pendant que son copain filmait
Reste ! allez, avale, continue à pomper !
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pendant que son copain filmait
Reste ! allez, avale, continue à pomper !
" dis-le que tu aimes hein ? dis que tu aimes ma bite dans ton cul ! il ne sait pas encore qu'il sera pédé pasif pour la vie..."
Tanner va vous sembler beau et innocent, mais c'est un violeur criminel aggravé
Tanner désirait à tout prix ce garçon encore hésitant sur son orientation sexuelle
Il existe de nombreuses formes de persuasion. Dans ce cas, le "starter" était celui que Tanner a décidé d'utiliser : du GBH dans son verre pour le
rendre euphorique et consentant, et encore une autre drogue de son secret. Au moment où le garçon s'est réveillé, Tanner était déjà enfoncé bite jusqu'aux couilles dans son anus
frémissant.
C'était pour le bien du jeune, se dit Tanner. "Il ne se rend pas encore compte que désormais il sera pédé passif...et mon esclave et que je l'aime
..."
Plus tard il sera livré à mes amis qui le feront jouir du cul à mort et le perfectionneront dans son rôle de passif...
...
Expérience : j’ai dit « oui » à tout pendant trois jours et ce n’était pas génial
« Marcel va me chercher un café stp » Et voilà comment on se retrouve larbin attitré. Dire oui à tout, c’est jouer les collègues accommodants. « Marcel tu m'accompagnes ? ( dehors il fait moins 12) » Je suis le petit chien à l’arrière de la voiture : j’acquiesce, non-stop.
Le défi se complique quand les injonctions s’entrechoquent : « Il faut que ce dossier parte dès ce soir ? » ET « Anna ne s'en sortira pas avec ce qu'elle a à faire, vous devriez l'aider, Marcel ») qui interrompt séance tenante tout le taf que j’ai à boucler.
Une copine tente de m’esclavagiser en pleine semaine pour refaire son carrelage. Il s’agit de parer. Je convoque un vieux souvenir de ma première année de droit : la hiérarchie des normes. La Constitution prime sur la loi ; de la même manière, ma chefferie a le dernier mot.
Retour au boulot, non sans avoir fait les frais de la vengeance ce con de chef de service, et dû pousser un cri de phoque -lol- qui se noie en plein milieu de mon lieu de travail. Cette constatation ironique m’oblige à appréhender l’obstacle avec optimisme au lieu de mon éternel défaitisme.
Mais reste l’impression désagréable de balancer mon libre-arbitre aux orties, et d’être un peu la pute de tout le monde.
Pour Descartes, la liberté de dire oui est essentielle, mais celle d’y ajouter le doute l’est tout autant. Boss de fin de niveau : les sollicitations des relous. Quand le caissier du café du coin me suggère un câlin, ni une ni deux, j’oppose un “Oui...et quoi encore ? ” bêtement hargneux que dissuasif. Car il ne nous veut que du bien et moi je suis con comme une valise ou un verre à pied.
Contestation de ma hiérarchie quand je dépeins l’événement : "fallait pas ..." Ah, ben merde alors !
Pourquoi dire oui ? Pour « sortir de sa zone de confort et s’ouvrir à l’autre », selon le psy Daniel Marcelli.
Hihi cette loi interdit quoi au juste ?
Oh peuchère, toi le loup va te manger !
SUR LE BALCON DE DERRIERE
ou bien à la resserre
la joie d'avoir un boss noir :
le chef, le sous-chef et le magasinier ont fait leur affaire de ma formation :
quant au concierge il a dit : "c'est à moi de décider s'il y en a assez, compris ?
drapeau blanc : on se rend ! ...mais qu'est-ce qu'on vous a fait ? même quand on remplit le formulaire d'identification tout est fait pour nous piéger et nous forcer à"tomber" dans un site payant avant d'avoir pu entrer dans notre propre blog ! lequel site payant qe fout de notre gueule de LGBT en nous mettant des pacholes sous le nez ..." tu viens chéri ? y a du bon feu chez-moi"
On demande une trève on négocie !
