Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
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Les secrets qu'on se dit à voix basse dans ces moments de pur
TEXTES :
1. « je n’arrivais pas à me dire que je m’étais pris ça dans le cul ! »
Il me parlait encore comme à une pute. C’en était trop ! Son gland était enfoncé en moi sur deux millimètres à peine, ce n’était pas assez pour me soumettre ! Je n’allais pas me laisser faire ! Je lui donnai à mon tour un coup de coude dans le nez. Mais ça ne sembla que l’étourdir. Je lui en redonnai donc un autre, de toutes mes forces, et le sentis gémir de douleur. J’en profitai pour me relever, et au lieu de quitter la chambre, je lui sautai dessus. Je mis mes genoux entre ses cuisses, les écartai d’un coup, reposai ma queue sur son trou et appuyai d’un geste sec. Je sentis alors ma queue s’enfoncer entièrement en lui … pourtant, il ne hurla pas ! Je baissais alors mon regard sur mon entre cuisses, en sentant déjà la jouissance venir à l’idée d’avoir enculé mon frère. Et je vis alors que ma queue n’était en rien en lui, mais sous lui, entre le bas de son dos et le matelas. Je ne l’avais pas enculé, non, je n’étais toujours pas le dominant.
Surpris, je ne le sentis qu’à peine me retourner. Il m’allongea sur le dos, me retourna ensuite d’un seul geste, me mit sur le ventre, m’écarta mes fesses très musclées avec ses mains, posa encore son gland et donna à son tour un énorme coup de rein, comme moi avant. Sauf que là, je criai. Je hurlai même de douleur. Il m’étouffa dans le matelas pour atténuer mon cri. Je saisis ses poignets, pour me débattre, mais en vain, et je sentis son gland énorme me déchirer le cul. Il s’enfonça sur près de cinq centimètres en moi, et aussitôt, comme une véritable bête enragée, se mit à aller et venir sur ces centimètres. Je hurlais autant que je pouvais, mais visiblement il n’en avait rien à foutre. Il me serrait plus fort, m’asphyxiait presque, et me donnait des coups de plus en plus rudes. Moi, Yohan, pur hétéro, du genre à sodomiser des filles et à les faire hurler, à leur donner des orgasmes, à leur jouir à la gueule, je me retrouvais avec une queue énorme dans le cul, je me retrouvais à me faire enculer comme une véritable salope, dans une position incroyablement soumise. Et en plus, j’avais la queue plus que tendue, coincée entre mes abdominaux contractés et le matelas.
« Haaa putain ouais … ouais … ça c’est un cul d’hétéro ça … je sais les reconnaître … putain Yo' … tu m’as toujours excité … avec tes miches là … . J’ai eu l’idée de t’enculer dès que je t’ai vu te changer au foot y’a deux ans … . J’avais tellement envie de foutre ma bite dans ton cul … et voilà, je te saute … je te baise putain Yo' ! »
Visiblement, ces dernières paroles l’excitèrent lui-même, puisqu’il donna un nouveau coup énorme et se planta sur dix centimètres en moi. Je hurlais plus fort. Mon cul se déchirait, se fendait. J’avais l’impression qu’on y avait mis le feu, j’avais l’impression aussi que j’allais me mettre à uriner, car il pressait déjà ma prostate et ma vessie avec son gland énorme. Et surtout, j’avais l’impression que j’étais … une femme, et même une vulgaire salope, que mon frère si puissant se plaisait à sauter. Et pourtant, cette sensation, je l’adorais, j’en rêvais même, intérieurement, depuis que j’avais senti le gland épais de mon frère contre ma main, quelques mois avant. Sa puissance, son aura dévastatrice, j’en avais envie, je voulais les sentir dans mon cul.
[je voulais être lui et à lui en même temps]
Et voila qu’il me ramonait copieusement avec dix putains de bons centimètres de sa queue si imposante. Il l’enfonçait brutalement, il n’y allait pas de main morte, comme si j’avais été le genre de mec à me goder toute la journée et à avoir un cul ouvert, surtout pour une queue si large. Non, je n’étais qu’un hétéro, puceau du cul, en train de se prendre une queue si large que j’avais l’impression qu’il allait se rompre. Je serrais les poignets de mon aîné, qui soupirait de plaisir et qui vint me mordre le cou. Il me susurra alors à l’oreille, en retirant ses dix centimètres doucement.
