le gode long, souple, à deux têtes
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le gode long, souple, à deux têtes
On évolue ou bien on reste ce qu'on est au départ ?
– « salut les beaux mecs qui trouvez de bons trous faciles pour vous vider les couilles, mais tôt ou tard vous trouverez votre maître qui vous baisera et c'en sera fini de votre précieuse virginité ! Ça me fait un peu rigoler. » Ernesto.
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– « salut Ernesto! ça peut paraître une controverse mais, moi qui te parle j'ai fortement évolué pour n'être plus que passif au bout du compte. Et j'ai connu d'autres actifs purs et durs qui ont suivi le même chemin En gros j'approuve ce que tu dis, Ernesto.» Fred
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C’est un point sur lequel les mecs sont tous d'accord : un des grands avantages à coucher avec des hommes c’est que le cul pour le cul est complètement assumé , décrit Jean -Pierre.
«nous on fait pas de chichis : le cul et les sentiments sont vachement déconnectés. » |
Jean -Pierre se décrit comme actif, mais précise : « je commence à découvrir le reste ». Au départ, il ne se pose pas la question : il est actif, point barre. Et puis un de ses plans réguliers lui dit qu’il adore son cul, qu’il en a envie… Encore une fois, il se dit que ce serait
dommage de ne pas tenter.
– « On a essayé et j’ai trouvé ça super. J’aime beaucoup l’idée de changer de rôle au cours du même rapport. Du coup, ça m’arrive de temps en temps..»
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Ludo a aussi fini par se faire pénétrer. Ça a mis 8 ans.
– « Au début, j’en avais pas envie, ce n’était même pas la peine que mon amant essaie de me toucher ! Et puis, petit à petit, c’est arrivé naturellement, et je suis devenu un peu plus passif. » Aujourd’hui, pas de soucis, j'assume (en tout cas auprès de ceux qui connaissent mes "habitudes"…). .»
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j’écartai son magnifique cul, faisant apparaître sa rosette serrée. Humm ! Quel délice pour les yeux, la bouche, le nez. Son trou était propre, il devait faire des lavements deux ou trois fois par jours, je l’exigeais.
Nous pouvions faire l’amour pendant des heures, et souvent nous nous endormions au petit matin. Je dévorais son corps, embrassant, léchant chaque
centimètre carré de peau, ses lèvres étaient constamment rouges et gonflées à cause de mes baisers fougueux, et son trou d’amour restait ouvert longtemps après que nous ayons fini de faire
l’amour. Je le pilonnais sans cesse, sans ménagement. Je ne pouvais m’empêcher de le prendre de manière bestiale, avec ou sans gel, avec force et rage, défonçant, écartant, martelant son trou
dans toutes les positions. J’étais conscient que je lui faisais mal, que certains jours il avait du mal à se remettre de mes assauts, mais j’étais incapable de m’arrêter. Il me rendait fou.
M’obsédait.
Je savais aussi qu’il adorait que je le prenne comme ça. Il m’a avoué qu’il avait lui aussi tout le temps envi de moi, qu’il mouillait simplement en
pensant à moi. Il bandait dès qu’il me voyait, et il jouissait sans se palucher, terrassé par le plaisir immense que je lui procurais. Inutile de vous dire que ces aveux n’ont fait qu’amplifier
ma soif de lui.
http://www.cyrillo.biz/histoire-gay-2012-avec-larry-2.php
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. Is there anything I can do?
Anonyme : je suis passif mon copain n'a jamais pu me faire
atteindre l'orgasme anal jusqu'à présent Y a-t-il rien à faire ?
