Lundi 2 février 1 02 /02 /Fév 15:00

 

maginer le procès des 49000

« Je t'écoute démonter ma vie
En pleurant
Si j'avais su qu'un matin
Je serais là, sali, jugé, sur un banc
Par l'ombre d'un corps
Que j'ai serré si souvent  »Daniel Balavoine, dans Mon Fils Ma Bataille en détournant son intention

 

 

l'homosexualité de Rimbaud explique en partie son génie

 

 


Oscar Wilde, dandy et bon vivant...
Il mourra ruiné à Paris en 1900

 

 

Proust était un secret homosexuel, mais tout le monde le savait.  ->

 

    Cumberbatch, Tatchell et Fry demandent qu’on gracie les 49000 homosexuels condamnés  

Publié par  sur Yagg ce 2 fevrier 2015 
Benedict Cumberbatch réclame que la grâce accordée au génie de l'informatique Alan Turing, qu'il interprète dans le film "The Imitation Game", soit étendue à tous les autres homosexuels condamnés par la "justice" britannique avant 1967.

Benedict Cumberbatch a ajouté sa signature à celles de l’activiste Peter Tatchell et de l’acteur Stephen Fry, au bas d’une lettre ouverte, réclamant au gouvernement britannique de gracier les milliers d’homosexuels condamnés pour «indécence manifeste». Cette lettre a déjà été signée par 40000 personnes au Royaume-Uni, selon The Guardian.

Les signataires réclament que le pardon soit accordé à ces hommes condamnés en raison de leur sexualité, une grâce qui pourrait effacer toute condamnation pour 15000 personnes encore vivantes.

S’appuyant sur le cas d’Alan Turing, mathématicien de génie qui contribua à casser le code secret des Allemands durant la Seconde Guerre mondiale et qui fut poussé au suicide en 1954 après avoir été condamné à la castration chimique, les signataires réclament que «le gouvernement de Sa Majesté commence à discuter sur la possibilité de gracier tous ces hommes, vivants ou morts qui, comme Alan Turing, ont été condamnés». L’acteur Benedict Cumberbatch interprète Alan Turing dans le biopic The Imitation Game, actuellement sur les écrans. Le mathématicien avait été gracié en 2013 par la reine Elizabeth II.

La législation britannique a étendu en 1885 la législation anti-sodomie à toutes les pratiques sexuelles entre hommes. L’homosexualité féminine n’a été en revanche ni reconnue ni criminalisée. Dans les années 1950, cette législation a même été durcie. On estime que 49000 homosexuels furent condamnés. Le plus célèbre, Oscar Wilde, fut condamné à deux ans de travaux forcés en 1895. Ce n’est qu’à partir de 1967 que l’homosexualité a progressivement été dépénalisée.

voir texte  plus haut

Par christophe Martet - Publié dans : ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 2 février 1 02 /02 /Fév 14:55

 

 France – Discours de Robert Badinter sur la dépénalisation de l’homosexualité, le 20 décembre 1981

Sur une proposition du ministre de la Justice, Robert Badinter, l'Assemblée Nationale vote le 27 juillet 1982 la dépénalisation de l'homosexualité. Avec l'abrogation de l'article 332-1 du code pénal, l'homosexualité n'est plus considérée comme un délit.

Extraits du discours de Robert Badinter, Garde des Sceaux du gouvernement Mauroy. Intervention à l’Assemblée Nationale, le 20 décembre 1981 :

"Madame la Présidente, Mesdames, Messieurs les députés,

La proposition de loi qui vous est soumise est de celles auxquelles le Gouvernement s’associe pleinement. [...]

Une évidence s'impose: pendant cent cinquante ans, comme l’a rappelé Mme le rapporteur, de 1791 à 1942, la loi pénale française a refusé la répression de l’homosexualité en tant que telle, c’est-à-dire entre personnes consentantes, y compris si l’une d’elles ou les deux étaient des mineurs de plus de quinze ans. [...]

Les années 1791 à 1942 ne sont pourtant pas, historiquement, ce qu’on peut appeler une période de libertinage ou de laxisme dans les mœurs; c'est l'époque du triomphe de la morale bourgeoise, avec ce qu’elle comportait de valeurs et de rigueur au moins proclamées dans le domaine des mœurs.

Croit-on vraiment que si les champions de l’ordre moral si exigeants du XIXe siècle – qu’ils s’appellent Odilon Barrot, Mole ou le duc de Broglie - avaient considéré que la sauvegarde des mineurs contre ce qu’ils appelaient le "désordre des mœurs" passait par la répression pénale de l’homosexualité, ils n’auraient pas saisi les assemblées parlementaires, alors composées en majeure partie de notables, de projets de textes répressifs identiques à l’article 331, deuxième alinéa ? Rendons-leur à cet égard, témoignage; si Oscar Wilde a été condamné par la justice anglaise pour avoir séduit Lord Douglas, nous savons que Verlaine ne pouvait être poursuivi par la justice française pour avoir séduit Rimbaud, âgé de dix-sept ans, à moins d’ailleurs, que la séduction ne fût en sens contraire. Tous les rapports de police de l’époque témoignent que la liaison était notoire.

