Jeudi 29 mai 4 29 /05 /Mai 15:31
  Jalousie ? désespoir ?  
 
 
  Allons, un de perdu... 
   
 
Ils dansaient
Comme on fait l'amour
Ils glissaient
Sur le bord du jour
Et moi je perdais mon tour

Ils dansaient
La série des slows
Ils passaient
Leurs deux coeurs au chaud
Je leur faisais un beau cadeau

 Il s 'en va
Il s'en va de moi
Devant mes yeux éclate leur plaisir
On voit quand l'amour va mourir
Il  s'en va
Il est loin déjà
Mais il ne sait peut-être pas encore
Que tout finit avec l'aurore

Ils dansaient
Entre ciel et terre
S'en aller
Crier ou se taire
Il n'y avait plus rien à faire

 Il s 'en va
Il s'en va de moi

Devant mes yeux éclate leur plaisir
On voit quand l'amour va mourir
     Il s 'en va
Il s'en va de moi

Mais il ne sait peut-être pas encore
Que tout finit avec l'aurore
  Michel Sardou détourné   
 
 
 Juste pour la musique :
 
Par kiss singer - Publié dans : FICTION & SCIENCE FICTION REVER PARODIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 29 mai 4 29 /05 /Mai 09:21

honnêtes et EQUITABLES  :

 

Réponse de claudio en bas d'article

Fabien Fabien

 12:31 (Il y a 20 heures)
 
Répondre
A claudemodou@gmail.com
mon bo claudio
Tu me manques... Merci pour ton dernier mail, j'ai fais la connaissance virtuelle (pour l'instant) de Michel un lutteur tout comme moi... L'envie est grande de me mesurer à lui afin de pouvoir te raconter tout cela dans les moindres détails ;-))
Tu pourrais faire l'arbitre (surtout quand l'arbitre se fait prendre par le perdant...) tu es partant?
let it rain
pin!
Looks like a good morning to me!
Keep taking it off.
wrestlemeat: super hero trouble
Pin me. Please!
Wrestle
I don’t know, I’m kinda liking this. I’ve never been in this position, I don’t THINK I’m supposed to like it
Exciting!
USA USA USA
crashpositions: Morning in my N2N lounge singlet.
Back when I was wrestling in school, me and a buddy would go over to my coach's house for private training.  You could say he molded me into who I am today.
Je crois que je vais m'arrêter, je vais exploser...
Juste une petite vidéo animée
Bonne journée mon chéri, quand monteras-tu sur un matelas de lutte avec moi?
Ton Fab

 

 

-------------De Friend Amigo claudemodou@gmail.com ------------------------------------------------------

A  Fabien Fabien

Oh, ouihhhh mon bon Fab', mon bienfaiteur ! Merci !

Tu me dois bien ça je crois que c'est moi qui t'ai passé Michel, non ?

Je vois bien le scénar :

- moi j'arbitre je surveille jusqu'au bout que les choses soient régulières

- tu es (naturlich vainqueur)et tu baises ton adversaire (ravi)

- à toi de surveiller maintenant que l'arbitre (qui n'a rien eu le pôvre) se fasse bien

  contenter. Cahier des charges  : tu te charges de diriger son engin vers mon puits d'amour

  Ce serait ta bénédiction  !

- on partage la "récolte " à la fin. Douche à trois obligatoire. Et ça n'aura (une fois de plus !) pas de fin !   

Bien merci mon Ange adoré

Prends bien soin de toi !

ton claudio

PS : bisous à Michel qui est un familier du blog !

 

Par Fabien-claudio - Publié dans : MASTURBATION MASSAGE & SPORTS EN CHAMBRE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 29 mai 4 29 /05 /Mai 00:13

 

 

 

     Raconte Loïc, raconte!

J'ai bien essayé de coller au train d'Alexandre. Mais bar branché, discothèque, restau, ça te ruine un fils d'ouvrier assez vite. Après avoir admiré Alexandre draguer tout ce qui bouge, et revenir le matin vers 9h après avoir baisé la fille qu'il avait dragué. Moi j'étais sans le sou. Je l'ai donc laissé sortir seul juste avant la ruine totale.

Bien sûr on dormait dans la même tente et cette promiscuité forcée avait éveillé chez moi des premiers émois d'une sensualité à me faire triquer comme un âne. Je le trouvais beau Alexandre. Il s'affalait tard le soir à côté de moi, puant l'alcool, la sueur et parfois le parfum de la fille qu'il avait baisé. Parfois il ne prenait pas le temps de se déssaper, souvent il se mettait en calcif, une fois il est resté à poil, sur le ventre: il avait un dos superbe de nageur, un cul musclé et fin d'ado un peu vite grandi. J'avais honte de la trique que me donnait son corps, son odeur.

