MENAGE A TROIS OU PLUS A GEOMETRIE VARIABLE depuis je suis encore plus familier de ce café improbable, j'arrive, ça sent le bar. Bruno me tend mon scotch habituel sans même me demander ce que je veux.

il demande : - "t'es dispo ?" je regarde de tous les côtés et je chuchote en réponse  - ouihhhh, anxieux de ce qu'il va me proposer - Ahmed est là-haut. Il se fait des réussites. C'est sûr qu'il y aurait mieux à faire... et voilà des jours que, pas toujours avec le ou les mêmes, il nous arrange les coups. Je travaille. Je peux payer. Je laisse toujours "quelque chose". S'ils faisaient ça que pour le fric j'arrêterais. Je monte. Toujours les jambes qui flageolent, toujours le coeur qui bat. D'ailleurs, des fois  Bruno ne me dit pas qui je vais trouver. Il met mon coeur à l'épreuve -lol-   

   Le patron s'appelle Bruno...prêt à me céder à un client... je me livre à vous comme je me suis donné à eux...  

Ce jour-là :

Le patron est là. Seul. Debout devant moi. C’est enfin le moment, où tout peut se décider, où chacun de nous va dévoiler son jeu. Et c’est à lui de commencer. Je suis toujours assis sur le comptoir, mon verre à la main, face à lui. Il me regarde. Comme s’Il n’arrivait pas à se décider. Comme s’Il ne savait pas par où commencer. Comme s’Il hésitait, comme s’Il avait peur. Il sourit légèrement puis en me regardant dans les yeux me dit simplement : “T’es une vraie petite salope toi, pas vrai ?”

“Un ami est venu me rendre visite. Il t’a croisé au bar, Il a très envie de toi. - Qui est-ce ? - Chhh… Ne pose pas de question, d’accord ? - … - D’accord ?” Comme je fais mine de me retourner, Il m'en empêche. “Tu es d’accord ? insiste-t-il -

…je réponds - ouihhh. La voix empreinte d'émotion”
Mais j’en tremble presque. De peur ? Ou d’excitation. A ce point, je ne sais plus.

- Chhh… c'est un ami, tu le connais aussi.

J’entends du bruit derrière moi. Des pas qui s’approchent, le bruissement de vêtements qu’on défait. Montée d’adrénaline. Des mains se posent sur mes fesses. Caresses. Mon dos. Mes seins. Plus rien. Le patron a reposé mon visage contre le comptoir. Une main posée sur mes cheveux Il regarde l’autre.

Douleur fulgurante. Il m’a frappé. Sur les fesses. Du plat de la main, il m’a frappé. Et il recommence. Encore et encore. Chaque fois, mon corps bute contre le bois du bar et m’arrache des cris aigus. Je ne cherche pas à les retenir. Je connais ce genre d’hommes, je sais que ça l’excite. J’ai mal mais c’est supportable. Il retient ses coups. Mais continue. Encore. Encore. Ça brûle. Je serre les dents.
Je n’aime pas ça. Il ne s’arrêtera que quand mes fesses auront atteint la teinte recherchée. Un rouge vif. Luisant. Il ne me touche pas. Sauf du plat de sa main. Il frappe. Encore. Encore. Les larmes commencent à monter. Je ferme les yeux. Le patron, caresse mes cheveux. Et l’autre continue. J’ai l’impression que ça dure depuis de longues minutes déjà. Et il continue. Et cette fois, je pleure tout à fait. J’ai arrêté de crier et ne pousse plus que quelques gémissements.

Et puis il s’arrête. Enfin. Je sens qu’il approche son sexe de mon orifice. Je ne suis plus du tout excité maintenant. Il me pénètre. Brutalement. Profondément. M’arrachant à nouveau des cris. Il commence un lent et profond va et vient. Je sens et ne vois pas. Dans ma tête j'imagine des images en gros plan Son sexe me paraît épais, je me sens déchiré.