« Tu es ma salope, Yo’ »
Et allez savoir pourquoi, les seuls mots qui sortirent de ma bouche furent « j’aime ça ».
Aussitôt que je les eus entendus, je me raidis, d’effroi, à ce que je venais de dire, d’avouer à mon frère, qui se mit à rire légèrement et donna un nouveau coup. En même temps, il bloqua ma tête dans l’oreiller, et il fit bien. Il me pénétra avec cinq centimètres de plus, et je hurlai davantage encore. J’avais l’impression qu’à chaque fois, il me creusait le cul davantage. Comme si ça avait été un tunnel qu’on créait à la dynamite, c’était exactement la même chose. Je hurlais, mais je ne me débattais plus, et au contraire, je sentais mes abdos coller, car ma queue veinée lâchait du pré sperme sur ma peau et les draps de mon frère.
Je couinais, sur sa puissante bite. J’étais en train de me faire enculer, et ce par mon grand frère, qui avait une bite d’étalon et une puissance contre laquelle je ne pouvais résister. Moi, Yohan, le mec qui arrivait sans problème à vaincre les autres au bras de fer, ou à leur montrer mon paquet imposant dans les vestiaires du foot, j’étais en train de me faire enculer par un mec qui pouvait me briser en deux d’un geste et qui avait renvoyé ma queue au classement des « poids plume ». Jamais je n’aurais cru cela possible, et pourtant, mon frère aîné me le prouvait à chaque fois que sa verge allait et venait en moi.
Il continua ce petit jeu pendant dix minutes, sur quinze centimètres. A un moment, j’arrivais à lâcher ses poignets, et non plus à crier mais à gémir. Et j’allais caresser son bas ventre, ses poils pubiens, et surtout, sa massue imposante, que je remarquais alors comme loin d’être totalement enfoncée. Il ne m’avait pas encore enculé à fond ? Ca devait être quoi dans ce cas ? Il allait remonter jusqu’à ma gorge ou quoi ?
J’allais bientôt le savoir. Parce que après dix minutes à m’enculer plutôt « doucement », mon frère se pencha et tout en me léchant l’oreille, m’avertit.
« Les choses sérieuses vont commencer. Et t’as pas intérêt de gueuler Yo’ ».
Je me mis à froncer les sourcils, je voulus retenir sa queue, car inconsciemment je savais ce qu’il entendait par là, mais rien à faire. Mon frère y mit toute sa force. Je le sentis se retirer, et puis s’abattre. Je voulus crier, mais il m’enfonça trois doigts dans la bouche. Et là, je sus enfin ce que c’était, que de se faire piner par un cheval. Mon cul sembla se fendre, se dilater tellement je crus qu’il se brisait en deux peu à peu. Et je pensai un instant que sa verge allait venir me percer les abdos. Je serrais mes mains contre son bas ventre, qui collait désormais à mes miches, et je tentais de hurler, mais il me doigtait la bouche avec son index, son majeur et son annulaire. Je ne pouvais rien faire, j’étais sien, il le savait, en profitait, et semblait adorer. Car en même temps qu’il se mettait à m’enculer, il me jutait du pré sperme en masse dans le cul. Moi l’hétéro, je me faisais marquer peu à peu par une vraie bite d’homme.
« Putain .. ça y’est … je t’ai Yo’ … et je vais te marquer … avec mon jus … je vais faire de toi … ma pute ! »
Sur ces mots, mon frère aîné se mit à me labourer l’anus comme jamais je n’aurai pensé qu’il le soit, même quelques secondes avant. Il se retira quasiment en plein, me tourna un peu la tête, me cracha au visage, puis s’enfonça brutalement en entier et se mit à donner des coups forts, sur près de dix centimètres. Sa queue de 23 centimètres se plantait en moi entièrement, me labourait le cul et surtout me le faisait chauffer comme si on y avait enfoncé une barre en métal préalablement passée au dessus d’un feu de bois.
Je hurlais, mais rien ne sortait, à part des gémissements étouffés sur ses doigts, qu’il m’enfonçait au même rythme que sa si puissante bite.
