ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric

Mercredi 7 novembre 3 07 /11 /Nov 00:00

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les situations décrites dans ce texte ne sont que des fantasmes

  Image associée Je ne vous cacherai pas les difficultés financières grandissantes  de ma famille suis Loïc, j'ai 17 ans, bientôt 18 maintenant et j'habite avec ma mère et ma sœur dans une maison près de Marseille.Image associée  Il y a une semaine, on était dimanche et c'était le jour de mon anniv'. Ma mère a fait venir un homme qu'elle connaît, nommé Henry, qui ne fait pas mystère d'être proxo de garçons. Me disant qu'il aimait rendre heureux les jeunes en leur donnant un métier qu'ils aiment de façon innée au prix d'un tout petit effort au départ. Comme tout proxo c'est lui qui "ouvre la voie" en dépucelant ses futurs "employés". C'est pareil pour les femmes. Les putes. C'était pile ou face, oui ou non tu as aimé ?  Chez nous, dans ma chambre, en faisant semblant de s'intéresser à mes jeux vidéo Il a su, par des caresses appropriées me donner envie. Et il s'est arrangé pour que ce soit moi qui lui demande.  D'abord il a sorti des cassettes bah une sodomie entre ados je voyais pas où était le problème, non le problème se situe surtout...sur le plan des âges et Henry n'est pas un gamin ! A un moment il a frotté sa grosse queue dans ma raie, sur ma rosette et il est entré de qq cm . C'est moi qui ai reculé mon cul pour que ça rentre un peu plus.  Bref, ça m'intriguait d'essayer. Je lui ai demandé d'aller très doucement. Là c'était (presque) ok car il a été diplomate en tout. Bourré de gel dans mon cul ça a été. Puis il m'a dit qu'il devait tester mes aptitudes réelles à ce métier. Quand il m'a réenculé très durement, pour vraiment me dépuceler, me casser le cul comme on dit, j'ai eu mal. Mais au-delà de la douleur j'ai aimé être possédé. Là, dans le secret de ma chambrette, j'ai dit oui à un futur que je ne commence qu'à entrevoir...Image associée    Image associée 

Au matin je descends à la cuisine, où ma mère prépare le repas.

– « Ah te voilà Loïc », me dit-elle, « alors comment ça va maintenant ? est-ce que tu as toujours mal ? »

– « non ça va maintenant. Enfin, sauf quand je vais aux toilettes là ça fait toujours mal », je rougis un peu en évoquant mes passages aux toilettes, c'est ridicule quand on pense que ma mère, ainsi que toute ma famille, m'a fait sodomiser, et m'a entendu crier de douleur puis râler de plaisir.

– « très bien. Montre-moi. »

– « euh comment ça ? »

– « baisse ton bermuda et ton slip et penche toi en avant, montre-moi ton anus », putain ! me demande ma mère comme si c'était normal !

Je m'exécute. Je laisse tomber mon bermuda en toile bleu-marine à mes chevilles et le baisse mon slip blanc sur mes cuisses. Je me penche en avant en me tenant au bord de la table de la cuisine. La mère s'approche et m'écarte les fesses avec les doigts de sa main gauche pour mieux voir mon petit trou, enfin disons juste mon trou car après la dilatation qu'il a subi je ne sais pas s'il est toujours petit.

– « c'est encore rouge autour mais il n'a pas l'air abimé. Je vais vérifier si tu n'as pas de séquelles. Cambre-toi pour mieux faire apparaitre ton anus »

Ma mère s'éloigne puis revient, elle m'écarte à nouveau les fesses puis je sens quelque-chose de froid sur mon anus. C'est un morceau de beurre, que ma mère pousse à l'intérieur de mon cul. Je sens alors que ma mère insère un doigt et le fait tourner. C'est un peu douloureux.

– « Reste tranquille, ce n'est vraiment rien du tout comparé au sexe d'Henry qui t'a pénétré. Bon c'est bien, je ne sens rien d'anormal dans ton rectum. Ça confirme ce que je pensais »

– « comment ça ce que tu pensais ? » je demande en me relevant. Je prends une feuille d'essuie-tout pour essuyer le beurre dans les fesses. Ma jeune sœur Aurélie arrive à ce moment-là.

– « Qu'est-ce que tu fais Loïc ? pourquoi tu t'essuie les fesses, qu'est ce qui s'est passé on t'a fait mal ? »

Je me sens extrêmement humilié d'exposer mon anus à ma petite sœur, déjà ma mère c'est pas facile mais alors ma sœur...

– « non ma chérie, j'ai juste regardé si Loïc va bien », lui répond ma mère. Si tu souffrais je ferais pareil pour toi.

– « Henry aurait pu te blesser en te mettant à l'épreuve », reprend ma mère alors que je me rhabille, «en fait c'était même très probable vu la taille exceptionnelle de son membre. Pourtant ton corps a bien réagi à cette épreuve et tu as même aimé être durement sodomisé. Tu es fait pour donner du plaisir aux hommes. C'est Henry qui me l'a dit.»

– « Tu le crois ? »

– « oui ta bouche et tes fesses vont connaître beaucoup d'autres sexes d'hommes. Tu vas participer aux ressources de la famille. Tu vas te prostituer. »

– « ça veut dire quoi ? »

– « tu vas te faire sodomiser régulièrement par des hommes, qui  paieront pour ça. Tu vas sucer leur sexe aussi. Mais d'abord je vais t'entraîner à donner du plaisir aux hommes, il faut que tu aimes ça et le vouloir. Tu risques de devenir dépendant à la sodomie et au sperme comme un drogué à sa drogue.  Peut-être c'est mieux si tu restes conscient de certaines limites et que, non plus, tu ne tombes pas amoureux de l'un de tes clients. »

Ainsi ma mère voulait que je m'entraîne à me faire enculer ! D'un côté j'étais plutôt content de cette nouvelle car j'avais envie de retrouver cet état de soumission à un homme et sa queue qui me dominent, mais d'un autre coté je ne voulais pas revivre la torture que j'avais subie il y a une semaine quand Henry m'a dépucelé. Ma mère voyait mon hésitation et ma crainte.

– « Ne t'inquiète pas je ne vais pas faire revenir Henry, enfin pas tout de suite. Tes cousins Damien et Eric vont t'entraîner. »

Ça c'est une super nouvelle ! J'aime bien Damien, qui a 20 ans donc juste un de plus que moi, et son grand-frère Eric qui en a 23. Je sais que les deux frères baisent ensemble, on me l'a dit dimanche dernier, Damien se fait enculer par Eric comme les fils du député des charentes, mais lui il va pas faire un procès !   .

– « Ils vont m'entraîner tous les deux ? »

– « C'est Eric qui va t'entraîner à la sodomie. Damien t'apprendra la fellation et d'autres plaisirs entre garçons comme embrasser, doigter... Il reste une semaine de vacances avant la rentrée, ils vont venir ici à partir de ce soir. »

Ainsi mes cousins débarquent effectivement le soir même. Nous nous mettons tous en pyjama avant le diner, et à table ma mère organise la suite des événements.

– « Eric, à partir de ce soir tu vas prendre tous les jours ce médicament qui te maintiendra en état d'excitation sexuelle permanente. » En lui disant cela ma mère tend un petit cachet à Eric qui l'avale. « Je veux que tu sodomises Loïc toutes les heures.

