As everyone knows, I am a stuck-up, vain and narcissistic little bitch. Aren't all gay guys? I am so obsessed with myself that I made a video showing it. ONLY IMPORTANT ENOUGH PEOPLE WILL
ENJOY. WHICH IS HARDLY ANYONE. It also may contain content inappropriate for some audiences. So, you know, be wise. I'M HOT. Comme chacun le sait, je suis une petite chienne(salope) bêcheuse, vaine et narcissique. Tous les mecs ne sont-ils pas en fait homosexuels
? Je suis si hanté moi-même que j'en ai fait une vidéo le montrant. IL N'Y A QUE LES GENS "BIEN" AIMERONT CA. C'EST A DIRE PRESQUE PERSONNE !!!. Si contenu vous semble inopportun ,
sachez être sages, ZAPPEZ car je suis "CHO".
Voilà une histoire qui s'est produite hier et je m'empresse de vous la raconter tellement j'y ai pris du plaisir. Tout commence ce matin, je me lève pour aller au boulot, je prends ma douche, je me balade nu chez moi, les volets ouverts (on ne sait jamais,
quelqu'un pourrait être intéressé!!) et je file m'habiller avant d'être en retard. Je trouve une paire de chaussettes, ma chemise repassée de la veille mais pas moyen de mettre la main sur un
boxer propre. J'étais en train de me dire que j'allais finir par aller au travail "cul nu" (ce qui n'était pas forcément pour me déplaire) quand je vis le tiroir à sous-vêtements de ma femme. Je
me mis en quête d'une culotte de couleur uni comme elle a beaucoup quand je tombe sur un de ses slip en satin gris avec des petits rubans roses et un peu de dentelle sur le devant. J'ai d'abord
hésité 3 secondes et je me suis dit qu'après tout personne ne le saura. J'enfile le dit slip et je m'aperçois que le contact du satin sur mes fesses est des plus agréable. Je me caresse un peu les fesses et je chope une trique exceptionnelle. L'envie était trop forte: je me suis branlé comme un dingue en me caressant
le cul recouvert de cette matière si merveilleuse et sensuelle. J'ai joui énormément en en mettant plein sur le carrelage de la chambre. Je n'eu que peu de temps pour m'en remettre car il fallait
vraiment que j'aille au boulot. La matinée fut morne, ennuyeuse et chargée en travail vraiment peu excitant. Arrivée l'heure du midi, mes collègues et moi allons manger
tranquillement au resto. Sur place, je me mets à côté d'un collègue gay (il l'affirme haut et fort contrairement à moi qui cache ma bisexualité) et nous discutons de tout et de rien pendant
l'heure et demie que nous avions pour manger. Avant de partir, je passe par les toilettes pour soulager ma vessie et j'en profite pour rajuster ma chemise qui sort constamment de mon pantalon. Je
dégrafe donc ce dernier me réajuste et au moment de refermer mon pantalon, celui-ci me glisse des mains et se retrouve sur mes chevilles. Je me dépêche de le remonter avant que quelqu'un ne me
voie mais il était trop tard. Mon collègue gay se tenait sur le pas de la porte et avait tout le temps de voir ma culotte de satin et mes joues devenir rouge écarlates de honte. Il ne dit rien et s'approcha de moi tranquillement. Je n'avais pas fini de fermer mon pantalon et mon nouvel ami en profita pour y mettre la main et
me caresser la bite à travers ma culotte. Comme il vit que je me laissais faire, il m'embrassa à pleine bouche et fut surpris que je lui rende son baiser. nous ne sommes pas aller plus loin car
il était temps de retourner au boulot et qu'il aurait paru suspect qu'on mette autant de temps dans les toilettes tous les 2. Nous sommes donc sortis et avons fait comme si de rien était (même si
je devais être écarlate). Durant l'après midi, nous nous sommes beaucoup croisés en nous échangeant des clins d'oeil complices et discrets. Il s'amusait même à me mettre des
mains au cul de temps en temps. Nous prîmes notre pause tous les 2 et nous en avons profité pour discuter tranquillement de ce qui s'était passé. Il m'a avoué que me voir en culotte l'avait
choqué au départ mais que ça l'avait également énormément excité. Il ne pensait pas que je pouvais avoir ces tendances. je lui ai expliqué que j'étais bi mais que je devais rester discret à cause
de ma femme qui n'était absolument pas au courant. A sa demande, je lui ai raconté 2-3 aventures que j'avais vécues et je vis à son pantalon que ça lui plaisait beaucoup. Comme il nous restait peu de temps avant de retourner bosser, il m'a demandé cash si ça m'intéresserait de baiser avec lui. Pour lui répondre et
