Jeudi 21 février 4 21 /02 /Fév 06:31

18 nouvelles photos de prépuces  QUI FONT REVER LES CIRCONCIS 

DANS L'ALBUM "VOIR DES BITES " 

 

frenchrococolovesporn: beautiful 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : ELOGE DU BAREBACK A BAS LES TABOUS & NOKAPOTE - Communauté : only-gay
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Mercredi 20 février 3 20 /02 /Fév 14:59

Merci les 150 visiteurs du blog , je vous prends chacun...pas tous à la fois quand même ! lol

Si c'est un faux, tant mieux pour lui...difficile à servir pour son compte et pour le mien ! 

 

si tu es un violeur, sois le bienvenu !

jamesenc: framed

l'accesssibilité ...cest important (pas comme le premier qui es trop (?) doté

Le frotting je l'ai fait souvent avec "S" qui en est passionné

 

Chez-nous on dit séguer deux viers ensemble  Les provençaux reconnaîtront ! 

Franchement on les dirait pareils...mais il a toujours des différences. Le 1er plan ne serait-il pas plus raide ? 

Ne sommes-nous pas tous frères ? 

Une bite qui donne le biberon à l'autre. Ca c'est un fantasme de "S" que mon prépuce passionne.

Prince Albert x2. Il ne leur manque plus que la chaîne et deux mousquetons !

Regardez leurs mains : ce n'est pas 1 mec devant un miroir...

du coup la photo est assez surréaliste, non ? 

Bah, c'est une petite canette, non ? 

COCKaddslife

Ah, nananère, tu voudrais bien avoir la même !  (dans le cul ?)

Toujours à faire des comaraisons ...

en fait c'est toute la vie comme ça ...

Et moi, voilà mon instrument de mesure : 

 

claudio

claudemodou@gmail.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : RELAIS - ZAPPINGS- PARTAGES photo expo
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Mercredi 20 février 3 20 /02 /Fév 06:34

 

 

Cruel guard wrestles and fucks


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Defeated and fucked


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David fucks Goliath after gay wrestling match


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Gay terminator fucks bodybuilder after wrestling


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Par claudio - Publié dans : CONNAISONS NOS FRERES - Communauté : MultiCommunauté Porno Sexe
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Mercredi 20 février 3 20 /02 /Fév 06:22

 

— Qu’y a-t-il, fiston ? 
Et là d’un trait je me lançai : 
— Je suis gay. 

COMBAT AVEC MON PERE

coming out

 

