Marisol Touraine choquée par une fresque paillarde...

d'où nous sortent-ils depuis quelques années ces "élus", ces "élites"moyennâgeu(ses)x frileu(ses)x d'un côté, incendiaires de l'autre, chevaliers de la bienpensance de Paris qui veulent brûler les putes et leurs clients, faire effacer les pubs qui leur déplaisent, régner sur le net et y faire fleurir la censure, fille de la Grande Faucheuse . Oui, D'où ???      

oui, Charlie est bien mort

la loi santé ? prends-toi la bien profond, tout comme la loi travail....! tout comme la loi sur la prostitution et....

"Marisol Touraine choquée par une fresque paillarde

Marisol Touraine (Crédits : tendencies Creative Commons)

Marisol Touraine ne comprend pas l’humour des étudiants en médecine. Et part en guerre contre des dessins.

Par Phoebe Ann Moses Contrepoints

 "ah non! cachez-moi ça! "oh les vilains canaillous !

La salle de l’internat du CHU de Clermont-Ferrand est décorée d’une fresque représentant cinq super-héros en version porno. Suivant l’actualité, elle a été agrémentée récemment de bulles de BD mettant en cause la loi de santé. Marisol Touraine, choquée, va demander qu’elle soit effacée : « L’esprit carabin ne peut justifier une telle démarche », et prétexte que cela ferait l’apologie du viol, ce que dénonce également Laurence Rossignol, secrétaire d’État.

D’abord cette fresque, sans les bulles (qui redisons-le ont été ajoutées récemment) ne représente pas clairement un viol, plutôt une scène de « débauche assumée » entre super-héros. Les bulles ajoutées donnent certes un ton plus agressif à la scène, mais pas plus dérangeant que bien des couvertures de Charlie Hebdo.

Puisqu’en France il semblerait qu’on soit désormais d’ardents défenseurs de la liberté, voici la fresque en question (attention pour lecteur averti adepte de la liberté d’expression) :

Si tout le monde s’accorde sur le goût douteux de la peinture, il faudra néanmoins que Marisol Touraine révise un petit peu l’histoire de l’humour paillard des carabins avant de l’interdire sans façon.

Il arrive en effet que les étudiants en médecine, lors de soirées où l’alcool n’est pas consommé avec modération, chantent des chansons paillardes et même – horreur – montrent leurs fesses. Ces excès ont une origine historique.

On admet dans le milieu médical que la grivoiserie, et même la grossièreté permettent d’alléger une pratique souvent difficile. En résumant beaucoup, cela donne ceci : la plus petite erreur dans ce métier peut vite tourner au drame. C’est pourtant une pression quotidienne.

Annoncer à quelqu’un qu’il va mourir est une expérience qui n’est vécue que dans ce corps de métier. Disséquer un corps, ou plus tard, explorer le corps et même l’intérieur du corps, suppose de dépasser des tas de complexes personnels, une éducation, des principes. On ne peut plus avoir de la pudeur face au corps qu’on examine.

Le médecin est la seule personne devant qui on se met nu quand il le demande, ce qui traduit parfaitement que c’est la seule personne qui regarde notre corps sans arrière-pensée. On ne se met pas nu à la demande lorsqu’on va chercher le pain, ou devant son garagiste ou lorsqu’on appelle le plombier (enfin ça dépend du contexte…). En clair, tous les tabous inculqués doivent tomber dans le cadre d’une consultation médicale. C’est la raison d’être de cet humour qui peut paraître déplacé.

Si Marisol Touraine se dit choquée, c’est qu’elle est peut-être sous l’influence de l’association « Osez le Féminisme », qui essaie visiblement de faire une interprétation fallacieuse de la peinture : « Les bulles ajoutées sur la fresque sembleraient indiquer que la femme violée, habillée en Wonder Woman, symbolise à leurs yeux (c’est-à-dire les médecins) la ministre de la Santé. C’est une menace misogyne en sa direction ».

Il pourra facilement être démontré que la fresque existait bien avant que Marisol Touraine fasse la une de l’actualité :

Salle des internes il y a quelques mois.

 

On pourrait aussi expliquer qu’il est assez fréquent que les salles de gardes ou les locaux réservés aux étudiants en médecine soient décorés de motifs obscènes, que cela a même fait l’objet de plusieurs ouvrages fort bien documentés¹, mais voilà pour cela il faudrait le minimum de culture que cette ministre en particulier (mais elle n’est pas la seule) n’a pas.

Mais cela ne suffira probablement pas aux censeurs de tous ordres, Conseil de l’Ordre des médecins, hommes politiques, CHU de Clermont-Ferrand, qui par des communiqués de vierges effarouchées ont tous en chœur condamné fermement cette « affaire inacceptable » (CNOM). Des poursuites seront même engagées contre les auteurs des « ces agissements inacceptables » (CHU). Bruno Leroux dit « stop aux dérapages » et EELV parle de « dérapage grossier, sexiste et infâmant ».