Bruno mate en gros plan les allées et venues du sexe dans mon cul.

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Je me dédouble en pensée ...j'imagine en gros plan le gros sexe me pénétrer

Et il accélère. Il me baise fort. J’ai mal mais la situation m’excite et je commence à y prendre plaisir. Je plonge mon regard voilé dans celui du patron. Il me dévisage, guette le froncement de mes sourcils, ma bouche qui se déforme dans l’étreinte. Je ne le quitte pas des yeux. Il me sert de témoin, de miroir. C’est comme si c'était avec lui que je baise vraiment. L’autre continue à me pilonner tantôt plus vite et tantôt langoureusement, tandis qu’il caresse doucement mes cheveux. Enfin Il m’embrasse à pleine bouche. Je le ventouse et m’accroche à sa bouche comme tout à l’heure à sa bite, comme un naufragé

Le voilà qui s’arrête. Il se retire. Je sens qu’il maintient mes fesses fermement écartées tandis que sa langue s’approche de mon trou. Il la glisse doucement sur le haut de mes cuisses. La caresse est douce alors que mon cul me brûle. Il remonte lentement. Je sens mon anneau se gonfler d’excitation quand il s’y pose délicatement. Je tressaille. Il lape. Il fait ça bien. C’est rare, des hommes qui sachent me prendre. Comme ça. C’est… si bon. Je suis totalement immobilisé. Mon torse contre le bar, mon visage dans Ses mains, mes yeux dans les Siens. Mes jambes maintenues dans les mains de l’autre, à la merci de la jouissance. Qui monte. Tranquillement. Sans un faux mouvement. Est-ce que ? Oui. Il glisse une main vers mes fesses. Il va le faire. Il glisse un doigt dans mon cul. S’il continue, c’est sûr je vais jouir.

Mais il s’arrête. Se relève. Son doigt toujours en bonne place. De l’autre main, il continue de caresser ma verge. Je sens mon anus se dilater progressivement. Est-ce qu’il va... ? Je crois qu’il va le faire. Il crache.

Je sens que son doigt glisse, de mieux en mieux, de plus en plus profondément. Je veux qu’il le fasse. Je gémis. J’ai envie de lui crier de le faire. Mais. Ce n’est pas mon rôle. J’attends. C’est ce que je dois faire. Il prend son temps. Je crois qu’il a senti mon impatience. Il veut me torturer un peu. C’est son rôle, à lui. Et enfin… il m’encule.
J’ai peur qu’il me fasse mal mais je suis tellement excité que je doute que ça puisse arriver. Je sens enfin sa pine. Dans mon cul. Il pénètre lentement mais avec assurance. En moins d’une minute il sera" chez lui". Sa main toujours sur mon sexe. La langue du patron me maintient et que je suce. Je suis plein. Et heureux. Je crois qu’Il commence à se branler. Et l’autre accélère. Accélère encore. Si ma bouche n’était pas obstruée, je hurlerais pour de bon. Mon plaisir monte et monte. A ce moment, la seule chose que je redoute c’est qu’il s’arrête. Je vais jouir. Je me prends à rêver qu’il jouisse dans mon cul. C’est tellement excitant.
C’est si bon, tout ce qu’il y’a dans ma tête c’est “Mon dieu que j’aime me faire enculer !” L’autre garde le rythme, ne cesse pas le va et vient sur ma queue et… je jouis. Le patron retire sa langue de ma bouche et alors je me mets à crier si fort qu’on doit m’entendre de la rue. Je sens que mes jambes vont se dérober. L’autre me maintient d’une main, il s’immobilise, je l’entends grogner. Il tremble. Je tremble. Il a déchargé dans mon cul. Je lui en suis… très reconnaissant. Ce sentiment me surprend moi-même. Il reste un moment sans bouger. Puis, quand il se retire, je me sens humide entre les cuisses.

