Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
Déjà, s'il vous est arrivé d'être fécondé plusieurs fois dans la foulée par le même mec, alors vous ne pouvez que comprendre que Denis se donne à lui passionnément
Ensuite si vous pouvez vous persuader que vous n'entendez pas le bruit assourdissant que font les voisins qui baisent, alors zappez le présent article, ok ?
https://cyrillo.biz/histoire-gay-2017-bon-rapport-01.php
https://cyrillo.biz/histoire-gay-2017-bon-rapport-02.php
-« Quoi ? Tu nous entendais avec Lucie ? »
-« Ben oui, tu sais les murs ne sont pas très épais et l'isolation phonique un peu rudimentaire. Mais bon, t'inquiète, c'est pas grave, je me plains pas ».
-« Oh la honte ! Je suis désolé, on n'y a même pas pensé… »
Là, j'ai vu qu'il comprenait que je l'avais aussi entendu avec son beau-frère :
-« Oh putain, tu sais tout alors ? »
-« Bah, oui… Mais je ne te juge pas, ça ne me regarde pas, ne sois pas gêné…. On en parle si tu veux, si tu ne veux pas, on oublie. »
-« Oh le loser ! L'image que tu dois avoir de moi, j'y crois pas ! »
-« Non non, t'inquiète, au contraire, j'ai kiffé… Euhhh, enfin, c'était loin d'être désagréable… »
-« T'as kiffé ? Non ! Tu t'es quand même pas branlé en nous entendant ? »
-« Ben si, quand même ! Attends, tu te branles pas devant un porno toi, ben là, c'était un peu pareil ! Et puis, désolé de te dire ça mais, mec, t'as une sacrée libido, t'es endurant et tu fais bien gémir tes partenaires. Comment veux-tu que je ne réagisse pas ? Si tu rajoutes ce que tu disais à Martin, ben là, c'est carrément pas possible ! »
-« Ah non, j'ai trop honte là ! »
-« Mais non, c'est pas la peine, c'est la vie ça ».
-« Quand tu dis que t'aimais quand je parlais à Martin, je le traitais comme un salope quand même ! »
-« Ouais mais c'était super excitant ! Il kiffait bien et moi aussi je peux te dire ».
-«Genre ? »
-« Ben genre, je me voyais bien à sa place.. »
Abdel et Martin de l'autre côté du mur
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Extrait : " j'allais rentrer chez moi quand Abdel m'a collé à lui et a dit :
-« Hummm, je ferais bien une petite sieste… T'en dis quoi ? »
Tout en frottant mon cul contre sa braguette, j'ai répondu :
-« Une sieste ? Bof, j'ai pas trop envie de dormir là ».
-« Moi non plus, je pensais à autre chose… »
Il m'a entraîné chez lui, on s'est déshabillé dans l'appartement en jetant nos vêtements un peu partout en avançant vers la chambre. J'allais
m'allonger sur le lit quand il m'a arrêté pour me dire :
-« Attends, j'ai envie de te prendre là, debout contre le mur en imaginant que le voisin nous entende et se branle, ça m'excite ça.. »
J'ai posé les mains sur le mur, j'ai écarté les jambes, j'ai senti sa chaleur m'envelopper, ses mains se sont posées sur ma poitrine pour me malaxer
comme si j'avais des seins. Sa bouche s'est posée sur ma tête, ses doigts mouillés de salive ont lubrifié mon trou puis son gland humide s'est logé entre mes fesses. Il a trouvé l'entrée et, en
poussant d'un coup sec, il m'a embroché, j'ai poussé en même temps pour m'ouvrir au maximum mais j'ai quand même crié, il a continué et m'a susurré :
-« Détends-toi… tu vas aimer te faire défoncer comme ça ma salope…. Martin adorait que je le baise ici, tu te souviens, tu kiffais nous écouter et
ben là, c'est ton tour ! »
Il m'a donné un immense coup de reins qui m'a fait décoller et hurler à la fois de surprise, de douleur mais surtout de plaisir !
Il m'a ravagé le boule comme ça pendant de longues minutes en me disant que j'avais un trop bon cul, serré mais chaud, humide et bien profond, que
j'encaissais bien que j'aimais ça vu comme je mouillais. Ce mec me déglinguait le cul et je prenais un sacré panard ! Il avait une endurance incroyable, on était en sueur, j'avais de plus en plus
de mal à tenir debout, mon cul me brûlait mais je le sentais mouiller comme jamais, j'ai eu un orgasme anal qui m'a provoqué des contractions de partout, d'abord de l'intérieur comme un
fourmillement qui s'est amplifié pour gagner tout mon conduit anal, j'ai eu un coup de chaud qui m'a irradié jusqu'aux extrémités et la chair de poule en même temps. Il continuait à me baiser et
m'a dit :
-« Oh c'est trop bon, je vais te remplir sans tarder ».
Il s'est bloqué en moi, m'a littéralement pétri la poitrine pendant qu'il déversait ses jets de jus au fond de moi.