Cette deuxième semaine était pour moi pleine d'ennui. Le soir je traînais dans la rue en sachant trop bien que tout était trop cher. Alexandre dépensait et s'amusait. J'étais assis à l'arrière d'un restaurant qui finissait son dernier service à attendre je sais pas trop quoi quand Kader, serveur de son état, 20 ans, beur, sortit en costume obligé: pantalon noir, chemise blanche. Il faisait sombre et il me rentra presque dedans.

— Pardon, excuse, ça va?

— Ouaih t'inquiètes, pas de mal.

— Moi c'est Kader, toi?

— Moi Loic.

— Ben tu fais quoi là à attendre dans le noir?

Et là, je sais pas pourquoi, son sourire peut-être, le trop plein d'amertume - mais je ne résistai pas au soulagement de tout lui dire:

— Oh tu sais, c'est galère, suis parti en vacance avec un pote friqué mais j'arrive pas à suivre, alors je traîne en attendant la fin des vacances.

— Tu veux boire un verre? (silence) OK je te l'offre, je te dois bien ça! Mais chez moi parce que moi non plus, je ne roule pas sur l'or...

Et il me décoche un sourire que rétrospectivement je comprends mieux.

Me voilà à 2h du mat la tête plaquée sur le dos d'un arabe à l'arrière d'une moto fonçant vers les chantiers. On s'arrête en bas d'un immeuble genre HLM en moins bien. Il descend:

— Voilà mon palais! C'est un foyer mais en été il est à moitié vide et il loge n'importe qui. He, Ça va?

Je devais faire une drôle de tête. Je force un peu mon sourire, je suis loin de mon camping, sans moyen de locomotion, ça doit se voir.

— Tu pourras dormir là si tu veux, c'est vide je te dis.

Il monte sans plus attendre, des couloirs un peu sordides, tout le monde dort. Il me fait passer dans sa piaule. Il y a deux lits superposés mais de fait, personne n'y dort et un seul lit est équipé de draps. Il ressort, revient avec une glacière, sort deux bières, ramasse un tabouret, les ouvrent et pose les deux cannettes dessus. Je m'assoie sur un lit sans rien dire.

— À ta santé!

On vide les deux canettes. Il a viré ses pompes et ouvert sa chemise laissant apparaître un torse imberbe athlétique mat de peau. Son odeur de mâle se répend dans la pièce. Deux nouvelles cannettes. Il me fait parler d'Alexandre. On lui casse du sucre dessus. Encore deux canettes.

— Bon allez, moi je vais prendre une douche.

Il se retourne, pend sa chemise à un cintre, son dos est une vraie sculpture grecque, défait sa ceinture; le fute tombe tout seul découvrant un minislip bleu qui lui moule un cul de rêve. Il plie le fute sur une chaise et plus désinvolte, vire le slip et me l'envoie à 20 cm devant moi. Sa bitte est lourde, de 17 cm, épaisse, circoncise. Son pubis est noir, ses couilles pendantes autour de la bitte sont comme des oeufs de caille. Il a un corps superbe, athlétique, imberbe.

Il prend sa canette, boit une gorgée en renversant la tête en arrière, passe son autre main sous ses couilles pour les gratter négligemment - je le regarde médusé. Il est tout simplement beau. Je suis en sueur, je sens mon coeur palpiter, ma bitte est en pleine érection et j'ai mis mon haut de survet dessus pour que cela ne se voit pas. Il me regarde soudain le regarder, son regard noir me percute en pleine tête, je n'ose rien dire, je suis hypnotisé; sa réponse est cinglante:

— Arrête de me mater comme ça, on dirait un pédé en manque de queue et ça à plutôt tendance à la réveiller qu'autre chose.

Je baisse les yeux immédiatement sur sa bitte et la voit se lever lentement pour finir raide, telle une barre pointant vers le ciel, 22 cm épaisse, tellement rigide que personne ne la croirait faite de chair. Le salaud se la caresse un peu, fier de cette emblème sans équivoque de sa virilité. Je baisse les yeux à terre, rougis. L'odeur de son intimité me fait suer de la raie comme une salope qui mouille, je me racle la gorge:

— Écoute je vais partir.

— À genoux putain et suce, t'en meurs d'envie!

Je ne sais pas pourquoi je l'ai fait mais lentement j'ai obéis et me suis mis à genoux devant lui, bouche ouverte au milieu de la piaule. Il me prend la tête et pose son gland sur mes lèvres. L'odeur de pisse qu'il exhale me fait presque jouir dans mon fute. Je le lèche et réalise alors que j'avais toujours rêvé de faire cela avec la bitte d'Alexandre. Il s'enfonce dans ma bouche lentement mais sûrement. Je lève les yeux. Il regarde le plafond et guide ma bouche en me tenant au menton et au front. Il se retire, me fais lécher ses couilles, puis se réintroduit - là, je fais moins gaffe, laisse traîner mes dents. La réaction ne se fait pas attendre, il se retire d'un coup, me flanque une baffe qui m'envoie à terre, un coup de pied dans les couilles.