Je suis haletant, les larmes aux yeux. Le patron m’embrasse. Essuie mes larmes. Tandis que l’autre se rhabille et sort. Quand j’entends la porte claquer, je me laisse glisser sur le carrelage froid. Il me rejoint. S’assoit à mes côtés et me prend dans ses bras. Il caresse mes cheveux, mes épaules, mon ventre. Après toute cette chevauchée sauvage, j’ai tellement besoin d’un câlin. Et c’est si rassurant de savoir qu’Il sait ça. Nous restons comme ça de longues minutes.

Et puis il se relève et m’attrape par le bras. Il me présente sa bite et il est temps pour moi de lui marquer ma gratitude. Je suis épuisé mais tellement reconnaissant que je n’aurai pas de mal à trouver l’énergie pour le satisfaire. Il a perdu son érection. Je le prends donc tout doucement dans ma bouche. Je titille son gland avec ma langue, remplis ma bouche avec sa bite. Mais elle ne gonfle pas. Je descends ma bouche sur ses cuisses, l’embrasse, le caresse. Je glisse mes mains sous ses couilles, les soulève légèrement, les lèche, remonte jusqu’à la base de son sexe, le reprends. Mais mes caresses sont sans effet. Je sens qu’il trépigne, qu’il est mal à l’aise. Cela va rendre notre relation plus complexe. Même s'il est comme moi, en attente qu'on le baise, je vais l'aimer, aimer sa complicité. On peut monter des coups tous les deux : les amis sont bien plus fidèles que les amants. A lui je m'en remets en confiance. Il pourrait m'en demander plus...
Tout à coup il me soulève et me serre contre lui. Alors que je pose sur lui un regard interrogateur il me dit “Non, mais… T’es pas un garçon qu’on baise, toi. T’es un mec dont on tombe amoureux.”

  désolé mais on voit bien que l'emplacement et  la surface de certaines publicités sur erog sont abusifs et empêchent de bien lire l'article      

     délicat à dire, mais on voit bien que l'emplacement et  la surface de certaines publicités sur erog sont abusifs et empêchent de bien lire l'article      

       ma mère m'a appelé Eric je suis gay grand modèle et hyper actif bien que...une bite dans la bouche et dans le cul soient loin de me déplaire.. ça me manque très vite quand je n'ai ni petit cul pour m'entourer la bite, ni une belle bite pour me fourrer les deux trous  

17 Septembre 2016. Petit plan oh mais petit... J'aurais dû me douter qu'il y avait un lézard : trop bon marché. Habitué à payer cher, je jugeais que ce serait un plan nul avec une pute en solde ou un débutant.

     merci à coconut.net ! 

Sur un site de rencontres gay un petit minet de 19 ans qui fait la pute. Histoire de..., je lui demande ses tarifs : 20 euros et il embrasse, en soi ça me semblait une bonne idée, une petite pute en solde avant d'aller passer la soirée chez des amis à (SXXX). Il est vrai que je passe toujours de meilleures soirées entre amis les couilles vides : j'ai moins tendance à me jeter sur tout ce qui passe ou à ne pas écouter les conversations pour draguer.

Il est arrivé deux heures avant que je décolle pour (SXXX).  Il a eu du mal à trouver mon appart, je suis descendu l'accueillir dans la rue, il ne ressemblait pas à l'idée que je m'en étais fait, mais alors pas du tout à la photo qu'il m'avait envoyée ni à la façon de se fringuer et, malheureusement, la photo ce n’était pas trop mon style, les gars trop BCBG ça baise mal. Mais bon pour 20 euros (!!!???), ça restait un minet de 19 ans, et en fait là, c'était une espèce de faux bourgeois, un peu précieux  ce genre qu'on n'ose pas toucher. Il n'avait pas de "chien" ! déjà il était trop lisse. J'aurais dû lui dire de faire demi-tour immédiatement, qu'il n'était pas mon genre mais bon, je suis gentil. Et j'aide les petits commerces de proximité -lol-. En fait ma curiosité était un peu piquée.