- "sure ! "
un SERIAL KILLER qui a emporté pas mal de ses mystères dans un suicide qui, selon certains serait une exécution
ici un Texte d’Yves Tenret, en 2004
Le 23 août 1985, Patrice Denis, 1,80 m, sac à dos, un civil qui se rendait en auto-stop pour un tir de fusées au camp de Mourmelon, disparaît. C’est un jeune homme de bonne famille, sans problème et un civil. L’argument de la désertion ne tient plus. Tous les medias s’emparent de l’affaire. Le capitaine Vaillant et le maréchal des logis Tarbes sont chargés de l’enquête. Ils la reprennent à zéro. Tarbes aura 6 patrons successifs et 4 juges d’instruction pendant son enquête qui durera 15 ans. Il va entendre des centaines de bidasses, faire appel à des voyantes, à des radiesthésistes et à Pierre Bellemare (Au nom de l’amour…). En août 1986, Chanal est muté au centre équestre de Fontainebleau, endroit qu’il déteste et où il est très sévère avec les fils à papa qui y sont planqués. En avril 1987, Patrick Gache, trompette, affecté au 4e régiment de Dragons, quitte le camp pour ne plus jamais y revenir. Chanal s’était rendu ce jour là au para-club de Mourmelon. Les enquêteurs ne seront avertis que début juillet ! L’attitude de l’armée est manifestement volontaire, puisqu’elle fait des fouilles et des ratissages avant de prévenir la gendarmerie. En août 1987 est découvert le cadavre de Trevor O’Keeffe, auto-stoppeur irlandais. Il est enterré dans la même position que Donner, face contre terre, les deux bras sous le corps.
Le 9 août 1988, près de Mâcon contrôlé par des gendarmes à la recherche d’écolos anti TGV, Chanal leur annonce qu’il est militaire. Il a l’air mal à l’aise… Dans son combi Volkswagen vert, dissimulé par des rideaux, un auto-stoppeur hongrois, Palazs Falvay, attaché par une sangle qui lui entoure le cou, roule des yeux terrorisés et supplie qu’on le détache. Il a subi 20 heures de sévices sexuels filmés en partie par Chanal…
Chanal si précis sur les autres sujets, refuse avec obstination d’évoquer les disparus de Mourmelon, se bloque dès que le thème est abordé. Pendant son interrogatoire, il a compté les secondes et les minutes de 6 h à 23 h 30. On ne lui a pas accordé son temps de repos réglementaire. Il refuse de signer sa déposition. 16 slips sont saisis dans sa chambre à la caserne et 16 dans son combi. Certains sont déchirés, d’autres ont été découpés. Chanal dit en changer tous les jours et même parfois plusieurs fois par jour. Sur une des K7 audio trouvée dans sa chambre, par-dessus des chants de Panzer allemands,
on l’entend jouer une scénette :
- Bonsoir, comment tu t’appelles ? Pourquoi tu ne fais pas les sommations ? Non. T’as oublié. Tu ne m’as pas entendu arriver. Eh ben, mon vieux ! Allez, viens avec moi. Suis-moi. Mets les mains derrière le dos. On va régler ça plus loin… Mais dis donc, mais… tu dégages une drôle d’odeur en plus. Hein ? Ah ben, dis donc ! Y a combien de temps que t’as pas changé ton slip ? Tu vois. Ah ben, dis donc ! Oh, mais tu bandes, mon petit ? Oh là là, mais tu as une sacré quéquette quand je te touche comme ça ! Hein, ça te ferait du bien là ! Tu veux que je la suce ?"
42 ans, extrêmement physique, les muscles saillants, le visage émacié aux orbites enfoncées, les joues creuses, les mâchoires carrées, les lèvres minces, les cheveux en brosse, les mains osseuses & glacées, la glotte saillante ne cessant de monter et de descendre, Chanal avance à intervalles réguliers la tête de façon convulsive et ponctue régulièrement ses phrases de reniflements. Il ne fume pas, ne boit pas, ne baise pas. Célibataire n’ayant aucune vie amoureuse, amicale ou familiale. En week-end ou en vacances, il vit dans son camping-car. Ses hobbies : parachutisme, delta-plane, aéromodélisme et une collection de livres sur le nazisme (Les Panzers de la garde noire, Les Jeunes Fauves du Führer) et de vues de close-combat et de matériel militaire. Très bien noté par ses supérieurs. En vacances, visite les champs de bataille – Verdun – casemates, ossuaire, fortifications – Fort de Douaumont, tranchée des baïonnettes, des tunnels. Il n’aime que les jeunes garçons timides, longiformes, imberbes, vulnérables. Peu loquace, il répond par phrases courtes et ment avec aplomb. Il n’éprouve aucun sentiment de culpabilité. Se considère comme victime des familles des victimes ! La totalité de sa garde robe est verte, kaki, beige ou brune. Il ne connaît qu’un type de rapport : le rapport hiérarchique. Dès qu’on aborde le sexe, il gesticule, pâlit, pince des lèvres, a une crise. Il se cogne la tête dans les murs, crie qu’on veut sa mort et sombre dans un mutisme complet pendant les 2 h suivantes. Il tue en fin de semaine, pendant les perms, le plus souvent au mois d’août, au bord de routes désertes, à la tombée de la nuit. Ce n’est pas un compulsif mais un homme méthodique. A dater de son arrestation, les disparitions cessent. En octobre 1988, l’expert Loïc Le Ribault vient faire des tamponnements. 27 cheveux sous scellés – 6 n’appartiennent pas à Chanal mais à des individus différents, de même pour 4 poils pubiens. Chanal dira avoir ramassé un matelas en mousse sur une décharge. Vu sa maniaquerie, le mensonge est évident… Le 23 octobre 1990 une cour d’assises condamne Pierre Chanal à dix ans de réclusion criminelle pour viol, attentats à la pudeur et séquestration du jeune Hongrois.
