Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
un site-frère que cavaillongay vous recommande, il y a des photos....hummmmhhhhhh que cavaillongay ne publie pas
SITE OBLENU SUR LA RECHERCHE GOOGLE" récit gay ma grognasse de femme" http://ma-zone-gay.erog.fr/
"- Oui comme ça, tu me fais du bien mon mignon ! Dire que ma femme elle veut même pas en entendre parler la grognasse !"
1.Il me retourne, m’écarte les cuisses et vient enfouir sa langue dans ma raie, la sensation chaude de sa langue sur ma rondelle me fait vite perdre les pédales, très vite je sais [plus] où je suis, la seule chose que j’arrive à dire c’est :"ouihhh Nique moi à fond..."
2.Tu sais mon beau me dit il, je te proposerais bien quelque chose, moi les mecs c’est pas trop mon truc
mais là je suis excité grave.
T’aurais pas envie de me sucer ? Si ! j’en suis sûr,ton regard est rivé sur ma braguette !
Je suis un peu surpris par ce que j’entends, ce dont je rêve depuis si longtemps me tombe dessus! Lui, il prend les choses en main, il descend la fermeture de son pantalon, sort
sa queue et ses couilles, se branle tout en s’approchant de moi.
-"A genoux bogoss !Suce moi bien à fond !"
J’ai sous le nez une grosse bite rouge qui sent le foutre, je la regarde deux secondes et ma bouche s’ouvre et il l’enfourne à fond, je suce ! Il me tape sur le crâne en me disant
de ranger mes dents et de bouger la langue !
" - Je vais t’apprendre à bien sucer un mâle, ma salope , les mecs en général ils sont plus doués que les meufs, elles font cela à contre coeur, les mecs eux ils savent ce qui
fait du bien aux mecs !
"- Oui comme ça, tu me fais du bien mon mignon ! Dire que ma
femme elle veut même pas en entendre parler la grognasse !"
Sans mentir ça fait au moins six mois que je me suis pas fait sucer aussi bien, à l’époque c’était déjà un homo !
Il me saisit la tête entre ses mains et me baise la bouche, ma bouche s’habitue à sa queue qui glisse au fond de ma gorge, les premiers coups j’ai cru vomir et puis je me suis
détendu et quand il s’enfonce à fond j’avale tout sans problème.
Il grogne et il gémit,
Oh oui avale bien ! C’est trop bon, bouffe moi les couilles ! Aspire les bien ! Tu me mettrais pas un coup de langue sur ma rondelle ! T’inquiète pas, elle est propre, j’ai pas
chié depuis ma douche.
J’ai déjà vu faire ça plein de fois dans les films porno, j’ai toujours trouvé ça excitant mais sale !
3.
J’attends ce moment là depuis trop longtemps : baiser avec un beau mâle ! Alors ma langue
timidement pointe vers son anus, que je léchouille, c’est salé de sa sueur, sa raie est toute humide
Oui c’est bon. Il baisse son futal et son slip et me tend son cul. C’est une merveille, il est rond et avec une petite couche de poils qui glissent dans sa raie.
J’y enfonce mon visage et me mets à lui bouffer le cul, il gémit en remuant le cul comme une salope.
Arrête-toi je vais exploser ! Fous toi à poil je vais te niquer ton petit cul de puceau.
T’as des capotes ?
J’ai ce qui faut dans ma sacoche, gel et capotes, cela le fait marrer. J’enlève mon pantalon et mon caleçon et je me met à quatre pattes, enfin je vais me faire enculer. Et je
pense à la grosseur de sa queue.
Vas-y doucement je suis vierge..
T’inquiètes, je vais être gentil avec toi. Putain je vais me faire un cul qu’a jamais servi. Merci du cadeau,tu vas voir je vais gentil avec ton petit cul, je suis pas un
salaud faut que je te fasse aimer ça sinon tu voudra plus que je te nique.
Tu vas voir après ça tu oubliera jamais la sensation d’une bite dans ton cul. Tu vois moi avec mon air de macho super baiseur, je me suis fait niquer vers 18 ans par mon parrain,
il m’a éclaté la rondelle avec sa queue de fou.