Réponse :
Salut petite chienne(salope) … ce n'est pas de le responsabilité de ton Mâle de
te faire avoir un orgasme anal avec ton cul mais tu peux pratiquer par toi-même auparavant,en évitant de t'inhiber et préférer branlettes et courgettes. dosage
subtil
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TOUT LIRE :
http://www.cyrillo.biz/histoire-gay-2012-jeux-entre-freres-3.php
– « On est frères putain ! » Tant l'esprit de Gabriel est troublé par ce qu'il croit être grave, le même argument vaut pour les deux causes : 1 « J’étais tellement obsédé par ton cul… J’avais tout le temps envie de te baiser. Je pensais qu’à ça ! » 2 « On n’aurait pas dû faire ça, J’aurais dû m’arrêter. »
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un indice au yeux de Gabriel "un doigt de temps en temps" il ne sait pas que beaucoup d'hétéros se ddoigtent en se branlant...
Notre regard se croisa et on se sourit l’un l’autre. Après ça il commença à branler lentement ma queue. C’était bizarre de sentir la main de quelqu’un d’autre sur ma queue. Sa technique n’était pas familière. Ses doigts allaient et venaient sur des endroits étranges.
Il me dit, toujours souriant et fermant à moitié les yeux sous l’effet du plaisir que je lui procurais : « Alors mon petit frère se glisse un doigt de temps en temps »
« Quand l’envie me prend »
Sa main empoigna plus fermement ma queue et commença à aller plus vite. Je bougeais mes hanches dans un rythme quasi similaire et je sentis mes couilles suivre la cadence.
« Je suis surpris que t’aies jamais essayé de te faire prendre par un mec si t’aimes glisser un doigt entre tes fesses. »
« Je peux pas dire que j’y ai jamais pensé… »
« T’en as déjà eu l’occasion ? »
« Ouais… Je crois… Certains mecs me l’ont proposé. »
« Et t’as jamais été tenté ? »
« Je sais pas… ouais… peut-être. J’ai peut-être eu peur que ça me fasse mal ou qu’ils ne s’arrêtent pas si c’est le cas. »
« Tu penses que tu serais prêt à essayer un jour ? »
Je le masturbais rapidement maintenant et il suivait mon rythme sur ma propre queue. Le son que faisait ma main à chaque passage sur son gland vint rompre le silence qui suivit sa question.
« Ouais je pense. Enfin seulement si c’est un mec en qui j’ai entièrement confiance et qui accepte si je dis non à la dernière minute… »
Gabriel me regardait droit dans les yeux. Il cherchait quelque chose dans mon expression et je savais de quoi il s’agissait. « Même si le mec a une queue très épaisse ? Même si ça risque de te faire mal ? » Me demanda-t-il alors.
Je le regardais en retour. On savait tous les deux de quoi on était entrain de parler,
ce à quoi j’étais entrain de donner mon accord.
« Oui. Tant qu’il le fait avec douceur et tant que je le connais assez… C’est pas quelque chose que je ferais avec un mec qui viendrait me draguer en boîte ou ailleurs… »
Nos mains allaient et venaient frénétiquement sur nos queues. Gabriel commençait à respirer plus rapidement et il me dit presque haletant :
CELA SONNE COMME UNE ENTREPRISE DE SEDUCTION
« Quelqu’un que tu connais depuis longtemps Seb. Quelqu’un qui te connais depuis que tu es né… quelqu’un qui deviendrait fou s’il savait qu’il te blessait… quelqu’un qui irait aussi lentement que tu le veux… »
Pendant qu’il continuait à parler, je m’avançais lentement vers lui jusqu’à ce que mon trou soit positionné au dessus de sa queue collante et raide. Je continuais de le branler et mon bassin accompagnait mon mouvement. Je pouvais sentir son gland lubrifié glisser entre mes fesses et buter sur mon trou encore serré.
Gabriel continuait de me parler et de me rassurer en respirant bruyamment. « Tu n’as qu’à me dire Seb… me dire si ça fait mal… Juste un mot…et j’arrêterai »
ON EN ETAIT LA
Quand je sentis son gland brulant et humide appuyer contre mon cul, je poussai lentement mon bassin vers le bas, mais mon trou refusa l’intrusion.