après m'être assuré de ne pas être vu, je l'ai embrassé en lui mettait la main au paquet. Il m'a alors dit qu'on le ferait aujourd'hui et qu'il me donnerait le signal. Il n'a pas voulu me dire
lequel mais m'a précisé que je le reconnaîtrais. J'ai bandé quasiment tout le reste de l'après-midi en repensant à ce qu'il s'était passé à midi et durant la pause. Je n'ai pas fait grand chose car
je me demandais ce qui allait se passer avec mon collègue, en imaginant sa belle queue que j'avais pu entrevoir à travers son pantalon. C'est alors qu'un gros dossier est arrivé sur mon bureau et
il fallait absolument qu'il soit traité le jour même. J'étais dépité car je savais que je finirais très tard et que ma partie de jambes en l'air risquait d'être purement et simplement annulée. Je
me suis plongé dans ce méli mélo administratif pour essayer de le finir au plus vite mais quand j'en ai eu terminé, il était déjà 20h et il était certain que tout le monde était déjà parti. J'ai
alors relevé la tête et j'ai vu mon collègue qui attendait sagement dans le couloir que je finisse. Il m'a expliqué que personne ne l'attendait chez lui et qu'il avait franchement envie de (me)
baiser. Il m'a emmené dans la salle de repos après m'avoir assuré que plus personne n'était dans l'entreprise et que nous serions donc tranquilles et pas
dérangés. Il ne perdit pas de temps et m'embrassa fougueusement en essayant de défaire mon pantalon. Je lui rendis son baiser et retira ses mains pour que je puisse me déshabiller moi-même. Entre
2 mélanges de langues, il me demanda de garder ma culotte ce que je fis. Au bout d'un moment, nous nous séparâmes pour finir de retirer nos vêtements. Il se retrouva nu et moi en culotte (sexy)
de femme. Il se mit à genou et me lécha la bite à travers le tissu soyeux. Il me caressa également les fesses ce qui ne fit qu'accroître mon érection. Il m'appliqua ce traitement pendant de
longues minutes ce qui fit monter mon excitation au maximum. Puis il se releva d'un coup et me dit d'un ton impérieux que j'étais à lui et que j'étais sa "petite salope". J'aurais peut-être dû
protester mais non, ça me plaisait d'être "devenu(e)" sa "femme" pour la soirée. Il me fit mettre à genoux et m'attrapa par les cheveux pour me guider dans une fellation qui se voulait quelque peu forte et dirigée. Je me suis
retrouvé à lui faire une gorge profonde et a bien lui astiquer la bite. Il voulait également que je joue avec ma langue sur son gros gland bien rose. Il m'a également fait lécher son petit trou
du cul bien rose. Il avait un goût poivré et terriblement excitant. Au bout de plusieurs minutes (enfin je pense ? j'avais perdu toute notion du temps), il me fit mettre à 4 pattes comme une
chienne et me retira ma culotte de petite salope. Il m'inonda la rondelle de salive et m'encula d'un coup et bien fort sans prévenir. Il me fit mal au départ car il me laboura l'anus comme un
sauvage. Mais au bout d'un petit moment, la souffrance fit place au plaisir et je l'encourageai même à y aller plus fort et plus loin. Il redoubla d'efforts en y allant même avec des insultes de
temps en temps. C'est comme ça que je me suis retrouvé être une salope, une pute, une chienne, un garage à bites et autres joyeusetés du genre. Il finit par jouir violemment dans mon cul et je
sentis que son sperme m'envahissait. Il se retira tout essoufflé me laissant à 4 pattes, le cul béant. Je me mis sur le dos en ayant mal au cul mais en étant super heureux. Ce traitement m'avait laissé avec une bite bien raide et je n'avais toujours
pas joui. Et tout d'un coup, mon collègue s'assit sur mon sexe sans préambule en me disant que je l'avais bien mérité. Il fit quelques va et vient sur mon membre et je fus tellement excité que je
lui remplis le cul jusqu'à même le faire déborder de sperme. Nous restâmes allongés l'un contre l'autre un moment avant de nous rhabiller car on commençait à avoir froid. Mon collègue m'a confié
qu'il voulait recommencer régulièrement mais qu'il aimerait que je sois "plus salope". En gros, il voulait que je mette des strings féminins en dentelle, des bas, un porte jarretelles et autres
accessoires pour me transformer en femme progressivement. J'ai accepté à la condition que ça reste un secret et que se soit lui qui fournisse le matériel. Il a accepté, nous nous sommes embrassés
une dernière fois et nous sommes rentrés chez nous.
