Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
"La vue qu’il m’offre est la plus belle que j’aie jamais vue"
voir tous les textes de JARDINIER qui est l'artiste-écrivain que l'on sait : https://cyrillo.biz/histoire/soumission-domination-186.html
Extrait : "La vue qu’il m’offre est la plus belle que j’aie jamais vue d’un mec. Un superbe cul blanc, pulpeux, musclé, des reins cambrés comme seuls les danseurs peuvent le faire
Dieu qu’il est beau !
Son « vas y » me décoince et je plonge ma bite avec délice entre ses fesses. Avec mes pouces j’écarte les deux globes et pose mon gland
sur sa rondelle. Un petit coup de rein et il est emprisonné par ses chairs. Je pousse encore et encore jusqu'à lui mettre mes 20cm dans le cul. Il feule tout le temps de ma pénétration. Arrivé au
fond je reste bloqué le temps qu’il s’habitue à ma présence. Puis retrait complet. Je recommence trois fois de la même façon, jusqu’à ce que je sente bien son anneau m’accepter.
Là, j’y vais à fond. Mes coups de reins deviennent impérieux, autoritaires, violents. Mes mains ancrées à ses hanches l’empêchent de se dérober
(comme s’il en avait envie !). Je me couche su son dos et il tourne la tête pour que nous puissions nous embrasser. Mes reins continuent leurs mouvements et alors qu’il me tète la langue, je
continue à le sodomiser.
Je me redresse et le prends par les épaules. Alors que j’avance mon bassin, je tire sur mes bras accentuant le claquement de mes couilles contre les
siennes.
Il aime et me le fait savoir.
Il me surprend en se laissant aller à un langage sexuel loin de son éducation bien comme il faut. Il m’enjoint de l’enculer comme la salope qu’il
est, d’utiliser son cul pour me vider, qu’il m’appartient et que je peux faire de lui tout ce que je veux.
Il entame après un registre plus grossier, me demandant de le saillir comme une jument, de l’engrosser de ma jute. Qu’il aime tellement ma bite
qu’il me servira de vide couille, qu’il sera ma pute pour Marc et mes copains…
Finalement peu habitué, je me prends au jeu et lui glisse à l’oreille que je vais lui faire connaître des mâles comme il n’en a jamais rêvé. De ceux
qui vont lui défoncer l’anus jusqu’à ce qu’il crie grâce. Je le sens jouir sous mes coups de boutoir et son anus spasme sur ma queue, me faisant juter dans ma kpote.
Je m’écroule sur lui, avant de me retirer de son cul, la kpote pleine de la preuve de mon plaisir.
Souffles repris, j’appelle Ammed pour qu’il vienne nettoyer son sperme sur le cuir du canapé avant qu’il ne soit sec.
PH ne dit rien mais se serre contre moi le temps de l’opération. Il n’est pas encore habitué à nos hommes de service.
Nous passons la soirée entre nous, lui dans mes bras à regarder un film"
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