lle mari regarde     le mari participe

 

     

 

"Mon mari m'a dit qu'il voulait que je fasse l'amour avec d'autres hommes."Il y a une petite population d'hommes et de couples qui s'engagent dans des relations «cocu».

En tant que sexologue, j'ai entendu cela plus souvent que vous ne le pensez. Il y a une petite population d'hommes et de couples qui s'engagent dans des relations «cocu».

Le terme cocu est apparu dans la littérature anglaise en 1562. Cuckold se réfère au fait que l'homme cocu était le dernier à connaître l'infidélité de sa femme. Cela fait également référence à une tradition qui prétend que dans les villages d'Europe, la communauté se rassemblerait pour humilier collectivement un homme dont la femme a donné naissance à un enfant qui n'était pas le sien. Selon cette horrible tradition, un défilé nommé "charivari" avait      lieu dans lequel le mari malheureux était forcé de porter des bois sur sa tête comme un symbole de l'infidélité de sa femme.

Le terme cocu dans les temps modernes s'est transformé en ce que certains appellent un fétiche sexuel, ou pour certains couples, un style de vie. En tant que sexologue clinicien et conseiller d'intimité travaillant avec des clients dans des relations cocues, j'ai observé que la pratique est généralement dirigée par des hommes, et non quelque chose comme l'humiliation indésirable du passé. Avec les couples que je conseille, le mari éprouve un plaisir sexuel à regarder sa femme faire l'amour avec d'autres hommes. Le rôle de «victime» du mari est définitivement un élément majeur de la perversion. Dans la sous-culture de cocu fétiche, la femme est généralement représentée comme étant sexuellement dominante tandis que l'homme assume un rôle de soumission, ne s'impliquant avec son amant que quand elle le permet - restant parfois complètement célibataire dans le mariage. L'un des principaux ingrédients du mariage cocu est la pratique de l'humiliation, et la libération sexuelle du mari doit être suspendue jusqu'à ce que sa femme décide de l'autoriser à prendre une part active.
     
Dans certains mariages, le mari peut même porter une ceinture de chasteté masculine pour que sa femme contrôle son orgasme, jouant le fantasme qu'il n'est pas capable de le contrôler lui-même. Une partie du jeu sexuel est aussi la comparaison de la taille du pénis, et l'humiliation de ne pas avoir un pénis assez grand pour lui donner pleine jouissance de la pénétration.
      
 Le concept de cocu est souvent confondu avec  le polyamour, genre ménage à trois, mais le cocuage c'est différent. Pour la plupart des hommes qui veulent que leurs femmes se joignent à eux dans une relation cocu, il prend l'initiative de faire pratiquer au couple des activités sexuelles, à trois. En effet, la majorité des hommes qui aiment le style de vie cocu ont une forme de dysfonction sexuelle. Ils sentent qu'ils ne peuvent pas faire plaisir à leurs femmes sexuellement, alors ils veulent qu'un autre homme le fasse pour eux. Ils sont également obsédés par la taille de leur propre pénis en comparaison avec d'autres hommes. Ils estiment que leur pénis est trop petit pour plaire à leur femme, peu importe si c'est vrai ou non.

Souvent, parce qu'ils ne sont pas sûrs de la taille de leur pénis ou de leur performance sexuelle, ils commencent à rêver d'une relation cocu.

 Certains hommes ont même rapporté qu'après avoir eu une relation antérieure avec une femme qui les trompait, au lieu de se fâcher, ils ont constaté que l'idée les avait excités. Certains experts pourraient dire qu'une partie de ce sentiment d'une profonde blessure est transformé en un fétiche sexuel. Ainsi, l'homme pense qu'elle le tromper ou  le trompe vraiment, à cause de son petit pénis ou de son échec à lui plaire et à la faire jouir. Pressés de questions par les sexologues beaucoup d'hommes admettent qu'ils ont eux-mêmes créé et perpétué l'idée dans la tête de leur femme afin qu'elle sorte et triche. Est-ce l'oeuf ou la poule qui était en premier ? -lol- ? C'est compliqué, ce qui explique en partie pourquoi le cocufiage a été désigné comme un fétiche utile à la réalisation du plaisir sexuel.