– « toutes les heures ? » s'exclame Damien, « oh la chance ! moi il m'encule seulement une fois par jour quand on rentre de l'école »

– « Toutes les heures ? » s'exclame Eric à son tour, « je ne sais pas si je vais pouvoir ! Et la nuit ? »

– « ne t'inquiète pas, le médicament que tu as pris va te donner envie et tu pourras sodomiser Loïc toutes les heures. La nuit aussi. De toute façon vous êtes en vacances vous n'avez rien d'autre à faire. D'ailleurs regarde ça commence à faire effet »

Effectivement le pantalon de pyjama d'Eric fait une tente bien pointue, ce qui fait rire ma sœur Aurélie à qui personne ne cache rien. Je suis curieux de voir le sexe de mes cousins, je ne les ai pas vu nus depuis qu'on était petit.

– « bon, retirez vos bas de pyjama. Non pas toi Aurélie, seulement les garçons »

Nous nous retrouvons le zizi et les fesses à l'air tous les trois. Nous allons au salon. Eric a un très beau sexe, long et gros, surtout qu'il bande fort. Il est assez poilu autour de sa bite mais ses couilles n'ont pas de poils. Il a un filet de poils qui remonte au nombril et les jambes et les bras un peu poilus, mais sinon son ventre n'a pas de poils. Son sexe n'est pas aussi énorme qu'Henry mais c'est certainement un gros modèle. Ses organes sexuels ont leur taille définitive tandis que le reste de son corps va encore évoluer. Damien quant à lui sa bite est bien plus petite que celle d'Eric mais, même s'il ne bande pas en ce moment, ça ne saurait tarder. Ses testicules ne sont pas pendants comme ceux d'Eric.

– « Damien, tu vas t'occuper de préparer Loïc. Tu devras veiller qu'il soit toujours prêt, propre dedans et lubrifié. Tu suceras et embrasseras Loïc aussi souvent que possible, surtout pendant qu'Eric le sodomisera, car Loïc doit associer la sodomie au plaisir. Je sais que tu excelles dans ces activités, on me l'a dit. »

A partir de ce moment, Eric m'a enculé. Toutes les heures. Parfois ça durait 10 minutes, quelques fois juste 1 minute. A chaque fois Eric éjaculait. Nous n'avons pas porté de vêtements en bas pendant toute la semaine. Les premières fois ma mère vérifiait qu'Eric faisait son devoir mais c'était inutile tellement le médicament lui donnait envie de sexe. Pour ma part je ne prenais pas ce médicament mais j'aimais me faire prendre en permanence, car c'était associé aux soins prodigués par Damien. Il savait vraiment bien sucer ! Il me suçait la bite, les couilles, les prenait dans sa bouche, m'embrassait, c'était tellement sensuel et agréable. J'éjaculais sans me toucher quand le plaisir que me donnait Eric s'associait à celui que me donnait Damien. Je prenais du plaisir, c'est sûr.

Durant les journées Eric me prenait dans toutes les positions, à l'endroit où on se trouvait à ce moment-là. Ça pouvait être dans la maison, dehors, n'importe où. Une ou deux fois on a eu du mal à se cacher d'autre gens autour de nous et je crois qu'on nous a vus parfois mais on était trop concentrés par notre plaisir pour s'en soucier.

Damien était frustré de me voir enculé sans cesse et pas lui, alors de temps en temps Eric lui mettait un petit coup de bite dans les fesses pour le calmer, et à ces moments-là j'apprenais à sucer Damien. Il finissait toujours par éjaculer, généralement dans ma bouche et j'avalais goulûment le bon sperme de mon cousin, ou parfois il éjaculait sur moi. J'avais du sperme de Damien plein mon t-shirt et mes cheveux, mais ma mère avait abandonné l'espoir de me faire laver et changer de t-shirt dix fois par jour. Mes rôts et mes prêts sentaient le sperme, c'était un sujet de rigolade pour nous trois et aussi pour Aurélie. Le soir on regardait la télé, on savait continuer à regarder le film pendant nos ébats sexuels.

La nuit on dormait tous les trois dans mon lit. Nous avions le sommeil léger, Eric bandait en permanence et me ramonait le trou régulièrement, tandis que Damien m'embrassait et me suçait la bite, on s'éveillait à peine pour cela. Ma mère avait dit à Eric d'éjaculer dans mon cul la nuit car les draps étaient déjà pleins de grandes taches de sperme et de jus de mon cul. Ma petite sœur se plaignait qu'on faisait du bruit la nuit avec nos ébats.

Plus la semaine passait et plus j'aimais me faire baiser par Eric et Damien. J'en venais à penser que mon état normal était avec sa bite dans le cul, et qu'entre deux enculages j'étais en manque de quelque chose, il y avait un vide à combler en moi. J'avais besoin d'une bite dans ma bouche, et de sentir une grosse queue en moi me ramoner.

La fin de la semaine arrive, ma mère nous a réservé une « surprise ».

– Venez les garçons, nous appelle t-elle

Eric qui est en train d'enculer Damien doit déculer sans avoir joui, moi pareil je n'ai pas eu le temps faire jouir Damien dans ma bouche, nous nous dépêchons de rejoindre ma mère au salon. Elle n'est pas seule, c'est Henry, mon dépuceleur, qui est avec elle.

– Je vais contrôler si l'entrainement de Loïc a été efficace. Henry va vous sodomiser tous les trois pour comparer vos capacités à satisfaire un homme, et vérifier si Loïc est le meilleur.

– « Moi Je ne préfère pas, je préfère enculer mais je n'aime pas trop être enculé », dit Eric

– « Moi j'aime bien me faire enculer mais je crois qu'Henry en a une beaucoup trop grosse pour moi », dit Damien.

Moi je ne dis rien car d'une part je sais que ma mère ne changera pas d'avis, et d'autre part je suis plutôt content de revoir Henry et surtout son sexe qui m'a si bien dépucelé, je me souviens plutôt des moments de plaisir et moins de ceux de torture durant les 45 minutes qu'a duré ma première sodomie.

– « Inutile de discuter. Henry préparez-vous », tranche ma mère. « Aurélie tu peux rester si tu veux mais tu ne déranges pas ton frère et tes cousins qui vont se faire sodomiser »

– « Je suis content de te revoir mon petit Loïc », dit Henry, « J'ai hâte de t'enculer à nouveau. Et les deux autres aussi je vais bien vous défoncer le cul. »

Henry retire son t-shirt blanc, laissant apparaître son torse musclé et viril. Il retire ses chaussures et son pantalon, il est en boxer noir. Son sexe a l'air de chercher à sortir, le boxer a du mal à le contenir. Enfin Henry retire son boxer et le pose lentement sur la table à côté de ma mère, et son sexe se déploie magistralement, jusqu'à devenir cet énorme gourdin bandé pointant fièrement devant lui. Nous sommes tous les trois impressionnés, et ma mère aussi.

– Damien, Eric et Loïc, alignez-vous devant le bureau et penchez-vous. Henry, allez-y sodomisez les garçons, testez leur aptitude à recevoir votre sexe.

Nous sommes tous les trois penchés sur le bureau. Ma mère nous lubrifie l'anus à tous les trois avec du gel. L'anus de Damien et surtout le mien étaient déjà plein de gel mais celui d'Eric en a besoin. Henry se place derrière Damien, l'enlace par la taille et commence à pousser lentement son membre entre les fesses de mon cousin. Celui-ci grimace de plus en plus et commence à crier de douleur mais le sexe d'henry le transperce et lui remplit finalement le rectum. Damien pousse des cris de douleur alors que Henry commence des va-et-vient de plus en plus rapides et profonds. Heureusement que Damien est un fervent adepte de la sodomie, il encaisse pas trop mal. Au bout de quelques minutes Henry se retire du cul de Damien et lui demande de se retourner.