Excellent plan c'est le pied d'être la petite femelle d'un mec en rut qui nous féconde la chatte !
Ton phallus , j'y crois, je l'adore, j'espère en lui et je l' aime! Je LUI demande pardon pour ceux qui ne croient pas, qui ne L' adorent pas, qui n'espèrent pas, qui ne L' aiment pas.
On soupçonne les lobbies d'être de mauvaise foi lorsqu'ils affirment que la circoncision protège des MST et du sida...
1. La circoncision à l'âge adulte
le phimosis est un handicap sexuel
2. La circoncision chez les juifs
La circoncision chez les juifs
dossier en 6 parties intitulé « La circoncision dans le monde
L’origine
Dans le judaïsme, la circoncision représente la marque de l’alliance avec Dieu et doit se faire au 8ème jour de la naissance de l’enfant. La circoncision
s’appelle en hébreu milah (coupure), mais l’expression complète est brith
milah,brit signifiant « alliance ».
Il est intéressant de constater qu’il s’agit d’un moyen revendiqué par des représentants du judaïsme pour inhiber le désir sexuel de
l’individu.
Maïmonide (1138-1204), l’un des philosophes juifs les plus respectés, a ainsi déclaré :
Je crois […] que l’un des motifs de la circoncision, c’est de diminuer la cohabitation et d’affaiblir l’organe sexuel, afin d’en restreindre
l’action et de le laisser en repos le plus possible […]. Le véritable but, c’est la douleur corporelle à infliger à ce membre et qui ne dérange en rien les fonctions nécessaires pour la
conservation de l’individu, ni ne détruit la procréation, mais qui diminue la passion et la trop grande concupiscence. Que la circoncision affaiblisse la concupiscence et diminue quelquefois
la volupté, c’est une chose dont on ne peut douter; car, si dès la naissance on fait saigner ce membre en lui ôtant sa couverture, il sera indubitablement affaibli. [1]
Et cette idée est encore d’actualité, comme le prouvent ces propos tenus par un chirurgien mohel en 2012 :
Le prépuce contient une structure nerveuse extrêmement développée et riche en récepteurs sensoriels qui sont extrêmement importants dans
l’acte sexuel et qui concourent à l’orgasme chez l’homme. (…) Il est évident que c’est [la circoncision] une marque qui permet d’atténuer les tendances, les pulsions sexuelles comme dirait Freud, qui
sont innées en nous, et le but au fond n’est pas d’empêcher mais de canaliser. Cette excision du prépuce, spirituellement, est un potentiel que l’on donne à l’enfant de canaliser son futur
par rapport à sa moralité. [2]
Dans son livre [3], Aldeeb indique que « la circoncision est
pratiquée chez les juifs par un circonciseur spécialisé appelé mohel dans le cadre d’un
rituel religieux. Mais il arrive aussi que l’opération soit faite par un médecin à l’hôpital. Dans ce dernier cas, la circoncision n’est pas considérée valide du point de vue religieux sauf si
elle se déroule dans le 8ème jour et en présence d’un mohel ou d’un rabbin qui récite les prières appropriées. »
Cérémonie de Brit Milah : le bébé est circoncis à 8 jours par un mohel.