Il était 17 heures lorsque je rentrai à la maison, mon père devait être en train de faire de la musculation au sous-sol. Nous vivions seuls tous les deux depuis que ma mère était partie de la maison. Mais aujourd’hui j’étais un peu inquiet. Amoureux d’un mec de ma classe j’avais décidé de le dire à mon père. Je ne savais pas quelle allait être sa réaction, mais je devais le faire. 
— Papa, je suis rentré. 
— Salut, fiston, rejoins-moi je suis au sous-sol. 
— Je me prépare et j’arrive. 
Dans ma chambre, je quittai pantalon et chemise et passai rapidement un short sur mon slip. Devant le miroir je me regardai, j’étais plutôt bien foutu pour mes 18 ans, très sportif, mon corps s’était rapidement étoffé ces derniers mois. Et c’est torse nu que je descendis rejoindre mon père. 
Allongé sur le sol, torse nu et en slip, celui-ci terminait une série d’abdominaux, ses muscles se dessinaient sous sa peau, de la sueur dégoulinait de son front. Tout son corps brillait de transpiration, les poils de sa poitrine étaient humides et collés à son torse massif et son slip humide, mouillé par l’effort, moulait son sexe épais. À la fin de sa série, il s’assit en me suivant des yeux. 
Je fis quelques étirements et commençai une série de pompes à côté de lui. Pendant que mes pectoraux et mes triceps se contractaient sous l’effort je pensais à ce que j’allais lui dire. Il fallait que je le fasse le plus vite possible, sinon j’allais me dégonfler une fois de plus. Me redressant pour me mettre sur mes genoux, je regardai mon père droit dans les yeux. 
— Papa ? 
— Oui Fabien ? 
— Faut que je te parle... 
— Qu’y a-t-il, fiston ? 
Et là d’un trait je me lançai : 
— Je suis gay. 
Il me regarda sans répondre, n’osant plus dire un mot, je scrutai la moindre émotion sur ses traits. Une légère crispation au niveau de sa bouche. Son regard ne me quitta pas. Assis en tailleur, les cuisses écartées, Il se redressa légèrement en prenant appui sur ses mains. Dans ses yeux, je n’y vis que de l’incompréhension puis de la colère. 
— Alors comme ça mon fils est un pédé !!! 
J’en eus le souffle coupé, la phrase s’insinua dans mon cerveau et provoqua une brusque montée d’adrénaline. Comment osait-t-il me parler de cette manière, il n’avait donc aucun respect ? Je sentis mon corps bouillonner de fureur, mon cœur battait la chamade en expulsant le sang à travers mes artères et mes veines pour venir gonfler mes muscles. En répondant à une pulsion dévorante, je me jetai sur lui avec un grand cri de rage et une violence extrême. 
Il me reçut comme un boulet de canon, mon corps percuta le sien et ses bras plièrent sous le choc. Tout l’air de ses poumons se vida d’un coup. J’accusai également le coup et la violence du contact entre nos deux torses se cognant l’un à l’autre résonna dans ma cage thoracique. Je voulais l’humilier car les mots qu’il m’avait dit m’avaient profondément choqué. Et qu’est-ce qui était le plus humiliant pour mon père ? Perdre la face et s’avouer vaincu. Je me retrouvai couché sur lui, mes mains s’emparèrent de ses poignets pour les amener au-dessus de sa tête pendant que mes cuisses s’écartaient pour ne pas lui laisser le temps de m’enserrer entre les siennes. Mon visage surplombait le sien, il me regardait avec un air mauvais. 
— Tu crois que tu vas t’en tirer comme ça. Je vais te montrer ce que c’est qu’un homme, un vrai… 
Au même instant j’ouvris la bouche pour laisser tomber un filet de salive qui atterrit sur ses lèvres encore entrouvertes. Il rugit, je sentis son corps se tendre sous le mien, pendant que tous ses muscles se gonflaient. Une force surhumaine grandissait en moi. Mes abdos contractés s’écrasaient contre les siens pendant que mon bassin le clouait au sol. Prenant appui sur ses pieds, il ruait comme un taureau pris au piège. Aussitôt je poussai mon bassin contre le sien en me faisant le plus lourd possible. Son visage était rouge et ruisselant sous l’effort, ses pectoraux luisants et gonflés à bloc se frottaient contre les miens. Une douce chaleur commença à envahir mon corps, la domination que j’avais sur mon père à cet instant m’excita au plus haut point. À l’intérieur de mon short, mon sexe commença à se tendre, je ne pus m’empêcher de frotter ma bosse grossissante contre le paquet bien épais de mon père. Je sentis un léger frémissement me répondre à travers le tissu de son slip, ma queue durcie par cette excitation qui me gagnait s’écrasa contre le sexe épais de mon père qui répondit en grossissant de plus en plus. 
— Alors papa, t’aimes pas les pédés ??? 
Ce jeu commençait à me plaire, mon père m’excitait comme un dingue. Le fait de le sentir se débattre sous le poids de mon corps provoqua en moi un sentiment étrange, comme si j’en avais rêvé depuis toujours. C’est vrai que depuis très longtemps j’aimais regarder son corps fort et viril se couvrir de sueur lors des efforts répétés qu’il faisait pendant ses longues séances de musculation. Mon regard se posait immanquablement sur son slip afin de dévorer des yeux le volume de son sexe qui se dessinait sous le tissu. Le contact chaud de ses mains lorsqu’il corrigeait ma position quand j’effectuais un mouvement qu’il venait de m’apprendre. Quand j’étais plus jeune, il me prenait dans ses bras puissants pour m’emmener dans ma chambre, et arrivé devant mon lit, il me lançait sur le matelas. Aussitôt il se jetait sur moi, me recouvrant doucement de son corps pour ne pas me faire mal et me chatouillait de longues minutes pendant lesquelles je frétillais sous lui en hurlant de rire. Mon bonheur était complet. Maintenant, quelque chose était en train de se passer au plus profond de moi. J’étais allé trop loin pour arrêter ce que j’étais en train de faire. Il fallait finir ce qui était commencé. 
Les ruades de mon père devenaient de plus en plus fortes, ses yeux, dans son visage impénétrable me regardaient fixement. Je ne pus résister à l’envie puissante de poser mes lèvres sur sa bouche poissée par ma salive. Son corps remua de plus belle, ma langue força sa bouche qui s’entrouvrit légèrement. Son souffle pénétra dans ma gorge et je sentis sa salive se mêler à la mienne. Nos deux langues se touchaient et rapidement se livrèrent un duel chaud et humide. Mon slip se mouilla instantanément lorsque quelques gouttes d’excitation commencèrent à perler de mon sexe raide. Profitant de cet instant, il concentra toute sa force dans ses bras et d’un coup réussit à se libérer les poignets de mes mains glissantes. Ses bras se refermèrent violemment autour de mon corps et il commença à serrer. J’étais pris dans un étau, mes pectoraux se gonflèrent pour résister à cette étreinte, mes mains s’appuyèrent sur ses épaules et j’essayai de me soulever en poussant fortement sur mes bras. Je sentis les mains de mon père trembler dans mon dos et au bout de quelques secondes de combat féroce, la pression se relâcha d’un coup. Je roulai sur le côté en me redressant pendant que lui faisait de même et nous nous retrouvâmes à genoux l’un en face de l’autre. 
— Alors, mon petit pédé, tu croyais m’avoir aussi facilement. Regarde-toi, ta queue déborde de ton short. Je te fais tant d’effet que ça ? 
— Et toi alors, regarde la forme de ton slip, il est prêt à craquer ! 
Il baissa les yeux vers son sexe et, furieux de voir son corps le trahir, se rua sur moi. Nous nous sommes attrapés mutuellement à bras le corps comme deux ours se livrant bataille. C’est à celui qui serrerait le plus fort, nos corps humides étaient collés l’un à l’autre. Mes mains s’étaient rejointes dans le bas de son dos et je l’attirai de toutes mes forces contre moi. Mon père avait sa tête appuyée contre mon épaules et j’entendais son souffle de plus en plus fort, Nous nous agrippions l’un à l’autre. 
Soudain, une de ses mains agrippa le bord de mon short et tira de toutes ses forces. N’étant plus très solide le short se déchira rapidement libérant mon slip gonflé à bloc. Ce nouveau contact entre nos deux slip déformés par deux sexes en érection me fit frissonner de plaisir. Mais j’en voulais plus, apparemment lui aussi. Cédant à une impulsion irrépressible, chacun glissa une main sous le slip de l’autre et le dernier rempart qui empêchait nos queues d’entrer en contact céda d’un coup. La chaleur et la dureté de sa tige contre la mienne m’arracha un gémissement de bonheur. La sensation était telle qu’il me fallait toute ma concentration pour ne pas jouir sur le champ. Du côté de mon père, son bâton de chair vibrait contre le mien, mais il faisait tout son possible pour assourdir les gémissements qui remontaient du plus profond de ses entrailles. Je continuai de pousser mon torse contre le sien de manière à le faire tomber en arrière, mais cramponné à moi, il résistait avec puissance. La musculation lui avait forgé un corps d’athlète et malgré mes 20 ans de moins j’avais toute les peines du monde à le faire plier. Mais ma jeunesse m’apportait ce qu’il avait un peu moins, la résistance. Au bout de 5 minutes d’un combat acharné il glissa et tomba sur le dos, m’entraînant avec lui. 