– « Suce ma bite maintenant », dit-il à Damien, « tu vas la nettoyer, tu ne veux pas que j'encule ton frère avec une bite sale quand même »

Damien s'exécute en grimaçant un peu mais assez vite il prend du plaisir à sucer cette bite énorme. Il ne peut prendre que le gland dans sa bouche mais il lèche toute la longueur de la bite d'Henry.

– Pas mal du tout. A ton grand frère maintenant. Toi tu es grand tu vas pas crier comme Damien, hein ?  

Henry se place derrière Eric, qui a suivi l'enculage de son frère avec beaucoup d'anxiété. D'habitude c'est lui qui encule Damien, c'était très impressionnant de voir le membre d'Henry disparaître dans le corps de son petit frère. Eric s'est déjà fait enculer mais il ne pratique pas souvent cette position. Henry fait comme avec Damien, il enserre Eric, place son gland contre l'anus du grand, et pousse lentement mais sûrement jusqu'à le pénétrer, d'abord le gland puis le reste de sa bite disparaît dans le boyau d'Eric. Celui-ci serre les dents, il ne peut contenir de forts gémissements de douleur, et des larmes coulent de ses yeux. Bientôt Henry l'encule sans ménagement et le baise sauvagement. Pour la première fois depuis une semaine Eric débande. Enfin Henry retire son sexe du cul d'Eric, lentement, avec un bruit « pop » quand le gland sort. Son énorme sexe est très sale car Eric ne s'était pas préparé à cet événement.

– « A toi de nettoyer ma bite, mon grand. Regarde dans quel état tu l'as mise, t'es vraiment dégueu. », Henry force Eric à engloutir sa bite dans sa bouche, Eric a des haut-le-cœur en nettoyant le sexe d'Henry avec sa langue. « Bon c'est bien, maintenant je peux enculer mon petit Loïc. Allez mon petit prends une grande respiration je t'enfonce le cul».

Je me positionne bien fermement penché sur le bureau, j'attends que la bite d'Henry m'écartèle. Ses bras musclés m'entourent la taille, je sens sa bite presser de plus en plus contre mon anus... et il rentre plutôt facilement. J'ai mal mais rien à voir avec ma première sodomie. Mon entraînement intensif toute la semaine a bien habitué mon cul à se laisser pénétrer, il se dilate suffisamment pour laisser coulisser le pieu qui me pénètre très profondément. Lorsque Henry accélère le mouvement et me pilonne le cul violemment, je ne peux retenir des gémissements de plaisir. Je bande et j'aimerais bien que Damien me suce en même temps que je me fais enculer, mais déjà Henry crie son plaisir et jouit au fond de mon cul. Il se retire, laissant mon trou ouvert et du sperme coule sur mes jambes. Henri me retourne pour que je le suce comme l'on fait mes cousins. Sa bite est couverte de mon sperme, je la suce avec plaisir et je lèche mon propre sperme sur sa bite.

– « Très bien les enfants allez-vous laver », dit ma mère. « Eric tu peux arrêter de sodomiser Loïc maintenant. Tu auras encore besoin de te soulager tant que le médicament fera effet, ton petit frère se fera un plaisir de te laisser le sodomiser quand il te plaira. »

– « Cool » répond Damien

– « Alors Henry dites-moi, comment est Loïc ? »

– « Il est un super coup, bien mieux que ses deux cousins. Le plus jeune cousin était pas mal mais le grand vraiment pas super. Par contre Loïc est un super trou à bite, il aime les grosses queues et il en redemande. »

– « C'est parfait. Tu vas pouvoir te prostituer maintenant. Je vais te proposer à tous les gays qui fréquentent les sites spécialisés».  

Ma nouvelle vie de prostitué commençait j'avais pour "proxo" ma vaillante mère, mon trou n'allait pas se refermer avant longtemps.  Au-delà de la douleur j'avais aimé être possédé et ne demandais qu'à continuer.

  Image associée  font chier les flics ; j'apprends à être malin Résultat de recherche d'images pour "GAY PROSTITUTE IN THE STREET"

 

  Image associée  Marseille on est deux potes prosti'. On s'aime et on est colocs on se protège entre nous 

 

Par LOIC - Publié dans : ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 29 octobre 1 29 /10 /Oct 15:55

«Image associéeImage associée Tu t'en es pris une sacrée on dirait… — Tu peux pas savoir la force mon pote !  Mais putain c'était rentable !!! — Ouais ? — Putain 2000 boules !!! — Non ? Sérieux ?!? T'as dû prendre cher à ce tarif-là… — Même pas : rien du tout ! »

http://www.cyrillo.biz/histoire-gay-2014-Suce-mortelle-02.php

Surpris, Romain l'escort venait de récupérer les billets glissés en secret par son client dans la poche du costume prêté par Pierrick Lorsque ce dernier arriva pour récupérer le costume, c'est un Romain euphorique en slip et chemise qui lui ouvrit la porte. Devant la mine livide et les cernes sous yeux de son ami, Pierrick dit en souriant :

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« Tu t'es pris une sacrée baise on dirait… 

— Tu peux pas savoir la force mon pote !  Mais putain c'était rentable !!!

— Ouais ?

— Putain 2000 boules !!!

— Non ? Sérieux ?!? T'as dû prendre cher à ce tarif-là…

— Même pas : rien du tout ! »

 

Et comme chaque fois qu'il songeait au fric, Romain se mit à bander comme un âne ce qui n'échappa pas à Pierrick. Il jeta un regard insistant sur le slip déformé de son ami… Romain mit quelques secondes à comprendre ce que le sourire de son pote signifiait, tout excité qu'il était à réfléchir à la meilleure manière de dépenser son tas de blé. 

 

Lorsqu'il finit par comprendre, il eut un grand sourire et enlaça Pierrick. Ils s'embrassèrent un moment et Romain finit par dire : « Putain faut que j'te nique… J'ai les couilles qui vont exploser… ». Pierrick qui ne s'attendait pas à quoi que ce soit de plus romantique de sa part, se contenta de lui caresser la queue et de lui souffler à l'oreille : « te gêne pas, fait toi plaisir… »

 

Romain tourna immédiatement Pierrick pour amener ses petites fesses contre sa bite… Il lui ôta sa ceinture, fit sauter les boutons de son jean et le repoussa contre sa table qui faisait office de bureau, table à manger et « coin-où-mettre-tout-ce-qui-ne-va-pas-ailleurs ». 

 

Il descendit frénétiquement le jean sur les chevilles d'un Pierrick se laissant ainsi gentiment malmener, puis fit descendre son petit slip blanc qui finit tout seul sa chute jusqu'aux mollets.