— Eh pédé, c'est pas une brosse à dent, compris?

Je comprends à peine ce qui m'arrive, suis fatigué, un peu saoul, meurtri, les larmes me montent aux yeux. Son regard change, il se couche à coté de moi (nu sur un sol de ciment, ça me laisse à posteriori admiratif), m'embrasse sur le front doucement:

— Pardon, déssappe toi, on sera mieux.

Il se lève et se couche sur son lit. Je me lève à mon tour, me dénude devant lui, un peu honteux de ma bitte de 18 cm seulement qui se dresse toujours et le rejoins encore heureux qu'un tel mec m'accepte. Il s'allonge sur le dos, mains sous la nuque et ferme les yeux.

— Vas-y régale toi!

Sa bitte est raide comme un piquet vers le ciel. Je l'engloutis comme un cadeau en mettant bien mes lèvres entre mes dents et sa peau. Il me tient la tête et me force à en prendre un peu plus à chaque fois, penètre dans ma gorge, des larmes coulent de mes yeux, du sang de mes lèvres. Ses coups de bittes se font de plus en plus brutaux, et là, je manque de vomir. Il se retire en me tirant par les cheuveux.

— Putain tu fais chier...

J'ai de la bave plein le menton qui coule sur son lit.

— Oh merde salaud, quels crado ce mec!

Il me fait sans ménagement prendre sa place mais sur le ventre, se couche sur moi, je sens sa bitte dans ma raie. 

Là j'ai peur, je comprends et vais crier que déjà il m'enfonce son slibard pisseux dans la bouche, tient de l'autre main mes deux poignets dans mon dos et s'enfonce dans mon cul d'un grand coup de reins inexorable. Je sens mes entrailles s'écarter pour laisser passer ce membre impérieux, gueule et chialle de douleur comme un môme. Lui râle de plaisir à mon oreille, j'éjacule sur son lit tandis qu'il ressort pour s'enfoncer de nouveau. Un troisième aller-retour lui sera fatal et je sens son corps dominateur se convulser de plaisir tandis qu'il me crache sa semence planté au plus profond de moi.

 

 

Il retombe. Nous sommes couverts de sueur. Le sperme que j'ai lâché sous moi exhale son parfum acre. Lui reste planté dans mon cul, satisfait de ma docilité. Il me serre dans ses bras.

— T'as aimé salope?

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Il me retire le slip de la bouche. Heureux je ne sais que lui répondre:

— Oui Kader.

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Par Batard - Publié dans : CHRO-NIQUES & INVITES (GAYS BI HET... ETC) I - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 27 mai 2 27 /05 /Mai 23:30

 

Friend Amigo <claudemodou@gmail.com>

 18:58 (Il y a 4 heures)
   
À neo14
Salut François
Es-tu bien le François, auteur de L'auberge des garçons miroirs ? et de
Enzo et Mattéo ? 
Je me régale de ton talent de scénariste et de conteur
J'en ai fait une copîe pour mon plaisir personnel
Tu as encore davantage touché mon coeur dans ton évocation de :Arnaud   :" Il y eut de l'incrédulité dans les yeux d'Arnaud puis, à travers les sanglots contenus, son visage s’éclaira du plus joli des sourires." Aucun garçon n’est laid quand il sourit."
Vois-tu le formatage général qu'on subit dès l'enfance, dès la famille, dès l'école, dès la société...dès internet et tout le X .. qui  réduit à un complexe d'infériorité tout garçon qui  n'entre pas dans les canons et les références de la société .
Recherchons  ces jeunes pour les rassurer...
J'aime ce que tu fais 
Merci
Des bisous de 
claudio

 

Bon, Say hello to Enzo and his big long uncut cock. He&#8217;s a French guy, 30 years old, weighs 209 lbs, and loves to workout. Originally he was approached at a gym to do a nude massage video but ended up blowing two huge cumshots on camera as well. If you look closely as he stands up, you can see the cum splatters all over his lower abdominal and upper pubic area. Gay porn gif taken from the Enzo jerk off video at Keum Gay. ( via keumgay.com ) vous voulez que je vous raconte ce que j'ai retenu de cette histoire ? Laissez-moi d'abord m'habiller. 

Say hello to Oliver and his new haircut. Very handsome guy. I especially like his eyes and hairy chest. Photo reminds me of the earlier Colt models from coltstudiogroup.com For more hairy guy selfies, follow Naked Straight Guys. — Eh bien,

    Résumé : François, l"auteur de cette histoire, s'est égaré sur une route de montagne, en vue d'une grande maison qui s'avère être une auberge mystérieuse. Une tempête accompagnée d'un orage provoquant des chutes d'arbres l'oblige à s'installer à l'auberge en attendant la réouverture de la route. 

