raide comme la justice !
Ci-dessous voici un juge étasunien poursuivi également exactement pour les mêmes faits
Unis par la nature !
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
raide comme la justice !
Ci-dessous voici un juge étasunien poursuivi également exactement pour les mêmes faits
Unis par la nature !
>
>
Mon long apprentissage.
A force de me goder, mon plaisir anal s’est intensifié à tel point que je parviens à éjaculer sans même me
masturber !
Parfois, sans aucune éjaculation, j’arrive à jouir intensément en ayant un orgasme de femme.
Je considère mon anus comme un vagin et mon zizi comme un clitoris !
N'avoue jamais, jamais, jamais, jamais ! que tu aimes la queueeeee !
A cette époque surtout, et de toutes façons chez les ados, il ne faut pas que l'on sache que vous aimez la queue.
Quand j'étais encore élève interne dans un lycée à Rabat (Maroc), j'aimais me sentir femelle, pute, me faire
baiser par plusieurs élèves !
J’adorais sentir leur zob aller et venir entre mes cuisses, s’insinuer, coulisser, lentement mais sûrement, entre mes fesses pour trouver son passage au fond de mon « vagin ». J’aimais sentir
leur flot de semence épaisse qui dégoulinait lentement sur mes cuisses pendant la nuit, en laissant de longues traînées laiteuses.
Rien que le fait d’être baisé me faisait éjaculer sans même me masturber !
Ainsi, chaque nuit, à 22 h, après que le maître d’internat eût éteint les lumières dans notre dortoir, je dormais nu, à plat ventre, sous mes couvertures et j’attendais après avoir abondamment
enduit mon anus avec NIVEA et y introduit 2 ou 3 doigts pour le dilater.
Presque 2 à 3 fois par semaine, vers 2h du matin quand tous les autres internes étaient profondément endormis, le même groupe, composé de 3 élèves, se relayait sur moi et me baisait à tour de
rôle mais toujours dans le plus grand silence afin de ne réveiller personne !
Moi, je faisais toujours semblant d’être endormi, comme étant dans un état léthargique afin de leur faire croire que je ne sentais et ne remarquais rien ! Je ne donnais aucun signe, ni
d’approbation, ni de refus. J’étais comme une poupée gonflable. Cependant, je les entendais chuchoter doucement : « les gars, ne faisons pas de bruit, baisons-le, chacun son tour, mais sans
réveiller les autres ! ». Je leur sais encore gré d'avoir ainsi protégé ma réputation et empêché que ma vie au lycée ne devienne, au lieu d'un
paradis, un enfer.
Enjoy !
envoyeer des récits, des photos, des videos (embed codes)
adresse du blog : claudemodou@gmail.com
<!-- counter(current) --> personne(s) sur ce blog
Derniers Commentaires