 

Lorsque les fesses furent enfin à sa disposition, Romain ôta sa chemise, son slip, ses chaussettes, s'empara du gel et d'une capote…

 

En quelques secondes, il se retrouva planté dans un Pierrick soupirant de plaisir…

 

C'est ce que Romain adorait avec lui : quelle que soit la façon dont il s'y prenait, il arrivait à tirer des gémissements et des soupirs de plaisir sincères…

 

Romain avait peu d'amis, mais Pierrick en faisait partie… Et c'est pour ça qu'il se protégeait. Image associéeIl l'aimait d'une certaine manière…

 

Emporté par l'excitation bestiale Romain se contenta de pilonner son copain pendant un long moment… Tout le fric qui se profilait avec ce nouveau client lui donnait une vitalité extraordinaire… Pierrick ronronnait comme un chat tant il appréciait la queue de Romain… Ce dernier n'avait qu'une envie : jouir ! Lâcher la purée prête à lui exploser les couilles ! Se vider !

 

En sueur, ralentissant le rythme, Romain d'un même mouvement embrassa puis mordit le cou de Pierrick qui lâcha un petit cri de surprise…

 

C'est alors que Romain éjacula… Tout son corps fut agité de soubresauts puissants à mesure que son sperme remplissait la capote.

 

Romain enlaça son ami, le serra très fort, encore planté en lui, remonta sa main sur le ventre chaud et lui embrassa l'épaule… Rare démonstration d'une tendresse qui lui faisait peur…

 

Pierrick se retira alors, sentant le vide entre ses fesses… Il se retourna contre la table en écartant légèrement les jambes… Son sexe était dressé et humide… Il espérait secrètement que Romain ait envie de le sucer… Il y avait eu droit deux ou trois fois et avait compris que ce n'était pas en demandant qu'il pouvait obtenir satisfaction… Il attira la bouche de Romain contre la sienne et l'embrassa tendrement. Il lui caressa les reins et les fesses tout en évitant soigneusement le sexe… Il cherchait à éveiller l'envie de son ami bien que ce dernier se soit vidé les burnes…

 

Il retira, tout en continuant ses baisers, le préservatif du sexe de Romain.Image associée

 

Il parvint à ses fins… Romain le saisit par les hanches et le fit doucement s'allonger sur le lit… Pierrick ferma les yeux et veilla à ne plus faire de bruit… Il se contentait de respirer et vibrer au rythme de la langue de Romain sur sa bite…

 

Romain avait une façon toute particulière de frotter la pointe de sa langue sous le gland tout en stimulant certains endroits précis du périnée… Le cœur de Pierrick accéléra… Sa poitrine sembla se comprimer à mesure que le rythme de Romain s'intensifiait… Il ne sentait plus son sexe, il avait une chose chaude, humide, dure entre ses cuisses… Comme si la bouche de Romain et le sexe de Pierrick étaient devenus un nouvel organe… Organe produisant uniquement des torrents de plaisir…

  Image associée  Image associée

Le rythme cardiaque de Pierrick était tellement rapide qu'il commença à voir des points lumineux malgré ses yeux clos… Il sentit les premiers effets d'un vertige… Sa tête commença à tourner… Une légère vague de plaisir brûlant commença à s'allumer, loin, là-bas… entre ses cuisses…

  Image associée Image associée Résultat de recherche d'images pour "wide landscape in red"Image associée

Soudain, un voile rouge envahit le champ de vision de Pierrick…

 

Il émit un gargouillis dérapant des graves vers les aigus…

 

Et il eut un orgasme.

 

Un orgasme puissant… Profond… Intense… Inégalé…

 

Comme si tout son corps, son être, son énergie se vidaient par son sexe…  

 

    C'était doux et brutal à la fois…

 

Le monde entier tangua autour de lui…

 

Le voile rouge devint noir…

 

Il sentit son sang pulser dans ses veines pendant de longues minutes… Il restait incapable de réagir… Cloué littéralement sur le lit…

 

Toute la surface de son corps crépitait comme si des légions de fourmis le massaient de concert…

 

Au loin… très loin… tout là-bas… il sentait… aux frontières de sa conscience que quelque chose bougeait, se déplaçait… Des sensations lui parvenaient… Incohérentes… Tissu froissé… Pressions… Des pas… Peut-être…

 

Ses yeux refusèrent un long moment de s'ouvrir…

 

Tout son esprit se tendait pour faire bouger son corps… mais… rien.

 

Il concentra son esprit pour rouler sur le côté… Il se sentit basculer… mais au dernier moment il réalisa qu'il n'avait toujours pas bougé…

 

Il avait fait une overdose de plaisir…

 

Lorsqu'enfin son corps consentit à répondre à ses ordres…

 

   il trouva un Romain rhabillé et plongé dans sa tablette…

 

Quel pied !!! Image associée 

 


COMMENTAIRE /  la vie intense et inégalée de Romain l'escort gay sur cyrillo

Par YOPI SUR CYRILLO - Publié dans : ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 30 septembre 7 30 /09 /Sep 07:32

un cul de passif il faut bien le casser un jour et quand on dit"BIEN" eh ben c'est...bien !

 

 

 

 

 

 

 

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2 escorts mâles bulgares baisent un macédonien 

 

 

 

 

Là c'est vraiment pour le fric Sous-titres anglais langue allemand

 

 

 

pas l'air d'y avoir de fric là ! :

 

 

 

 

 

  le HD est lent à télécharger sinon le scénério est en plein dans notre sujet, l'étudiant se fait prendre pour "plus de fric qu'il en gagne en un mois"  Bon ça pour lui, non ? 

 

Danny Hard fucks Freddy's hole.
 

 

 

 

 

 

Par APPSPé - Publié dans : ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 29 septembre 6 29 /09 /Sep 16:32

   il y a ceux et celles qui dansent sur le pont d’Avignon et il y a ceux qui dansent une autre gigue sous le pont d’Avignon où on s'encule tous en rond .  (légende !)  (Avignon- Cavaillon 25 (petits) km)     “Au fait, pour me remercier, tu me feras un cadeau, hein ? après ?…" zid

cette bite renflée au milieu de la tige est très jouissive  

Image associéeJ'ai peut-être exagéré en lui disant qu'il ressemble à une statue grecque, mais Yazid a ceaucoup d'atouts !  Je sors d’un spectacle à minuit passé (Saison Sèche de Phia Ménard). Plutôt que de rentrer à l’hôtel, je décide d’aller faire un tour dans un lieu de drague traditionnel d’Avignon, un endroit où, dans le passé, j’ai fait de bien belles rencontres... (yatatan comme dit Renaud)  Je me dirige donc vers Champfleury, quartier situé derrière la Gare, c’est-à-dire hors des remparts et de la foule des festivaliers. Je ne reconnais pas bien les lieux, les barres de HLM surpeuplées ayant été détruites ces dernières années. De petits ensembles, plus coquets, les ont avantageusement remplacées. Il me faut tourner pendant un bon moment avant de repérer la rue où les mecs draguent. Peu de monde, beaucoup moins qu’avant. Mais tout de même quatre ou cinq bagnoles stationnent dans le coin, lieu que je reconnais bien enfin. Certains automobilistes ont quitté leur volant et fument seuls, debout, appuyés contre leur portière. Je passe et repasse, à vitesse réduite, histoire de mater les mecs. Ils ont la quarantaine ou légèrement plus, d’assez beaux mecs. Deux mecs me plaisent bien, la vingtaine, ils parlent et rigolent ensemble. Ils ne semblent pas très intéressés par mes passages répétés. Ils sont en shorts blancs et dotés de bons paquets… Est-ce un couple de garçons, ou deux copains qui se sont retrouvés ? Quelques autres voitures tournent comme moi. Je finis par m’arrêter et stationner un peu plus loin, à l’entrée de la rue, quand on vient de la gare. Je me souviens que je me mettais toujours à cet endroit : ça permet de voir les passants qui arrivent à pied du centre-ville, les jeunes mecs par exemple, rentrant chez eux dans les HLM. Mais ça c’était avant ! Y-a-t’il toujours de jeunes mâles en vadrouille qui habitent dans les nouveaux logements ? Je sors de la bagnole pour fumer une clope. Je trouve que c’est beaucoup plus calme que dans le temps; pratiquement plus de mecs à pied cherchant fortune. J’attends encore un peu. Je rentrerai si ça ne s’anime pas plus.    