   François est très excité par cette scène dans la salle de bains

Panne d'électricité, bain, séchage en commun,  il est guidé et accueilli par les fils de ses hôtes,  deux jumeaux très attirants et équivoques...

Sera-t- il l'amant de Yannick ou celui de Yohann au cours de cette excitante nuit pleine 

de promesses? Non, je préfère vous dire tout de suite qu' il faudra renoncer à aller plus avant, de dévoiler ses intentions, laisser la chose comme possible, ne pas vouloir savoir, ajouter un chapitre aux Occasions perdues : Mon nom est Ce qui aurait pu être

Je m’appelle aussi Jamais plus Trop tard, Adieu.

Surviennent au repas les autres hôtes de l'auberge, notamment le jeune Arnaud, qui fera le quatrième des parties de cartes de la soirée.

 

    "Tableau émouvant d’un ado mal dans sa peau", il est très encadré par ses parents qui l'emmerdent et le rabaissent -"fais pas ci, fais pas çà". La soirée s'achève. François va au lit décidé à dormir puisqu'aucun des jumeaux n'a répondu à ses avances.

François n'est pas très gentil pour le garçon qu'il appelle "Mérou" et pour lequel il n'éprouve aucun désir....et, de sa part à lui, il n'y aura aucune provocation. Il n'est pas dit que le jeune homme n'ait pas été provoqué quand même !  "Installé en face de moi, il m’observait à travers ses deux aquariums. J’étais vache, je savais maintenant qu’il s’appelait Arnaud, mais Mérou lui allait si bien ! Il ne se passa pas une minute avant que Yannick, en posant le plateau de fromages bien au centre de la table, réitère le geste de son frère, sur mon autre épaule, prolongeant même le contact en allant pêcher une corbeille de pain vide. Tant pis pour Arnaud, je résistais de l’épaule et poussais mon bras doucement en arrière contre son entrejambe."

Après coup, le jeu des jumeaux vous semblera bien perfide...

"La conversation se prolongeait à table, il était encore bien tôt. Les jumeaux vinrent proposer à Arnaud de faire une partie de cartes et perfides, de me joindre à eux. Je laissai passer un temps décent puis je priais mes «nouveaux amis » de m’excuser et allais les rejoindre à une table près du feu. Ils avaient commencé à jouer à des jeux un peu enfantins dont j’avais oublié jusqu’au nom depuis mes dernières colos. En riant, ils m’en rappelèrent les règles et nous fîmes quelques parties plutôt joyeuses. Le poker menteur occasionna de grands éclats de rire mais aussi l’intervention des mères castratrices qui prièrent leurs rejetons de faire moins de bruit. J’étais aux anges, je dévorais Yannick et Yohann des yeux, m’imprégnais de leurs attitudes, me rassasiais de leurs mimiques. Arnaud n’était pas un garçon désagréable. Intelligent et sensé mais encombré par ses bras et par ses jambes, il servait de contrepoint à l’aisance et à la beauté des deux frères. Il est étrange qu'au même âge, certain ados aient l'air déjà de princes, de splendides papillons alors que d'autres ne sont pas encore sortis de leurs chrysalides...." 

 

    Un extrait du texte : [...]  Yannick joua le porte flambeau jusque dans ma chambre. Il posa la lampe sur le chevet et s’éclipsa aussitôt, je ne fis rien pour le retenir. Elle était loin maintenant la belle exaltation qui avait porté mes pas au début de la soirée. Cette situation je la connaissais bien, elle présidait souvent à mes amours, à mes désirs et devait être le lot de bien d’hommes qui les partageaient : l’engouement brutal pour un visage, un corps gracieux, l’espoir qui naît par un geste complice, un regard, une parole encourageante et puis le doute et l’hésitation, le mot que l’on ne trouve pas, le regard qui jamais ne se renouvelle, la peur, l’incertitude d’avoir mal interprété ce geste ou ce regard et puis le renoncement, le confort douillet de renoncer à aller plus avant, de dévoiler ses intentions, laisser la chose comme possible, ne pas vouloir savoir, ajouter un chapitre aux Occasions perdues :

Mon nom est Ce qui aurait pu être

Je m’appelle aussi Jamais plus

Trop tard, Adieu. [1]

Je soufflai la lampe sans même penser à sortir mon briquet et m’enfonçai nu entre les draps. Le trop copieux repas pesait sur mon estomac. Je m’endormis sur le dos, d’un sommeil lourd, peuplé de jumeaux sardoniques et facétieux. Dormir est un grand mot, je cheminais à la lisière de la veille et du sommeil, passant indistinctement de l’un à l’autre, continuant le rêve dans les périodes d’éveil. À quel moment me suis-je aperçu qu’une main était posée sur ma poitrine ? Était-ce dans un rêve ? J’émergeais comme du fond d’un océan de nuit, lentement au départ, retenu par des mains invisibles puis brutalement j’atteignis la surface, les yeux grands ouverts sur le noir profond. La main était toujours là, timide et hésitante, elle caressait mon torse.