Un autre aspect de ce fétiche est la domination sexuelle et la punition de l'épouse. Elle peut le fesser ou le fouetter et lui faire honte pour le manque d'accomplissement de son désir sexuel. Cela peut devenir une partie du jeu sexuel dans la vie du couple ou cela peut devenir un mode de vie pour le couple, en fonction du degré de cocufaction dans le mariage.

Pour un homme qui est déjà marié et veut que sa femme s'engage dans ce fétiche avec lui, cela ne finit généralement pas bien. La plupart des femmes ne comprennent pas pourquoi leur mari voudrait qu'un autre homme ait des rapports sexuels avec elles, alors la communication et l'intimité s'effondrent. De temps en temps, une femme va de pair avec cette relation-cocu pour faire plaisir à son mari et / ou parce qu'elle a un esprit ouvert et un esprit aventureux. À un moment donné cependant, le résultat final de ce comportement est qu'elle tombe amoureuse de l'autre homme, ou se rend compte qu'elle n'est pas d'accord avec ce fantasme du tout, et nourrit en fait le ressentiment envers son mari. Les quelques relations qui ont eu un certain succès avec le cocu sont celles où le mari et la femme étaient intéressés par le concept avant le mariage*, et ont établi des limites avec une communication claire à l'avance incluant voyeurisme même poussé, masturbation de l'époux, nymphomanie de l'épouse, bisexualité ou homosexualité du mari tant qu'on reste dans le schéma "une femme avec deux hommes". Ca devient différent avec le schéma deux femmes et un homme, mais ceci est une autre histoire. ¤ 

  * pour des conventions préalables au mariage voir Biscuit et sa compagne d'Avignon et leur site bisex5SITE FRAN9AIS°    

 

Dr. Dawn Michael

http://www.thehappyspouse.com

Le Dr Dawn Michael a des antécédents divers ainsi que de la formation dans divers domaines. En tant qu'étudiante de premier cycle en communication verbale, Dawn a organisé, au niveau national USA pour l'équipe de discours et de débats pendant trois ans et elle a dirigé le débat collégial pendant un an. L'art de la communication est un aspect important de toute profession, en particulier celui qui consiste à aider les autres à communiquer plus efficacement. Le Dr Michael a ensuite obtenu sa maîtrise M. A. en conseil familial en mariage tout en travaillant dans son entreprise familiale en tant que designer d'intérieur et entrepreneur agréé. Dawn a fait son internat dans un hôpital psychiatrique, une conseillère en détournement de médicaments et une conseillère matrimoniale pour compléter ses 3000 heures cliniques. Utilisant ses antécédents en matière de communication et de conseil en matière de mariage, elle a mis au point des cours et des ateliers d'enseignement en design d'intérieur pour couples pendant 10 ans. Elle a publié plusieurs centaines d'articles dans des magazines, des sites Web et est devenue l'examinatrice de L.A. Love and Marriage où elle continue d'écrire des articles aujourd'hui. Au fur et à mesure que son auditoire grandissait, il devint clair pour elle que de nombreux couples avaient des problèmes d'intimité. Dawn est retournée à l'université et a obtenu son doctorat en sexualité humaine de l'Institut des études avancées en sexualité humaine et un membre certifié de l'ACS. Le Dr Michael continue de travailler avec des couples et des particuliers en pratique privée, tout en continuant à s'intéresser à l'enseignement, à l'écriture, à l'enseignement et au développement de systèmes dans les domaines de la sexualité, de la psychologie, des communications et des relations

je ne sais pas si ça vous est arrivé, mais moi qui suis surtout"entre garçons", un jour un gars pas tellement monté, disons-le, avait du mal à me prendre tout en me désirant très fort. Je l'ai câliné pour le consoler de son échec  en lui disant : " c'est pas grave, ça arrive à des gens très bien...tu vas rebander..."