Il est déjà loin Charlie.

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changement ? => une furie sera-t-elle remplacée par une autre furie ? Marre des furies qui font la loi en France !

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  commentaire : "  toutes les histoires gay comme elle d'Alex  ne sont pas des happy ends d'une violence consentie"

    in a bus,  gay fuck...insecurity...sex !

  tous les jours des agressions...mais l'appel du sexe est le plus fort... 

      ambiance !

Je m'appelle Alex, j'ai 25 ans je suis homo, mais j'espère toujours que ça ne se voie pas ! Un jour que j'allais chez un pote, je pris le bus pour allez chez lui, comme les bus sont peu nombreux par chez-nous,  je décidai de prendre le plus tôt celui de 7h30 ce qui me faisait arriver a 8h chez lui.

Je programmai mon réveil pour 6h afin de me préparer pour voir mon pote : toilette/douche + lavement de mon cul.
Je choisis mes affaires et décidai d'y aller sans slip sous le survêt
Je me rendis à l'arrêt des bus et attendis qu'il arrive. Je le vois qui approche et fait un crochet afin de laisser passer les voitures.

Je monte, présente mon ticket à la machine dis bonjour au chauffeur et vois qu'il y a déjà 3 mecs au fond du bus. Je m'assieds au milieu et le bus part, puis un des 3 mecs vient me voir et me dit

-" salut
- salut
- t'es PD ?"

À cette question je le regardai en disant non et il me reposa insolemment la même question 

- "t'es PD ?" avec insistance
- "non !"répondis-je résolument 

Alors, il mit sa main sur son paquet sous le regard attentif de ses potes qui attendaient de voir ma réaction. Je ne pus m'empêcher de regarder ce qu'il faisait et me mis a bander sous mon survêt. N'ayant pas de slip ça s'est vu  de suite et le mec s'en est aperçu.

- Alors PD ça t'excite que je me caresse ? Viens avec moi au fond du bus mes potes ont de belles queues pour toi !

Voyant mon refus il me prit de force par les bras et m'emmena au fond du bus. Pendant le petit trajet je sentais qu'il se collait à moi et me faisait sentir sa queue bien raide.
Le chauffeur n'osa pas broncher, car, je le compris, il avait une peur bleue de se faire tabasser.

Il me fit asseoir entre ses potes et là je ne pouvais pas bouger, celui qui m'avait délogé de ma place était resté debout face à moi.
Étant assis, j'étais à la bonne hauteur pour le sucer. Il dit à ses potes:

- j'amène une bonne pédale en chaleur, ça l'a excité quand je me suis caressé la queue ça l'a fait bander, il doit être en manque alors ont va lui donner de la queue.

- ouais, tu vas t'en prendre plein le fion pédale, en attendant suce mon pote.

Celui qui était resté debout, sortit sa queue du survêt et me la présenta en semi-érection. Voyant que je refusais, on me força à la sucer.

Evitant de se tourner, le chauffeur ne broncha pas et resta à son poste pendant que celui que je suçais était en train de prendre son pied.  Ses exclamations s'entendaient dans tout le bus, mais y avait personne.

- Ouais suce...continue sale pédale t'aimes la queue toi...hum ouais continue. Putain les mecs, à vous  c'est une bonne pute !  

    Les bites se précipitèrent vers ma bouche.

- ouais salope, vas-y tu vas avaler mon foutre... hum ouiiii vas y putain

Sur ses mots ils me maintenaient la tête pour que j'évite de me dégager, je dus avaler tout le jus du premier. 

- putain t'es une bonne suceuse toi tu va t'en prendre plein la gueule et avale ou je défonce ta petite gueule de pute que t'es !

Son pote me maintenait la tête et me jouit dans la gueule et j'ai dû de nouveau avaler, idem pour le troisième qui a mis quelques minutes pour me remplir le gosier.

- bien, retourne-toi pute et montre ton cul de lope
- J’vais m'occuper de ton cul et le bourrer et laisse toi faire ou je te serre les couilles.

Je me retournai et lui présentai mon cul.

- enlève ce  survêt j'veux voir ton cul de lope

Il enleva mon survêt et découvrit mon cul poilu, mais, bien ouvert. Il entra deux doigts dans mon fion et me dit :-" t'aimes ça salope, tu te fais enculer bien souvent à en juger par la largeur de ton trou, t'es un garage a bites t'aimes te faire défoncer sans capote toi",me dit-il en me flattant les fesses.

Il regarda ses potes retira ses doigts et mit d'un coup sec sa belle queue.

Il entendit mes gémissements, il ne pouvait que voir que je kiffais grave sa bite dans mon cul.