Premiere étreinte : Je ne bougeais pas mais mon cœur s’affolait, le sang me battait aux tempes, le bonheur m’envahissait, me submergeait, irradiait dans ma poitrine depuis cette main légère. Je ne bandais pas mais tous mes sens étaient en alerte et exaltés. Mes yeux cherchaient inutilement à percer la nuit, mon nez aspirait la fragrance légère d’un corps en émoi, l’ouïe aux aguets pour découvrir le son ténu et oppressé d’une respiration inquiète, jusqu'à mon bras qui ressentait la chaleur irradiée par ce corps si proche.

Je glissais ma main sous les draps avec la lenteur d’un photographe animalier à l’affut, doucement pour ne pas effrayer, pourtant je perçus un tressaillement quand mes doigts rencontrèrent un genou. La main se suspendit au dessus de ma poitrine, je la capturai dans la mienne, la pressai délicatement, la reposai sur mon sein. Mes doigts avaient contourné le genou, s’immisçaient dans la tiédeur des cuisses, remontaient entre ces jambes au duvet si doux jusqu’à leur confluent. Allais-je rencontrer le tissu d’un slip ? Ce fut la masse soyeuse, étrangement fluide, presque fuyante, de ses bourses que mes doigt parcoururent, le garçon était entré nu dans mon lit. Au dessus, plantée droite, une verge dure d’une jolie taille, s’échappa à la caresse de mes doigts, vint les refrapper, s’éloigna encore, en proie à une de ces excitations incontrôlable habituelles à cet âge. J’en parcourus les flancs du bout des doigts, sans serrer, depuis une toison étroite et courte jusqu’à un prépuce charnu. Cet effleurement, cette caresse si légère fit accélérer la respiration du garçon et se crisper la main sur ma poitrine. Je continuais en serrant un peu, entraînant dans la descente la peau fine, décalottant le gland humide qui vint se nicher au creux de ma paume. Le souffle se suspendit puis devint halètement. De peur qu’il ne jouisse déjà, je descendis sur les bourses, les prenais à pleine main, jouai avec les lourds testicules, m’enfonçais dans la caverne un peu moite de son entrejambe.

C’était l’endroit le plus délicat du monde où cohabitait la finesse de l’aine quand elle rejoint le sillon et la dureté majestueuse du prolongement de la queue. Les jambes s’écartèrent juste assez pour que je puisse, du majeur, suivre la couture, cette sorte de petit bourrelet de peau du garçon en formation, jusqu’à la margelle du puits mystérieux. Il ferma les jambes pour emprisonner ma main contre son bourgeon, mais aussi peut-être pour m’empêcher d’aller plus avant. Après une dernière caresse sur sa verge tendue, je fis musarder le dos de mes doigts sur son ventre moelleux, sur les vallons naissants de sa poitrine, sur ses tétins sensibles puis passant par le cou délicat, j’enlaçais de mon bras ses épaules et son dos. Je l’attirais à moi et le fis rouler sur mon ventre. Il s’y installa, allongé de tout son long, poitrine contre poitrine, les genoux serrés par mes cuisses, sa verge rigide blottie sur mon ventre, enveloppé dans mes bras qui le plaquaient à moi. Il s’abandonnait, la joue contre la mienne, son souffle dans mon cou, ondulant sous mes caresses esquissées, sous les frôlements de mes doigts qui parcourraient son échine et ses flancs dans de grands cercles lents jusqu’à ses jeunes fesses étroites et dures. Il dégagea ses genoux de l’étreinte de mes cuisses, laissant à mes doigts l’accès à son aride vallée. Je la parcourus en randonneur musard, depuis le mont Coccyx jusqu’aux gorges jumelles, faisant naître sous mes pas de brefs tressaillements.

L’ingénu, bouleversé par mes caresses, vint de la main, dégager mon sexe et le placer dans sa raie puis il souleva son bassin et fit suivre à mon gland humide le parcours de mes doigts. Son excitation était si visible que je me demandais s’il n’attendait pas de moi une caresse plus virile. Cette idée m’inquiétait : l’étroitesse de sa corolle méritait un bon lubrifiant que nous n’avions pas. Rapidement je compris que ce jeu lui suffisait et j’accentuais le frottement par des mouvements contraires. À chaque rencontre de nos ventres, ses boules se calaient dans la forêt de mon pubis, sa verge glissait entre nos muscles contractés. Il y eut dans le noir de la chambre, un petit cri de gorge, un « Ah » mourant et nos ventres en s’éloignant, entraînèrent une substance poisseuse. Je couvrais sa joue de baisers en cherchant la commissure des lèvres, il me les abandonna comme épuisé puis sa bouche devint dure, sa langue pointue et nous échangeâmes un baiser d’amants pendant qu’entre nos corps roulait sa semence. "