Vrai ou faux le gars m'a dit textuellement : "c'est la faute à ma soeur , elle arrête pas de me sucer et boire mon jus. Je lui ai dit que j'avais RV et d'arrêter. Elle m'a séché les couilles malgré moi ...je suis venu quand même...c'est à toi de me baiser, moi là je peux pas". Ca m'étonnait bien sûr mais c'était loin d'être impossible !

...Pour t’aider bien sûr, entre frère et sœur on peut s’aider non ?

— Oui mais là tu ne peux rien y faire !

— Laisse-moi en décider et voir, si je peux faire quoi que ce soit, j’aimerais te faire plaisir !

— Oui ? Alors laisse-moi en paix car mon problème ne regarde pas ma sœur !

Bertrand se lève et rejoint sa chambre, la première partie du plan d’Alice marche à merveille, elle peut aller dans la chambre de son frère et faire semblant de continuer cette conversation.

C’est ce qu’elle fait bien sûr, elle tape à la porte et entre, il est couché dans son lit et n’a juste que le drap sur lui mais elle peut voir sa formidable verge qui pousse le drap, elle l’a mis en appétit et c’est ce qu’elle voulait.

Il suffit pour elle de continuer son travail de sape et dans quelques minutes elle aura son frère dans son ventre.

— Bertrand mon chéri parle moi enfin, ne reste pas seul si tu as un gros problème, tu peux tout me dire !

Elle est venue s’asseoir sur le lit sa main sur la poitrine de son frère.

— Bertrand ! Ne sois pas sot allons dis-moi !

— Je ne peux pas Alice et tu ne voudrais sûrement pas que je t’en parle si tu savais !

Elle s’allonge contre son frère et lui câline le torse sa bouche contre sa joue, le souffle chaud et parfumé d’Alice caressent la joue de Bertrand.

— Dis-moi petit frère, je te promets de ne pas me moquer de toi !

— Tu veux savoir et bien j’ai un trop gros sexe et quand je bande, je n’arrive plus à débander, même si j’éjacule et il faut que je me branle plusieurs fois de suite, voilà ! 

— Un trop gros sexe cela n’existe pas voyons, tu me fais voir, je te dirai !

Bertrand soulève le drap et montre son énorme verge de presque 30 cm et plus de 6 d’épaisseur à sa sœur.

Elle a les yeux hors de la tête, devant elle se dresse un pal de chair d’une dimension exceptionnelle.

— Mon dieu mon chéri, tu es comme un âne ! Tu as mal ?

— Oui car tu m’as fait bander toute la soirée à me montrer ta minette !

— Tu bandes pour moi ?

— Oui et depuis longtemps, je voudrais bien te le dire mais j’ai peur que tu me repousses !

— Tu aimerais que je te caresse pour que tu aies moins mal mon chéri !

— Oh! Oui tu voudrais bien faire ça ?

— Tu peux faire avec moi ce que tu veux mon chéri, je serai ta femelle, je ta chatte, ton vide couille, laisse moi te montrer comme je t’aime !

— Montre-moi, tu voudrais que je te prenne avec ?

— Ho que oui et le plus possible !

Elle branle son frère, elle a besoin des deux mains et quand elle le prend dans sa bouche, elle est obligée de distendre sa mâchoire pour y faire entrer ce gland énorme.

— Lèche-moi la chatte mon amour, caresse-moi les seins, mets tes doigts dans ma vulve et prépare moi bien pour ta magnifique bite, je te veux dans ma chatte, fais moi ce que tu voudras, je veux te sentir en moi !

Bertrand fait ce que sa sœur lui demande, il lèche la chatte, caresse le clitoris de ses doigts et enfonce ses doigts dans son vagin.

— Viens, viens t’enfoncer dans ma fente, défonce-moi avec ta grosse bite !

Elle est sur le dos, ses jambes relevées sur sa poitrine, il présente son gland démesuré à l’entrée de la grotte secrète et bien que le nombre de bites qui sont entrées dans cette moule soit incalculable, le gland distend tellement la fente qu’Alice crie sa douleur, son frère est en train de lui exploser le vagin, elle souffle très fort et tente de se décontracter, il la prend par les hanches et s’enfonce en elle, dévastant les muqueuses du vagin et se dépucelant lui-même EN MEME TEMPS -lol-.