gay naked wrestling


Aussitôt au sol, il enroula ses cuisses autour de mon bassin pendant que ses bras se refermèrent autour de mon torse. Glissant mes mains sous lui je le ceinturai étroitement à mon tour. Il posa ses pieds à plat sur le sol et poussant sur ses cuisses volumineuses décolla son bassin du sol et nous souleva. Le poids de mon corps contrait son effort, son sexe dur comme du bois s’écrasait contre le mien. C’en était douloureux mais mon excitation était à son comble. Me décollant légèrement, je me laissai retomber violemment sur lui. Ses cuisses lâchèrent aussitôt et je m’écroulai sur lui. 
Il essaya d’imprimer un mouvement de balancier à nos deux corps enlacés afin de nous faire basculer sur le côté. Je contrai ce mouvement en me plaquant le plus lourdement possible à son corps. Son visage devenait rouge, mais il ne voulait rien lâcher. Dans un sursaut de désespoir il donna un grand coup de rein qui nous fit basculer sur le côté et il se retrouva enfin sur moi. Mes cuisses entourèrent aussitôt sa taille et doucement, par la force de mes abdominaux, je montai mon bassin contre le sien qui essayait de me maintenir au sol. 
— Tu vois bien Fabien, tu n’auras jamais le dessus sur moi ! 
Sans lui répondre, je resserrai mon étreinte et son torse se retrouva fortement comprimé contre le mien. Sa respiration se fit plus difficile. Prenant appui sur ses mains, il essayait de se libérer, mais à bout de souffle, il se laissa tomber contre moi. 
— Alors on fatigue papa ? 
Son visage tout près du mien, il ruisselait sur moi, sa poitrine était trempée de sueur et nos tétons glissaient l’un sur l’autre. Je ne pus empêcher ma queue de se durcir davantage. Celle de mon père répondit aussitôt. 
— Tu aimes ça, avoue ! 
— Jamais, je ne suis pas pédé comme toi... 
— Alors pourquoi tu bandes ? 
Sans répondre, il se mit à gesticuler comme un forcené entre mes bras. Mais je ne relâchai pas, c’était si jouissif de le tenir à ma merci, sentir son corps puissant s’agiter sur moi, pendant que son sexe continuait à s’affoler contre le mien. Dans ses yeux je décelai une détresse infinie de ne pas arriver à me soumettre à sa force, mais il y avait quelque chose d’autre, c’était certain. Je commençai à bouger doucement mon bassin en le soulevant légèrement afin que le contact entre nos deux queues soit encore plus fort. J’ondulai sous lui de manière à masser son bas-ventre. 
— Fabien, ne fais pas ça, je t’en prie ! 
Dans un dernier effort il réussit à se dégager en roulant sur lui-même pour éviter ce contact si charnel. Nos deux corps se retrouvèrent séparés, il eut juste le temps de se mettre à quatre pattes lorsque je me jetai sur lui l’enserrant entre mes bras. Sous le choc on bascula sur le côté, nous roulâmes ensemble et je finis par me retrouver couché sous lui, mes bras se glissèrent sous ses aisselles et je croisai mes mains derrière sa nuque. J’écartai mes cuisses pour les enrouler autour de sa taille. Ma queue humide et durcie par cette envie folle de lui faire l’amour, se retrouva coincée sous ses fesses. Il remuait sur moi et ses deux lobes bien fermes frottaient sur ma verge, cette sensation décupla mon excitation et mon gland laissa perler quelques gouttes de plaisir. Profitant de mon excitation, il réussit à me faire lâcher prise et grâce à nos deux corps trempés de sueur, glissa entre mes bras pour se tourner face à moi. D’un coup de bassin je nous fis rouler au sol, le privant d’une position dominante. 
Mon père ne remua même pas, je me retrouvais sur lui, le bloquant de mes bras et mes cuisses contre moi. Ses yeux étaient suppliants, sa bouche luisante. Ma bouche se posa tendrement sur ses lèvres chaudes et humides. Dans ma poitrine, mon cœur battait comme un fou. Il répondit à mes baisers en s’ouvrant à ma langue qui s’engouffra dans cette cavité humide et chaude. Elles fondirent l’une contre l’autre pour se caresser langoureusement, son sexe de plus en plus dur se frottait contre le mien. Un profond râle de plaisir remonta le long de sa gorge pendant qu’il aspirait ma langue au plus profond de sa bouche. Je relâchai la pression de mes bras et jambes et commençai à parcourir ses flancs de mes doigts avides de sa peau. Que son corps était beau, viril et tellement excitant. Je me dégageai délicatement de lui pour admirer ce père tant adoré. Il était là sous moi, me regardant avec ses yeux humides, sa main se glissa derrière ma tête pour m’attirer à lui et m’embrasser sauvagement. Il me dévorait littéralement, sa langue envahissait ma bouche où nous échangions nos salives. Me tirant doucement par les cheveux, il plongea ses yeux dans les miens. 
— Oh mon Fabien, comment ai-je pu te cacher cela jusqu’à maintenant. C’est pour cette raison que ta mère est partie. Toute ma vie j’ai réfréné ces envies qui me consumaient depuis si longtemps. 

