Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

ce matin sourdement menacé par les modérateurs qui me trouvent trop libre,  j'ai mis moi-même fin à mes comptes facebook et google+ faussement considérés comme l'émanation de la liberté d'expression et, partant, de la liberté d'opinion. Ils ne sont que l'instrument de la liberticide  surveillance de masse Devenus les interfaces obligés avec l'opinion, ils mettent la VRAIE démocratie en danger  merci à Didier Bourdon pour son clip "Onpeuplu riendire" en bas de texte prostitution :   le vote sanctionnant les clients de prostituées.a définitivement adopté La proposition de loi socialiste renforçant la lutte contre la prostitution, au terme de deux ans et demi de vifs débats, Alors qu'il a effrontément renoncé à quasiment toutes ses promesses importantes, ce vote entérine un des plus contestables engagements de François Hollande lors de sa campagne présidentielle de 2012, et  met fin à un long parcours parlementaire commencé en décembre 2013.   Pour ma part j'ai déjà exprimé ma défiance  vis à vis de ce lobby interne au PS  et quelques divers-droite que j'ai surnommé "les furies du puritanisme " parlementaire". A l'égal des enragés partisans de la double peine, je suggère que la loi prévoie le doublement , voire le triplement des peines pour un parlementaire ou un élu qui se rendrait coupable d'"aller aux putes ", même à scooter, de nuit.-lol-, à tous les émules des "FAITES CE QUE JE DIS ET PAS CE QUE JE FAIS"   PROSTITUTION :     progressivement privé(e)s de ressources par les nouvelles lois d'ordre moral, les prostitué(e)s vont-elles être payées par l'état pour éviter qu'elles (se) manifestent ?   (vous riez ? mais plusieurs autres professions sont sous ce "statut" du genre "ferme ta gueule sinon je te coupe les vivres ")        Sur la pénalisation des clients de la prostitution, on doit opposer que l'article 8  de la Déclaration des Droits  de l'Homme sur laquelle s'appuie la Constitution,  stipule :   "  Art. 8. La Loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, "    La trouble notion d'ordre public à laquelle se réfèrent de nombreux partisans de la nouvelle loi,  a déjà rendu de fiers services à nombre de dictateurs     Art. 10. Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi.       il y a certainement trop de vrac dans l'affiche ci-dessous mais c'est le seul graphisme dont je disposais à ce moment ...  demandons-nous , "Aujourd'hui en 2016, puis-je tout exprimer ? "  Afficher l'image d'origine     Ailleurs sur le net :   Flicage, répression Commentaires ouverts sur cavaillongay 

La surveillance de masse d’internet pousse les internautes à s’autocensurer

1 avril 2016 par Lionel       De plus en plus les gouvernements mettent en place une surveillance généralisée d’internet et des réseaux sociaux, surveillance qui vise tout le monde sans distinction, pour officiellement lutter contre la criminalité. Cet argument ne tient pas car on sait que les terroristes ou autres grands criminels savent contourner cette surveillance, ce qui leur permet -hélas- de continuer leurs méfaits comme le prouvent les attentats dont nous sommes témoins, sachant du reste que le gouvernement lui-même nous avertit que d’autres attentats auront lieu. Dès lors se pose la question de savoir pourquoi maintient-on et même renforce-t-on cette surveillance inefficace ? Une étude réalisée aux Etats Unis et dont s’est fait écho le Monde nous donne une explication, beaucoup plus vraisemblable : La surveillance de masse conduit les internautes à s’auto-censurer, ce qui permet aux gouvernements de limiter l’expression d’opinions politiquement incorrectes. Ainsi, la surveillance généralisée, loin de lutter contre le terrorisme, permet un contrôle de l’opinion et de limiter le développement d’idées dissidentes. Pour étudier ce phénomène, la chercheuse Elizabeth Stoycheff, de l’université de Wayne State (Michigan), a mené une expérience sur 255 personnes, à qui elle a fait remplir un questionnaire. Pour la moitié des participants, ce questionnaire était accompagné d’un message rappelant que « même si nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour que vos opinions restent confidentielles, il est important de garder à l’esprit que la National Security Agency surveille les activités en ligne des citoyens, ce qui est hors de notre contrôle ». Tous les participants devaient répondre à des questions sur leur personnalité, puis étaient confrontés à un article de presse sur la poursuite des frappes américaines contre l’organisation Etat islamique en Irak. Ils devaient ensuite donner leur opinion sur le sujet, dire ce qu’ils pensaient être l’opinion majoritaire parmi les Américains, et s’ils comptaient partager leur propre point de vue sur la question. Résultat : les personnes à qui l’on a rappelé la surveillance d’Etat étaient moins enclines à parler de leurs idées, si elles les jugeaient non conformes à l’opinion majoritaire. Même parmi les participants qui, selon leur profil psychologique, étaient les moins sujets à l’autocensure. Plus étonnant, les personnes les plus à même de s’autocensurer sont celles qui, dans l’absolu, soutiennent les programmes de surveillance : « Ces individus ont indiqué que la surveillance était nécessaire pour la sécurité publique et qu’ils n’avaient rien à cacher. Pourtant, quand ces individus perçoivent qu’ils sont surveillés, ils modifient leur comportement en conséquence : ils expriment leur opinion quand elle est majoritaire et la taisent quand elle ne l’est pas. » Ces conclusions sont cohérentes avec la théorie de la « spirale du silence », mise en avant dès les années 1970, qui démontre que les individus ont tendance à taire leur point de vue s’ils sentent que celui-ci n’est pas partagé par leurs pairs, par peur de l’isolement. Mais cette dernière étude apporte un nouvel élément, en s’intéressant notamment à l’expression sur Internet et à la surveillance gouvernementale : « C’est la première étude à apporter la preuve que les programmes de surveillance gouvernementaux en ligne peuvent menacer l’expression d’idées minoritaires, et contribuer au renforcement de l’opinion majoritaire. »     Afficher l'image d'origine    Dessin d'humour de Peter Brookes (Angleterre) dans google images        empêchés de dire, autant qu'empêchés de faire !    
on peuplu rien dire par benj11 desréactions à la loi sur la prostitution : http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/loi-sur-la-prostitution-chronique-177184#reagir     
Ven 8 avr 2016 Aucun commentaire