- Putain il aime ça les mecs, tu vas te la prendre entière et après tu te prendras ceux de mes potes salope !
- "ouais, en attendant suce-moi" me dit un des deux mecs qui regardait la scène  

— Hum trop top ton cul tu as déjà pris deux bites à la fois dedans ?

Il regardait son pote et se retira de mon cul, il fit lever celui que je suçais afin de s'allonger sur la banquette. Il vit que je venais de moi-même m'asseoir sur sa queue.

— "t'aimes ma queue putain attends, la seconde arrive et pendant que tu te fais enculer tu suces mon pote compris ?
— compris, je répondis".

Il s'approcha la queue bien raide et me pénétra, ce qui m'arracha un cri de douleur. Les deux bites dans mon cul faisaient a elles deux réunies au moins 10 cm de diamètre.

Ils voyaient que j'avais mal et s'en moquaient royalement, ça les faisait rigoler, alors le 3e mec s'approcha et me présenta sa queue d'une aussi bonne taille que les deux autres.

— "vas y suce le bien et n'oublie pas d'avaler comme t'aimes ça.
— ouais il aime la bonne teub en tout cas fit un de mes enculeurs.
— c'est une bonne pute, un trou a bite !
— un garage a bites qui va aimer se faire défoncer.
— vas-y putain suce le et je veux que tu jouisses, ou je m'occuperais de te faire jouir avec mes potes".

Le second mec qui m'enculait finit par me remplir le cul de sa semence toute chaude, le sucé en fit autant dans ma gueule en maintenant ma tête. Celui qui m'avait dragué, m'encula encore quelques minutes et déchargea son foutre dans mon cul.

— "ça c'est une bonne lope un trou a bite.
— maintenant que tu t'es bien fait enculer, branle-toi
    Mais un de ses potes dit —"non j'ai une meilleure idée"

    Interloqué, l'autre le regardait  il s'approcha de son pote pendant que le dernier me tenait

     Là, maintenant ils m'enculaient debout en branlant ma queue
— " ça va te forcer à jouir tu pourras pas dire que tu étais pas consentant" 

L'un deux alla a l'avant voir le chauffeur de bus et le trouva en train de se caresser sa queue.
Ça le fit rigoler et il l'invita à participer. Le chauffeur, s'arrêta sur une aire de repos et vint nous rejoindre la queue à l'air au fond de son car, les autres mecs voyant que le chauffeur n'avait pas encore joui décidèrent de me mettre à genoux sans commentaire et me forcèrent a gober sa belle queue bien raide avec des veines gonflées à bloc, prêt a juter.

Je l'avais à peine sucé qu'il jouit dans ma bouche. Mais, l'un d'eux remarqua que je bandais toujours et ils me firent lever, descendre du bus a poil, y avait personne dans ce coin de l'aire de repos. On  me mit les mains contre le bus cul et ils m'enculèrent de nouveau en présence du chauffeur qui désormais était complice d'un viol et devait se la fermer.

   
— "ouais je vais te faire jouir mec"
— donne-moi ton cul... putain il a du foutre qui lui dégouline du cul
— Ça servira de lubrifiant !"  ils riaient tous et moi la peur de recevoir des coups m'avait un peu quitté.Ce viol collectif devenait une aubaine. Moi qui passe partout sans me faire remarquer, je me demandais à quoi ils avaient vu que j'étais PD.  

Sur ces mots il m'encula, prit ma queue dans sa main et me la  branla sous le regard attentif et curieux des autres. Je ne mis pas longtemps à jouir et l'enculeur non plus. Le second m'encula aussi et me branla ce qui me fit jouir de nouveau pendant que l'autre me remplissait le cul. Les 3e et 4e firent la même chose et à la fin j'avais les couilles vides et eux aussi.

Ont remonta dans le bus, je me suis rhabillé avec le foutre qui dégoulinait de mon cul et l'un d'eux s'approcha de moi et me fila son numéro de  tel portable.

—" tiens j' te file mon tel si jamais tu veux qu'on recommence appelle moi et je viens te chercher.
— en tout cas t'est une bonne pute toi, un conseil ne va pas voir les keufs ou là je te défonce avec tous mes potes dans un squat connu de nous sans boire, ni manger".

Il me doigta le cul et vit que j'étais bien ouvert et me regarda en souriant.

— t'as aimé en tout cas, non ?
— je lui répondis sans lui mentir : OH OUICH...
— t'es une vraie chienne, un garage a bite petite pute".

On arriva à destination et eux montèrent dans leur voiture. J'avais du mal à marcher, car ça se comprend, mon cul me faisait mal, de plus ça dégoulinait pendant que je marchais. Une voiture s'arrêta et c'était les 3 mecs, il me dit monte a l'arrière et je lui dis :

— "ok mais je veux vous sucer l'un après l'autre et me faire enculer profond !
— aucun problème ma pute" mais, comme ça dégoulinait il regarda son pote et il mit une serviette sur le siège.