Un cri horrible est sorti de la bouche de sa sœur quand il a touché le fond de son vagin, elle vient de se faire exploser la chatte et cette fois-ci c’est sûr elle est  dépucelée pour les engins hors norme !

— Attends Bertrand, mon amour, attends un peu, là j’ai trop mal, laisse moi m’habituer à ta bite, elle es si grosse, tu viens de me dépuceler pour toujours, après ça n’importe qui pourra rentrer dans ma chatte !

— L’autre soir je t’ai vue au bord de la piscine te faire mettre par tous les garçons, alors tu dois avoir l’habitude non ?

— Pas avec une aussi grosse bite que la  tienne, tu es le premier que je voie monté comme toi, mais je sais que ça va être bon, baise-moi, baise-moi longtemps !

Bertrand est obligé de poser une main en appui sur le ventre de sa sœur pour pouvoir ressortir sa verge et éviter de la soulever.

Il la pistonne ainsi, Alice crie sa jouissance comme une malade, son frère la fait jouir comme personne avant et la ramone comme jamais personne ne l’a ramonée, s’enfonçant jusqu'à buter au fond de son utérus, il y a plus de ½ heure qu’il est en elle, elle ne sait plus si c’est son ventre qui explose sa chatte qui s’écarte ou sa tête qui divague mais il lui semble que cette bite a encore grossi.

— Je vais jouir ma chérie, je vais te jouir dans la fente, je viens, je viens ! quel bonheur !

Elle ne l’entend même pas il y a longtemps que sa tête est partie dans les nuages et qu’elle râle, elle ne jouit plus elle est la jouissance, elle ne le sent plus il fait partie d’elle, il est soudé à sa chatte et la défonce, jamais elle n’aurait cru cela possible, elle qui adore se faire mettre, elle éprouve une jouissance aussi intense que dévastatrice, sa chatte n’est que plaisir, son ventre accepte ce pieu et en redemande.

Il l’emplit de sperme chaud, les jets viennent butter au fond de son ventre, il l’emplit comme un jet d’eau emplit un bassin, elle ne sait plus ou elle est, le bruit de ventouse de l’énorme pieu et de sa fente emplit la chambre.

Il n’a pas débandé bien sûr, il est toujours en elle et continue à la faire jouir, encore et encore.

— Arrête Bertrand mon amour, arrête, je n’en peux plus, c’est trop je vais mourir !

Il sort enfin de sa sœur, le pieu toujours dressé, elle met quelques instant à reprendre ses esprits et le branle des deux mains.

— Je vais te refaire jouir mon amour mais ma chatte n’en peut plus pour le moment, il te faudrait au moins trois filles, si j’avais su j’aurais demandé à Corinne de rester, je te ferai baiser toutes les filles que tu veux mon amour il faut que ta bite serve le plus possible, comme ça quand tu me baiseras, tu seras moins en manque mon chéri !

— J’ai encore envie Alice, branle-moi plus vite, oui comme ça, encore je vais jouir, oui je viens !

Elle se penche sur la bite et suce le gland, elle veut du sperme dans sa bouche, c’est incroyable la quantité qu’il lui déverse dans la bouche, elle en a partout, le sperme coule sur sa poitrine, elle vient d’en avaler une quantité énorme et il en sort toujours, ses grosses couilles ne sont pas encore vides.

Il ne débande toujours pas, il est aussi ferme que la première fois, elle adore se faire prendre le cul mais cet engin entrera-t-il en elle, il va lui exploser la rondelle mais elle en a envie et cette idée lui tient à coeur.

Bertrand est sur le dos, la verge fièrement dressée, sa sœur à califourchon sur son pieu, elle le dirige dans son anus qu’il a dilaté de ses doigts et de sa langue, il a réussi à enfoncer quatre doigts dans ce trou et l’a dilatée au possible mais quand le gland s’enfonce en elle, les larmes coulent sur les joues d’Alice.