« Je veux pas être dégoutant Seb, mais imagine que tu vas aux toilettes. » me lança Gabriel avant de s’arrêter pour reprendre sa respiration comme s’il avait été privé d’air pendant plusieurs secondes. « Détends-toi et laisse ton cul s’ouvrir pour me laisser passer. »
J’étais embarrassé de l’entendre dire ça. Ce n’était pas le genre de chose dont j’avais l’habitude de discuter avec lui. Mais je fis comme il me le conseilla et je sentis un centimètre de son gland démesuré forcer mon trou et entrer en moi. Je gémis de douleur et je ressentis aussitôt la sensation de brûlure causée par l’invasion de sa queue en moi. Il continuait malgré tout de parler d’un ton rassurant.
« C’est normal Seb. Normal qu’on fasse ça à deux… que je sois ton premier.»
Il dû alors sentir ma queue se ramollir sous l’effet de la douleur, car il la relâcha. Il caressa alors lentement et passionnément mes bras, mes hanches et mon torse de ses deux mains. Je tenais toujours la base de sa queue dans ma main et j’appuyai un peu vers le bas. Un autre centimètre de sa queue me pénétra et je sentis mon trou se relâcher davantage pour s’adapter à l’envahisseur. Sa queue me paraissait démesurée, comme si j’essayais de m’empaler sur un cône de signalisation.
« Détends-toi Seb ! Essaye de te détendre. Tu peux la prendre… le pire est déjà passé. »
Je n’étais pas certain d’entendre la vérité, mais j’essayai malgré tout de me détendre. Je fermai les yeux et je respirai profondément. Quand la douleur finit par disparaitre, j’appuyai un peu plus vers le bas et je sentis un autre centimètre entrer en moi. Cette fois, la douleur n’avait pas été si vive. La partie la plus large de sa queue devait être rentrée.
Je baissais les yeux vers Gabriel qui, lui, me fixait intensément. Cela me rassurait de savoir qu’il restait à l’affut de la moindre expression de douleur sur mon visage. Il savait de toute évidence ce qu’il faisait. Comme quand on était petits, il continuait de me protéger. Je poussais davantage sur sa queue et cette fois plusieurs centimètres entrèrent d’un coup. Je gémis en sentant son pieu brûlant s’enfoncer en moi. La douleur fut insoutenable sur le moment.
Gabriel s’empressa de me demander : « Seb, ça va ? Dis-moi ! »
Je fermai les yeux et tentai de reprendre mon souffle.
Gabriel continuait de s’inquiéter. « Seb, tu vas bien ? »
J’eu du mal à rouvrir les yeux, troublés par la douleur. Je regardai Gabriel et je m’aperçu qu’il avait l’air très inquiet pour moi. Je me forçai à lui sourire :
« Putain, je comprends maintenant pourquoi certaines nanas refusent que tu les baises. »
Il paraissait toujours inquiet. Ses grands yeux bleus ne me lâchaient pas. « Tu veux que je la retire ? Tu bandes plus du tout, Seb. Qu’est-ce que tu veux que je fasse ? »
Je me mis à rire. « Arrête Gab ! Relax ! Je suis pas à l’agonie. Je dois juste m’y habituer… »
« Qu’est-ce que tu ressens ? Je veux dire, est-ce que t’as mal ? Si c’est le cas, je la retire. »
Je ris de plus belle. Son visage alarmé devenait presque craquant.
« Ça fait horriblement mal si t’as pas remarqué. Mais je veux continuer. Je vais pas abandoner en plein milieu. »
Il continuait de me fixer. « Mais est-ce que tu penses que… c’est mal ? »
« Nan ! On ne fait rien d’anormal Gab. Rien qui ne soit pas naturel en tout cas. » Même si en réalité c’était carrément bizarre de s’empaler sur la queue de son frère.
Gabriel ne paraissait pas convaincu par ce que je venais de dire alors je trouvai autre chose : « Si j’avais dû choisir un mec pour m’enculer la première fois, ça aurait été toi. Sans hésitation ! Même avant que je sache que t’avais envie de ça. »
Ce que je venais de répondre semblait le ravir. Il me sourit et je sentis sa queue se dresser plus fièrement encore en moi.
