Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
Ben oui, avec Pierre! Allez on déstocke ! entrez dans ma boutique ! je ne peux pas affirmer que c'est ça qui a fait de moi le gay-bi que je suis car je pense j'avais de solides dispositions.
2019, allez viens, suis-moi dans la boutique !
"Bon, on était en pension médicalisée. Pierre était un magnifique garçon de 12 ans qui vivait dans la banlieue de notre ville ...devenue distante de 300km. Deux marseillais se découvraient. Le croirez-vous , il était pubère. J'ai découvert la masturbation en le voyant se branler dans la pénombre au dortoir, il avait une grosse bite, il me montrait ses éjacs conservées dans du papier-toilette, puis, dans les jours qui suivirent il commença à m' insérer son sperme directement avec son sexe entre mes petites fesses où, même s'il en parcourait la raie, il ne pénétrait pas malgré ma propre envie et que, après de longs "frottings" son sperme juvénile déposé entre mes fesses (un délice ) faisait glisser entre elles quand je marchais (sensation délicieuse aussi).
La nuit au dortoir il savait secrètement trouver un bon accueil dans mon lit alors que les autres dormaient. Je souffrais de la séparation familiale, lui pas trop je crois. Ca me jetait dans ses bras : il avait besoin d'une certaine forme d'affection, moi d'affection tout court. Et puis m...on va culpabiliser ni l'un ni l'autre ! Il mesurait déjà dans les 1 mètre 60 et me dominait largement d'une trentaine de cm. Ses cheveux étaient bruns et ses yeux marrons. Son corps avait commencé à bien se muscler.Il était bien plus grand que moi qui n'avais alors que 10 ans.
Il avait du duvet sur sa lèvre supérieure. Il était très en avance sur sa puberté. Il savait qu'il était fait pour les filles alors que moi je ne leur prêtais aucune véritable attention Pierre observait beaucoup les filles et parlait d'elles très souvent. Une fois il m'a fait porter à une certaine Annie un papier plié en 4 contenant sa juvénile semence... La pension était mixte. Certaines filles aimaient bien qu'il leur parle aussi crûment que ça lui plaisait mais avec moi ce qu'il pratiquait c'était un exercice mécanique. Faute de mieux, tous les soirs il me frottait sa verge bandée dans la raie jusqu'à jouir et me "graisser" un anus follement désireux d'aller plus loin. J'en suis encore ahuri. Il était mon idole avec son corps un peu maigre mais bien dessiné et en pleine croissance contrairement à son visage qui reflétait encore, forcément, copieusement l'enfance.
my heroe...
"Pierre 1er" avait de grands yeux marrons et un petit nez. Quand il sourait, ses joues affichaient toujours une fossette sur les deux côtés. Son teint était assez mat et bronzé je le revois encore, nu, aux douches où les deux nurses qui nous surveillaient se poussaient du coude en riant, en observant à la dérobée son pénis et sa toison pubienne dignes d'un adulte. Il avait plusieurs amis à la fois garçons et filles, mais pas encore de petite amie. Autrement dit, Pierre est l'amant presque parfait mais je reste sur ma faim et j'ai toujours pensé qu'au lieu de ça, il aurait mieux valu qu'on "consomme" complètement, sinon pour me lever l'envie, au moins pour m'éviter la frustration qui m'a poursuivi toute ma vie.
Un matin le directeur ( qui savait*) m'a retenu à son bureau pour me rendre à ma mère venue me chercher, et je n'ai même pas pu dire au-revoir ou plutôt adieu à mon "Pierre 1er" que je n'ai jamais revu. Je sais son nom de famille. J'ai cherché. Rien ! C'était pas la faute à ma mère qui adorait son petit garçon, mais j'avoue lui en avoir voulu -sans lui dire ! - de m'avoir arraché à ce premier amour 'gay' pour revenir à cette enfance familiale asexuée. Je crois que j'en souffrais. "¤
La suite ce sera Pierre 2 clin d'oeil du Destin ?