On est resté comme ça un moment, reprenant notre souffle. Je ne le sentais pourtant pas débander, il m'embrassait sur la tête, me caressait encore
la poitrine. Il m'a dit :
-« J'ai toujours envie de toi, bouge ton cul pour m'exciter encore ! »
J'étais dans un état second, j'ai bougé mon cul comme une salope en chaleur qui en veut toujours plus.
Il m'a soudainement saisi par la taille, nous a retourné d'un coup, m'a approché du lit sur lequel il m'a couché sur le ventre sans déculer d'un
seul centimètre. Ses deux mains se sont posées de chaque côté de ma tête, ses jambes étaient serrées, il a posé ses pieds par terre et a commencé une série de pompes au-dessus de moi pour
m'enculer de toute sa puissance. Il s'est mis à me donner des grands coups de reins en faisant onduler son bassin avec un souplesse incroyable qui lui donnait encore plus de force pour me
démonter. J'étais cramponné au matelas, je hurlais de plaisir quand je l'ai senti s'enfoncer au plus profond possible et crier à son tour comme il me remplissait pour la deuxième fois.
Là, j'ai vraiment eu envie d'une sieste ! J'étais essoufflé comme si j'avais couru un marathon, Abdel n'était pas mieux que moi, on est resté
allongé côte à côte pendant un bon quart d'heure ! C'est moi qui ai rompu le silence :
-« Ouah, comment tu m'as baisé ! Je comprends que j'entendais crier de l'autre côté ! »
-« J'adore baiser deux fois de suite comme ça quand je suis excité, ça me vide trop bien ! »
-« Tu m'as détruit le cul là ! »
-« T'inquiète, tu vas t'habituer, bientôt tu pourras plus t'en passer de ma bite. En tout cas, moi, ton cul, je le lâche pas comme ça, il est trop
bon ! ».
Avant que l'envie de baiser le reprenne, je me suis éclipsé chez moi, j'ai pris une longue douche, j'ai touché mon trou qui était explosé. Son jus
avait coulé et souillé mes cuisses. Je n'avais jamais été baisé comme ça.
Je me suis effondré dans le canapé pour mater la télé, je crois même que je me suis endormi un moment. Des potes m'ont appelé pour aller en soirée,
j'ai pensé que c'était une excellente idée. Je suis rentré vers 3h30 du matin, je me suis douché et couché, j'allais éteindre quand mon portable reçoit un texto de Abdel : « Bien rentré ? Bien
amusé ? », « Ouais et Ouais lol », « T'as envie de dormir tout de suite ?». Alors que mon cul me hurlait OUI, mes doigts ont tapé NON ! Je me suis relevé, il m'a accueilli dans son lit et là,
super tendrement, il m'a fait l'amour très longuement. Je n'ai presque pas eu mal. Une fois terminé je l'ai questionné sur cette libido. Il m'a dit avoir de très gros besoins, d'autant plus gros
quand il est excité et moi, je l'excitais à mort !
A partir de ce jour-là, on a entamé une relation très intense, on se retrouvait soit chez l'un soit chez l'autre. Il est le premier mec à m'avoir baisé debout dos collé au mur, les jambes enroulées autour de sa taille et les bras autour de son cou. J'ai goûté à sa bite dans un grand nombre de positions mais surtout un nombre incalculable de fois. Il me baisait au moins trois fois par jour et souvent en pleine nuit. Mon corps s'est habitué à ce rythme, j'ai perdu 5 Kg alors que je ne suis déjà pas épais. Pendant un temps, ma libido s'est calquée sur la sienne, j'étais toujours partant, je provoquais même les parties de baise, je me suis habitué à ce qu'il me baise deux fois de suite les jours où il était très excité, je suis effectivement devenu accro à sa bite. Je captais le moindre signal ou la moindre intonation qui trahissait son envie, je savais parfaitement quoi dire ou quoi faire pour qu'il devienne fou et me veuille dans l'instant… Je me souviens d'une séance de cinéma que nous avons quittée précipitamment pour qu'il me déboîte comme la dernière des putes. Une autre fois, il a dû garer la voiture un peu à l'écart pour une pipe. J'adorais le surprendre et l'exciter dans le supermarché et lui foutre la gaule du siècle au moment où il passait à la caisse alors que moi, j'avais payé mes courses et je l'attendais un peu plus loin en admirant discrètement le spectacle et, surtout, en pensant à ce qu'il allait me mettre après ! Bon nombre de caissières ont dû croire que c'étaient-elles qui lui faisaient cet effet.
...on a passé les dernières semaines à baiser comme jamais, une sorte de marathon du sexe. Il a battu son record en me baisant trois fois d'affilée !...
Lisez les textes du début ! vous avez les liens ds 3 textes ci-dessus
commentaire :
FESTIVAAL BLACK & WHITE !
guider c'est bien montrer qu'on la veut