gay naked wrestling 2


— Tais toi papa, on va rattraper le temps perdu, j’en ai trop envie ! 
Il me serra dans ses bras et mes derniers mots se perdirent dans sa bouche. D’un coup il nous retourna, je me laissai faire. Une fois sur moi, il me plaqua au sol avec force. Son corps se faisait lourd sur le mien, tous ses muscles étaient en action, son bassin donnait de grand coup et je sentais sa barre d’acier se cogner à la mienne. Toute sa peau était en contact avec la mienne, et nos corps ondulaient avec passion. D’une main décidée il m’écarta les cuisses afin de me caresser l’entrejambe, un de ses doigts se posa sur mon anus et commença à me masser le trou par des mouvements circulaires. Appuyant un peu plus, une première phalange perfora mon œillet pendant que des spasmes de bonheur traversaient tout mon corps. Son doigt allait et venait de plus en plus vite, de plus en plus profondément, je râlais de plaisir. 
— Oh, papa, prends moi… 
— Tu vas voir fiston, comme ton père va bien s’occuper de toi... 
Après un dernier passage, son doigt se retira. Il se redressa et je l’entendis cracher dans sa main, un instant plus tard je sentis la dureté de son sexe se cogner contre mon trou. J’écartais les jambes un peu plus pour lui laisser de la place. 
- Viens vite, j’en peux plus ! 
Son gland lubrifié par sa salive, en força l’ouverture. Lentement il fit coulisser sa hampe pour me faire découvrir toute la longueur et la puissance de sa queue énorme, je la sentis m’envahir totalement. Il resta ainsi un long moment. Mes mains s’agrippaient à ses fesses et je l’attirai violemment contre moi pour sentir toute la longueur de sa bite. Il se retira tout doucement jusqu’à ce que son gland sorte et avant que mon anus ne se referme, il s’enfonça à nouveau au plus profond de moi. Aux coins de ses yeux, des larmes de bonheur apparurent, il souriait et était heureux, tout comme moi. 
Il fut prit d’une frénésie et commença à me pénétrer de plus en plus fort, de plus en plus vite. À chaque allée et venue sous cet assaut, je m’accrochais à ses épaules et me laissais envahir par le plaisir en m’offrant totalement à lui, sans aucun barrage, sans aucune résistance, avec une soif de lui tellement immense. Nos yeux ne se quittaient plus, sa bouche se rua sur la mienne pour m’embrasser goulument. Empalé sous la violence de ses coups de boutoir, je sentais ses couilles claquer contre mes fesses à chaque pénétration, ce qui m’arrachait des cris de plaisir. Une douce chaleur irradiait mon ventre lorsque son membre caressait mes entrailles de toute sa longueur. De profonds gémissements sortaient de sa bouche, il se cambra un peu et sa queue s’enfonça encore plus profondément. Chaque fois que son membre quittait la chaleur de mon ventre, un manque insoutenable me submergeait. Mes mains cramponnées à ses fesses le ramenaient aussitôt au plus profond de moi. Mon sphincter dilaté par son volume, se resserrait autour de sa hampe pour en sentir tout les reliefs. 
Son souffle s’accélérait tandis que je sens la chaleur de mon sperme remonter le long de ma queue. Mon gland cracha de longs jets de semence pendant que des cris de jouissance ininterrompus sortaient de ma gorge. Un dernier coup de rein me fit hoqueter de bonheur, et dans un dernier râle mon père inonda mon conduit d’un bouillonnement de sperme chaud. 
Et voilà, en espérant que mes récits vous plairont 
Fabien

GAY WRESTLERS 1

Les commentaires sont les bienvenus pour encourager Fabien ! 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : les jeunes exhibes
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Mardi 19 février 2 19 /02 /Fév 23:38