En juin 1993, un juge d’instruction de Châlons-en-Champagne procède à la mise en examen de Pierre Chanal pour séquestrations et assassinats dans les dossiers Dubois, Havet, Carvalho, Sergent, Denis et Gache avec mise en détention provisoire. Et deux ans plus tard, le dossier étant vide, (pas d’aveux, pas de témoins, pas d’indice, des expertises discutables), le juge d’instruction de Saint-Quentin le relâche…
Le dossier est rouvert en avril 1997. Le nouveau juge d’instruction chargé de l’affaire, M. Chapart, se rendant compte que le rapport de Le Ribault n’a pas été exploité, le nomme surexpert pour examiner tous les scellés. Celui-ci s’attèle aussitôt à la tâche et doit pour cela donner divers coups de téléphone à la Section de recherches de la gendarmerie. Les combats d’experts, entre le privé et le public (coût d’une expertise au CHU de Nantes : 1,8 million de francs), entraînent passablement de coups bas et des dérives malsaines. Quatre jours plus tard, la police vient pour arrêter Le Ribault sous un chef d’inculpation fantaisiste (exercice illégal de la médecine). Heureusement prévenu quelques heures avant par un ami policier, Le Ribault prend la fuite. Il enverra son rapport par la poste… Les tests génétiques prouvent que, en plus du Hongrois violé, deux des disparus ont séjourné dans le camping-car de Chanal. Le 10 août 2001, le magistrat ordonne le renvoi de Pierre Chanal devant la cour d’assises de la Marne pour les séquestrations et les assassinats de Patrice Denis, Patrick Gache et Trevor O’Keefe. Il lui accorde un non-lieu dans les autres dossiers. Deux autres appelés ont disparu en 1975 à Valdahon en ayant Chanal comme adjudant mais cela n’a jamais fait l’objet d’une investigation judiciaire…
SUICIDE ?
En mai 2003, lors de l'ouverture de son procès à Reims, Chanal simule une tentative de suicide en prenant des somnifères légers. Le procès est reporté au mois d’octobre. Chanal est placé dans un HP puis à la maison d’arrêt de Fresnes où il entame une grève de la faim. En octobre, deuxième ouverture du procès devant la cour d’assises de la Marne à Reims. Mais le 15, Chanal se suicide. Il a vu son avocat, mangé, écouté avec attention le greffier lui faire le rapport de l’audience, attendu minuit et demi qu’on lui ait pris la tension. A peine l’infirmier sorti de la pièce, il met en place deux garrots qu’il a confectionné à l’avance avec les élastiques de son jogging, un à chaque cuisse. Le but est de diminuer la masse sanguine pour provoquer la mort cérébrale plus rapidement. Il reborde soigneusement son édredon et son drap et se tranche deux fois l’artère fémorale à l’aine. Les incisions sont précises ; 2 cm de long, 2cm de profond. La mort survient entre 4 à 6 minutes malgré l’intervention d’un policier qui a repéré ses difficultés de respiration.
« Comment est-il possible que personne, avant l’autopsie, n’ait mis en avant le fait que Chanal portait un dentier ? Comment cet homme, qui allait enfin parler et qui était censé être placé sous une surveillance policière rigoureuse, a-t-il pu se donner la mort dans sa cellule, alors qu’il était contrôlé toutes les quinze minutes ? Il faut arrêter : il a été tué, un point c’est tout. Il allait révéler des choses. Peut-être que Chanal n’a pas tué huit, mais soixante-dix personnes ? » affirme carrément Loïc Le Ribault.
un homo que nous ne reconnaîtrons pas comme un frère : CHANAL "Il ne choisit comme victimes que les jeunes garçons timides, longiformes, imberbes, vulnérables."
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