Alors, interrogeons-nous !

La justice anglaise s’est-elle trouvée grandie d’avoir détruit moralement et physiquement Oscar Wilde ?

Et l'homosexualité chez les jeunes gens de l’aristocratie anglaise s’est-elle trouvée réduite par ces pratiques répressives ? À lire les mémoires de l’époque, il est permis d’en douter.

En réalité, ces législateurs du XIXe siècle savaient fort bien - je n'ose pas dire par expérience séculaire - que jamais la répression pénale n’a eu à l'égard de l’homosexualité, la moindre efficacité.

Nul d’ailleurs ne le savait mieux que notre éminent prédécesseur, l’archichancelier de l’Empire, M. Cambacérès l’un des auteurs du Code pénal, bien connu au Palais-Royal sous le sobriquet de "Tante Urlurette". [...] *

L’Assemblée sait quel type de société, toujours marquée par l’arbitraire, l’intolérance, le fanatisme ou le racisme a constamment pratiqué la chasse à l’homosexualité. Cette discrimination et cette répression sont incompatible avec les principes d’un grand pays de liberté comme le nôtre. Il n’est que temps de prendre conscience de tout ce que la France doit aux homosexuels comme à tous ses autres citoyens dans tant de domaines.

La discrimination, la flétrissure qu’implique à leur égard l’existence d’une infraction particulière d’homosexualité les atteint - nous atteint tous - à travers une loi qui exprime l’idéologie, la pesanteur d'une époque odieuse de notre histoire.

Le moment est venu, pour l’Assemblée, d’en finir avec ces discriminations comme avec toutes les autres qui subsistent encore dans notre société, car elles sont indignes de la France...

...NDRL..:1 la France qui a pu s'enorgueillir de disposer de quelques justes, dont Badinter...

2* et pour ce qui est de l'actu des politiciens crypto homos, Pierre Bérégovoy aurait dit : " j'ai la liste, j'ai les noms"...

 

 

Par robert badinter - Publié dans : ELOGE DU BAREBACK A BAS LES TABOUS & NOKAPOTE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 2 février 1 02 /02 /Fév 00:27
 
   
 
 
 
Comme un poison dans l'eau
Une bouteille à la mer
Qui n'date pas d'hier
J'essaye de lire entre tes lignes
J'interprète tes soupirs
Tes sourires me font peur

C'est pas ta faute
Si c'est la tempête
La marée haute
Dans ta tête
Ça tangue et tu t'en veux
Amarrée comme tu peux

Côte à côte à contre-courant
J'ai envie d'aller vers
Ton unique univers
Effaré par ta lumière
L'air de rien tu m'éclaires
Alors je rame pour te plaire

C'est pas ta faute
Si c'est la tempête
La marée haute
Dans ta tête
Ça tangue et tu t'en veux
Amarrée comme tu peux

Ça monte ça monte en toi

C'est pas ta faute
Si c'est la tempête
La marée haute
Dans ta tête
Ça tangue et tu t'en veux
Amarrée comme tu peux X2
 
 
 
 
 
Par homme=concept - Publié dans : LA CHANCE AUX CHANSONS PROMO PASCAL SEVRAN - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 1 février 7 01 /02 /Fév 23:49
Par HOMME=CONCEPT - Publié dans : FOUS RIRES DECONNE (HUMOUR, FUN) - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 1 février 7 01 /02 /Fév 22:21
 
  
 
 
 
C'est une assez longue histoire. Ce n'est pas arrivé en un jour.
Un jour, dans un local où sont entreposées des bobines de câbles, il devient plus entreprenant :

- Baisse ton pantalon !

Je proteste, d'un geste sec il le tire vers le bas et déchire mon slip.

- J'aime que tu me résistes ! Tu es encore plus aguichant ! C'est charmant de te voir bander quand ma queue glisse entre tes cuisses ! Tu es trop délicat pour me résister ! Tu mérites une fessée !

Il me pousse sur une de ces énormes  bobines, des claques s'abattent à toute volée sur mes fesses qui  me brûlent.

- Tu as un cul d'enfer ! Putain de beau cul !

Il m'oblige à me cambrer, sa queue coulisse entre mes fesses. Cette tige douce, robuste et chaude me procure une drôle de sensation. Après un long moment, sa liqueur inonde ma raie.

- Ça te plaît de te faire graisser le cul !

Je me sens rougir. Une main appuie sur mes reins puis glisse sur mes fesses et les écarte, un doigt s'insinue dans ma raie, chatouille ma rondelle enduite de sperme et, d'un coup, il l'introduit dans mon anus. Une décharge électrique envahit mes couilles et je jouis d'un jet puissant.

- C'est bon de se faire taquiner la rondelle ! Hein ? Tu es de plus en plus dévergondé ! Tu m'affrioles avec ta rosette bien lisse ! Allez rhabille-toi !

Je retourne au travail, j'ai l'impression que tous me regardent. Ma raie trempée de liqueur me rappelle la tige dure et chaude qui y glissait. Je reste médusé par le plaisir que me donnait ce doigt introduit dans mon anus quelques minutes auparavant.