J’ai aimé ça très vite et même maintenant que je nique plutôt des meufs, j’ai le cul sensible, t’as vu quand tu m’a bouffé la rondelle comment j’aime çà. C’est sûr ma bonne femme
elle comprendrait pas cela. Allez laisse faire le pro.
Retourne toi je vais te baiser comme une femelle, je veux te voir prendre ton pied !
Il me retourne, m’écarte les cuisses et vient enfouirsa langue dans ma raie, la sensation chaude de
sa langue sur ma rondelle me fait vite perdre les pédales, très vite je sais où je suis, la seule chose que j’arrive à dire c’est : Nique moi à fond
Lui il perd pas la tête, il me doigte avec le gel, j’ai un peu mal mais quand il me dit qu’il m’en mis trois à fond je me dis que se n’est pas si douloureux que çà.
Je n’avais rien vu, il enlève ses doigts et je sent quelque chose de chaud et dure qui appuie sur ma rondelle.
Alors la je déguste, à mes grimaces et mes soubresauts réponds par des caresses et des mots doux, ce n’est plus le macho qui est devant moi mais un gentil garçon un peu gauche
mais très déterminé, il continue à s’enfoncer, son gland écarte mon anus avec force, je me dis qu’il va craquer, je vais me mettre à saigner, j’ai peur, je lui dit.
Disant cela, je sent ma rondelle qui cède et laisse passer la bête. Mon initiateur s’arrête et ne bouge plus, il me dit que je dois me faire à la grosseur de sa queue.
Il me parle doucement,en me flattant les flancs comme si j’étais une bête. Je souffle comme une bête, comme un cheval qui refuse son cavalier. J’ai mal au cul. Il le voit à mon
visage et me dit des choses gentilles et cochonnes qui m’excitent.
Mais tout d’un coup, un coup de rein il s’enfonce en entier en moi, là je hurle.Il me fout mon caleçon
dans la bouche. Ca fait, je sais mal mais valait mieux que je te fasse mal une bonne fois pour toute plutôt que plusieurs fois. T’es un enculé mon pôte, je suis sur que tu pourra
plus t’en passer après, c’est toi qui sautera sur ma queue dès que tu la verra.
Il me fille un coup de rein. Il se penche sur moi et me roule une pelle, je le sers dans mes bras, son corps est musclé, je me fait niquer par un paquet de muscle viril. Je ne lui
dit pas que la douleur a été accompagné d’une décharge qui a couru le long de ma colonne vertébrale et ce n’était pas de la douleur.
On reste quelques instants comme cela, je lui caresse ses belles fesses, et puis il se met à bouger, j’ai encore mal mais la jouissance monte, il le voit sur mon visage, il
s’enhardit et très vite il me nique avec fougue. Il me traite de pute et de salope, de trou à bites, tous ces mots je sens que cela l’excite autant que de m’enculer, je me joins à
lui l’encourageant à me considérer comme une chienne.
Et puis il se raidit et je sent son sperme qui gonfle la capote. Il s’affale sur moi et me prend la bouche tellement brusquement que j’ai l’impression qu’il va m’avaler la
langue.
Il sort de mon cul, se relève, remonte son pantalon et s’en va...
null
suce au ciné :
Envoyé en stage dans une ville que je ne connaissais pas, je cherchais dès la première soirée, les salles de cinéma. Dix neuf ans, je décidais d'aller voir un film d'arts et d'essais, car en ayant entendu parler, je voulais découvrir.Il y avait peu de monde dans la salle et le peu qu'il y avait pouvait avoir l'âge de mon père pour les plus jeunes et d'autres de l'âge de mon grand père. Je m'installai donc dans un fauteuil sur une rangée tranquille et attendais le début du film.
Au bout de cinq minutes un homme, la soixantaine est venu s'assoir à côté de moi. Vêtu d'un costume trois pièces, les cheveux blancs, de taille moyenne, il présentait bien et son parfum sentait bon.
