Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
Demandez à notre ami Michel de Yaoundé :
De notre envoyé spécial au Cameroun. - À Yaoundé, comme dans de nombreuses capitales d’Afrique de l’Ouest, le centre-ville est parsemé de bâtiments gouvernementaux, chaque ministère, sous-ministère ou direction déléguée affichant fièrement sa raison d’être par le truchement d’un panneau apposé devant l’entrée. Les fonctionnaires en costume-cravate malgré la chaleur étouffante une grande partie de l’année se fraient chaque matin un chemin, à pied ou en taxi, parmi les ornières et les vendeurs ambulants, vers leur poste. La grande artère du centre, le boulevard du 20-Mai comprend, comme la plupart des villes camerounaises, un espace de parade militaire encadré d’estrades pour accueillir le président et son gouvernement.
le pays est aux mains des "nouveaux blancs"
De notre envoyé spécial au Cameroun. - À Yaoundé, comme dans de nombreuses capitales d’Afrique de l’Ouest, le centre-ville est parsemé de bâtiments gouvernementaux, chaque ministère, sous-ministère ou direction déléguée affichant fièrement sa raison d’être par le truchement d’un panneau apposé devant l’entrée. Les fonctionnaires en costume-cravate malgré la chaleur étouffante une grande partie de l’année se fraient chaque matin un chemin, à pied ou en taxi, parmi les ornières et les vendeurs ambulants, vers leur poste. La grande artère du centre, le boulevard du 20-Mai comprend, comme la plupart des villes camerounaises, un espace de parade militaire encadré d’estrades pour accueillir le président et son gouvernement.
Prohibée, la prostitution des hommes existe pourtant au Cameroun. A Douala, la capitale administrative, ces travailleurs du sexe ne se protègent pas toujours. Enquête. Doualaau lieu-dit carrefour Elf le 13 novembre 2011. Il est 20 heures et l’endroit, qui a été rebaptisé “carrefour J’ai-raté-ma-vie”, est fréquenté par des travailleurs du sexe, l’expression politiquement correcte qui désigne les prostituées.
Ici, on aperçoit des filles à perte de vue. Certaines sont debout dans la pénombre et causent entre elles. D’autres sont assises dans des buvettes et sirotent, en attendant leurs clients. Parmi ces filles, Aurélie, âgée de 26 ans. Un client arrive à pied, parle à peine une minute avec elle et ils s’en vont. Environ vingt minutes plus tard Aurélie revient, le sourire aux lèvres. “La soirée commence bien !” s’exclame-t-elle. Aurélie explique que le client est son “asso”, c’est-à-dire un habitué. Il lui a donné 3 500 FCFA [environ 5 euros] parce qu’il était content, soit 1 500 FCFA [environ 2 euros] de plus que le tarif habituel. Plus tard, Aurélie révèle qu’elle n’utilise pas de préservatifs avec ses “assos”. Autre révélation : Aurélie s’appelle en réalité Bertrand. C’est un travesti. Il a une perruque harmonieusement coiffée. Son visage est maquillé : du fond de teint, du rouge à lèvres, du fard à paupières, des faux cils. Il a les ongles mi-longs, bien manucurés, et arbore un tricot qui moule une généreuse poitrine que bien des filles lui envieraient, un pantalon tout aussi moulant et des talons hauts. Mais, en fait, ces seins sont des préservatifs remplis d’eau et habilement fixés dans un soutien-gorge. Un cache-sexe aplatit ses organes génitaux et l’illusion est parfaite, surtout la nuit.
Des “filles” comme Aurélie sont nombreuses à Douala. En fait, la prostitution masculine est un phénomène peu connu, qui existe pourtant au Cameroun depuis plus d’une dizaine d’années et qui est en “constante évolution”, d’après Adonis Tchoudja, le président d’Aids-Acodev, une association qui lutte contre le sida auprès des travailleurs du sexe et des enfants de la rue depuis trois ans. D’après le Plan stratégique national de lutte contre le sida, “l’effectif total des travailleurs du sexe varie selon les sources”. Il cite, par exemple, le rapport de cartographie des travailleurs du sexe publié en 2008, qui parle de “18 000 personnes (hommes et femmes)”. Il n’y a pas encore d’études qui portent uniquement sur les travailleurs du sexe masculins. Le plan stratégique de cette institution, placée sous l’autorité du ministère de la Santé publique, indique aussi que les travailleurs du sexe sont “des populations à haut risque d’exposition au VIH [parce qu’ils peuvent] jouer un rôle disséminateur de l’infection vers la population générale, à cause du multipartenariat sexuel qui les caractérise [et du fait qu’ils n’utilisent] pas systématiquement le préservatif”.
Ce rapport révèle également que seulement 64 % des hommes interrogés lors d’une enquête démographique et de santé ont déclaré utiliser des préservatifs au cours des rapports avec des travailleurs du sexe. Adonis Tchoudja est plus modéré. Il affirme qu’environ 50 % seulement des travailleurs du sexe se protègent. Pour ce qui est des travailleurs masculins, ils vont aussi bien avec des hommes qu’avec des femmes. “Bien que ce soit interdit, il est clair qu’il y a des hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes, et ces hommes ne sont pas suffisamment sensibilisés. Les spots publicitaires à la télévision ne montrant que des couples hétérosexuels, ils ont l’impression que le sida ne les concerne pas”, révèle-t-il. D’où son appel à la prise en compte de cette catégorie sociale dans la conception des messages de sensibilisation sur le VIH-sida.
Ce vœu pourrait prendre du temps avant de se réaliser. Une source du Comité national de lutte contre le sida explique : “La prostitution est interdite au Cameroun, et aussi les rapports sexuels entre personnes de même sexe. Inclure ces deux groupes dans des campagnes de sensibilisation, par exemple dans des spots publicitaires, serait une façon de légitimer ces pratiques. Personne n’est prêt à prendre ce risque.”