C'est bien connu : la lutte rapproche les corps plus que tout autre sport 

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Lutte avec mon cousin

Mon cousin Marc vient passer la soirée chez moi, mes parents sont partis en week-end et nous avons souvent l’habitude de passer la nuit chez l’un ou chez l’autre. Faut dire que nous sommes inséparables, nous avons tous les deux 16 ans et les gens nous prennent souvent pour des frères. C’est vrai que l’on se ressemble beaucoup. Tous les deux noirauds aux yeux bleus, assez fins mais avec des muscles bien dessinés. Au sous-sol de la maison j’ai un banc de musculation avec quelques haltères ainsi qu’une douche, Marc vient souvent soulever de la fonte avec moi, mais notre passe-temps favori, c’est la lutte. Et dans un coin de la pièce, contre le mur se trouvent deux grands matelas de gym posés l’un à côté de l’autre d’une surface de 5 m2. 
Après avoir mangé deux gros sandwiches devant un film insipide, nous décidons de faire un petit combat, torse nu et en short. Avec comme but, celui d’enlever le short de l’autre et l’immobiliser au sol. Nous descendons au sous-sol et commençons à nous déshabiller. Je détaille mon cousin avec attention, il me plait beaucoup. J’ai toujours eu un faible pour lui. Depuis très longtemps, je n’ai d’yeux que pour les garçons. Marc ne me parle jamais de filles et je ne sais pas grand-chose sur ses goûts sexuels. Nous sommes tous les deux, très secrets, sur ce sujet là. Il a mis son slip blanc, celui qui est très moulant... Par-dessus, il enfile un short Nike rouge qu’il laisse ici pour nos séances de musculation. N’ayant pas de short sous la main, je passe rapidement par-dessus mon slip un training bleu. On s’installe sur le tapis et le corps-à-corps commence. Je prend rapidement le dessus et mes mains essayent de tirer son short vers le bas. Marc résiste tout en essayant de me faire basculer sur le côté. 
N’arrivant toujours pas à lui enlever son short, je décide de coincer son bras gauche avec mon genou tandis que ma main droite bloque son autre bras. Je n’ai plus qu’à tirer sur ce short avec mon autre main. Le tour est joué. Profitant de sa position je me glisse derrière lui tout contre le mur en me positionnant sur mes genoux, cuisses écartées, le soulève du matelas en passant mes bras sous ces aisselles et en calant mes mains derrière sa nuque, je le tire contre moi. Il se retrouve en position assise le dos collé contre mon torse, mes cuisses lui enserrant la taille et mes mollets calés à l’intérieur de ses cuisses. Il ne peut plus bouger, il essaye vainement de bouger son bassin pour se libérer, je vois très nettement le relief de son sexe sous le tissu de son slip. Un léger frémissement me laisse entrapercevoir un début d’érection ? Cela me fait tellement d’effet que mon sexe se tend sous mon training. De peur qu’il ne sente quelque chose, je le relâche. Aussitôt il se retourne, me fait face et profitant de ma gêne, tire sur le bas de mon training et me l’enlève. 
Je me redresse à mon tour, on se regarde un long moment, son regard glisse sur la bosse qui déforme mon slip, mais il ne dit rien. Regardant son slip à mon tour, je constate que sa queue a encore pris du volume. Nous sommes face à face en position de lutte, le corps penché en avant, prêt à se jeter l’un sur l’autre. La tension est palpable, nos yeux ne se lâchent plus, tous nos muscles bandés dans l’attente d’un assaut. L’excitation est visible, comme le prouve nos deux sexes tendant le tissu de nos slips. L’adrénaline monte dans nos muscles, tout mon corps se tend et frissonne d’excitation et d’envie. Et dans un même élan, comme si un gong avait sonné, on se rue l’un sur l’autre. 
Nos deux corps s'entrechoquent... Immédiatement on se colle l'un à l'autre, bras et jambes se mêlent, nos têtes se collent l'une à l'autre. Chacun essaye de mettre la pression maximale sur l'autre... Je crois qu'à ce moment là, personne n’aurait été capable de nous séparer... C'est comme une fusion de nos deux corps qui s'établit... La lutte commence, elle s'annonce chaude et terriblement excitante... mais tellement incertaine... 
Nos deux corps s'affrontent, nous sommes soudés l'un à l'autre. Je serre Marc contre moi le plus fort possible, mes mains sont croisées dans son dos. Les muscles de mes bras sont tétanisés tellement la tension est grande. Nos deux torses sont écrasés l'un contre l'autre, je sens la dureté de ses pectoraux contre les miens. Ses bras m'enserrent également de plus en plus fort, ses mains croisées au bas de mon dos m'attirent de plus en plus contre lui. Tout en poussant ses pectoraux contre les miens, Marc essaie de me faire plier en arrière. Mes abdos se raidissent pour contrer son attaque. Je sens son sexe se durcir encore sous son slip et venir se plaquer contre ma bosse entre nos deux ventres. Je manque arrêter le combat, tellement l’excitation me gagne, mais je me reprends car l'issue de ce combat est plus importante à mes yeux car je veux le vaincre, lui montrer ma supériorité. Mes mains glissent plus bas au niveau du haut de ses fesses et cette fois c'est moi qui pousse mon torse contre le sien tout en l'attirant contre moi pour pouvoir le soulever du sol. Je sens ses abdos trembler de plus en plus fort. Le point de rupture est proche... Je pousse encore un peu. Je sens son corps qui commence légèrement à se plier en arrière. Nos deux têtes sont l'une contre l'autre, toujours appuyées sur l'épaule de l'autre. Je l'entends râler et souffler de plus en plus fort. Mes muscles commencent également à trembler, il va falloir que Marc tombe au sol le plus vite possible, je ne vais pas pouvoir tenir encore très longtemps. Son étreinte se relâche un peu plus, son corps se cambre en arrière. Mon corps suit le mouvement et le contact