Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
c'est vrai que le mien fait ce qu'il veut : plein de caprices : bander, débander...
photo envoi de Bastien :
toi je t'ai pas parlé, ferme-la...
Mythe : est-il vrai que vous pouvez croire que votre pénis ne fait pas partie de vous ?
Ah bon ! allons, c'est vrai ! votre pénis ne ferait pas partie de vous !
il pourrait être un personnage distinct de vous, avec ses humeurs et ses caprices
Bien qu'ils disent MA bite MA queue... beaucoup d'hommes décrivent leurs pénis comme des outils qu'ils utilisent : soit des cannes à pêche, des tiges, des marteaux, des épées, ou des bâtons à baiser… c'est ça l'idée. La langue est violente - pensez au vieil euphémisme pour la masturbation masculine, "battre la viande" ou "crache ou je t'étrangle"!
Mais nos pénis ne nous appartiennent pas, juste ils font partie de nous. Ils révèlent une vérité de nous, qui sommes aussi : vulnérables et spongieux plus souvent que rigides, étonnamment doux au toucher, doués de sentiments - et de don généreux - autant suceptibles de grand plaisir que de grande douleur. Ils ne fonctionnent pas toujours sur commande. Les médicaments et les drogues peuvent changer complètement leur comportement. Nous ne pensons pas avec nos pénis, mais ils "sont inextricablement la partie" de nous : imparfait, plein de défauts, aussi puissant que vulnérable, mais beau.
Peu importe la taille.
allez-vous me croire ? cet "individu", à mon âge , prend déjà beaucoup de place ! (dans ma tête surtout !)
USA :
Myth: your penis isn’t part of you.
Too many men describe their penises as tools they use: rods, shafts, hammers, swords, fuck sticks … you get the idea. The language is violent—think of the old euphemism for male masturbation,
“beating the meat” or “choking the chicken“! But our penises don’t just belong to us, they are part of us. They reveal a truth about us, too: vulnerable and squishy more often than rigid,
surprisingly soft to the touch, capable of feeling—and giving—both great pleasure and great pain. They do not always perform on command. Drugs can alter how they behave. We don’t think with our
penises, but they are—inextricably—part of us: flawed, powerful, vulnerable, beautiful. No matter what the size.
Une bite pour la vie place aux débutants...prévenons-les : c'est un long partenariat avec leur teub...comme un mariage....
ça aussi c'est exigeant et impérieux :