Je m’étouffais, je me faisais tuer à petit feu par sa bite. Et puis d’un coup, il donna un coup si fort, qu’il faillit me décrocher la prostate. Et là, ce fut l’apothéose, pour moi en tout cas. Ma verge épaisse se contracta d’un coup. Mon frère sentit mon corps se raidir, et m’écrasa alors un peu plus. Tant, que lorsque je me mis à jouir, tout mon sperme alla s’étaler sur les draps et mon torse. Je n’éjaculai pas deux jets, non, mais une bonne dizaine, jusqu’à me vider entièrement. Et mon frère sembla adorer, il glissa sa main libre sous moi, récolta du sperme en abondance sur ses doigts, et remplaça ceux dans ma bouche par ces derniers. Il m’obligea à avaler mon propre foutre, et continua de me piner sauvagement.
Il m’encula encore pendant dix délicieuses minutes. J’avais joui, mais ma queue resta dure durant tout ce temps, et je baignais dans mon sperme, alors que mon aîné continuait de m’enfoncer ses doigts dans ma bouche. Il semblait adorer ça, car je gémissais désormais et il n’avait plus besoin de m’empêcher de crier. La douleur passait peu à peu, était toujours présente, mais le plaisir la surplombait.
« Je vais te marquer Yo’ … ma pute … ma salope … »
Je sus alors ce que mon frère voulait dire. Il retira ses doigts de ma bouche, me saisit les pectoraux brutalement, me fit me cambrer bien correctement. Mes fesses se contractèrent, se dessinèrent encore plus bombées, et il se mit à me piner avec une force incroyable. Sa queue sembla se mettre à brûler tant il y alla vite. Il me ramona comme il ne l’avait jamais encore fait, puis il se mit à râler. Non pas un râle faible, mais un râle puissant, à l’image de son corps, et tellement viril. Et puis d’un coup, je ressentis ce que tant de filles avaient du ressentir avant quand j’éjaculais en elles. Du sperme, en quantité énorme, me remplit le cul. On avait même pas mis de préservatif, mais je faisais confiance à mon frère, et surtout, j’étais ravi de l’avoir en moi désormais. Tout son sperme s’écoula dans mon cul, et puis il se retira, sa queue encore dure, pleine de sa semence. Il bougea, vint me la coller au visage, s’essuya un peu, et l’enfonça dans ma bouche.
« Lèche, avale, nettoie, salope ! »
Il ne faisait plus de phrases, il me donnait juste des ordres. Et j’obéissais. Son sperme coulait en moi, dans mon cul totalement éclaté. Je léchais alors sa très puissante queue. Je m’appliquais, jusqu’à ce qu’elle soit parfaitement propre. Elle était si longue et large, je n’arrivais pas à me dire que je m’étais pris ça dans le cul. J’osais, à un moment, aller passer mon index sur mon anus. Il était totalement éclaté, béant, plein de sperme. Je rentrais doucement en moi, et je récoltais un peu du foutre de mon frère. Je léchais mon doigt, en le regardant, et il se mit à me donner des coups de queue sur le visage.
« T’es une sacrée chienne … putain … les hétéros font toujours les pires putes … . Allez maintenant, allonges toi et dors dans ton sperme, et j’veux pas te voir te bouffer le foutre qui te sort du cul toute la nuit, compris ?
- Oui … compris ».
Je ne savais pas quoi dire d’autre. Je lui appartenais, il me dominait, il m’avait enculé, baisé. Je me couchais comme il me l’avait ordonné, le cul en feu, cette impression étrange comme s’il ne se refermait pas. C’était donc ça, se faire enculer ? Et bien avec mon frère, j’adorais, etj ‘y repasserai sans problème. Sa queue était puissante, incroyable, et avait réussi à me combler totalement. Et je dormais, le cul collé à celle-ci, qui même au repos, était impressionnante. J’essayais de me coller au plus aux muscles saillants de mon frère, qui me repoussa, mais ne manqua pas de bien venir coller son bassin à mes fesses. Et je m’endormais à côté de lui, plongé dans mon foutre, sans même penser à ce que mes parents découvriraient au matin s’il venait dans la chambre.
Le sperme dans le lit, cette nuit là, c’était le mien. Car celui de mon frère était logé en moi, et il y resta, pour mon plus grand plaisir. Cette histoire aurait pu s’arrêter là, mais en bon hétéro que je suis, j’avais le besoin de tester ma supériorité. Et lorsque je revis mon frère, chez lui cette fois-ci, il y’a de cela une semaine, je voulu tester cette puissance. A mes risques et périls, mais peut-être que ce fut davantage à mon plaisir ?