entre nos deux bosses se fait encore plus fort. Je glisse un de mes pieds derrière lui et avec une dernière poussée je le sens enfin partir en arrière. Toujours accroché à moi, il m'entraîne dans sa chute. Il atterri sur le dos, mais très vite il noue ses jambes autour de ma taille et croise ses mains dans mon dos. Je me retrouve couché sur lui. emprisonné entre ses bras et ses cuisses. J'essaye de me libérer mais mes bras sont coincés le long de mon corps. Marc réussi à nous faire rouler sur le côté, tout son corps se durcit pour essayer de me faire rouler sur le dos, mais je résiste et on se retrouve couché sur le côté, les yeux dans les yeux, le visage dégoulinant de sueur, nos deux paquets érigés l'un contre l'autre... Il faut que je me concentre car l’envie de mettre ma main à l’intérieur de son slip et de prendre sa queue raide devient irrepressible. Je ne sais pas ce qu’il en est de lui, il n’a jamais manifesté la moindre envie sexuelle envers moi, mais ce que je sens contre moi me laisse imaginer d’autres combats d’un autre genre... Coupant court à mes idées, d'un coup de rein il arrive à me retourner. Il est sur moi... et son envie de gagner est grande... 
Je sens le poids de son corps s'alourdir contre le mien, ses bras sont toujours croisés dans mon dos. Je sens qu’il essaie de les déloger, alors je plaque mon dos au sol pour lui bloquer les mains sous moi. Son regard est planté dans le mien, ses yeux me disent je VEUX GAGNER. Nos visages se touchent carrément, et sa bouche frôle la mienne. Et là je sais que ce qui devra arriver arrivera, car son sexe de plus en plus raide écrase le mien tout aussi dur et gonflé de désir et sans le concerter je sens que nous ne voulons pas aller plus loin, pas encore du moins, car le combat se joue en ce moment même... Ses cuisses essaient d'immobiliser les miennes... J'arrive à replier un peu les jambes et prenant appui sur mes pieds j'élève doucement mon bassin, c'est épuisant car il se fait de plus en plus lourd et je dois le soulever comme si je voulais faire le pont. Marc essayes de contrer le mouvement en forçant avec son bassin à faire redescendre le mien. Son sexe écrase ma queue et me fait presque mal... Mais comme il n'a pas de point d'appui j'arrive à le soulever. On se regarde intensément, un sourire se dessine sur sa figure car il a toujours le dessus. Mais en y mettant toutes mes forces, j'arrive à le soulever encore un peu plus et nous sentons tous les deux en même temps le point d'équilibre se rompre. Dans ses yeux une lueur d'inquiétude, dans les miens un air de victoire. Dans un dernier effort, nous tombons sur le côté. 
Avec l'élan, nous roulons l'un sur l'autre plusieurs fois, en nous étreignant bras et jambes liés, chacun voulant reprendre le dessus. Le mur de la pièce nous stoppe... et par chance, je me retrouve au-dessus de lui... Je l'écrase à mon tour de tout mon poids, essayant de le plaquer au sol définitivement... Je le veux, je veux le vaincre, mon sexe est tellement tendu qu’il me semble sur le point d'exploser, je sens d’ailleurs que mon slip est un peu humide. Le sexe de Marc comprimé par le mien est tout aussi dur et tendu... 
Mes mains s'agrippent à ses poignets pour les lever au dessus de sa tête. Je suis complètement plaqué sur lui, nos visages s’approchent l’un de l’autre. Dans ses yeux une drôle de lueur se dessine, il me sourit et soulève un peu sa tête. Et là, ne réfléchissant à plus rien d’autre qu’à cette future explosion de plaisir ma bouche fond sur la sienne. Ses lèvres s’entrouvrent et je m’y aventure avec douceur. Tout d’abord timidement nos langues se caressent pour finalement se livrer un combat à l’intérieur de sa bouche, nos salives se mélangent. Ma bouche quitte la sienne et une envie subite me fait me redresser. Je m’assois sur le haut de ses pectoraux et je cale mes genoux de chaque côté de sa tête. La bosse humide et en forme de barre de fer qui déforme mon slip se tend vers sa bouche. Marc me regarde, il a compris. Sa langue sort de sa bouche et commence à suivre le contour de ma queue puis s’attarde sur le gland où une tache s’étale sur le tissu. Tout mon corps se tend, quand je sens les dents de Marc commencer à mordiller légèrement cette protubérance. Je sens l’excitation monter encore d’un cran et si je le laisse faire je vais finir par éjaculer. Je me recouche sur son corps en me plaquant à lui. Nos deux bouches se collent à nouveau l’une à l’autre, nos langues se mélangent, tandis que nos bassins se frottent furieusement et sans retenue l’un à l’autre. Nos langues se mélangent nous ne faisons plus qu'un, l’excitation est à son comble. Je sens les pulsations de son sexe à travers le tissu. Nos yeux ne se quittent plus, nos mouvements deviennent de plus en plus saccadés et je sens son sexe se tendre à l’extrême. Nous commençons à gémir, le rythme s’accélère et dans un dernier râle je sens son slip s’emplir d’un liquide chaud tandis que mon gland explose en se vidant à longs jets, souillant nos deux slips. 
Nous sommes restés comme ça, couchés l’un sur l’autre, seules nos respirations faisaient bouger nos corps. Au bout d’un long moment, je me décolle de lui, le regarde, il est magnifique avec ses yeux brillants plantés dans les miens, un sourire qui en dit long sur ce qu’il vient d’éprouver. Les mots ne sont pas nécessaires pour l’instant, je l’embrasse amoureusement, lui caressant doucement le visage. Me relevant, j’enlève mon slip. Marc soulève le bassin pour que fasse la même chose avec le sien, le tissu glisse sur ses jambes et je le jette au loin. Je regarde ce sexe tant convoité, reposer au milieu d’une touffe noire tachée de sa semence. Une envie folle me prend... 
