bien sûr on peut aimer un blanc d'amitié, mais le fusionnel c'est taimement mieux ! -lol-

 

Your boyfriend was just teasing that huge cock at first, rubbing his hungry hole on the head, pretending he was letting him fuck his ass raw. He didn’t expect the head to pop in so easily. That massive cock was leaking precum like a faucet, and his...

 

Il me dit, comme à regret de me brusquer :
-vas-y pipe moi s'il te plaît, fais vite.

Je me fis pas attendre, je pris sa bite et l'engloutis dans ma bouche, de la longueur de ses 20cm je m'efforçais de l'engloutir toute entière, mais ce n'était pas chose facile, je le suçais dans toute sa longueur, passant ma langue du bas en haut, prenait le gland que je suçais avidement. J'avais trouvé son point faible, c'était son gland, il suffisait que je passe ma langue dessus que je l'entendais gémir, et cela me procurait encore plus de plaisir.

 


Il mit sa main sur ma nuque et se mit à me baiser la gueule, sa bite butait dans ma bouche, j'avais presque envie de vomir, mais lui prenait son pied [et c'était pr moi l'essentiel] .Il se lève et reprit à me baiser ainsi, mes mains parcouraient son corps, je le caressais la poitrine, le ventre, le pinçait les tetons, c'était le comble du bonheur. Il se mit contre mur et je continuais à le piper de plus en plus fort et plus vite.
Il criait de plus en plus, heureusement que les voisins étaient éloignés séparés du jardin, et de la haie. J'étais fier de mon travail à l'entendre gémir, c'était une récompense que j'attendais, il se caressait, passait ses mains sur son visage, jamais personne ne l'avait pipé ainsi me dit-il.

 

 

Il me fit arrêter, et me dit de me coucher sur le lit, ce que je fis. Il vint s'agenouiller au niveau de ma bite et l'engloutit dans sa bouche. C'était génial, je voyais le paradis, je ne pouvais m'arrêter de crier, de gémir, il la faisait tellement bien, il me mordait même le gland.

Je sentais tout mon cœur tremblait à moindre sensation de sa langue sur mon gland. Il m'a pipé ainsi pendant 5 à 6 min et là je sentis de ma tête au pied un frisson me parcourir le corps, débouler de mes couilles, remonter ma queue et là jaillit ma semence qu'il avalait à moindre goutte, pendant que je me déchargeais en lui il n'arrêtait pas sa manœuvre et aucune goutte ne sortait, il avalait tout, c'était incroyable. Fatigué de ce je venais de vivre je me sentis tout fragile, léger.

-t'as aimé me demande-t-il ?
-tu veux rire c'était ouah !

 

 

 

  d

 

Il sourit et me dit à mon tour. Je compris de quoi il voulait parler et je me retourne et me mis à quatre pattes. Je le vis faire sortit un sachet de préservatif et le poser sur sa bite et le dérouler.

Là il s'approche et je sens son gland contre ma rondelle et je sentais sa bite me pénétrer cm par cm en toute douceur jusqu'à arriver à la garde et je sentis ses poils pubiens contre mon derrière. Il posa sa main sur mon dos et me demande :"t'es prêt" je lui répondis par un oui exaltant.


Il se mit à faire des doux mouvements, sa queue glissait tout doucement, mon cul s'ouvrait en toute douceur, j'avais mal, mais avec le mélange de douceur je ne ressentais pas trop la douleur.IL coulissait ainsi doucement pendant un bon, moment, mon cul se dilatait doucement jusqu'au moment où je n'avais plus mal, au contraire, mon cul chatouillait, je sentais des démangeaisons de plaisir, tout mon être en demandait plus.

 


Je le lui fis fit comprendre en enfonçant mon cul plus fort vers sa queue et il comprit mon message. Il posa ses mains sur mes hanches et se mit à me labourer avec une force et douceur, il savait si bien utiliser ses corps et sa queue. Il allait de plus en plus fort, son pubis battait contre mes fesses violemment, il me labourait ainsi, il me pinçait les tétons. On se couche moi de ventre, mes pieds allongés et il se coucha sur moi, toute sa bite me pénétra dans toute sa longueur.

 

        vidéo                                  

 

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je la sentais bien profonde 

IL aurait suffi d'un petit mouvement pour que ma jouissance monte encore, mais là, quand je sentais sa queue ressortir et d'un mouvement me repénétrer et je que la sentais bien profonde, je voyais des étoiles. Son corps butait contre le mien, il me mordait l'oreille, le plaisir était au rendez-vous, pour la première fois de ma vie je criais ainsi, et il me disait de crier plus fort. On change de position, il se couche et je viens m'asseoir sur sa bite.  

 

 

 

        Maman ! Elle entra toute entière d'un coup, et ça me remua tous mes organes internes, pas la nausée, mais un plaisir des tripes, mon cul s'était grandement ouvert, j'étais devenu sa chose (ce que je désirais le plus), il me tenait les fesses à pleines mains parfois il me giflait les fesses, ça m'excitait grave, j'avais mes mains posées sur son torse, j'en profitais pour caresser la toison de son torse et lui pincer les tétons.

 

Parfois je mettais mes doigts dans sa bouche qu'il léchait.

 

 

  Il me demande de me relever et de me coucher de dos. Il souleva mes jambes et me pénétra, et je posai mes jambes sur ses épaules. Là ce qui connaisse la pose de la broche doive savoir qu'avec cette pose c'est la pénétration totale et le plaisir garanti.

Il se remit à me pilonner ainsi avec toute sa force, je voyais ses muscles durcir, son torse prendre encore du volume, il me labourait de plus en plus vite quand d'un coup il se couche sur moi et après deux ou trois mouvements doux, sa queue se contracte en moi et d'un cri je le sentis que ça partait par les contractions de sa queue. 

 

 

Mmmmmm

 

On resta ainsi pendant un moment et il relève, enlève le préservatif et repend sa semence sur mon cul et il se remit à me pilonner sa queue pas tout à fait débander qui ne se tardait pas à reprendre sa forme grandiose et à me procurer encore du plaisir. Avec le sperme, sa queue glissait mieux et un bruit du genre 'splash, splash' se faisait entendre. Il me baisait ainsi une fois de plus et ressortit et s'écroula sur le lit la tête contre son coussin.

Je suis resté ainsi à le regarder, on se regardait souriait se tenait les mains.IL me fit signe de m'approcher et de me lever, il ouvrit sa bouche et je compris ce qu'il voulait dire. Je remis ma queue de sa bouche qu'il se mit à pomper, au bout de quelques minutes, j'éjaculais une fois de plus dans sa bouche.

Je ressors ma queue et m'assois sur le lui et un fais un baiser langoureux et tendre,  et ma semence passait de bouche en bouche.

Après ça nous primes une douche ensemble et il était près de 19 heures quand on se remit à travailler, sans se priver de nous embrasser et nous caresser.  

 

 

mon amour ! 

Your boyfriend was just teasing that huge cock at first, rubbing his hungry hole on the head, pretending he was letting him fuck his ass raw. He didn’t expect the head to pop in so easily. That massive cock was leaking precum like a faucet, and his...

 

       

 

 

 

 

 

 

 

 

    

Par OWNED NOOB - Publié dans : ELOGE DU BAREBACK A BAS LES TABOUS & NOKAPOTE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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