Et là, surprise : je vois arriver un groupe de jeunes parlant assez fort entre eux. Plus ils s’approchent et plus les silhouettes me paraissent intéressantes. Ils sont quatre. Il ne faudrait pas qu’ils viennent à Champfleury pour “casser du pédé”. Je remonte dans ma bagnole. Dans mon rétroviseur je vois un jeune se détacher du groupe; les autres restent dans l’ombre. J’entends une voix qui crie à l’intention de celui qui s’avance dans ma direction : “Zid ! dis-lui que j’en ai une grosse, bien juteuse !”… Le jeune gars est arrivé à hauteur de ma bagnole. Il s’approche du côté conducteur. J’avais baissé la vitre. Il me demande ; “T’as pas une clope, s’te plaît ?” Il a une super belle gueule. Je prends mon paquet et lui tends une cigarette. Il la prend. “File-moi le paquet, sois sympa, comme ça j’en donne à mes potes…” J’hésite un peu : il me reste quand même une dizaine de tiges… Mais il est trop beau ce jeune mec, je ne peux pas lui refuser !... “Merci… t’es cool, mec…” Il sourit, il a de superbes dents blanches; j’aime bien aussi sa coiffure :Image associée  Image associée

  si vous trouvez plus beaux, appelez-moi ! 

Résultat de recherche d'images pour "Amine Mekri"

rasé sur les côtés avec de belles boucles sur le haut du crâne. Très originale et soignée. Avec sa gueule d’ange, sa coiffure et sa silhouette sportive, il doit emballer toutes les meufs qu’il veut… Avant de rejoindre ses trois copains, il me demande à voix basse : “Tu cherches ?... Attends-moi ici, je vais aller avec eux, je fais semblant moi aussi de rentrer chez moi, et quand ils seront tous montés chez eux, je reviens… Attends-moi, j’en ai pour dix minutes…” Il déguerpit aussitôt. Ses copains l’accueillent bruyamment, heureux qu’il ait pensé à leur rapporter des clopes. Le groupe disparaît dans l’obscurité. J’attends.  

Je regarde ma montre : ça fait un quart d’heure que je poireaute. Je me demande s’il va revenir… Et, sortant de je ne sais où, le voilà qui frappe à la vitre, côté passager. Je sursaute. Il a l’air pressé, il ne veut probablement pas se faire remarquer. J’ouvre et il s’assoit à mon côté : “Démarre ! J’veux pas qu’on me voie… y’a peut-être des mecs qui me connaissent putain, vite !  …” Je ne traîne pas et m’éloigne du quartier. Je suis tout émoustillé d’avoir ce jeune mâle assis à côté de moi : vraiment je ne croyais pas que j’allais faire une si bonne pêche ce soir, tant tout paraissait si calme. “Prends la route de Villeneuve… je connais un endroit tranquille…” On traverse le Rhône, l’île de la Bartelasse, le deuxième pont, on arrive bientôt aux Angles. J’ai profité de ce petit voyage pour en savoir plus sur ce compagnon tombé du ciel. Il m’a appris que son prénom est Yazid (son diminutif “Zid”), qu’il a dix-huit ans, qu’il est en apprentissage au C.F.A de l’automobile, il veut devenir mécanicien. Il est seul chez lui en ce moment avec sa sœur aînée, leurs parents étant en congé dans le village familial au Maroc. Ils sont partis avec les petits frères. Lui n’a pas voulu y aller cette année : on s’emmerde trop au bled. Il est bien plus libre seul ici avec sa grande sœur; il peut sortir et rentrer comme il veut. Je lui demande d’enlever son tee-shirt pour voir son corps. Il le fait sans problème, fier de me montrer son torse. Il se caresse les pectoraux dont les tétons, très foncés, me fascinent. Il a aussi de beaux biceps. “Dis, tu es super bien musclé pour ton âge…” “J’ai fait de la gymnastique quand j’étais au collège, de la barre fixe et des barres parallèles… ça muscle bien… mais surtout la gym ça fait travailler tout le corps…” Je suis de son avis : “ Tu as raison, c’est pas comme les mecs qui font de la muscu en salle… Les corps des gymnastes sont nettement plus beaux… Et maintenant, Zid, t’en fais encore de la gym ?” “Non, j’ai arrêté, ça me gonflait… surtout les entraînements, tout ça…” “Dommage… En tous cas, ça t’a déjà bien développé le corps…” Et lui…? il est bien développé ?...” En lui posant cette question, de ma main droite je palpe son paquet, trop serré dans un bermuda-jeans, turquoise clair, dont la couleur met bien en valeur le teint naturellement bronzé de sa peau. Sans gêne, il me répond : “Il dort encore… Mais tu vas voir, quand il va se réveiller, c’est un super beau jouet… Il aime qu’on le câline…” Et il ajoute : “C’est pas pour me vanter, parole, il est pas mal… Les meufs me disent qu’au point de vue dimensions, il est nettement au-dessus de la moyenne… Tu aimes faire quoi, toi ? Sucer ?...” Je réponds aussitôt : “J’aime tout !... mais sucer c’est un de mes trucs favoris…”. On a dépassé largement le deuxième pont sur le Rhône. “Tourne à droite…” La route passe au milieu des vergers. “Dans ce coin, il n’y a que des cultures… des pêchers… on est super tranquilles… Tu vas pouvoir maintenant t’occuper de lui…” me dit Zid en se touchant le zeb.

J’arrête le moteur. De la route, en contrebas, on ne doit pas voir ma bagnole. J’incline vers l’arrière le dossier de mon siège. Zid en fait autant. Il s’asseoit un peu plus haut sur son dossier, pour que son paquet soit à la hauteur de mon visage. Mes mains se précipitent, caressent, palpent l’engin. “Putain, Zid il est déjà super dur… tu bandes bien mon cochon !” Je commence à ouvrir sa braguette. “Attends, je baisse mon froc… On sera plus à l’aise…” Il fait glisser vers le bas à la fois son bermuda et son slip. Sa queue saute comme un diable de sa boîte !... Il a une belle queue de 17 ou 18 centimètres, épaisse, circoncise, plus foncée que le reste de son corps, de la même belle couleur brune de ses tétons… “Que c’est beau !... Zid… j’adore ta queue, tes couilles…. ton petit ventrounet… “ Yazid se débarrasse totalement de ses vêtements, ne gardant que ses baskets fluo. Il m’offre ouvertement son beau corps bronzé, entièrement nu. “Tu es un véritable chef-d’œuvre, Zid !....” Image associéeune statue d'un mec tout seul non ! celle -ci montre une homosexualité antique et si Yazid est beau, moi je suis représenté à ses côtés ! -lol-  "Il veut savoir : -“Ça veut dire quoi, chef-d’œuvre ?” -“Ça veut dire que t’as un corps parfait… comme les statues. Tu as déjà vu des statues anciennes ? Les sculpteurs leur ont fait des corps parfaits… Toi, t’es comme une statue grecque, même ta gueule, tes lèvres, tous tes muscles… tes cheveux aussi, bouclés, tu ressembles à une statue gracque !”