Arrivé dans l' entrée de mon bloc, lorsque je lui ai dit dans l'interphone -“3e et dernier sans ascenseur”, il m'a répondu avec son petit accent distingué  “mais j'n’avais pas prévu de faire du sport”… ça m'a fait rire!

Arrivé  dans mon appart, il a fait un petit tour du proprio, j'ai un appart pas mal, mais ma décoration est a priori trop hétéroclite. Certains tableaux ne vont pas les uns avec les autres alors que je possède que des toiles d'art contemporain minimalistes qui ont été exposées au moins une fois dans une des galeries présentes dans le Grand Palais pendant la FIAC. Je vous épargne la critique de mon poster de Christiano Ronaldo, au-dessus de mon lit. Bof. Le voilà pas qui avait un bouquin sous le bras   un bouquin ?  

        -"Tu es "Alex" sur coco.fr, c'est ton prénom ou ton pseudo?

     - en fait mon prénom d'état civil c'est Alexandre."  

    délicat à dire, mais on voit bien que l'emplacement et  la surface de certaines publicités sur erog sont abusifs et empêchent de bien lire l'article      

Il vient directement vers moi pour m'embrasser, je l'embrasse. On se retrouve dans le salon on s'asseoit sur le divan mais moi je ne pense qu'au lit et à mon temps mesuré avant le vol pour (SXXX).

Il y avait un marque-page dans le bouquin et il l'ouvre. Là je suis fou : qu'est-ce qui m'empêche de lui balancer son livre parterre. Je regrette déjà d'avoir accepté ce rencard si près de l'heure de mon avion  et d'avoir plaisanté avec lui sur Michel Foucault, notre maître à tous et les amours des professeurs grecs anciens avec leurs élèves. Je lui avais dit que, étant donné notre différence d'âge,  "j'avais bien quelques petites choses à lui apprendre".

Alors il a commencé à lire le passage qu'il avait prévu. Moi, nu sous le peignoir de bain, je m'efforçais de lui montrer qu'il ne métait pas indifférent et,  s'il y faisait un peu attention, mon 49/3 était prêt à arrêter les débats  pour passer aux choses sérieuses. L'heure tournait et, tant pis pour les philosophes grecs, mais mon précum perlait à mon méat. Il paraît que Socrate pouvait désirer son élève Alcibiade qui dormait à son côté, sans jamais le toucher.

Il ne pouvait que comprendre mon impatience. Quelque part il l'a comprise c'est sa main sur ma cuisse velue qui me l'a dit. Cette main je la guidai. Il continuait à lire, mais je sentais quelques altérations dans sa voix.
Je ne sais pas si vous voyez le morceau que j'avais à sa disposition...et, vu son apparente inexpérience, c'était moi qui me faisais du souci pour son anus.

Lui commença à promener sa main sur ma tige et il pouvait comprendre qu'il ne tenait qu'à lui que l'on mette mon outil en oeuvre. (un démonte-cul -lol-). Je prends sa main et le tire vers ma chambre. Je fais sauter tout ce qu'il a sur lui.  

 Maman ! voyez-le ! Une fois désapé 

de mémoire de grec on n'avait vu un corps plus parfait. Ouah le beau gosse. Sa bite a l'air de jaillir de sa touffe un peu rousse qui n'a rien de celles des statues grecques. Et il serait venu pour toucher 20 euros. Le doute s'installe en moi. Faudrait qu'il s'explique......     