Une minorité de juifs ultra-orthodoxes pratiquent une technique de circoncision nommée Metzitzah b’peh en hébreu, consistant
pour le mohel à sucer le sang du bébé sur l’incision afin de « nettoyer » la plaie. En réalité, il a été démontré que cette pratique, induisant un contact bucco-génital avec une plaie,
peut causer l’effet exactement inverse et avoir des répercussions néfastes en provoquant chez le nouveau-né l’apparition d’herpès néonatal pouvant être sources de pathologies graves pouvant
mener, dans des cas extrêmes, à la mort du nouveau-né.
Par conséquent, des chercheurs de l’Université Ben Gourion du Néguev, située en Israël demandent à ce que cette technique rituelle soit
abandonnée. [8]
A New-York, environ 3 600 enfants par an sont circoncis selon ce rituel. Chez l’enfant, le risque de contracter l’herpès est d’environ 1 pour
4000. De 2004 à 2011, 11 infections par l’herpès ont nécessité une hospitalisation de l’enfant ; on recense deux décès provoqués par cette infection, ainsi que deux autres cas au moins dans
lesquels le bébé souffre de lésion cérébrale. [9]
Face à ce risque, des médecins demandent à ce que cette pratique soit interdite. Des rabbins orthodoxes protestent, alléguant une restriction de
la liberté de la religion. Le département de la santé de la ville de New-York adopte une position de compromis en septembre 2012, laissant cette pratique autorisée sous réserve que les deux
parents aient donné leur consentement après avoir été informés sur la dangerosité de cette pratique. [10]
Vidéo d’une circoncision juive avec Metzitzah b’peh :
Mouvement d’opposition à la circoncision au sein de la communauté juive
Dans le passé, de nombreux débats sur la circoncision ont eu lieu entre juifs et non-juifs, mais également au sein même de la communauté
juive.
De nos jours, il existe un courant opposé à la circoncision au sein de la communauté juive et celui-ci prend de l’ampleur.
Lawrence Hoffman, rabbin libéral américain auteur de Covenant of Blood: Circumcision and Gender in Rabbinic Judaism, résume en trois
points les objections actuelles des juifs contre la circoncision :
1/ Sur le plan rituel, la circoncision est contraire au principe de l’égalité entre l’homme et la femme. Elle est un rite
qui habilite l’enfant à entrer dans le cercle des hommes qui dominent la société. Certains tentent de résoudre ce problème en proposant un rite symbolique parallèle pour les filles.
2/ Sur le plan médical, la circoncision n’a plus l’importance qu’on lui attribuait dans le passé. Et si elle n’a aucun
bienfait sur la santé, elle est par conséquent inutile.
3/ Sur le plan moral, la circoncision rituelle est considérée actuellement comme une mutilation sexuelle pratiquée sur
mineurs. Le circonciseur s’octroie donc le droit de mutiler le corps d’un enfant, bafouant ainsi le droit de cet enfant à l’intégrité physique. De ce fait, la circoncision ne saurait plus être
acceptée. [7]
Certains de ceux qui abandonnent la pratique se tournent alors vers une cérémonie alternative sans coupure appelée Brit Shalom (alliance de la paix, de l’intégrité,
contrairement à la Brit Milah, qui est l’alliance de la coupure). Cette cérémonie a l’avantage de procurer la même joie pour la famille que la cérémonie rituelle mais sans les
souffrances de la circoncision, et peut être pratiquée aussi bien pour les garçons que pour les filles. [5]
Il a notamment écrit Circoncision, le traumatisme caché (1997), Questionner la circoncision: une perspective
juive (1998), ainsi qu’un article intitulé Circoncision: une source de souffrance juive (1997).
Dans son article de 1997, il termine ainsi :
Questionner la circoncision n’est pas une menace pour le judaïsme, mais seulement une menace pour les défenses qui entourent la souffrance
de la circoncision. Remettre en cause honnêtement la circoncision renforcera le judaïsme et donnera des opportunités pour approfondir la communication.
:
BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...
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