cavaillongay-lesitelocal

Austin, dans une poussée douce mais ferme, glissa en elle. Elle gémit légèrement tandis qu'il la remplissait de son sexe. Les yeux clairs d'abord, puis devenant vitreux ne se quittant pas l'un l'autre d'abord tandis qu'elle lui souriait. Puis ses beaux yeux s'élevèrent au ciel et entrèrent dans le flou de la fièvre amoureuse.

Il commença à bouger, à entrer et à sortir d'elle, ses coups les plus durs  devenant encore plus lents, chacun envoyant une vive poussée de plaisir alors qu'il la remplissait de son sexe. Il recommença à retirer sa bite jusqu'au bout, tenant sa verge dressée debout devant elle, sur les lèvres de sa chatte serrée et humide, avant que d'un mouvement rapide il la plongeât de nouveau en elle. Tandis qu'il  posait un baiser sur son front, il l'entendit gémir avant de retirer sa queue pour une autre pénétration. Austin sentit sa chatte serrée se contracter, serrant son sexe pendant qu'il continuait à la remplir, ses gémissements animaux devinrent plus forts à ce moment-là. «Arrrghh», était le seul son qu'elle réussissait à émettre, une fois de plus il s'est plongé en elle avant de l'embrasser profondément, une fois de plus, et de la fourrer, littéralement. Délicatement il lui a levé les jambes, leur permettant de s'enrouler autour de ses hanches, en prenant ses pieds l'un après l'autre. Elle se mit à le serrer plus étroitement tandis qu'inexorablement il la perçait de sa queue tendue à l'extrême. Ses bras s'enroulaient autour de ses fesses, tirant son trou humide vers lui, vers son pubis et ses couilles qu'il sentait pleines de son jus fécondeur. Alors, accélérant ses allées et venues, il a commencé à la baiser rapidement. Le son du couple inondé de plaisir mêlant en écho gémissements et bruit de gentilles claques autour de la pièce...

 

       

 

 

       

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commentaire : "quasiment c'est pudique alors que c'est totalement porn. Mais on bande ! Le Lohic"

"cette bite qui entre comme elle veut, qui va qui vient, ça m'a donnédes idées de ....sturbe.MOGICAN "

"les gifs pas exceptionnelles, juste bien...pour se branler. Il faut." Stentor"

"les coups de défonce un peu brusques c'est bon, moi je le dis comme passif. On a ça en commun avec elles. Ca marque la présence du partenaire qui domine. mmmmm! ...houihoui"

            

1
La femme qui possède tout en elle
Pour donner le goût des fêtes charnelles
La femme qui suscite en nous tant de passion brutale
La femme est avant tout sentimentale
Main dans la main les longues promenades
Les fleurs, les billets doux, les sérénades
Les crimes, les folies que pour ses beaux yeux l'on commet
La transportent, mais ...

Refrain
Quatre-vingt-quinze fois sur cent,
La femme s'emmerde en baisant.
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses.
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
A l'heure de l'œuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère !
S'il n'entend le cœur qui bat,
Le corps non plus ne bronche pas.

2
Sauf quand elle aime un homme avec tendresse,
Toujours sensible alors à ses caresses.
Toujours bien disposée, toujours encline à s'émouvoir,
Elle s'emmerde sans s'en apercevoir.
Ou quand elle a des besoins tyranniques,
Quelle souffre de nymphomanie chronique
C'est elle qui fait alors passer à ses adorateurs
De fichus quarts d'heure.

Refrain
Quatre-vingt-quinze fois sur cent,
La femme s'emmerde en baisant.
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses.
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
A l'heure de l'œuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère !
S'il n'entend le cœur qui bat,
Le corps non plus ne bronche pas.

3
Les "encore",les "c'est bon",les "continue"
Qu'elle crie pour simuler qu'elle monte aux nues
C'est pure charité, les soupirs des anges ne sont
En général que de pieux mensonges
C'est à seul fin que son partenaire
Se croit un amant extraordinaire,
Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus
Ne soit pas déçu.

Refrain
Quatre-vingt-quinze fois sur cent,
La femme s'emmerde en baisant.
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses.
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
A l'heure de l'œuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère !
S'il n'entend le cœur qui bat,
Le corps non plus ne bronche pas.

4
J'entends aller bon train les commentaires
De ceux qui font des châteaux à Cythère
"C'est parce que tu n'es qu'un malhabile, un maladroit
Qu'elle conserve toujours son sang-froid"
Peut-être, mais si les assauts vous pèsent
De ces petits m'as-tu vu-quand je baise
Mesdames, en vous laissant manger le plaisir sur le dos,
Chantez in petto

Refrain
Quatre-vingt-quinze fois sur cent,
La femme s'emmerde en baisant.
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses.
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
A l'heure de l'œuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère !
S'il n'entend le cœur qui bat,
Le corps non plus ne bronche pas.

 

 

 

 

 

commentaire  : "c'est ben vrai ça" (La mère Denis)

 

 

elles ont au moins un mérite c'est de ne pas cacher leur jeu (cette fois) !

 angelo tu es toujours si timide ! prends modèle !