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Je veux ressentir les émotions de ce corps à corps mais cette fois, sans aucun tissu pour entraver le contact entre nos deux peaux. Ce combat m’a montré à quel point Marc me plait, à quel point j’ai envie de lui et surtout que cette envie est réciproque. Maintenant je veux aller plus loin, beaucoup plus loin. 
Je me relève pour monter à l’étage 
— Où vas-tu ? me dit Marc 
— Je reviens, ne bouge pas 
— Reviens vite ! 
Je me dirige vers la salle de bains de mes parents et ouvre l’armoire où ma mère range ses produits. Une grande bouteille d’huile de massage est posée en évidence, celle qu’elle utilise pour les massages que mon père lui fait. Je m’en empare et redescends rejoindre Marc. Je m’approche de lui et me mets à genoux à ses côtés 
— Que veux-tu faire avec ça ? 
— Laisse-toi faire, ne dis plus rien 
J’ouvre délicatement la bouteille et laisse couler un fin filet d’huile sur son corps, Marc tressaute lorsque l’huile atteint la ligne entre ses pectoraux qu’elle suit suavement, avant de s’insinuer à l’intérieur de son nombril. Je m’attarde un peu plus lorsque le filet arrive au niveau de son sexe lové au milieu de sa broussaille noire, éclaboussée de quelques gouttes de sperme. Je continue le trajet le long de ses cuisses pour finir par ses pieds et je referme la bouteille. 
— Et maintenant place au massage ! 
— Mmmhhhh… 
Il est à moi, mes mains se posent sur le haut de ses pectoraux en s’imbibant d’huile, je commence mon massage en laissant courir mes doigts sur la surface de sa poitrine, je titille ses petits tétons bruns qui se durcissent légèrement. Les paumes de mes mains épousent le relief de son torse en étalant bien l’huile sur les côtés, j’arrive au niveau de son ventre et mes doigts suivent le contour de ses abdominaux. Dans son nombril un petit lac d’huile, j’y trempe un doigt pour dessiner une ligne imaginaire descendant vers la toison de son pubis. Son corps se tend, son sexe commence légèrement à s’épanouir. Je le contourne délicatement en entamant ma descente le long de ses cuisses. Arrivé au bout de ses pieds, je remonte doucement le long de son corps, arrivé à son entrejambe, mes doigts se retrouvent collés à ses bourses , je les malaxe doucement. Son sexe se tend et des gémissements s’échappent de sa bouche. Mes doigts agacent son gland en l’effleurant à peine, son sexe se tend encore plus à la rencontre de ma main, mais elle s’en éloigne aussitôt. Je serre la base de sa queue de ma main gauche et de la droite je le branle lentement pour lubrifier sa queue sur toute la longueur et je stoppe le mouvement. Sa queue reste là, toute raide d’excitation, une goutte translucide perle sur le bout de son gland. Marc me regarde et je vois dans ses yeux toute l’envie qu’il a de jouir de mes mains. Ma queue est raide elle aussi. Je me couche sur lui et je me frotte tendrement contre son corps glissant afin d’huiler tout le mien. Ma bouche se pose sur la sienne et nos langues entrent en fusion dans de grands mouvements humides pendant que nos sexes se frottent frénétiquement l’un sur l’autre. Mais je ne veux pas jouir maintenant, je veux plus. Alors je lui dis : 
— T’en as envie autant que moi, non ? 
— Oui je te veux ! 
— Ok mais nous allons lutter de nouveau et le gagnant prendra le perdant. 
— Chiche, je vais t’avoir. 
D’un coup, je me redresse et glisse en avant, j’écarte ses deux bras de chaque côté de son corps et je me positionne au-dessus lui afin que sa tête se retrouve entre mes cuisses. J’abaisse mon bassin vers son visage et ma queue tendue se presse contre ses lèvres. Marc refuse d’ouvrir la bouche, le combat vient de repartir de plus belle et il ne veut pas le perdre. Toujours bien assis sur lui, je lâche ses bras pour essayer d’ouvrir sa bouche avec mes mains. Il en profite aussitôt et me pousse de toutes ses forces avec ses mains libres, je tombe en arrière et me retrouve couché sur le dos, mon sexe toujours en érection se tend vers le plafond. Marc se lance sur moi et de tout son poids me plaque au sol. Mes bras s’enroulent autour de son corps, je le sens glisser contre le mien. Mes mains se plaquent sur ses fesses que j’écarte au maximum. Mon majeur se presse contre son anus. Je sens Marc se trémousser sur moi pour essayer d’échapper à mon doigt. Je commence à lui masser le bord de son trou et en pressant un peu plus fort, mon doigt commence à se frayer un passage dans ce conduit humide et chaud. Aussitôt son sexe se durcit et se presse encore d’avantage contre le mien. Sa bouche se plaque sur la mienne, nos souffles se mélangent, tandis que nos corps tanguent l’un contre l’autre au rythme des mouvements de mon doigt qui coulisse en lui. Je sens que je vais jouir, mais le combat n’est pas terminé. 
Au prix d’un effort surhumain, je tente de me dégager, mais avec l’huile les mouvements ne sont plus aussi précis et je ne fais que glisser sous lui pour me retrouver sur le ventre. Marc se redresse légèrement, pose ses mains de chaque côté de mes fesses et les écarte. Je sens son sexe dur comme un roc venir se placer entre mes deux fesses. Il commence à pousser et sa queue pousse contre mon anus et commence à me pénétrer. Sous l’effet d’une légère douleur, je réagis aussitôt. En prenant appui sur mes mains je me soulève et je me mets sur les genoux, son corps toujours accroché au mien. Je sens son sexe ressortir et venir se plaquer contre le bas de mon dos. Poussant sur mes pieds, j’essaie de me redresser encore en peu, notre équilibre devient précaire, nos corps sont trop glissants pour tenir dans cette position. Marc tombe sur le sol et on se remet aussitôt debout, face à face, nos yeux ne se quittant pas, on essaie de reprendre notre souffle. La tension dans l’air est palpable, tout son corps est tendu comme un arc, ses muscles tétanisés roulent sous sa peau et son sexe raide et rouge est prêt à éclater. Je sens qu’en une fraction de seconde il peut bondir sur moi comme un félin. Tous mes sens sont en alerte, mon corps est prêt, tendu à l’extrême. 