Le dernier vendredi du mois de juin, une fête de fin de chantier est organisée, on mange du couscous et on boit du vin. Nous sommes tous plus ou moins ivres.

Grisé, je me laisse traiter de coquine quand Moustache prend ma main et me dit "Va jouer à la femme !". Tous rigolent.

- Quand le gland passe, tout passe ! Plaisantent-ils de plus belle.

Trop ivre pour réagir, je le laisse m'entraîner vers une cabane sous leurs regards hilares. La porte refermée, il me déshabille, m'allonge sur le lit et m'embrasse dans le cou. Je frissonne sous ces baisers. Il glisse un oreiller sous mon ventre. Toujours le cerveau dans les brumes, je sens à peine ses mains rugueuses écarter mes fesses, sa tige chaude, dure comme de l'acier, glisse entre mes fesses. Cela m'excite plutôt, je me détends, je m'abandonne complètement. Sa bite quitte ma raie. Frustré, je grogne. Brusquement, son gland appuie sur ma rondelle, une décharge électrique traverse mes reins. Dessoulé, je pousse un cri strident de bête agonisante, mes poings serrent les couvertures. J'appelle au secours, j'ai l'impression que mes fesses se séparent.

Je crie "À l'aide ! À l'aide !"

J'entends une voix dire "Ca y est, il s'est fait mettre !". Des rires fusent.

Sans s'occuper de mes cris et encouragé par les gloussement du dehors, il saisit fermement mes hanches et, d'une puissante poussée, s'enfonce jusqu'aux couilles dans l'étroitesse de mes reins, bousculant tout sur son passage.

Le souffle court, je me cabre, je rue, je ne pense qu'à ce tison ardent qui brutalise mon étroitesse. Il reste un long moment immobile et se retire. Toute douleur disparaît, je reprends mon souffle et d'un coup il m'encule jusqu'à la garde, il ressort et m'encule à nouveau plusieurs fois de suite, me clouant au lit.

Je crie ma détresse.

Dehors, des voix s'esclaffent : "Tu en prends plein ton cul ! Tu te fais laminer la rondelle!", et ils rigolent.

Sans s'occuper de mes cris, il me sodomise à fond. Plus je me lamente, plus ça l'excite, il devient violent et me claque les fesses en me défonçant la rondelle à grands coups de butoir.
C'est si profond. J'ai réellement peur qu'il me démolisse un organe.

 De dehors me parviennent les rires et les quolibets.

Je n'ai plus la force de lutter. Sodomisé plus doucement, je me laisse aller, je soupire. Je n'ai plus la volonté de crier, de protester. Il se retire, masse ma rondelle et teste son élasticité avec son pouce. Il s'exclame :

- Tu as un beau cul ! Il faudrait que tu te voies ta rondelle ressemble à une fleur ! Elle s'ouvre comme une jolie fleur ! Je ne Rien que de la voir je perds la tête !
Son gland appuie sur ma rondelle qui se dilate et l'engloutit à nouveau, je ressens un léger picotement. Sa bite coulisse aisément dans mes reins.

Chevillé à ce pieu, je me détends. Tout en me sodomisant, il me susurre à l'oreille :

- C'est mieux qu'avec le doigt hein ! Tu as un vrai cul de salope ! Tu cries plus ! C'est bon, non ?

Il me retourne sans un mot, les yeux brillants. Supérieur, le sexe toujours en érection, il passe une main sous mon menton, m'oblige à redresser la tête, dirige sa queue vers ma bouche, son gland appuie sur mes lèvres. Résigné, je l'avale malgré mon dégoût. Il était près de jouir. Après quelques allers-retours, le goût poivré de sa liqueur envahit ma bouche, inonde le fond de ma gorge, m'obligeant à déglutir sa semence jusqu'à la dernière goutte.



Des larmes coulent sur mes joues, qu'il essuie avec son gland en proclamant "il ne faut pas te plaindre, tout ce qui t'arrive c'est ta faute, tu es trop belle. Allez, mets-toi à quatre pattes."

Asservi, je prends la pose. Je me crispe quand je sens son gland dur et chaud qui appuie sur ma rondelle.

- Tu ne gueules plus.

Sa queue s'enfonce dans mon étroitesse.

- Allez, crie, ça m'excite.

Il me sodomise profondément, écartant bien mes fesses.

- Allez, braille.

Il me claque les fesses à toute volée. Je hurle à chaque claque. Satisfait, il passe une main sous mon ventre et me branle tout en me sodomisant, une onde de feu irradie mon anus, descend dans mes couilles, une lumière éblouit mes paupières, je me répands en longs spasmes, je chancelle et, au bord de l'évanouissement, je m'écroule.

C'est la première fois que je jouis avec une telle intensité, je mets plusieurs minutes à refaire surface, toujours rivé à son pieu. Doucement, il reprend ses allers-retours, accélère ses va-et-vient, se retire et crache sa sève brûlante sur mon dos en criant "putain que c'est bon de t'enculer, tu me vides les couilles jusqu'à la dernière goutte. Tu as un cul super. Tu baises comme une vraie salope."
 
 
 
Par quizblorg - Publié dans : HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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