Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
dans la nuit de mon imaginaire forêt, les arbres baisent...non j'ai pas fumé !
Au commencement il y a la rencontre.
A gauche de l’image deux jambes rugueuses qui avancent en direction de jambes d’une clarté brillante, un gris de perle avec des lignes concentriques de poterie chantournée, une lumière ondulante et sensuelle.
Et au milieu, le bras rugueux positionné à hauteur de sexe, recouvert de lianes violettes qui descendent du haut de l’image, pudeur ou mystère.
«A à la rencontre d'un succube,Slain, issu d'un jeu vidéoX » .qui aurait cru qu'un petit cul semi-vierge comme le mien fût heureux d'être défoncé par une monstre-bite comme celle du succube de la forêt ?
Entre mes genoux je peux saisir son regard un instant et j'ai l'impression qu'il me demande pardon à l'avance. Il force un peu avec son doigt et commence à me pénétrer. Sans préparation et sans lubrifiant c'est une sensation un peu forte mais je retiens toute protestation. Il retire son doigt et cherche des yeux le lubrifiant. Il me regarde droit dans les yeux et me dit que le moment est venu de me préparer à vivre mon deuxième dépucelage « Ta tan tan chantonne-t-il, pour marquer la solennité du moment, c'est là que le plaisir commence ! ». Il m'applique généreusement du gel et il me masse la rondelle, c'est très agréable puis je vois passer un plug noir de la taille d'une belle bite . J'essaie de me détendre au maximum et je sens mon trou s'ouvrir pour le gober ça entre facilement. Il me le retire et enchaîne immédiatement avec la taille supérieure, je le sens passer ce coup ci et laisse échapper un petit cri de douleur. Jordan fait quelques mouvements avec ce jouet histoire de m'élargir un peu, quand il me le retire j'ai l'impression de rester ouvert. Il présente un nouveau gode devant mon anus et il l'enfonce sans attendre, il doit être énorme car il force pour le faire pénétrer. Cette fois ci je hurle, j'ai l'impression qu'il est en train de me déchirer les entrailles. Sans se soucier de ma douleur, il continue de me travailler en faisant des mouvements de va et vient de plus en plus amples. Je sanglote, je le supplie d'arrêter. Là, obnubilée par ce qui se passe 'en bas' ma tête perd la notion du temps j'ai l'impression de ne plus rien sentir d'autre que mon anus., il cesse enfin de me torturer et retire lentement le plug, cette fois ci je suis certain que mon cul reste grand ouvert, il y est allé fort.
,« il relève la tête. je suis toujours emmanché quand il nous emmène vers la table de la cuisine et se retire. Je suis debout devant
lui. Il m'embrasse et me sourit toujours avant de me faire signe de me retourner.
Monsieur veut une levrette : ça va être torride. Putain, je suis pas une jument. Mais, bon dieu ce qu'il est bandant. Il me penche sur la table comme une salope,
m'écarte les jambes. Son gros gland sonde ma raie, cherche l'orifice. Comme de nature, l'un et l'autre s'attirent et aaaannnnnnnnhhhhhhhhhhhh!!!!!!! Sa queue
ravageuse trouve ma rosette pour la défoncer une fois de plus. Cette position lui permet encore plus de performance. Au secours! Je vais mourir de
bonheur!
Il se penche sur mon dos, comme un gros ours - d'ailleurs, il en a la queue - et me couvre en entier. Nous sommes chair contre chair. Il me défonce encore plus sauvagement; je croyais que mon bassin et mes hanches et mes fesses se disloqueraient, tant sa troisième jambe était large; et tellement longue que je me sentais déchirer par mon amour. Ouh!, j'ai la prostate qui va enfler de plaisir et de spasmes. Il m'étreignait de ses bras solides, me caressait le ventre meurtri et les pectoraux. J'avais son haleine d'étalon dans le dos, il me léchait tendrement la nuque. C'était un délice.
J'étais prisonnier de son étreinte et jouissais J'avais une trique d'enfer, j'allais bientôt venir. Mon mec, mon Slain le sentait. Et ça venait pour lui aussi. Il était devenu un vrai sauvage, il gémissait et violemment, mais amoureusement, il se mettait à me pomper. Après un dernier baiser, il s'est relevé et m'a pris aux hanches pour mieux m'attirer vers lui et m'inculquer ses violentes, rapides et entières pulsions de coït endiablé. Et les gémissements. Oh, je n'en pouvais plus de ce mâle qui me baisait comme une vraie salope.(la salope c'est moi !) Il me défonçait en rafales avec son pilotis. C'était le pied. Je me sentais élargir à chaque poussée de son puissant pelvis. Sa grosse queue entrait et sortait plus vite qu'un piston déchaîné. Oh, ouh, quelques poussées encore, plus enflammées les unes que les autres. Il se mit à m'enviander avec une violence délicieusement douloureuse, et puis, les couilles se resserrèrent, et puis, un gémissement suprême qui nous envahit, et. AAAAAAAAHHHHHHHHHHH!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
C'était l'explosion. Alors que je jutais péniblement sur la table, son
membre redoublant d'enflement propulsa en moi des giclées d'une puissance complètement démente, d'une chaleur folle et d'une viscosité alléchante. C'était comme faire le plein, mais
le plein d'essence virile. Parmi les poussées pelviennes toujours plus calmes et dont les spasmes nous ébranlaient, j'étais branché sur un égout de sperme affluant et je me faisais
remplir comme une vraie jument. C'était bon de sentir son affreusement bonne liqueur, déversée par un phallus apprêté et protubérant, énormément gonflé, et dont les millions de
spermatozoïdes m'envahissaient d'un océan de frissons. Quand il s'est retiré en nos géissements, un flux de sperme s'est mis à s'épandre sur mes cuisses. Il s'est mis à lécher
son propre sperme, et puisque j'étais flexible, je l'ai aidé. Dans un baiser, sous avons partagé la dernière gorgée de son sperme.
Nous nous sommes embrassés et caressés longtemps après. Je me souviens que nous l'avons refait et refait. Dans la cuisine, dans le salon, dans la douche, dans la chambre, bien
sûr, dans toutes sortes de positions, je l'ai sucé, aussi. Et je me souviens aussi.
Et je me suis réveillé. Merde!