Dans un même cri, on fonce l’un sur l’autre. Marc démarre une fraction de seconde avant, et de son bras gauche, m’attrape par le cou. Je ne peux rien faire, je me retrouve la tête coincée par son bras. Il se baisse pour me faire plier. Courbé en deux, ma tête se retrouve au niveau de sa queue. Il me force à avancer mon visage vers son sexe tendu. Sa bite cogne contre ma bouche fermée, je ne veux pas me faire avoir si vite… Il serre davantage mon cou avec son bras, je commence à étouffer et je suis obligé d’ouvrir la bouche pour mieux respirer. Sa queue s’y engouffre jusqu’à la garde et cogne au fond de ma gorge. Je ne peux que sentir son sexe entrer et sortir de ma bouche, c’est chaud, doux comme de la soie et dur à la fois, mes lèvres se resserrent autour de sa tige et ma langue s’active autour de son gland. Mes deux mains viennent se poser sur ses fesses, je l’attire encore plus fort contre moi pour que ma bouche s’empale encore plus profondément sur cette barre d’acier vibrante. Les poils de son pubis me chatouillent le nez, je respire son odeur, je suis en transe. Je sens mon sexe devenir de plus en plus raide. Son bras desserre doucement son étreinte, son plaisir reprend le dessus. Son sexe entre et sort de ma bouche de plus en plus vite. Son souffle s’accélère, il commence à gémir. Sur ma langue je sens le goût de son plaisir. Mais je veux que mon plaisir soit différent, ma bouche se referme d’un coup sur sa queue et l’immobilise. Je sens les pulsations sanguines à travers son sexe. Mes dents prennent sa bite dans leur étau et je commence à serrer. Marc commence à ressentir de la douleur, il libère aussitôt mon cou de son bras. C’est le moment que j’attendais… Mes bras lui ceinturent le haut des cuisses et en poussant je le fais tomber en arrière. Il se retourne sur le ventre pour se remettre à genoux, mais pas assez vite… Je lui saute sur le dos et le plaque au sol. Pendant que mon bras droit le maintient dans cette position, mon autre main se glisse sous son corps et attrape son sexe encore raide et mouillé de ma salive. Je commence doucement à le masturber, il soulève de lui-même son bassin afin que ma main soit plus libre de ses mouvements. Il a l’air d’aimer ça… J’insère mes cuisses à l’intérieur des siennes pour les lui écarter, ma main gauche part à l’aventure, et cette fois je le pénètre directement de deux doigts. Son anus se resserre mais au bout de quelques instants se relâche un peu, mes doigts coulissent sans problème dans ce fourreau humide. Marc commence à donner de furieux coups de bassin pendant que sa queue s’active dans ma main gauche. C’est le moment que je choisis pour me soulever un peu, je retire mes doigts et place mon sexe entre ses fesses. Je me recule un peu pour placer mon gland contre son anus palpitant. Tout doucement mon bassin se met en marche. Mon gland pénètre très légèrement son trou et y reste quelques secondes sans bouger. Les coups de bassin de Marc se sont stoppés, il ne bouge plus pendant un moment. Puis tout doucement il recule ses fesses afin que mon sexe le pénètre un peu plus. Centimètre par centimètre, son trou avale en douceur la moitié de ma queue. Il s’arrête encore quelques secondes, il recule un peu ses fesses tandis que je pousse tout en douceur mon bassin en avant, jusqu’à ce que mes testicules cognent contre ses fesses. Nous ne bougeons plus, pendant que son trou s’habitue à mon sexe. C’est moite, c’est chaud, mais je sens les parois de son anus se détendre. La sensation est merveilleuse, mon corps entier est traversé par des spasmes qui me coupent le souffle. Alors doucement je commence à bouger, mon sexe coulisse délicatement entre les fesses de Marc. Mon plaisir est intense, jamais je n’avais ressenti une telle excitation. Son anus se resserre autour de ma queue afin d’augmenter notre plaisir et je sens Marc vibrer de désir. J’accélère le mouvement et les miens se font plus sûrs, mon sexe sort complètement de ses fesses pour y plonger de plus belle avant que son anus se referme. Il monte son bassin à la rencontre de ma bite afin qu’elle s’enfonce encore plus profondément en lui. Je ralentis le mouvement afin de faire durer notre plaisir puis j’accélère à nouveau en le pilonnant de plus en plus violemment. Nos gémissements se transforment en râles de plus en plus bruyants, je veux que ce moment dure une éternité, mais je sens une chaleur me traverser tout le corps, et dans un dernier assaut, mon sexe se vide en de violentes saccades à l’intérieur de mon cousin. Au même moment il se tend comme un arc pendant que sa queue se vide sur le matelas. On se tourne sur le côté et je reste en lui encore quelques instants jusqu’à ce que mon sexe débandé ressorte de lui-même. Marc se couche sur le dos, on se regarde tendrement avant que nos bouches viennent sceller ce secret qui vient de naître. 
Je m’allonge à moitié sur lui une jambe entre les siennes, ma tête sur ses pectoraux et je ferme les yeux. Et dans cette odeur de sperme et de sueur, je me sens bien, complètement détendu. Que se passera-t-il demain, dans les jours à venir, les années. Que de questions me tombent dessus. Je regarde encore une fois Marc, il s’est déjà endormi, son sexe n’est pas totalement au repos, pense-t-il à une revanche ? Et en voyant cet adorable sexe prometteur de tant de plaisir, je pense à cette revanche que je lui offrirai sûrement et aux nombreux moments qu’on partagera ensemble.¤ 20/02/2013 Fabien  

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Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : les jeunes exhibes
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