Par la suite ...dans ma rue, encore des envies non satisfaites. Pourquoi fallait-il qu'on trouvât tout naturel qu'elles ne le soient pas ? J'ai fréquement joué avec Rachid (14 ans ?), comme moi un peu livré à lui-même, et là je retrouvais un ami comme j'avais connu en maison de santé, et mon désir de passer'la ligne' fut relancé. Ce n'était pas un obstacle absolu, mais Rachid, primo-arrivant ne parlait pour l'instant pas un mot de français. Et il y avait les préjugés raciaux que m'instillait mon milieu (pas ma mère).. Malgré ces obstacles je brûlais, je mourais de désir pour ce bel ado plus grand que moi avec une ombre de moustache, je rêvais qu'il me fasse ce que Pierre 1er m'avait fait, et qu'il aille bien plus loin encore.
Alors, ma torture psychique augmentait quand il me questionnait : -"toi 'fisinik'?" Je n'aurais pas su lui dire ni oui ni non. Je croyais pouvoir comprendre : tu es circoncis ? En fait je n'avais pas tout à fait tort, car, maintenant, grâce à google traduction, je vois que cela peut vouloir dire :
لك؟ مثلي= " Toi comme moi ?" et, à la distance de mes années d'incompréhension, je crois qu'il voulait me baiser. Dommage ! Hélas, il y avait la RUE et sa bande de gosses comme nous...on n'a jamais pu trouver le coin tranquille nécessaire... Mon futur puits d'amour restait, et sans que je puisse même l'exprimer, à mon grand désespoir, vierge. A l'époque je n'aurais ni su ni osé le dire. Je sais c'est con.
J'en ai parlé. Il y a eu JO, le grec, velu pour ses 13 ans, qui me voulait, avait besoin de me terrasser dans un semblant de lutte et de VIOL. Mais son phimosis l'empêchait disait-il d'en faire plus que du frotting sur mon ventre qu'il baignait, jusqu'à mon aine et mes couilles répandant en même temps cette odeur ce parfum veux-je dire, enivrant mêlé des senteurs de la pinède où nous faisions l'amour. Aussi ne puis-je sentir l'odeur des pins sans penser à mon Jo qui ne peut que se souvenir puis qu'il a demandé de mes nouvelles à ma famille. Comment a-t-il fait ensuite avec son phimosis ? je sais pas.
J'apprécie, même si c'était de la douleur, de pouvoir interpréter le chant d'amour qui était en moi ... et le champ d'amour qui m'attendait et que Pierre II sut accepter et apaiser car, devenu ado, je sollicitais ouvertement ses 'services' tandis qu'il protestait de n'être pas PD et que me baiser était provisoire en attendant de 'rencontrer' une ou des fille(s). Il avait tout pour me satisfaire : il bandait pour mon cul d'une longue queue qui donnait bien du sperme. Je me souviens du bonheur quand il m'a dépucelé et joui en moi après tou le temps qu'il fallait pour que nous prissions, chacun, notre pied. Il s'est marié, mais, je l'ai, à plusieurs reprises détourné de sa fidélité et j'en suis fier. Je l'aime encore et très fort, mon vrai premier.
Je reviens presque à chaque fois sur mes articles, celui-ci a-malgré-moi encore quelques imperfections, excusez-les SVP il faut 'lutter ' contre un logiciel erog qui n'est pas tout à fait parfait. D'ailleures, erog m'a 'sucré' la possibilité d'émettre des vidéos. Sans doute une rétorsion due au fait que je m'en tienne au gratuit, gratuit, gratuit...assez trompeur. Peut-être ne me trouve-t-il pas aseez bon ? Peut-être je ne lui gagne pas assez son frichti ? car c'est nous, avec nos blogs,qui le lui gagnons...serait-il un peu proxo ou beaucoup ? claudio
NOTES : * oui, le dirlo avait su , par dénonciation, nos "turpitudes" au dortoir et nous avait séparés en me remettant en dortoir àplusieurs au lieu d'être en chambre à 2. Pourquoi nous y avait-il mis ? Mystère, non ? (je crois que j'en avais parlé ici-même)
Jacques,"Si tu n'es pas sage on va te mettre en pension"..."Si tu n'écoutes pas on t'emmène au docteur"...En ben là j'y suis : en pension médicalisée à 10 ans...
commentaire :Ca vous a fait bander ? " Salut ! merci d'avoir publier mes témoignages. Et merci d'avoir corrigé mes fautes ! . J'aurais du dire que je n'étais pas content de la quitter cette pension...je ret rouvais ma famille, mon école...mais, par dessus tou mon Pierre 1er me manquait" (JAK O)