Lire le texte du début à la fin sur cyrillo :
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https://cyrillo.biz/histoire-gay-2012-hetero-incestueux-4.php
2. LA PROFESSION DE FOI DE YANNO Actif nokapote sur cyrillo
"Ces mecs-là quand ils baisent les culs des puceaux c'est pour leur en foutre plein les trous, plein la bouche, plein le trou du cul et plein partout, ils ne s'emmerdent pas avec les capotes, ils baisent les mecs tels quels, ils ne les épargnent pas, faut dire que tous ces petits enculés sont demandeurs, ils veulent être enculés à fond et profond par des hommes qui ont l'âge de leur père et ces petits mecs là jouissent et tressaillent de plaisir quand un homme qui est bien en train de les troncher jouit et laisse partir son jus de mâle dans le cul ou la bouche de l'enculé qui s'évanouit presque sous les coups de boutoirs virils.
Les mecs qui se font baiser ainsi savent à quoi ils s'exposent mais souvent, aveuglés par le désir qui les tenaille, ils vont au mâle pour se donner en pâture à ces mecs sans scrupules qui ne pensent qu'au résultat qui va les faire jouir jusqu'à plus soif, piner un cul ou une bouche quoi de meilleur surtout que là c'est carrément libre, pas de barrière, bareback c'est la baise 100 pour cent pur jus !
Perso même si je ne devrais pas le dire j'ai toujours baisé comme ça, faut dire que je suis 100% cul, je n'aime que ça bon enfin non, il y a la bite et les couilles aussi, lol, depuis que j'ai commencé ma vie de gay je ne pourrais pas compter le nombre de litres de foutre que j'ai dû ingurgiter, après tout c'est un choix de vie et chacun fait ce qu'il veut dans ce domaine puis une vie on en a qu'une alors à mon avis vaut mieux en profiter, ça sert à quoi ne s'interdire tout, de toute façon on est tous voués à crever un jour alors ma politique c'est la baise, chez moi c'est aussi vital que de manger ou de respirer puis même si je décidais un jour (qui n'existera jamais) d'arrêter tout, je sais d'avance que je ne le pourrais pas car c'est ma pine qui commande quand elle voit un bomec elle se redresse sans que je lui donne la permission, elle désire enculer tout de suite et sans capote le type qui ne dit pas non à mes avances, tous ces mecs de 25-30 ans me donnent une gaule pas possible, ça, pour être homo je suis gay de la plante des pieds jusqu'à la racine des cheveux et j'adore ça, nous sommes beaucoup de copains comme ça et ce n'est pas demain que ça s'arrêtera.
Si maintenant je baise plus que des mecs de 30-40 ans, il fut un temps ou je ne me mettais sur le gland que des jeunes mecs de 20-25 ans, tous hypers salopes les uns les autres mais après tout s'ils en ont tiré du plaisir, moi aussi et de ça j'en suis bien heureux !" yanno
Non ce n'est pas vrai que je pratique l'indifférence pourvu qu'on me baise : j'aime qu'on s'aime !
Un réveil plein d'attentions et de tendresse ( le gars éjacule 2 fois dans son cul en 10 mn ! )
Allez, mate avec nous cette belle vidéo de baise :
https://fr.xhamster.com/videos/teen-wakes-up-his-boyfriend-for-a-hot-deep-ass-fuck-2365352
mais reviens-nous bien vite !
Ben là, appelons-le Daddy si on veut, ok, car il a l'âge de son père, mais peu de chances que ce soit son vrai papa !
...ça ne pouvait que rentrer !
Les vues de près sont un privilège, juste voir en clair et savoir comment ça se passe (comment il se la prend dans le baba, la bite, et comment son petit coeur frémit).
Dans la baise debout sur la drague j'ai vu plusieurs foisdes voyeurs qui s'approchaient à 20 cm ou s'allongeaient sur la terre, dessous, pour bien voir le "miracle" du "comment ça rentre" :
https://fr.xhamster.com/videos/bareback-breeding-extreme-closeup-3300329
le point de non-retour
il faudrait plugger cet anus afin de pouvoir garder ce précieux nectar
Alliance close up et tender : vues de près et tendresse
https://fr.xhamster.com/videos/guys-in-love-fucking-bareback-1914206
quand c'est rentré :
cette confiance qu'on s'accorde, surtout quand c'est gros
Pas de souci, t'inquiète ! crois-moi, ça va aller les difficultés c'est seulement dans ta tête !
commentaire : n'hésite pas à employer les mots les plus crus