 

 

Deuxième étreinte : "De cette nuit, il me restera d’autres images, d’autres senteurs et goûts. L’odeur de son corps enfiévré, la saveur de son sperme à sa sueur mêlé et puis nos enlacements, nos étreintes cent fois recommencés. Il semblait insatiable sous ma langue, regonflait dans mon palais, offrait son corps à mes mains câlines, sans pudeur ni retenue. De nouveau je sentis sa demande mais également sa peur quand, sur son dos je m’allongeai. Je rompis le combat lorsque mon second doigt salivé ne put s’enfoncer. Il se montra têtu et volontaire, me retourna ventre à l’air, s’installa sur mon bassin. J’écoutais, inquiet, son souffle rauque, ses faibles plaintes nasales. Il s’arrêta tendu et tremblant, les mains crispées sur mes biceps quand mon gland fût passé, puis il se courba, posa son front sur le mien et d’un signe de tête, me donna son accord muet.

Anéantis par tant de bonheur, nous reposions l’un contre l’autre, enlacés, sa tête posée sur mon sein, ma cuisse abandonnée entre les siennes. Je pensais mes sens repus et ne plus désirer autre chose que la langueur de l’amour comblé. Peut-être me suis-je assoupi ? Une main qui emprisonnait mon sexe et doucement le branlait et la dureté retrouvée d’une jeune verge collée à ma jambe, réveillèrent au fond de mon ventre un désir enfoui depuis mon adolescence. Plus le garçon se frottait lascivement à moi, plus le désir de le sentir en moi, de lui rendre le plaisir qu’il m’avait offert montait dans mes reins. Je me tournai sur le ventre et l’invitai à me couvrir. Il hésita, certainement intimidé puis se décida et avec toute la fougue de sa jeunesse, cette façon brouillonne mais intense et sans retenue due à l’inexpérience, il me pénétra. Il me fit l’amour longtemps, m’emmenant dans des contrées inconnues, soulevant de son sexe des ondes de plaisir auxquelles je m’abandonnai. Dix fois je crus jouir sans pouvoir l’attendre, dix fois je me retins au bord de l’oubli. Notre délivrance arriva dans un sursaut et nous nous écroulâmes l’un sur l’autre, épuisés et heureux. "

 

 


Je fus sorti de mon lourd sommeil par le bruit entêtant d’une tronçonneuse. Le soleil perçait les volets et donnait un aspect pimpant à la chambre. La place à côté de moi était vide, j’étais déçu bien entendu de ne pas trouver à mon flan, un corps nu et abandonné, encore plongé dans le sommeil, ce qui est pour moi l’ultime récompense d’une nuit d’amour. Je n’avais nulle impression d’avoir rêvé, on n’atteint jamais un tel degré de félicité même dans les fantasmes les plus fous et le désordre des draps ainsi que les traces tangibles de nos jouissances me remémoraient nos ébats. Sommairement lavé et habillé, j’ouvris la fenêtre. À quelques pas de l’auberge, après le parking, des cantonniers municipaux débitaient un sapin tombé en travers de la route. Plus haut, celle-ci était toujours obstruée par le grand chêne abattu. Bottés de caoutchouc et couverts de leurs cirés, les jumeaux aidaient au travail en entassant des branches élaguées.

Malgré la distance, j’arrivais à les discerner grâce à d’infimes détails de comportement, à la démarche plus sensuelle de Yannick ou celle plus décidée de Yoann, au port de leurs têtes, à leurs gestes qui reflétaient la différence de leurs caractères. C’était Yannick, j’en étais certain qui, en me découvrant à la fenêtre, me gratifiait du plus joli, du plus rayonnant des sourires, un de ces sourires que l’on accorde qu’à un amant. Je fus submergé de tendresse et de bonheur. « Merci Ya » pensais-je, mais dans l’instant, Yoann, arrivé à sa hauteur me décocha un sourire tout autant éclatant et charmeur.

— Descends prendre ton déjeuner, il y a même du pain frais !

Dans la salle Veston et Robe-à-fleurs (ce n’étaient pas les mêmes fleurs) réglaient leur note, ils répondirent à mon sourire radieux par un salut gourmé. Les jumeaux furent appelés à la rescousse pour descendre les bagages. Ils arrivèrent en tempête, entraînant dans leur sillage une odeur de sapin fraîchement coupé.

— Je me débarrasse vite fait de la corvée et je viens te servir ton petit dej’, souffla Yannick en passant près de moi. Yoann pour ne pas être en reste, me fit un clin d’œil et une petite tape sur le bras.

Je m’installai à la table d’hôte après avoir salué. Arnaud n’était pas encore descendu. Je conversai avec le père en attendant le retour de Yannick.

— Nous allons partir, la ligne électrique ne sera pas réparée avant deux jours et ce qui était amusant pour un soir, va devenir une corvée si cela se prolonge… Surtout avec des enfants, ajouta-t-il comme pour s’excuser.