L'autre sourit et celui de devant passa à l'arrière et pendant qu'il me doigtait je me suis penché pour sucer la queue de mon voisin. Il ne tarda pas à larguer son foutre alors je me suis occupé de l'autre.

— "Karim (le conducteur) trouve un endroit ! faut que je me l'encule encore ! "

Karim ne mit pas longtemps à trouver un endroit discret, il prit un chemin qui menait dans une forêt. Il s'arrêta et on descendit tous de la voiture. Karim vint vers moi et m'embrassa pendant qu'il caressait mes couilles. Les autres furent surpris. Puis il me dit

     "fous toi à poil et suce-moi, mets-toi a quatre pattes"

Il regarda son pote qui comprit et m'encula sans un mot. Je retirai ma tête de sa queue et lui dis : —enculez moi à deux, et je suce ton pote''.

Il me regarda et me dit :

— "ok sale chienne tu en en veux t'en auras", Karim s'allongea sur la banquette et je me place sur sa queue pendant que l'autre vint me pénétrer et je suçais celui qui m'avait déjà enculé de cette façon dans le bus.
Après cette journée très hot, car je fus baisé dans tous les sens et il s'étaient se sont vidé les couilles dans mon cul et, sans avoir à me maintenir cette fois, ils m'ont à nouveau branlé debout en pleine forêt.
À ce moment un passant âgé d'une vingtaine d'années nous regarda surtout moi qui étais à poil une queue dans mon cul et en train de me faire branler.
Karim l'invita à participer, mais, apeuré, il refusa et partit, mais, j'avais vu que ça l'intéressait. Dommage, je pensai ! C'est vous dire si j'étais je suis cho à mon habitude !

Il m'ont ensuite ramené chez moi. Ça craignait qu'ils aient mon adresse mais je me suis rassuré car au fond ils sont gentils et ils aiment ce que j'aime.  

Celui qui menait la bande  me fila son numéro en me mettant la main au cul et me dit de l'appeler demain et de prévoir des vêtements de rechange.
J'ai fait un signe approbateur de la tête, il sourit et me traita de tous les noms, garage a bite, trou a bite, suceuse, chienne, pute pour mec, etc.

— Si t'appelles demain, amène-toi sans slip et, mets ton plug dans le cul et on te baisera comme t'aimes
— je t'appelle
— OK à demain chienne

Puis ils partirent heureux en rigolant.
Moi, une fois chez moi je pris une douche , (je me suis branlé dans la douche en repensant à tout ça).
Après avoir enfilé des vêtements secs, je me suis allongé et je regardais la télé tranquille quand retentit la sonnette.

Intrigué, je mis ma robe de chambre et je regardai par le judas, quelle ne fut pas ma surprise en voyant Karim qui attendait. J'ouvris et il m'expliqua qu'il n'avait aucun endroit pour dormir et me demanda si je pouvais l'héberger.

— Il y a qu'une chambre et qu'un lit si tu veux tu dors avec moi ?
— Il sourit et me dit en plissant les yeux de rire; " t'en as pas eu assez aujourd'hui ?
— je lui dis que non
— t'es ouf ! t'es vraiment une pute toi t'es insatiable, t'as faim de queue et de foutre ?
— oui Karim j'ai faim

Il retira ma robe de chambre et vit que je bandais il me regarda et sourit

— "hum en effet t'en as encore envie salope ! "

je lui caressais les couilles à travers son survêt et il banda de suite

— "t'es en chaleur toi, viens on passe dans ta chambre
— t'as des cordes ?
— oui dans l'armoire"

il me dit d'aller dans la chambre et me trouva sur mon lit. Ma queue était bien raide et utilisa les cordes pour m'attacher les mains puis leva mes jambes et les attacha aussi.
Dans cette position mon cul s'offrait sans défense à une bite qui commençait à bander ferme. (mais à quoi bon quand on est d'accord ?) 

Il la libéra de sa prison et me la fit sucer puis m'encula à fond sans ménagement.
Au bout d'un certain temps il me jouit dans le fion et resta un long moment. J'aimais ça .
Il prit ma queue en me laissant dans cette position et me suça, rien qu'à la vibration il sentit que j'allais jouir, alors il se retira et me branla jusqu'à la jouissance.
Mon sperme atterrit sur mon torse. Puis il me détacha et dit "on va  dormir".

— "t'es une bonne pute toi, t'aimes te faire fourrer bien profond... t'aimes la bite de reubeu... allez dors bien, sac a foutre !
— toi aussi mon enculeur dors bien !
— merci demain on remet ça
— OK

Et on dormit l'un contre l'autre...

   Karim. Pas l'épaisseur d'un papier à cigarette entre la chair de sa queue et la chair de mon conduit forcé, serré et soudé à sa "viande".