Il est dans le ventre de sa sœur, elle pleure de douleur mais le garde en elle, il lui semble subir un supplice, le supplice du pal, elle qui adore se faire enculer, ce n’est plus du plaisir, ce mal c’est du pur bonheur, mais c’est en même temps horrible de souffrance, elle attend que la douleur s’estompe, son cul est plein, elle sent le pieu dans son ventre, elle monte et descend, il entre de mieux en mieux, sa rondelle se dilate autour de la chair de son frère, enfin elle prend son plaisir.

Il explose après de longues minutes de sodomie, il vient en, un soir de se dépuceler, de faire l’amour à sa sœur et de l’enculer.

— Mon amour, mon amour, je t’aime, tu es le meilleurs de tous, demain tu baiseras Corinne à deux tu pourras prendre ton pied autant que tu voudras et s’il en faut une autre je ferais venir d’autres filles mon amour !

— Il y en a une plus que tout avec qui j’aimerais faire l’amour, je te le dirais un jour et tu m’aideras !

Si l’on veut faire une suite ici tout est possible bien sûr, on peut même changer des chapitres de cette histoire pour qu’elle soit plus longue, broder sur certains épisodes et d'un en faire plusieurs mais ici ce n’est qu’un prototype à savoir si cela plaît ou non.

Sur une idée de 28par7, Barbebleue

Merci de me lire

commentaire :

quand ça ne sera plus scandaleux de s'unir à trois et + 

putain les meufs, les mecs profitons dès aujourd'hui : la vie est courte !

tous les karaokés de ce morceau ont été interdits par les producteurs de showbiz...y a plus que celui-là sur le net  

 ci-dessous faisons les vivre !

Jules et Jim,1962, chef d'œuvre romanesque du François Truffaut de la Nouvelle Vague, Jules et Jim , d'après le livre de Henri-Pierre Roché.  

Oskar Werner et Henri Serre entourent une Jeanne Moreau rayonnante. Musique vive et prenante de Georges Delerue.

quand ça ne sera plus scandaleux de s'unir à trois et +

Elle avait des bagues à chaque doigt
Des tas de bracelets autour des poignets
Et puis elle chantait avec une voix
Qui, sitôt, m'enjôla

Elle avait des yeux, des yeux d'opale
Qui m'fascinaient, qui m'fascinaient
Y avait l'ovale de son visage pâle
De femme fatale qui m'fut fatal
De femme fatale qui m'fut fatal

On s'est connus, on s'est reconnus
On s'est perdus de vue, on s'est r'perdus d'vue
On s'est retrouvés, on s'est réchauffés
Puis on s'est séparés

Chacun pour soi est reparti
Dans l'tourbillon de la vie
Je l'ai revue un soir, aïe, aïe, aïe!
Ça fait déjà un fameux bail
Ça fait déjà un fameux bail

Au son des banjos je l'ai reconnu
Ce curieux sourire qui m'avait tant plu
Sa voix si fatale, son beau visage pâle
M'émurent plus que jamais

Je me suis soûlé en l'écoutant
L'alcool fait oublier le temps
Je me suis réveillé en sentant
Des baisers sur mon front brûlant
Des baisers sur mon front brûlant

On s'est connus, on s'est reconnus
On s'est perdus de vue, on s'est r'perdus de vue
On s'est retrouvés, on s'est séparés
Puis on s'est réchauffés

Chacun pour soi est reparti
Dans l'tourbillon de la vie
Je l'ai revue un soir ah là là
Elle est retombée dans mes bras
Elle est retombée dans mes bras

Quand on s'est connus
Quand on s'est reconnus
Pourquoi s'perdre de vue
Se reperdre de vue?
Quand on s'est retrouvés
Quand on s'est réchauffés
Pourquoi se séparer?

Alors tous deux, on est repartis
Dans l'tourbillon de la vie
On a continué à tourner
Tous les deux enlacés
Tous les deux enlacés
Tous les deux enlacés

et moi ? vous n'en parlez pas ?

<j'ai trois pères !

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