« Whooa… c’est plutôt bon ce que tu viens de faire ! » dis-je alors étonné.
Gabriel sourit alors fièrement. « J’étais sûr que ça te plairait. Tu vas commencer à apprécier de me sentir bouger en toi. »
Sa queue sembla grossir un peu plus et je réalisai à quel point il mourait d’envie de me baiser. Il savait que ça n’était pas vraiment un jeu ordinaire entre frère, et en tant qu’aîné, il devait certainement se sentir plus coupable encore. Mais sa queue, raide à en mourir, me transperçait, et je pouvais voir sur son visage une expression d’excitation que je n’avais jamais vu chez lui. Il était entrain d’obtenir ce dont il avait fantasmé pendant des années : le cul serré de son petit frère s’empalant sur sa queue démesurée.
Je poussai davantage vers le bas et je sentis sa queue rentrer un peu plus en moi. Gabriel continuait de caresser mon dos puis il glissa ses mains sur mes hanches pour m’attirer un peu plus vers lui et m’enfoncer sa queue de quelques centimètres de plus. Il semblait vouloir prendre l’ascendant sur moi maintenant. Ses mains agrippaient fermement mes hanches et il m’empala davantage sur son manche. Je gémis en ayant le sentiment de me faire écarteler. J’avais l’impression que toute sa queue était finalement entrée en moi et je me penchai en avant pour le vérifier.
J’avançai ma main et je sentis rapidement l’épaisse queue de Gabriel. Son manche était très humide et il était durement dressé au milieu d’une épaisse touffe de poil. Je suivis sa queue du bout des doigts en caressant une veine gonflée à bloc qui la parcourait. Puis ce n’est qu’en atteignant finalement mon trou que je m’aperçu qu’il devait rester une dizaine de centimètre. Mon trou, lui, serrait fermement l’extrémité de sa queue que j’avais réussi à prendre en moi.
Gabriel me regardait d’un air amusé découvrir qu’il y avait encore la moitié du chemin à parcourir. Il contracta ses abdos quelques secondes et releva le bassin, me forçant ainsi à prendre plus encore de sa queue. Je sentis mon trou se dilater lentement et finir par l’accepter.
Je gémis et Gabriel en fit autant.
Sa queue me remplissait de l’intérieur et me déchirait. Mon trou était tellement tendu que je craignais qu’il ne redevienne jamais aussi serré qu’avant. J’avais l’impression qu’il écartait mes entrailles et qu’il comblait un vide qui n’existait pourtant pas. Je m’empalai un peu plus en grognant sous l’effet de la douleur.
« Qu’est-ce que ça fait de s’empaler sur la queue de son grand frère ? » me demanda alors Gabriel.
Je souris en réponse : « ça fait horriblement mal… Et je pense que je ne pourrai plus jamais chier comme avant… Mais ça ira. »
Gabriel se mit à rire et agrippa plus fermement mes hanches. Il retira un ou deux centimètres de sa queue puis il les renfonça à l’intérieur. Je gémis bruyamment et Gabriel s’arrêta aussitôt.
« Non, non c’est bon ! » lui dis-je alors pour le rassurer.
Il recommença alors à se retirer puis à l’enfoncer de nouveau, encore et encore, levant puis baissant son bassin pour commencer à me baiser. Il adopta un rythme lent au début puis il ferma les yeux sous l’effet du plaisir que je lui procurais.
C’était toujours bizarre d’être maintenu au dessus pendant qu’il me pénétrait, mais après que la sensation de brûlure ait disparu, je commençai à apprécier ce que nous faisions. Je sentis ma queue se réveiller.
« Je suis entrain de t’enculer Seb… Putain ! C’est tellement bon… » lança Gabriel en haletant.
