Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
«J’en voulais à mon anus, qui restait toujours fermé, et qui ne me laisserait jamais y faire passer quoi que ce soit. Je tenais mon achat flambant neuf, un tube de lubrifiant qui allait, à défaut, me servir de plug. »
LA CHAUDE DESCRIPTION DE ANNO QUI EST UN AUTHENTIQUE ARTISTE dans l'évocation des émotions et des ensations
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https://cyrillo.biz/histoire-gay-2018-mon-pote-Hector-04.php (De retour, quatrième épisode… Bonne lecture !)
EXTRAIT : J’avais ma main sous mon tee-shirt, qui triturait la surface de mes tétons sensibles ...Je le voyais si large et si long, ça serait un déchirement.
Hector, par vengeance, exerce un chantage sur Anno, l'auteur
Qu’allais-je faire ? Je n’avais jamais acheté un seul plug ! À peine avais-je mis, un jour, deux doigts dans mon fondement, par poussée de désir, en me branlant.
Puis je revins à moi, je tremblais de rage, contre cet homme, ce bandit, ce criminel, et contre moi-même ! Je criai de rage.
Je me remis à pleurer. J’en voulais maintenant à mon anus, qui restait toujours fermé, et qui ne me laisserait jamais y faire passer quoi que ce soit. J’avais ma main sous mon tee-shirt, qui triturait la surface de mes tétons sensibles. L’autre, elle, tenait mon achat flambant neuf, un tube de lubrifiant qui allait, à défaut, me servir de plug. Je le voyais si large et si long, ça serait un déchirement.
Slim et caleçon moulant glissèrent le long de mes jambes et la peau se hérissa ; je me mettais déjà à gémir. Instinctivement, mes jambes s’écartaient et laissaient ma rondelle caressée à la surface, là où la peau est toute sensible, par le vent frais. Me saisissant du tube, qui, remarquai-je, de sa forme phallique, se portait bien à la situation, je m’enduis les doigts de lubrifiant. Les portant à mon derrière, j’étalais tout, consciencieusement d’abord, sensuellement ensuite. Malgré moi, trois doigts glissèrent dans mon trou qui les avala, glouton et insatisfait. C’était tout chaud ! Ça y est, avais-je murmuré, je suis dans mes entrailles ! Je pliais, dépliais les doigts, doucement, tâtant la paroi douce qu’est celle d’un anus. Je tentai d’aller plus loin, et ce fut un énorme frisson, je me tendis de plaisir. Je m’écroulais, pour mieux me doigter. Je faisais maintenant des allers-retours, creusant de ma main profondément. Une fois mon cul bien bourré, j’essayai d’écarter mes doigts les uns des autres, le plus possible, comme repoussant les parois. Du coup, un liquide tout aussi chaud s’écoula par terre ; j’en avais plein la main.
Puis je me positionnais. Les jambes écartées, j’étais devant un banc. Le tube phallique, bien droit, saillant, s’imposait dessus. J’hésitais à m’asseoir. Je commençai à m’empaler. Les larmes reprirent, ma conscience se révoltant une nouvelle fois contre la débauche dans laquelle je glissais, à l’image de ce vulgaire tube dans mon vulgaire cul, la fureur du désir. Et néanmoins, je m’abaissais toujours plus, repoussant mes limites, et soudain, dans un bruit de ventouse, tout fut gobé dans mon fondement. M’asseoir n’avait jamais été aussi plaisant. Tout mon anus palpitait, se contractait par à-coups, ce qui l’embrochait toujours plus. Seule l’extrémité de mon gode improvisé sortait et laissait une prise (attention à ce que ça ne rentre pas totalement !). Je me jetai, me roulai dans la terre, hurlant. Je tordis mes tétons, au bord de la jouissance.
(De retour, quatrième épisode… Bonne lecture !)
La sonnerie cria. On sortait tous, on poussait avec les bras, les hanches. On suait d’être restés coincés dans la salle de labo, on sentait sur la nuque le souffle fort d’hommes qu’on imaginait nus la nuit. Évidemment, on sortait le téléphone, fébriles, les doigts tremblant d’anticipation qui déverrouillent l’engin, et le temps déjà trop perdu. Il y en eut un, parmi les garçons, qui rattrapait ses messages. Mais déjà il était bousculé, ça glissa de ses mains. À terre, l’écran trop lumineux renvoyait l’image d’une grande forme, couchée sur une autre, comme la chevauchant ; on eût dit des bêtes. C’était moi.
Je me jetai sur mon téléphone et par réflexe tentai de le cacher avec ce que j’avais sous la main, un sac de piscine. Aussitôt Hector demanda :
«Eh mec ! C’est quoi ça, tu déconnes ? Vas-y montre, partage un peu !»
En rigolant, il s’était penché sur moi, me taquinait, et mine de rien, posait une main sur mon torse, et, repliant sa poigne, finit par tirer mon téton droit. Il avait tout vu, c’était sûr. Dépassé par les événements, je ne trouvais quoi faire. Du coup, je dis une connerie, bien grosse, la première qui m’était venu.
«Euh, rien. C’est juste une photo de moi.»