  On s'étale sur le lit, j'ai du mal à bander aussi raide qu'au départ, mais pas lui a priori, il est imberbe, non circoncis, un cul de rêve, on se caresse, il bande, et moi je le rejoins dans cet état bien vite, il a un beau cul, il a presque un orgasme chaque fois qu'on lui fout des doigts dans la raie, il me suce pendant que je lui fous des doigts dans le cul. Il a vraiment un assez gros anus il est loin d'être vierge. Confirmation alors qu'iles souvent enculé...ça me trouble,  et j'ai du mal à bander. Et j'avais l'impression qu'il avait une MST,  si bien que j'hésite d'abord à sucer il continuait à me paraître bizarre… Mais caresser son corps de rêve c'est irrésistible...Au diable les pensées négatives ! bonne pioche je me dis et je le pioche à fond dans son cul !

Au moins, s'il n'est pas pro, le "gosse" s'est montré à la hauteur. 

  on a tout fait : exam de passage positif. Il m'a branlé, sucé, je l'ai rimmé, enculé et il gémissait tout le temps comme une chienne ; eh ben aussi il m'a enculé et il n'était pas nul.  

il est bon comme un bonbon anglais !

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  Dans un presque 69, il finit par jouir en se branlant, pendant qu'il me suce et que je lui fous encore des doigts dans le cul (deux pour être précis pour le faire hurler de plaisir).  

je le traîne à la salle de bains (à peu près son look de minot)

On retourne dans le salon, je fume une clope, il remet ses vêtements,

il me parle, il est chiant, il me raconte son histoire d'amour au lycée avec un de ses profs (mytho à mon avis), puis à un moment, il me demande si je le trouve beau ? En ajoutant “mais je sais que je suis beau”, j'lui ai donc retourné un proverbe anglais que j'aime bien “Beauty is in the eye of the beholder”… c'est vrai que la beauté ça dépend de celui qui regarde. Il n'a pas besoin qu'on le flatte. Le désir fou qu'il suscite se voit assez. Il n'a pas compris ma réponse, c'est pourtant flatteur, je suis autant rugueux qu'il est lisse et agréable à toucher. On avait baisé, on avait fini, je ne savais plus si je voulais le payer pour qu'il parte, mais en même temps je n'avais plus envie de le payer et tirer un trait final. Comme un éclair fulgurant je vois écrit :

"L'AVION !!! TA MERE !!!"

Comme il est un peu con, mais gentil, tandis que je regarde l'heure, il se barre, sans quémander ses 20 euros, et là j'ai failli le perdre j'étais presque content, mais ça ne faisait pas trente secondes que j'avais refermé la porte qu'il m'envoie un message, il avait oublié les “sous” (sic.), je lui ai donc dit de remonter, je lui ai refilé vite fait ses 20 euros AVEC UNE PELLE, gratuite celle-là !-lol- Je l'entoure de mes bras. Et là, soudain plus question de rien, ni d'avion, ni de phrases, ni de philosophes grecs, on n'en était plus là. Fini Socrate et Alcibiade, son père pasteur évangéliste, ma mère, l'heure l'avion, c'est, c'était loin déjà. Vous qui me lisez, vous qui êtes si forts, vous auriez fait quoi ? Je lui ai demandé s'il ne voulait pas finir la nuit et coucher là. Je crois que je n'étais pas sincère avec moi-même : je l'aurais voulu pour toujours ; après notre nuit de folie je lui ai demandé s'il ne voulait pas passer le WE avec moi et me parler encore de Socrate et Alcibiade et les autres. Je me gardai bien de lui parler de son pasteur de père.   

J'ai posé ma clope, et on a remis le couvert, j'étais loin de me douter, dans ces moments-là, que je vivais ma nuit de noces avec Alex.   

Je n'ai pas à regretter cette rencontre sur     coco.fr la petite pute à 20 euros qui a 15 ans d'écart avec moi...il pourrait presque m'appeler "papa", j'ai aimé… rassuré sur sa possible MST imaginée en raison de son faible prix -lol-, je me suis dit que finalement il n'était peut-être pas si con que ça, car a deux trois passes par jour, il aurait pu se faire rapidement 60, 80 euros par jour.

  la vie quoi !

    un peu de sport à la piscine ensemble