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Marseille et ailleurs, la peur qui s'installe Le Parisien présente ces faits d'une manière peu favorable à l'auteur...a-t-il choisi le camp de Daesh ?
NOTRE CAPITALE REGIONALE LA NUIT
Le Parisien :Mohamed Henni est en colère et inquiet. Ce marseillais qui avait répondu à Daesh dans une vidéo après les menaces proférées contre la cité phocéenne par le groupe terroriste, avait déclenché un véritable engouement sur les réseaux sociaux. Mais voilà, après avoir trouvé un impact de balle sur la carrosserie de sa voiture, le jeune homme vient de diffuser une séquence sur Youtube dans laquelle il annonce qu'il se sent menacé et qu'il arrête ses vidéos.
Sa vidéo contre Daech, diffusée fin juillet, avait été visionnée plus d'1,6 million de fois. Sur un ton mi-badin mi-énervé, le jeune homme réagissait aux menaces, très sérieuses, de djihadistes francophones et prévenait les terroristes que Marseille, «ce n'est pas la Suisse ou le Luxembourg». Mais depuis, Mohamed Henni a reçu « beaucoup de menaces », explique-t-il sur sa page Facebook. Et la « balle de kalachnikov » retrouvée dans l'ossature de sa voiture par la police judiciaire, selon le jeune homme, a motivé sa décision. « On m'a tiré dessus, j'arrête les vidéos », résume-t-il.
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Sur ces images, Mohamed Henni, dans son style personnel, explique que « c'est pas une question de peur ». Mais il reconnaît que la multiplication des messages d'internautes lui conseillant de faire attention, d'être prudent, n'ont pas aidé à le rassurer. Ses fans en prennent aussi pour leur grade, accusés de l'inviter à ne pas vivre chez lui pour sa sécurité, sans pour autant lui proposer un hébergement. « Vous croyez que je suis Rambo ? Vous croyez que je suis protégé par l'Etat ? », s'agace-t-il.
« Pourquoi on me tire dessus ? »« Ma vidéo sur Daech, c'était pour que les Français se sentent un peu mieux. C'était pas un truc politique ! » s'énerve le Marseillais. Pendant plus de 11 minutes, il fait part de son incompréhension : « Pourquoi on me tire dessus ? » Mohameh Henni avance quelques explications à ce tir : « Le fait que je sois reubeu ("arabe"), ça dérange », ou encore « En me tirant dessus, vous validez le fait que je parle bien, et y'a une grosse part de jalousie. »
Le jeune homme insiste, précisant : « J'ai parlé à des gens de l'EI (sigle d'une autre appellation de Daech, le groupe Etat islamique), ils m'ont dit "on va arriver chez toi et on va te trancher la gorge", et je les ai pas balancés ».
Mohamed Henni propose une ultime alternative à ses fans : « Si vous voulez que je fasse des vidéos, vous me soutenez financièrement, matériellement. »
_____________________________le message de Mohammed _________________________________________
certes cela frise la rodomontade mais le courage est souvent insouciant ds conséquences ...
Le Parisien semble être gagné par la peur...et Mohamed ne parle pas le parisien, mais le marseillais, et, pour parler le marseillais de Monsieur Henni, LES JOURNALISTES SE CHIENT cavaillongay
Quand Marseillais et djihadistes de Daech s'écharpent sur les réseaux sociaux Reprise du 23 juillet 2016, 20h37 | 48
Sur la vidéo, ce Marseillais interpelle l'organisation Etat Islamique (EI) en lui disant qu'il ne va pas «se laisser faire»
«Ici, il y a des kalachnikov, des lance-roquettes, on vous ni*** vos mères», avait lancé fièrement sur Facebook ce Marseillais. Il répondait à la propagande imagée de Daech où un djihadiste menaçait Marseille ainsi que Nice et Paris. Intitulée «Marseille menace Daech», la vidéo de Mohammed Nenni, casquette sur le front et lunettes sur le nez, avait été vue 1,2 million de fois sur Facebook en quelques jours.
«Vous croyez que vous êtes qui, les Power Rangers, les Naruto?», crache-t-il en gros plan, en référence à de célèbres héros japonais, casquette vissée sur la tête et grandes lunettes de soleil sur le nez, débitant un flot d'injures rythmées adressées directement aux «terroristes». «T'as cru que c'était quoi Marseille ? T'as cru que c'était la Suisse? T'as cru que c'était le Luxembourg ? T'as cru que vous alliez venir nous zigouiller et repartir tranquilles ?», ajoute-t-il.
Cette logorrhée, longue de 7 minutes 30 et souvent très vulgaire, a provoqué un véritable engouement sur internet. Sur Twitter, notamment, de nombreux internautes ont surfé sur la vague «Marseille menace Daech», certains s'amusant des «cons garés en double file» et d'autres évoquant des «mecs plus armés qu'eux» ou une ville vieille de plus de 2600 ans.