Big Mami est le pseudonyme utilisé par un garçon de 27 ans, travailleur du sexe depuis environ sept ans. Ses clients sont aussi bien des hommes que des femmes, “des veuves, des femmes âgées qui ne sont pas satisfaites par les hommes de leur génération”, révèle-t-il. Il avoue qu’il n’utilise pas systématiquement de préservatifs. “Quand quelqu’un me plaît, s’il veut utiliser des préservatifs, on le fait ; s’il ne veut pas, on ne les utilise pas. Mais quand je n’aime pas une personne j’utilise toujours le préservatif”, explique-t-il. Quand on lui demande s’il n’a pas peur d’attraper le sida, il répond : “Dès qu’on a fini les rapports, je me nettoie et ça va.” En fait, beaucoup d’idées préconçues parmi les travailleurs du sexe sont de nature à augmenter la propagation du sida. Certains pensent qu’uriner et faire sa toilette immédiatement à la fin du rapport sexuel permet d’évacuer les microbes et met ainsi à l’abri des maladies. Des garçons ne voient pas la nécessité d’utiliser le préservatif, car “les hommes n’attrapent pas de grossesse”. Ils se fient également à l’apparence physique de leurs clients et ont encore l’impression que les malades du sida sont chétifs, avec des boutons sur le corps.
ouais ça pourrait bien faire mal !
Big Mami n’est pas un travesti et ne travaille pas au carrefour Elf, mais plutôt dans des snack-bars et des boîtes de nuit. D’ailleurs, les travailleurs du sexe du carrefour Elf ne sont que la face visible de la prostitution à Douala. Ils travaillent discrètement et on les rencontre, par exemple, dans un snack-bar qui porte le nom d’un réseau social, situé à Ndogbong, près de la zone universitaire.Ici, ces travailleurs sont pour la plupart des étudiants. Ce 13 novembre, Gilles, qui se fait appeler Njango, et ses collègues sont attablés et causent. Il est étudiant en deuxième année d’histoire, et c’est l’argent qu’il gagne dans ce bar qui paye ses études et ses factures. Environ une heure après son arrivée, un monsieur l’invite à sa table, lui offre à boire et, après quelques mots, ils s’apprêtent à partir. Approché pendant qu’il règle sa facture, le monsieur explique qu’“il cherche juste quelqu’un pour [lui] montrer la ville car [il] a peur de se perdre".
Intro.....hummmm j'adore !
Moi vous savez je ferais plutôt comme Greg, je trace, je me casse,,,je ne peux pas, à moi tt seul, soulager la misère du monde entier, mais, par contre, je ne supporte pas qu'on me fasse l'amour parce qu'on a faim. J'aurais honte, alors je lâche un petit billet et je me sauve. C'était peut-être l'intention de Greg, je sais pas...
https://cyrillo.biz/histoire-gay-2019_Ibrahim.php
Greg de Marseille trouve un camerounais, Ibrahim...à son goût -lol- .
Moi, c’est Greg, 46 ans, 174, brun, je vis seul à Marseille.
Un soir, en rentrant à pied chez moi, après une soirée bien arrosée. Je croise un jeune black.
Il avait un sac à dos, il faisait 1,80 m mince, très fonce est plus tôt imberbe.
Il me fit un large sourire, et me dit :
- Eh, msieur, vous n’auriez pas une pièce ou billet pour manger ?
D’habitude, je trace, mais il était bomec, je lui dis :
- Écoute, je veux bien te payer à manger, on va au kébab à côté ?
Il me dit ; OK, c’est gentil msieur, moi c’est Ibrahim.
- Moi c’est Greg.
On commande, on s’installe un peu à l’écart.
- Dis-moi Ibrahim, tu fais quoi dans le coin ?
- Ben, je viens du Cameroun, je suis arrivé à Marseille avec le train et je veux aller voir mon cousin à Bruxelles.
- Ah oui et avec quel argent ?.
- Ben, je cherche du boulot, et un logement !
- Ah oui, es-tu dors ou ce soir ?
- Ben, dans la rue
- Bon écoute, je peux te propose mon canapé pour cette nuit.
- Ah oui, vous très gentil.
Après le repas, on alla chez moi.
Il posa ses affaires, me demanda, s’il pouvait prendre une douche.
Je lui montrai la salle de bain, lui sortit une serviette.
Après 20 min dans la salle de bain, il revint avec mon peignoir.
Il se mit à côté de moi sur le canapé, il me dit ;
Tu sais, très gentil, il s’approcha de moi et m’embrassa, je fus choqué et agréablement surpris.
Il prit ma main, et la posa sur la bite à moitié molle, mais d’une bonne taille.
Il me dit : suce-moi, je n’ai pas giclé depuis longtemps.
Je pris son sexe en bouche et commençai à le sucer.
Je lui léchai le gland, lui bouffa les couilles.
Très vite, sa bite fit bien 21 x 5, elle me remplit bien la bouche.
Je le suçai comme ça pendant près d’une heure, puis il prit ma tête entre ses mains, et m’imposa le rythme.
Je sentis sa bite gonfler, sa respiration s’accélère, il gémit et ilbm’envoya plusieurs jets de sperme dans la bouche.
J’avalai tout, et il enleva ces mains et je lui nettoyai sa bite.
Il me dit ; alors ça t’a plu ? Je dors avec toi ?
Je lui dis OK !
Ibrahim : tu sais, tu suces bien, en plus, j’ai bien senti que tu aimes ça.
Oui, faut dire que tu es bomec et bien équipé.
Pour la suite, demandez-moi.
Je cherche toujours des beurs ou blacks, alors écris-moi.