Son rythme s’accéléra quand il se rendit compte que je m’y étais habitué. Sa respiration s’accélérait aussi et je remarquai que de la sueur commençait à perler sur son front. Je me détendais autant que possible, commençant réellement à apprécier la sensation de pénétration. Le fait que ce soit mon grand frère Gabriel qui était entrain de profiter de mon corps m’excitait encore plus. C’était bon de le voir comme ça, haletant et suant dans l’effort.
Je poussai Gabriel sur le matelas de façon à ce que ses hanches restent collées au lit et je commençai à enfoncer moi-même mes fesses sur sa queue épaisse. A présent, la quasi-totalité de son manche était en moi. Je m’empalais dessus dans de longs mouvements saccadés et rapides. Ma queue se durcissait et commençait à aller et venir devant moi en frappant mes abdos.
« Ahhh… Putain ! » lâcha Gabriel.
L’air de la pièce se chargea rapidement d’une forte odeur de transpiration. Gabriel recommença alors ses mouvements de bassin pour venir adopter mon rythme. Ses couilles venaient buter contre mes fesses à chaque pénétration.
« Je vais pas durer très longtemps à ce rythme… » lança Gabriel en tentant de reprendre sa respiration. « J’ai toujours voulu faire ça… depuis qu’on est gosse. J’ai souvent rêvé de baiser ton p’tit cul. Et je m’en voulais de rêver de ça ! »
« Quand… Quand est-ce que tu rêvais de ça ? » lui demandai-je en haletant.
« Tout le temps ! Ça a commencé quand j’avais 14 ans. Je pensais que j’avais un problème. Je bandais à chaque fois… rien qu’en touchant l’assise des chaises sur lesquelles tu t’asseyais. »
Je me mis à rire. J’adorais l’entendre me dire ça. Je ne m’en étais jamais rendu compte.
Gabriel luttait pour continuer de parler alors que son orgasme approchait. « J’étais tellement obsédé par ton cul… J’avais tout le temps envie de te baiser. Je pensais qu’à ça ! »
« On aurait pu le faire… »
« Toi et moi, Seb… On va le faire, maintenant. On va pouvoir rattraper le temps perdu. »
Sans que je ne m’y attende, je me mis à éjaculer alors que Gabriel grogna et jouit au même moment. Je pouvais sentir sa queue me remplir et je continuais d’aller et venir le long de son manche pour le vider complètement. Il ne s’arrêtait plus d’éjaculer et de longs et violents jets de foutre épais venaient s’ajouter à ceux déjà en moi.
Après de longues secondes pendant lesquelles nous fûmes tous deux paralysés par le plaisir, je m’assis sur Gabriel et je pus sentir sa queue se rétrécir lentement. On se regarda l’un l’autre et on ne put s’empêcher de rire.
« Je peux pas croire qu’on ait fait ça. » me dit-il alors.
Je me relevai pour sortir sa queue et de longues traînées de sperme accompagnèrent sa sortie. A ce moment là, je n’étais pas embarrassé par ce que nous avions fait. Je sortis du lit et je lui souris. « C’était ta faute. Tu es l’aîné. Je suis jeune et influençable. Je n’ai fait que suivre les ordres de mon grand frère. »
Son expression de visage devint alors très sérieuse : « Ne dis pas ça ! C’est pas drôle Seb. »
« C’est bon Gab. Tu sais bien que je ne le pense pas. On le voulait tous les deux. »
J’allai jusque mon armoire et j’en extirpais une serviette propre. Je la jetai à Gabriel pour qu’il puisse essuyer le sperme qui avait coulé sur son entrejambe. Il s’assit sur le lit et me regarda très sérieusement. « On n’aurait pas du faire ça. T’as raison. J’aurais dû m’arrêter. »
« Arrête Gabriel. J’ai absolument aucun regret et je t’ai plus qu’encouragé… »
Il essuya la sueur sur son front et sur son torse. « Ouais, mais j’ai laissé faire tout ça… »
« C’est la faute de personne… Et y’a pas de faute du tout de toute façon. » Tranchai-je alors un peu sèchement.