Hector ne répondait plus, il avait un air sérieux. Sexy. Le sang me brûlait le visage. D’ailleurs les autres élèves avaient déjà déserté le couloir, laissant derrière eux une vague odeur de déo, puis de transpiration. Je n’en reviens toujours pas, de ma connerie, ou de mon audace : je venais littéralement de lui avouer que le minet qui se faisait défoncer sur la photo du téléphone, et qui en jouissait, c’était bien moi. Au moins, il n’avait pas vu que l’autre gars, qui justement me ramonait le cul, c’était son frère.
Il me redemanda la photo, car il avait cru mal voir, il croyait avoir reconnu quelqu’un, à coup sûr, oui, on aurait dit son frère.
J’avais peur, je ne disais rien ; mes yeux troublés devaient certainement lui donner confirmation. Je n’entendais que mon cœur. Boum boum. Et ma queue qui s’agitait. Boum boum. Je crois bien qu’il a crié, à ce moment, qu’il m’insultait, jurait. Crachait. Un vrai pote, lui, ne lui cacherait rien, disait-il.
Je me mis à courir. J’avais perdu mon pote Hector. Je courais. Boum boum. Des larmes tombaient sur la bosse de mon entrejambe. Boum boum.
La nuit était déjà là quand les grilles claquèrent, flanquées par le jardinier communal. Elles m’avaient surpris, caché dans un coin, les genoux entre mes bras. Sur mon téléphone, vingt-deux heures. Les deux petits chiffres s’écrasaient sur le dessus de l’écran, où le message prenait tout, toute la place. Je le lisais – relisais. Dix-septième fois.
Matéo, en souvenir de ton initiation, une photo que tu apprécieras. Tu reviens me voir ce soir. Je le sais, tu es en manque, c’est dur. C’est tout naturel pour une apprentie esclave. Tu as besoin d’être comblée, puis remplie. Tu porteras donc un plug en arrivant ce soir. Débrouille-toi si tu n’en as pas encore. Évidemment, tu seras nue.
PS C’est pour ton bien.
Qu’allais-je faire ? Je n’avais jamais acheté un seul plug ! À peine avais-je mis, un jour, deux doigts dans mon fondement, par poussée de désir, en me branlant.
Puis je revins à moi, je tremblais de rage, contre cet homme, ce bandit, ce criminel, et contre moi-même ! Je criai de rage. Je me remis à pleurer. J’en voulais maintenant à mon anus, qui restait toujours fermé, et qui ne me laisserait jamais y faire passer quoi que ce soit. J’avais ma main sous mon tee-shirt, qui triturait la surface de mes tétons sensibles. L’autre, elle, tenait mon achat flambant neuf, un tube de lubrifiant qui allait, à défaut, me servir de plug. Je le voyais si large et si long, ça serait un déchirement.
Slim et caleçon moulant glissèrent le long de mes jambes et la peau se hérissa ; je me mettais déjà à gémir. Instinctivement, mes jambes s’écartaient et laissaient ma rondelle caressée à la surface, là où la peau est toute sensible, par le vent frais. Me saisissant du tube, qui, remarquai-je, de sa forme phallique, se portait bien à la situation, je m’enduis les doigts de lubrifiant. Les portant à mon derrière, j’étalais tout, consciencieusement d’abord, sensuellement ensuite. Malgré moi, trois doigts glissèrent dans mon trou qui les avala, glouton et insatisfait. C’était tout chaud ! Ça y est, avais-je murmuré, je suis dans mes entrailles ! Je pliais, dépliais les doigts, doucement, tâtant la paroi douce qu’est celle d’un anus. Je tentai d’aller plus loin, et ce fut un énorme frisson, je me tendis de plaisir. Je m’écroulais, pour mieux me doigter. Je faisais maintenant des allers-retours, creusant de ma main profondément. Une fois mon cul bien bourré, j’essayai d’écarter mes doigts les uns des autres, le plus possible, comme repoussant les parois. Du coup, un liquide tout aussi chaud s’écoula par terre ; j’en avais plein la main.
Puis je me positionnais. Les jambes écartées, j’étais devant un banc. Le tube phallique, bien droit, saillant, s’imposait dessus. J’hésitais à m’asseoir. Je commençai à m’empaler. Les larmes reprirent, ma conscience se révoltant une nouvelle fois contre la débauche dans laquelle je glissais, à l’image de ce vulgaire tube dans mon vulgaire cul, la fureur du désir. Et néanmoins, je m’abaissais toujours plus, repoussant mes limites, et soudain, dans un bruit de ventouse, tout fut gobé dans mon fondement. M’asseoir n’avait jamais été aussi plaisant. Tout mon anus palpitait, se contractait par à-coups, ce qui l’embrochait toujours plus. Seule l’extrémité de mon gode improvisé sortait et laissait une prise (attention à ce que ça ne rentre pas totalement !). Je me jetai, me roulai dans la terre, hurlant. Je tordis mes tétons, au bord de la jouissance. À peine rhabillé, je courus à fond vers l’appart d’Hector, mon gode s’agitant furieusement en moi et qui, du coup, ouvrait toujours plus mon cul. Puis je bondis hors de l’ascenseur et, à quatre pattes, un pieu dans les fesses, comme une chienne, je gémis pour appeler mon maître.
Dans l’encadrement de la porte, ses yeux sévères me foudroyèrent.
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