Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
des lèvres exquises prêtes à entourer l'embout du narguilé et puis après, autre chose... >
TRADITION ORIENTALE, mais...
" nous vendons quotidiennement 300 doses.nous dit Alican Ali, le serveur du café Tömbeki, du nom de la mélasse de tabac de narguilé.
Sur sa terrasse couverte, des étudiants, filles ou garçons, tirent sur leur pipe autour d’un thé ou d’un café . Une odeur de cannelle, d’abricot et de pomme flotte.enrobé d’arômes fruités
«. Pour un narguilé, il faut une préparation, du temps et un espace qui lui donnent un caractère très spécial », explique le barman du Tömbeki. « Le narguilé, c’est la convivialité et l’amitié. »
Pas question de se presser pour savourer un narguilé. « Je viens ici 3 ou 4 fois par semaine pour fumer, c’est une passion », explique Nuri Aydin, 24 ans, « j’ai vu mon grand-père et mon père en fumer. Je perpétue cette tradition, qu’on nous laissent faire tranquilles ! » Deux étudiants sirotent leur thé, une chicha à la bouche. « Je suis bien conscient que c’est mauvais pour la santé. Mais moins que la cigarette », tranche Elif Karadele, 23 ans. ..."
Est-ce l'effet du narguilé ? D'un air plein de sous-entendus, ce serveur de chicha-house leur demande : puis-je faire autre chose pour vous ?
UN EMBOUT SUGGESTIF
OUVERT A TOUT....