Le film se mit en route, un film des années 50 aux images vieillottes et aux jeux d'acteur passés. Enfin je persistai à rester et essayer de comprendre. Au bout de cinq minutes mon voisin appuya sa jambe contre la mienne. J'ai pensé qu'il voulait prendre ses aises et effacai la mienne. Deux minutes après je ressentis cette même jambe contre la mienne et aussitôt je me mis à gamberger et pensai qu'il me draguait. Je voulus jouer le jeu et résistai à la pression. Voyant que je n'étais pas farouche à ses avances, il posa sa main sur ma cuisse. Je fus aussitôt excité par cette main d'étranger, posée là, sur ma cuisse alors que je ne le connaissais pas. La main était sûre et douce et je décidai rapidement de me laisser faire, écartant même les cuisses pour l'encourager dans son périple. Sa main lentement caressa très lentement le gras de ma cuisse et remonta vers mon entrejambe. Je bandais déjà comme un malade et sa main passa avec légèreté sur ma bosse.Je respirais fort, et voyant que je ne me défilais pas continua ses investigations. Toujours en regardant l'écran, il baissa le zip de mon pantalon jusqu'en bas, puis caresa mon sexe tendu à travers le tissu de mon slip. Il prenait mesure de mon sexe à taton, allant des boules et suivant la tige jusqu'au gland. Puis il baissa l'élastic du slip et je sentis sa main chaude atteindre directement mon sexe hyper raide. J'ai cru que j'allais éjaculer tout de suite, il le devina et arrêta sa caresse un instant, puis fit passer l'élastic de mon sous-vêtement derrière mes boules pour bien dégager mon sexe de mes vêtements. Il finit ensuite par me décalotter complètement et son pouce caressa le bout de mon gland étalant la petite goutte qui suintait. Il regarda à droite et à gauche pour s'assurer que personne le guettait et glissa avec souplesse entre les rangées de fauteuils pour se mettre à genoux entre mes jambes écartées. Je sentis son souffle chaud sur mon gland puis le titillement de sa langue sur le méat puis sur le frein et enfin il aspira mon gland dans sa bouche et commença à le sucer gentiment. C'était délicieux et la situation dans laquelle il était, m'excitait terriblement. Il suçotait mon gland puis avalait d'un coup toute ma tige pour revenir ensuite à mon gland. Je savais que j'avais à faire là, à un homme expérimenté. Il tenait mon sexe d'une main en le branlant doucement et avec une légère aspiration me pompait. J'ai bien essayé de me retenir, mais pas longtemps, et je lui ai lâché tout le jus que j'avais dans la bouche. J'ai entendu des petits gémissements de plaisir à chaque saccades de sperme qu'il déglutit aussitôt, et il continua à sucer jusqu'à ce que ma queue ramolisse.
Il se redressa, toujours avec souplesse et revint s'assoir sur son fauteuil. Il prit ma main et l'attira vers son entrejambe et je fus surpris de rencontrer directement son sexe tendu. Il avait discrètement ouvert son pantalon et baissé son caleçon pendant qu'il me pompait...
Ma main parcourait son sexe long et énorme au gland décalotté. Il était chaud et très tendu, et à mon tour je me glissais entre les fauteuils pour me mettre entre ses jambes. J'attirais son sexe vers ma bouche et gobais ce gland qui remplissait ma bouche.
Je jouais de ma langue et suçais ce beau morceau de cet inconnu.
Il avait posé ses deux mains sur ma tête et me donnait le rythme de mes va et vient. Je me régalais, même si parfois j'avais l'impression d'étouffer... Il finit par lâcher tout son jus dans ma bouche, un jus épais en grande quantité, que j'avalais avec délice. Nous n'attendîmes pas la fin du film pour sortir de la salle et il m'offrit un verre. Il m'avoua qu'il ne pouvait pas me recevoir dans sa chambre d'hôtel car il attendait sa femme qui devait arriver dans l'heure qui suivait.
Adrien
histoire extraite du site histoires-de-sexe.net