Il rectifie : -“Sauf la bite !... T’as pas remarqué ? les mecs des statues ils ont toujours une petite queue…” Et il éclate de rire ! “C’est pas faux… mais c’est parce que les sculpteurs, ils ne les sculptent pas en train de bander…” Je le caresse :” Là, toi, par contre tu l’as déjà bien raide… C’est pour ça qu’elle paraît plus grosse… Même si, c’est sûr, la tienne est grosse… Il est magnifique ton zeb, t’as raison Zid !... Le beau zeb de Zid ! J’aime aussi tes boules… la forme qu’elles ont, bien rondes. Tu te rases les poils ? “ -“Les meufs, elles préfèrent… T’as pas vu dans les films pornos, les mecs ils sont presque tous rasés!” Je donne mon avis : -“Personnellement, c’est vrai Zid, je dis pas ça pour toi, je préfère les mecs sans poils… les mecs imberbes, à la peau glabre, ça met bien en valeur leurs muscles, la bite, les testicules… Allez, fais-moi un peu goûter ces petites merveilles que tu as là….”

J’approche ma langue et lèche ses couilles, sa verge, son périnée. Zid réagit comme je le souhaitais : il gémit, commentant et guidant mes gâteries : “Vas-y, lèche-moi bien partout… comme ça… voila, sous les couilles… putain, c’est super bon !...” J’écarte ses cuisses pour aller plus loin ; son entrejambe sent très fort le sexe. Zid se tortille de plaisir et moi je m’enivre de ce parfum de jeune mâle beur. Ma langue arrive presque à sa rondelle; mais même si j’en meurs d’envie je ne vais pas plus loin. Je reviens à sa bite, dont je prends en bouche le gland. Zid m’arrête : “ Tu aimes mon zeb, hein ?...Attends… Reste plutôt couché sur le dos”. Sans sortir sa queue de ma bouche, il se place au-dessus de moi, tête-bêche. Sa queue, à l’envers, s’enfonce lentement dans ma gorge. Cette position “gorge profonde” plaît bien aux mecs homos, mais l’inconvémient, chez moi, c’est que je m’étouffe… Je tape sur une cuisse de Yazid pour qu’il se retire. Il ressort sa bite, je retrouve ma respiration : “Non pas comme ça, Yazid, pas si profond, ça fait mal et je m’étrangle !...” Il s’excuse :“D’accord, j’arrête!... J’ai vu ça dans les films porno… je croyais que ça vous plaisait à vous, les gays…” Je ne réponds pas car ce chibre brun est tellement délicieux que je ne veux pas perdre un instant ! Pendant quelques longues minutes, Yazid me baise la gueule en faisant gaffe de ne pas trop enfoncer sa queue. Son rythme est régulier, je salive un maximum. En le suçant, je regarde ses abdos aller et venir au-dessus de moi, se contracter dans l’effort, se relâcher. Que c’est beau un corps masculin en train de faire l’amour ! Il me baise avec un réel plaisir, j’entends qu’il accompagne les mouvements de son bassin d’une respiration de plus en plus sonore. Puis, brutalement, Zid s’arrête, se renverse sur son siège, appuyant fortement avec ses doigts à la base de sa verge. “Tu as mal, Yazid ?... Qu’est-ce t’as ?” “Non, c’est rien… J’allais jouir… Je ne veux pas éjaculer tout de suite… Je veux que ça dure plus longtemps…” Je suis rassuré : “Oui… t’as raison, beau mec… On n’est pas pressés… T’’inquiète… je peux te faire jouir plusieurs fois…” Je reprends la fellation, j’évite tout de même de pomper sa queue avec trop de passion, ce qui risquerait de précipiter les choses. J’arrête la pipe et préfère caresser ses cuisses, ses mollets. Que c’est doux, toutes ces parties de son corps, cette peau soyeuse sous mes mains ! Je m’occupe ensuite de ses pectoraux, de ses biceps… “Tu es magnifique… Toi, Zid, tu pourrais facilement tourner dans des films pornos. Rien que de voir ton corps, les gays se branleraient des nuits entières !... Au fait, toi te branles quand tu es seul ? ” “Ouais, de temps en temps… Surtout quand j’étais plus jeune, je me pignolais tous les jours ?” “Ça veut dire quoi se pignoler ?” “ Ah, tu sais pas ? Une pignole c’est une branlette, on dit comme ça ici… Tu sais un jour un mec voulait me faire des photos, à poil, des gros-plans de ma bite, de mon cul, quand je jute, mon sperme… tout quoi… Il disait qu’il allait me payer un max. Mes potes, ils m’ont dit de surtout ne pas le faire… il paraît que tu retrouves après tes photos sur internet…”

Yazid me paraît maintenant un peu moins excité. Je peux reprendre mes câlineries, en commençant par une fellation majuscule. J’aspire son gland à fond, ce qui fait reprendre à son zeb la raideur et la dureté de tout à l’heure. Zid a l’air d’apprécier : “Putain, tu pompes super bien !... Les gays vous êtes tous des champions de la pipe, mais à toi on devrait te donner la médaille d’or !...” J’arrête une seconde ma succion pour le remercier et lui expliquer : “C’est à cause de toi ! Tu es tellement beau, Zid, et ton zeb est si goûteux que ca me rend dingue…! Quel dommage que je n’habite pas à Avignon, je te viderais les couilles tous les jours…” Il en profite pour glisser : “Au fait, pour me remercier, tu me feras un cadeau, hein ? après ?… Avoue que t’as pas souvent sucé un mec qui te plaise autant !… ça mérite récompense !” Je ne le contredis pas, me disant qu’il faut que je me fende au moins d’un petit pourboire… surtout que lui aussi va bientôt m’offrir à boire !... Ma pensée précède de quelques secondes seulement son orgasme. Le corps de Yazid se raidit, ses muscles deviennent plus saillants, le jeune Beur arrête sa respiration, puis accompagne d’une main sa queue pourqu’elle ne rate pas ma bouche, Son bel instrument lâche toute une série de jets au fond de ma gorge. Je triomphe : il est en train de jouir mon beau gymnaste ! Je savoure ce que je peux du jus resté sur ma langue, le reste je l’ai très vite avalé, comme par réflexe. Je l’ai senti couler dans ma gorge. Yazid laisse sa queue plantée dans ma bouche pour que tout son foutre s’écoule jusqu’à la dernière goutte. Son orgasme n’aura duré qu’une dizaine de secondes. Puis le jeune Beur s’est relâché, laissant tomber son corps sur le dossier du siège passager. Je retire sa verge de ma bouche. Je la regarde : elle brille tant elle est enduite de foutre. Certes, elle s’est un peu ramollie mais a conservé toute sa longueur. Je la lèche de tous côtés. Je prends mieux le goût du sperme dont l’essentiel s’est écoulé directement dans ma gorge m’empêchant d’en ressentir la saveur. “T’as bien joui, Zid ?” Yazid attend quelques secondes avant de me répondre. “Putain j’ai super kiffé !... Tu suces hyper bien, mec ! Parole !...” Son compliment, à l’évidence sincère, me flatte. Ce qu’il ne sait pas, c’est que moi aussi “j’ai super kiffé !” Le petit chef-d’œuvre, non seulement a une plus grosse queue que les statues grecques, mais en plus il en a une super juteuse !