L'ENFER C'EST LES AUTRES
La porte s’ouvrit et Thomas entra. Nous n’avions pas pensé à la verrouiller.
« Wouaoo ça pue ici. Qu’est-ce que vous avez foutu les mecs ? » nous demanda-t-il à peine entré.
« Tu peux pas frapper putain ? » lui lançai-je sans répondre à sa question.
Il regarda Gabriel pendant qu’il essuyait les dernières traces de sperme et il se mit à rire. « Vous vous êtes branlés ? »
Gabriel lui jeta un regard noir mais Thomas tenta de s’expliquer. « Nan, nan c’est cool. Pas de souci. C’est bien que vous ayez fini par le faire. Ça me fait d’autant plus regretter de pas avoir de frangin. »
Je rangeai le tube de lubrifiant dans le tiroir de la table de chevet et j’enchainai sur ce que Thomas avait supposé. « Ouais, Gabriel s’est branlé… C’est ça l’odeur… »
« Nan, nan, ça sent trop la sueur les mecs… C’était pas qu’une simple branlette. Qu’est-ce que vous avez foutu ? »
J’attrapai un caleçon propre et Gabriel finit de s’essuyer avant de se lever.
« Bon, de toute façon j’étais juste venu pour te dire que ta nana a appelé Seb. Ton téléphone doit être éteint. »
« Ah merde… » Lâchai-je avant de me pencher pour enfiler mon caleçon.
« Je lui ai dit que… » lança Thomas avant de s’arrêter net.
Je me retournai pour comprendre pourquoi il s’était arrêté. Il fixait mon cul. Je réalisai alors qu’il pouvait voir mon trou et surtout l’état dans lequel il se trouvait. J’avais l’impression qu’il était complètement desserré et au bord de l’explosion.
Thomas me regarda dans les yeux. Il avait l’air embarrassé et je l’étais tout autant. J’enfilai le caleçon et me tournai vers lui.
Mais Thomas poursuivit : « En tout cas, je lui ai dit que t’allais la rappeler »
J’acquiesçai en retour : « Je vais prendre une douche d’abord. » Je ramassai quelques habits et je filais à la douche. Thomas me suivit dans la salle de bain.
« Est-ce que ça va ? » me demanda-t-il alors, visiblement inquiet.
« Pourquoi tu me demandes ça ? »
« Tu saignes à l’arrière de ton caleçon. »
J’essayai de rester impassible mais je sentis mon visage devenir bouillant. « J’ai un problème, un truc médical… Je prends des médicaments. » lui répondis-je en étant peu convaincant. « C’est un peu embarrassant. »
« Ouais, désolé. Je t’aurais pas demandé si tu ne saignais pas. »
« N’en parle à personne. Ça va mieux maintenant. »
« Bien » Il s’interrompit quelques secondes puis se mit à rire. « Pendant un moment, j’ai cru que tu t’étais fait défoncer. »
Je le regardai d’un air dégoûté. « Putain Thomas, c’est mon frère quoi ! »
Thomas finit par sortir de la salle de bain.
Alors que je me douchais, Gabriel entra pour crier au dessus du bruit de la douche qu’il partait.
« Partir où ? » lui demandai-je.
« Rentrer à Paris »
« Sois pas ridicule Gab, t’as même pas pris de douche. »
Il y eu une pause et il répondit : « Je me sens un peu mal de t’avoir fait ça Seb. Et ton débile de coloc sait ce qu’on a fait. J’en suis sûr ! »
Je me rinçai les cheveux et j’arrêtai l’eau. J’attrapai ensuite une serviette et je l’enserrai autour de la taille. J’ouvris la paroi de douche et je regardai Gabriel. Il paraissait très contrarié.
« On n’aurait pas du faire ça. On est frère putain ! »
« Arrête Gab. Y’a rien de grave ! »
La porte s’ouvrit et ma copine entra sans prévenir. « Ahh te voilà… J’ai essayé de t’appeler toute la matinée. »
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