Pauvres enfants, pensais-je, obligés de se laver à l’eau froide et de s’éclairer à la bougie ! Cela ressemblait à une fuite, un abandon de navire et cette annonce me déplaisait fortement. J’essayai de les convaincre de rester, de ne pas laisser l’auberge sans clients et leur dis que j’avais décidé de m’installer ici quelques jours.

— Et vos amis ? intervint la femme.

— Je les ai prévenus hier soir et j’irai les voir ensuite, je ne devais leur faire qu’une courte visite.

— Non, nous ne restons pas, confirma le père, et puis c’est plus cher que je ne le pensais, me dit-il tout bas en se penchant vers moi.

Yannick, débarrassé de son ciré, en jean slim et polo bleu, posait devant moi un plateau chargé à profusion de pain, beurre, confitures, pots de café et de lait.

— Tu as bien dormi ? me questionna-t-il avec un sourire en coin et l’œil égrillard de celui qui en sait long.

— Comme un loir, d’une seule traite ! (menteur !)

Je le regardais s’éloigner, le regard rivé à ses jolies fesses serrées dans le jean étroit.

Arnaud fit alors une apparition chiffonnée. Il était vêtu comme la veille, les cheveux plus embrouillés encore, les lunettes de travers. Ce tableau émouvant d’un ado mal dans sa peau me fit battre le cœur. Et dire que je l’avais snobé hier soir, presqu’ignoré et je m’en voulais terriblement. Il s’assit face à sa mère, de l’autre côté de la table et semblait vouloir éviter mon regard.

— Arnaud ! Tu ne dis pas bonjour à Monsieur François ?

Il me fit un signe de tête contraint. Je lui répondis par un « Bonjour Arnaud » sonore, accompagné d’un petit sourire narquois ce qui lui empourpra les oreilles.

— Mais qu’as-tu fais à tes lunettes, elles sont pleine de traces de doigts... donne-les je vais te les nettoyer. Il dévoila son regard de myope aux yeux gonflés.

— Oh là là, tu n’as pas bien dormi cette nuit, il est temps qu’on rentre ! s’exclama la femme tout en frottant les verres avec une serviette.

Arnaud rechaussa précipitamment ses lunettes, autant pour retrouver la vue que pour cacher ses yeux cernés, il fixait la nappe l’air boudeur, sa mère se leva et sorti pour surveiller la gamine. Alors je poussais mon plateau vers lui et glissais sur le banc pour me placer en face.

— Tiens, je ne pourrai jamais finir tout ça. Commence à manger !

Nos regards s’accrochèrent et avant qu’il ne baisse le sien, je lui fis un clin d’œil appuyé. Il devint pivoine, chercha si on nous regardait puis ses lèvres s’étirèrent dans un fin sourire.

— Vous aviez deviné?

— Dès que j’ai pris ta main.

Je mentais. Cette nuit mes sens endormis, amoindris par l’alcool avaient abusé mon cerveaux et c’était l’image de Ya ou de Yo qui s’y était formée lors de mes premières caresses. En posant ma main sur une nuque chevelue j’avais compris mon erreur mais cela n’avait plus d’importance à ce moment, j’étais déjà conquis par la douceur de sa peau, la délicatesse de son corps, l’intensité de son désir, le feu qui le brûlait. C’était bien Arnaud que j'avais couvert de baisers enfiévrés, c'était bien lui que j'avais chercher à faire jouir de mes mains, de mes lèvres, de ma verge et c'était la verge de ce garçon, pas celle d'un fantasme, d'une illusion de YaYo que j'avais appelé à me transpercer. Oh mon doux et tendre amant, toi que j’avais appelé vilain, chez qui je n’avais pas su oublier les hublots pour trouver ton âme tout comme les trois capitaines n'avaient pas su enlever les sabots d'Hélène [Brassens!] et te dépouiller de tes hardes pour trouver ton cœur. Me pardonneras-tu mon indifférence ? Saurai-je un jour assez te remercier d'avoir forcé ma main et changer notre destin ?

— Je t’aime !

Je ne pouvais pas dire moins et j'étais sincère. Arnaud ne répondit rien, il piqua du nez vers la table puis deux grosses larmes coulèrent de dessous ses lunettes et s’écrasèrent sur la nappe. Il ne bougea pas lorsque Yoann posa devant lui un bol de chocolat brûlant. Les yeux du jeune aubergiste allèrent de mon visage aux joues mouillées d’Arnaud. Sans paraître autrement étonné, il enjamba le banc et passa son bras sur les épaules du garçon. Comment avait-il compris ? Avaient-ils, son frère et lui, été complices, instigateurs, entremetteurs, voyeurs ? C'est un secret que je n'ai jamais percé.

— Tu habites où ?

— La région parisienne...

— Et toi ?