“Toi, Yazid, t’as bien joui… mais moi pas !… J’ai des capotes dans la boîte à gants… et du gel… Tu veux pas m’enculer ?...” Zid me regarde, ne sachant pas quoi répondre… “Ici… tu veux qu’on fasse ça ici ? Dans la bagnole ? Y’a pas beaucoup de place…” Afin de contrecarrer son argument je repasse tout de suite à la charge : “J’ai un plaid dans le coffre… Si t’es d’accord, on sort… on fait ça sur l’herbe…” “Ok…si tu veux… mais on attend un petit moment, je suis encore un peu crevé…” Pour patienter, Zid me laisse lui caresser le corps. Pas un pouce de sa peau ne va échapper à mes doigts, même ses joues, ses oreilles, son nez, ses lèvres, dont mon index suit les contours. J’aimerais tellement lui rouler une pelle, explorer avec ma langue les recoins de sa bouche, mordiller le lobe de ses oreilles, lecher tout son corps… Je touche ses cheveux : ses mèches bouclées se relèvent après le passage de mes mains, comme le gazon épais d’une pelouse qu’on vient de fouler. Vraiment, ce garçon a su trouver une coiffure qui le rend encore plus sexy. C’est un sacré séducteur ! Au bout d’une dizaine de minutes de caresses, dans le plus total silence, Zid: “Alors, on sort maintenant, si tu veux ?” Lui, qui tout à l’heure m’avait paru si peu enthousiaste à l’idée de me niquer, semble maintenant avoir retrouvé toutes ses envies de mâle…

Nous nous retrouvons tous les deux, à poil, allongés sur le plaid. Zid, après m’avoir caressé les fesses, m’a lubrifié le fion, à l’aide d’un, puis de deux, même de trois doigts. Le fait de s’occuper ainsi de mon cul lui a redonné de la pêche. Il se confie : “Je vais t’avouer quelque chose : en vérité, je préfère presque niquer un mec que de baiser une nana… Une chatte, c’est moins serré qu’un fion, ça donne moins de sensations, alors qu’un cul, même si le mec n’est plus puceau, c’est toujours plus serré… Tu sens ton zeb s’enfoncer dedans… c’est chaud… c’est bon… En plus les mecs ils font tout pour que tu prennes ton pied. Toi, tu aimes te faire prendre comment ? Moi, je vais te dire, ce que j’aime bien, c’est quand que le mec met ses jambes sur mes épaules. Comme ça, quand je le nique je vois sa gueule, je vois si ça lui plaît… J’aime bien aussi quand je le vois gueuler de douleur !...” “D’accord, Zid… C’est ok ! C’est une position que j’aime beaucoup, moi aussi…” Je me couche sur le dos, pose mes chevilles sur ses épaules. Yazid approche sa queue raide de mon cul. J’attends le moment divin où il va coller la pointe de son zeb contre ma rondelle. Il a bien visé : il est juste en face. Il ne lui reste plus qu’à pousser. Deux ou trois coups de reins vont suffire. Le gel aidant, sa bite s’enfonce peu à peu en moi. J’adore ce moment de possession par le mâle. Je sens que son zeb glisse, puis s’arrête ne pouvant aller plus loin au fond … Ses couilles sont maintenant plaquées contre mes fesses. Yazid attend un peu, histoire que mon rectum s’habitue au format de sa pine. Puis il commence à me limer le cul. Plus d’un quart d’heure de bonheur ! A aucun moment je ne ressens la moindre douleur. C’est une pénétration parfaite, sans violence, qui donne le frisson à chacun de nous. Yazid semble heureux de me prendre, et moi béat d’être pris. Cette position est aussi très avantageuse pour le passif ! Je peux voir mon jeune mâle s’appliquer dans sa baise, pour que le rythme de ses coups de reins soit le plus régulier possible et pour que sa queue coulisse bien, sans risquer de déculer quand elle ressort. Il remue bien son bassin d’avant en arrière. Le corps du Beur vibre d’excitation. Je frémis moi aussi, tant le dard de mon partenaire déclenche en moi une foultitude de petits bonheurs physiques, notamment sur ma prostate, délicieusement caressée à chaque passage de son pénis. J’ai rarement pris autant de plaisir à me faire ramoner le cul ! Nombre de mes amants, trop soucieux de leur seule jouissance, m’ont souvent brutalisé, me faisant regretter parfois de leur avoir si ingénûment tendu mes fesses. Avec Zid, rien de tout ça, rien qui me torture le boyau, agréablement parcouru dans les deux sens. Son magnifique pénis, raide et dur, tôt ou tard, l’inondera de sa liqueur mâle, fruit de ses deux belles boules rondes, que j’ai chauffées avec ma langue à plusieurs reprises ce soir.

Zid arrête d’un coup ses va et vient, contracte tous les muscles de son corps, poussant sa queue en core plus au fond. J’ai compris : son jus va gicler, mon actif va délirer de jouissance ! Cette idée d’orgasme imminent déclenche chez moi la même réaction. C’est ma première éjaculation de la soirée ! Je sens mon sperme s’échapper de ma queue… quel pied ! je le vois s’étaler sur mon ventre… C’est divin ! Je sens parallèlement la chaleur du foutre de Yazid envahir mon cul. Lui aussi est en train de jouir !!! Une double éjaculation, simultanée, le signe d’une parfaite entente entre nous. Zid, satisfait m’a vu juter : “Toi aussi t’as joui, cette fois, en même temps que moi !!. Tu as eu droit, ce soir, à deux doses de Yop, petit veinard ! T’as du bol, parce que je ne m’étais pas branlé depuis trois ou quatre jours… Ce soir, j’avais trop besoin de changer l’eau des olives… C’est mon pote Kacem qui dit ça…” Je ris puis rectifie : “En ce qui te concerne, l’eau des olives ressemble plutôt à de la mayonnaise !”. Zid se marre fièrement.

Après nous être nettoyés avec des lingettes pour bébé, nous nous rhabillons. Je donne alors à Yazid la récompense promise … et si méritée ! Nous rentrons à Avignon. Pendant le trajet, je caresse sa cuisse, heureux de garder ce contact physique jusqu’au dernier moment. Quand je le dépose à une cinquantaine de mètres de son petit immeuble, j’ai le cœur gros. Je sens que je bande à nouveau. J’ai rarement passé une soirée aussi jouissive. Comme je voudrais le revoir mon beau Zid, mon jeune gymnaste beur !¤

  Résultat de recherche d'images pour "garçon arabe nu ressemble à une statue grecque" beau et parfait (de haut en bas) comme une statue grecque !  

 


   

 

AVIGNON CAPITALE MONDIALE DU THEATRE  

Phia Ménard entraîne le public dans une expérience tellurique qui va le plonger au coeur des combats contre les normes, au coeur des revendications pour des identités libres. Il est question de défier le pouvoir patriarcal, de s'extraire de l'assignation des genres, en apportant de nouveaux gestes, de nouveaux rituels poétiques qui vont nourrir notre imaginaire.

il y a ceux et celles qui dansent sur le pont d’Avignon et il y a ceux qui dansent une autre gigue sous le pont d’Avignon où on s'encule tous en rond .  

