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le bon jour au bon endroit...tous les récits ne sont pas malheureux !
RECIT ASSEZ ROSE
j’aurais cru voir un ange arriver : c'était JULIEN
Donc ce soir là, je suis sur la piste avec des copains et copines, nous dansons, nous nous éclatons, puis arrive Julien. Je le regarde, je me dis que vraiment il est beau mais je ne pense pas qu’il soit gay, il n’a jamais rien fait pour me le montrer en tout cas. Par contre, je ne l’ai jamais vu non plus avec une fille. Tout de suite Julien nous rejoint et commence à danser avec nous. Je le regarde, il me plait. Ju me regarde lui aussi de plus en plus, à tel point que nous finissons par ne plus nous lâcher du regard. Merde, il est gay ou quoi ? Enfin, Éric met des slows, les couples se forment rapidement, Franck est avec Nathalie, mes potes sont pour beaucoup avec des filles et dansent ou s’embrassent déjà. Je suis vers le bar, je bois un Shweps. Julien est de l’autre côté de la piste, il me regarde. Moi je ne le lâche pas des yeux non plus. Il traverse la salle, s’approche de moi se penche à mon oreille et me demande si je veux danser avec lui. Alors là, j’en reste un peu con, certes je sais que je suis gay mais je n’ai pas encore fait mon CO, là tous mes potes sont réunis et en plus, je ne savais pas que Julien était gay. Je le regarde, j’ai 30 secondes pour me décider, 30 secondes qui vont dicter toute ma vie. Soit je refuse et je reste un homo refoulé qui n’osera jamais s’avouer qu’il aime les mecs, soit je danse avec lui et je m’assume enfin.
LA SUITE ...
http://forum.doctissimo.fr/doctissimo/recits-erotiques/365-jours-gay-sujet_11584_1.htm
ANTOINE CAPTIVé PAR LA VIDEO : « — Il va se faire mettre? »
sa vie a commencé là
le bon jour au bon endroit..... « — Fais-en moi autant...»
Depuis quelques temps, Antoine, le fils de la voisine, un petit minet de dix-huit ans, a pris l’habitude de venir voir les films de cul de Canal + chez moi. Bien que les films pornos hétéros me fassent plutôt gerber, de voir ce beau mouflet en train de s’astiquer sur mon canapé, on ne peut pas dire que ça me laisse indifférent! Mais à ses dires, il n’est pas pédé, même s’il n’est pas contre.
Antoine est devenu une obsession pour moi. Je ne peux plus le regarder sans avoir envie de sentir ce jeune animal fougueux me limer le boyau. Un soir, ]’ai décidé de ne pas mettre le film de Canal +, mais une cassette vidéo très hard... et très gay aussi...
Les premières minutes, Antoine n’a rien dit. Il regarde les deux étudiants, sur l’écran, qui se passent les mains entre les cuisses et moulent, d’un geste, des sexes bandés sur des grosses couilles. Toute ma mise en scène est au point. Je commence moi aussi à me caresser le sexe sans déboutonner ma braguette. À soupirer un petit peu. En faisant comme si Antoine n’était pas là. Sur l’écran, la scène se précise. Je connais ce film X par cœur. L’un des deux étudiants sort son paquet de son jean et se fait sucer la queue par l’autre. Gros plan sur la bouche et la bite pleine de salive. Va-et-vient. Antoine se tortille un peu sur la banquette. Je vois qu’il bande mais qu’il hésite à se branler. Il se tripote la queue à travers le pantalon. Je le regarde du coin de l’œil. J’ai défait ma braguette, sorti ma queue. Je n’ose pas trop me branler. Je pourrais jouir vite dans ce genre de situation!
Maintenant, c’est la scène de la salle de bains. Le plus vieux des étudiants, un brun assez poilu (qui, sans me vanter, me ressemble un peu, en plus jeune) se baisse pour prendre ses affaires. L’autre arrive par-derrière, les deux mains plaquées contre les fesses musclées. Gros plan. Les mains écartent les fesses sur une raie parfaitement rasée et propre. J’entends Antoine qui émet un petit gloussement de surprise. L’anus est une belle rosette bien dégagée. Un doigt enduit de gel s’appuie autour, avant de pénétrer très facilement dans le boyau. Le doigt ressort, recommence son petit jeu autour de l’anus. L’absence de poil rend la scène hyper-excitante. Je me tourne vers Antoine. Cette fois-ci, il a les veux rivés sur l’écran, la bouche légèrement entrouverte, la queue bandée dans sa main. Je lui dis:
— T’as déjà enculé une fille?
Il me répond, dans un soupir:
— Non, elles ne veulent jamais!
— Pourtant, t’as vu, c’est bandant, un trou du cul...
— Ouais, ça doit être le pied d’y foutre sa queue!
Sur l’écran, l’anus est plein de salive, et trois doigts maintenant font le passage. Antoine s’impatiente.
— Il va se faire mettre, tu crois?
— Oui, oui, attends!
Une queue épaisse et encapotée entre dans le champ de la caméra. Elle paraît toutefois énorme par rapport à l’anus. Elle effectue un léger va-et-vient le long de la raie du cul et appuie son nœud sur l’orifice qui cède. La bite s’enfonce tout doucement tandis que le trou de balle s’élargit. Le type qui se fait enculer pousse des gémissements à faire jouir toute une caserne. Antoine s’astique frénétiquement le gland. Je me suis déshabillé discrètement. Je me glisse par terre devant lui, et lui prend la main. Il se laisse faire. Je la guide vers la raie de mon cul, soigneusement rasée, comme sur l’écran. Antoine continue de regarder le film, mais sa main ne reste pas inactive. Je sens ses doigts qui passent et repassent sur ma rosette, que j’ai eu soin de légèrement lubrifier.
Je sens un doigt un peu timide encore qui me pénètre, puis qui ressort, puis qui rentre avec un autre doigt, et qui massent mon boyau avec de plus en plus d’assurance. Je voudrais crier, mais je n’ose pas. J’ai l’impression de vivre un rêve. J’essaie de me rapprocher le plus possible d’Antoine. Je voudrais sentir sa bite contre mon cul. Sur l’écran, se succèdent les gros plans sur l’anus écartelé et la bite qui le lime avec force. Je murmure en lui tendant une capote:
— Fais-en moi autant... la suite dans :
http://www.gai-eros.org/w/index.php/Il_va_se_faire_mettre%3F
YAGG 17.06.2015 - 16 h 43 | 21 COMMENTAIRES
Des représentant.e.s de l'Inter-LGBT lors de l'Existrans 2013, le 19 octobre 2013 - Photo : Xavier Héraud
Est-ce un reniement, un désaccord formel, une grosse incompréhension ou un petit malentendu? La position adoptée samedi 13 juin en réunion plénière «à la fin d'un long feuilleton» par l’Inter-LGBT sur le changement d’état civil des trans’ «rapide, transparent et fondé sur l’autodétermination», soit «la mise en adéquation des lois françaises avec les résolutions 1728 (votée en 2010) et 2048 (votée en 2015) du Conseil de l’Europe» selon Amandine Miguel, porte-parole de l’Inter-LGBT, n’a pas été accueillie de la plus chaude des manières par les diverses associations et représentant.e.s trans’ français.e.s.
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