— Pareil, la banlieue, soufflais-je, amusé par le ton de conspirateur que nous prenions.

— Eh bien vous allez vous revoir ! François va te donner son 06.

— Bien entendu... J'ai très envie de te retrouver...

Il y eut de l'incrédulité dans les yeux d'Arnaud puis, à travers les sanglots contenus, son visage s’éclaira du plus joli des sourires. Aucun garçon n’est laid quand il sourit.
Plus tard nous regardâmes, les jumeaux et moi, s’éloigner la voiture d’où s’échappait une main agitée en signe "d'au revoir" et non pas d'adieu.

— Bon, tu restes combien de temps ? demanda Yannick.

— Je ne sais pas, trois jours…

— Parfait, compléta Yoann, mais pas d’erreur, hein, nous ne sommes pas des Arnaud.

— Ça je l’ai compris. Tout juste de petits allumeurs.

 

— Eh, il faut bien remplir l’hôtel ! " Fin  

FrançoisT  L'auberge des garçons miroirs

 

    Ci-desssous, ce  Fake  convient-il pour représenter Arnaud ? peut-être, mais c'est une merveille au lit ! Personne n'est laid. Seriez-vous partant pour une nuit avec lui ? ?  

D'après ce récit "Aucun garçon n'est laid quand il sourit"

Voir les récits de François T dans Gai-eros : 

http://www.gai-eros.org/w/index.php/Cat%C3%A9gorie:Auteur:_Fran%C3%A7ois_T.   

 

 

 

Par FRANCOIS T - Publié dans : HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 27 mai 2 27 /05 /Mai 21:51

LUTTEURS GAY WRESTLERS   

  Pas nécéssairement bien charpentés, ils laissent voir leurs poutres. 

C'est quoi ça, la poutre ?

 

La poutre apparente des jeunes lutteurs à la fin du combat

John Irving et son fils Colin. Été 1983.
  En hiver  2011 François Busnel, l'excellent animateur de La Grande librairie (France 5), rendait visite au romancier américain John Irving (Le Monde selon Garp) pour l'interroger sur Dernière Nuit à Twisted River dont la traduction estparue et sur ses thèmes récurrents. Entre autres: le père absent, l'initiation sexuelle, l'entrée dans l'âge adulte, les ours, la lutte. Durant ses études, Irving pratiquait avec la même intensité la lutte et l'écriture. Il se battait aussi contre un handicap majeur pour un écrivain: sa dyslexie que l'on n'avait pas diagnostiquée. C'est la ténacité et la concentration acquises durant l'entraînement sportif qui l'ont aidé à la surmonter. Aller au contact, répéter les prises jusqu'à acquérir la mémoire musculaire qui saura réagir instantanément. En écriture, il faut la même endurance.

Lorsque la prise fonctionne [lorsque le paragraphe sonne enfin juste] le sportif [l'écrivain] est aux anges. Et sa bite aussi, parfois. C'est notre sujet du jour: pourquoi les sportifs bandent-ils en pleine action? Les lutteurs sont exposés à leurs camarades durant l'entraînement, puis au public. Leur maillot ne cache rien de leur euphorie, ni de leur embarras si une tache humide se développe à la pointe du gourdin...

Rendons grâce à Jésus!
La première leçon que l'on apprend dans ce sport c'est de ne pas avoir peur de l'autre et d'aller au contact. Le lutteur s'assume tel qu'il est; il accepte le partenaire/adversaire qu'il va saisir à bras-le-corps tel qu'il est. Il ignore le pet lâché dans l'effort aussi bien que l'érection intempestive. L'augmentation de la circulation du sang dans les jambes, le frottement ou l'excitation du combat peuvent réveiller le poireau qui se déploie alors librement sous le maillot moulant. Dès lors, pourquoi cette tenue? Parce qu'elle évite de se prendre les mains et les bras dans des t-shirts, shorts ou kimonos et de se fouler ou casser un doigt. La poutre apparente durant l'affrontement, c'est comme l'érection nocturne ou le bout dur pendant le cours de math: sans relation avec une excitation sexuelle consciente. Un signe de bonne santé. C'est pourquoi les sportifs aguerris ont le sourire lorsque cela se produit.

Désapprobation envers le coach lubrique.
Le jeune homme en haut à droite n'a pas d'autre possibilité que de faire bonne figure et savourer sa victoire. Et si la poussée de sève se produit lorsque père et fils s'entraînent ensemble, comme John Irving l'a longtemps pratiqué avec son fils Colin, il ne reste qu'à l'ignorer, ou mieux: en rire et en profiter pour faire passer un brin de sagesse mâle du père au fils. [Photo tirée de The Imaginary Girlfriend - A Memoir de John Irving.]

 

 

 

                                  

 

 

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Par spotblogger - Publié dans : MASTURBATION MASSAGE & SPORTS EN CHAMBRE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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