— Vas-y doucement…

— C’est ça… Tu vas te la prendre tout entière !

J’étais à 4 pattes dans ma chambre, entièrement nu, Baptiste derrière moi, la queue sur le bord de mon trou.

« Haah ! » Baptiste m’enfonça lentement mais sûrement son dard en entier… Qui eut cru qu’il en avait un aussi gigantesque! C'était un petit mec de 18 ans à peine, un petit blond dans les 1m68, très fin, et avec un corps finement musclé...

"Haaa..." ... "Haaa...." Le petit blond allait en profondeur, m’enfonçant sa bite entière, puis en ressortant la moitié pour à nouveau me l’enfoncer toute entière. Il savait y faire. Il accélérait mais n’allait pas trop vite, j’étais aux anges. Je me retenais de hurler de plaisir, je savais que c’était ce qu’il voulait. Il maintenait ses mains sur mes épaules et m’imposait son rythme... N’y tenant plus, je lâchais finalement quelques râles de plaisir:

— Ahhh… Ahhh… Hmmmm...

— Ah… Je savais que t’aimerais ça petite pute *souffle*, vas-y, dis le !

— Non… Hmmm… Non… Oui… Ah…

— Ahhh *souffle*, dis le… Hmmmm…

— Oh, vas-y Baptiste, OUI ! DÉFONCE-MOI!

— Hmmmmmm !

— Aaaaaaah !

Baptiste posa ses mains sur mes tétons et me fit immédiatement exploser sans même me toucher

 C'estquand mêmeluiqui l'a cherché !

Je crois que ça a commencé dès l'adolescence. J'ai flashé sur mon père, je cherchais par tous les moyens à le voir nu, à découvrir sa bite qui me fascinait. Rien que d'y penser je bandais. J'avais réfléchi à tous les stratagèmes. Je connaissais bien son emploi du temps d'homme d'affaires trop occupé dans la semaine, que je ne voyais quasiment jamais, et d'homme fatigué le week end qui s'occupait peu de ses enfants, faisant un peu de sport. Ainsi quand il allait aux toilettes, je le suivais discrètement en espérant qu'il laisse la porte ouverte pendant qu'il pissait. J'avais réussi, à force de manipulations, à me trouver un point d'observation lorsqu'il prenait sa douche dans notre grande salle de bain. Pendant ces moments d'espionnage, j'étais en transe, la bite bien dure, et je filais me branler après ces moments volés. Je gardais en tête ces instants où je le voyais se savonner, en espérant qu'il se tourne car le plus souvent je le voyais de dos dans la cabine.

Et puis un jour que

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