 

 

Le « genre » dans tous ses états, tel était le thème cette année du Festival d’Avignon. Et comme le théâtre est le lieu de l’inversion et de la confusion des rôles, je me suis précipité dans la “Cité des Papes”, en espérant que, sur scène, bouleversant tous les tabous, cette édition 2018 serait l’occasion de l’affirmation triomphante des identités sexuelles. Je dois dire que côté spectacles, je suis resté un peu sur ma faim… Par contre, hors festival, j’ai passé une soirée, aussi inattendue qu’exceptionnellement chaude, qui restera longtemps dans mon souvenir, me faisant sans doute estimer, en fin de compte, que ce festival est l’un des meilleurs et des plus réussis auxquels j’ai assisté…

Par Pauzilipl - Publié dans : ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 23 septembre 7 23 /09 /Sep 00:13

  Mark, 20 ans, ne se doutait pas qu'il avait  été vendu pour le prostituer  

Egypte-albert-saber-petitionMark : ci-dessus l'un de mes deux maîtres.'   

 

steamy-gay-locker-room: “Hottest Free Gay Porn Online ” je ne pouvais pas dire qu'aucun d'eux soit déplaisant, loin de là. ils sont même gentils et souriants. Mais fermes. Malgré leur mentalité amorale, ils ont une certaine classe. Résultat de recherche d'images pour "Jonathan Menard" Farid : comment ne pas tomber amoureux de ce garçon qui m'a subjugué par son entrain et sa légèreté d'esprit. (fake photos)

 

  Mark : -"moi au début J'ai trouvé ce mail sur la messagerie de Farid :  

-"Salaam on s'entend très bien avec le nouveau garçon Mark que tu m'as vendu , toujours prêt pour un nouveau client. Sa chatte s'habitue à être baisée 15 fois par jour et nous allons bientôt l'entraîner pour les gang-bangs. Il est curieux qu'il semble penser que sa position n'est pas permanente et qu'il reviendra à  son ancienne vie après un mois de service. Expliquez-moi pourquoi il ne comprend pas qu'il s'agit d'un esclavage permanent. Peut-ętre que, Roger, lorsque vous livrerez le nouveau garçon, la semaine prochaine, vous pourrez lui parler clairement.
Fidèlement vôtre,
 Farid."

    Ils m'ont travesti comme ça pour que je plaise à leurs clients, mais ça les fait rire de me voir comme ça et comme ils n'ont aucune notion du respect d'autrui, ils ne me respectent pas is me baisent sans gêne dans ce costume de "fatma"  en rigolant entre eux.

        .Afficher l'image d'origine  S'il faut dire que ça me déplaît, alors ça me déplaît.  S'il faut dire que ça ne me déplaît pas...alors ça me plaît. Moi-même je ne me reconnais pas ! 

Mark : -"le premier jour ils m'ont sucé tous les deux j'ai éjaculé très vite après ça ils m'ont fait allonger sur le lit, à plat ventre ils ont parlé entre eux ils ont mis de la vaseline entre mes fesses
je savais ce qu'ils voulaient faire ils avaient envie de tout simplement m'enculer tous les deux avec leur grosse bite
      >ils m'ont doigté le cul un petit moment ils m'ont dit que j'avais un joli cul qui était fait pour ça l'un d'eux m'a dit  : "maintenant on va t'enculer, là tu sauras ce que c'est d'avoir une bonne bite d'arabe dans le cul"  

Hey, Tipp-2, I will be attending the All Arab Boy Sale in November. Can you sell me a starter slave at a good price? I am a student and don’t have that much money.“

il s'est placé entre mes fesses et là j'ai senti son gland rentrer je la sentais rentrer tout doucement je lui disais :" doucement ça fait mal puis j'ai senti quelque chose craquer j'ai dit aïe ça fait mal j'ai dit il y a quelque chose qui a craqué". Je les ai vus rire tous les deux puis il s'est allongé sur mes fesses vu que lui était assez gros sa bite,
avec tout son poids, est rentrée beaucoup plus vite
je lui disais ça fait mal il a retiré légèrement sa bite pour me la rentrer de nouveau d'un grand coup ce qu'il m'a fait crier d'une aussi grande force je leur disais : "j'ai mal" mais ce n'était pas quelque chose d'inattendu ni qui aurait pu les arrêter. Il est resté sans bouger puis il a commencé à faire des va-et-vient je lui dis va toujours doucement ça fait mal puis il a accéléré puis ça a été des coups secs dans le cul puis je l'ai senti éjaculer je sentais ce sperme chaud dans mon cul. Tout ça était à la fois plaisant et déplaisant.
    Puis l'autre a pris sa place mais lui il m'a pris en levrette sans tenir compte que sa bite était dans le sperme de son copain. Peut-être il en était heureux même !  il m'a dit c'est comme ça que ta mère elle se fait prendre quand elle se fait enculer comme toutes les putes de françaises. Je n'ai pas été vexé comme Zidane, je me suis laissé enculer, ça a été tout le long des grands coups secs et forts dans mes arrières ; j'avais les larmes aux yeux car j'avais très mal au cul et EN MEME TEMPS  j'étais content. J'ai dit doucement j'ai mal mais une fois de plus  il ne m'a pas écouté il a terminé d'un grand coup prolongé pour éjaculer crispé sur moi j'ai senti sa bite et son sperme couler et  puis, comme fait un coiffeur satisfait de son travail,  il a retiré sa bite il m'a amené une petite glace pour regarder le trou du cul que j'avais : il était tout rouge et grand ouvert.
j'ai regardé le sperme couler de mon cul il m'a dit ce n'est pas encore terminé il nous en reste encore dans les couilles. Ils m'ont fait mettre à quatre pattes sur le bord du lit et ils mont enculé encore chacun leur tour j'avais vraiment le trou du cul en feu une fois terminé il m'a dit va te laver je sentais que j'avais un peu de mal à marcher et mes fesses glissaient l'une contre l'autre agréablement je dois dire. Pour une première ils n'avaient pas fait les choses à moitié. Ca y est j'avais le trou du cul défoncé j'avais eu ce que je voulais il m'a dit reviens demain après-midi nous serons là alors j'ai dit à demain et je suis reparti j'avais quand même un peu mal en marchant maintenant je savais ce que c'était : c'est vrai que ça fait mal la première fois

Salaam Tipp-2 Have you a boy in the upcoming All Arab Boy Sale who can service me properly? Ali, Cairo Salaam Ali, I believe I have just the boy. A young Scottish fellow named Mark. The only condition to sale is that once you tire of him, he must be...

Karim lui il baise fort et il est assez gentil mais il ne rit jamais

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en fait les hommes qu'ils m'amènent je les adore

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et maintenant j'ai un camarade de travail, Wes, il est arabe, il est beau et on couche dans la même chambre en se cachant on fera peut-être l'amour...VOUS VOUS TROMPEZ SI VOUS CROYEZ QUE JE SUIS MALHEUREUX.

     

 

Les chantiers de construction ne manquent pas par ici et même si les gars ont juste assez pour me payer ils sont quand même nombreux. 

Lui, même s'il n'est pas aussi beau, il est assez riche au contraire et il me baise à me rendre fou et toujours son petit sourire malin.

Cette vidéo ressemble assez aux moments que je vis :

  Lui, alors, avec son regard perdu, je l'aime vraiment parce qu'il est gentil. Il me dit viens chez moi je te trouverai du travail...-lol-  

 

ici du travail y en a le jour la nuit.¤ Mark

 

 


  commentaire :

 

un joli cul fait pour ça  !

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Par MARK - Publié dans : ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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