Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

bite dans le cul gay gros zob rebeu

 

 

Image associéeeh oui ! sous le pseudo de GLAUDOUN cavaillongay a proposé ce récit gay inédit à cyrillo.com qui nous a fait le plaisir et l'honneur de le publier. Merci !

https://cyrillo.biz/histoire-gay-2019_Rolland.php

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Qui donc a inventé la pudeur, et dans quel intérêt ? Sinon pour exhausser les cloisonnements entre les individus ? Et qui donc a inventé la provoc' et l’exhib' qui sont la réponse aux excès de la pudeur.

merci de votre fidélité ! Cavaillongay

LA PUDEUR OFFENSEE…  

 

 

 et dire que ce sont les mots employés par la loi pour définir certains délits y

 

compris sexuels.

 

Récit fictionnel : toute ressemblance avec...

1.Dans une petite cité de la région Aquitaine, nous faisons partie d’un club de canoë-kayak, en tant que bénévoles mon épouse et moi pour aider à l’encadrement des rencontres sportives : essentiellement des courses. Moi, modeste « dirigeant » j’aide. Quand je conduis le minibus du club je mets toujours du Nougaro pour que la route soit agréable, con, c’est mieux, con, que leur rap à la con, con, oui je suis jeune et surtout en esprit et si je me lâche j’ai ce parler de chez nous, con.

Parmi les participants il y a toutes les catégories des benjamins aux séniors, et même aux vétérans. Nous sommes fans de nos équipes et les accompagnons dans tous leurs déplacements et je suis souvent le chauffeur du minibus. Il ne fait pas encore très chaud et se mettre dans l’eau froide demande un bel effort. Au fait vous ne connaissez pas les Astart qui sont membres du club au même titre que nous pour « encadrer » — je n’aime pas ce mot — leur fils Rolland, un beau garçon roux frisé et musclé de près de 18 ans qui veut se qualifier en Équipe nationale sénior, sa catégorie court en dernier. On a le temps : nos enfants ont couru leur première manche et Rolland et nous attendons le départ des premiers séniors. Il n’est pas en tenue, et pour avoir chaud il a conservé son survêt ». Assis dans les rochers qui bordent la rive, nous formons comme une parenthèse autour du jeune athlète, les yeux tournés vers le calicot de la ligne de départ. Soudain il se lève et, debout entre nous sur un rocher plat, se met en devoir de se mettre en tenue. Ça suppose de tomber le survêt. Il le tombe. Selon lui il faut aussi tomber le boxer… Il le tombe ! Il va enfiler un minislip serré qu’il a à la main. Maman !!! Comme on dit chez nous pour exprimer la peur ! On s’était assis comme on pouvait, un peu près les uns des autres, il sort un sexe é. n. o. r. m . e, vraiment hors du commun. Un beau levier quoi ! (la maman et le papa peuvent être fiers de leurs œuvres — lol —) Et il s’est tourné vers moi : je l’ai juste sous le nez sa bite demi-bandée. Je suis forcément pas mal gêné et assez troublé vu la présence des parents et de ma femme. Il est clair que c’est intentionnel. Les témoins mettent-ils ça sur le compte du sans-gêne habituel de nos jeunes sportifs ? Il vaudra mieux, car comment ne pas se poser de questions sur ce geste ? Je sais que je dois trainer des rumeurs homos sur mon compte, mais quand même,,, ! On se regarde sans se voir je baisse les yeux. Lui debout, moi assis, s’’il se tournait un peu plus j’aurais sa bite aux lèvres. Je n’arrive pas à dire si j’aurais eu ouvertement envie de le sucer voire plus, en d’autres circonstances de provoc', et si on était seuls je ne sais pas s’il ne m’aurait pas dit déjà : – « tiens, suce-la ! » avec ce regard arrogant. Mais ici ce serait nettement une « offense publique à la pudeur ». Pour moi c’était trop à la fois. Personne ne disait rien. Je ressentais ce geste lent comme dirigé contre moi, j’en pressentais des raisons proches de l’insulte et d’un désir de faire perdre le contrôle au bimarié que je suis. C’était fou et pervers de l’imaginer peut-être même pas prémédité. Le simple hasard d’une situation favorable. Et pourtant, tout le monde fait semblant de rien. Bien sûr il sait quelque chose et, dans une certaine mesure, les autres aussi, non ? Les battements précipités de mon cœur ont à ce moment plusieurs explications. Je ne laisse rien voir et j’attends que ça cesse, yeux et tête baissés. De temps en temps je lève les yeux et regarde au loin. Euh, je me demande si je ne suis pas rouge et si je ne dévoile pas mon trouble. Ça doit finir. Ouf ! Ça y est il est pour ainsi dire « habillé » avec ce minislip bleu qui a du mal à contenir sa bite considérable. Il a — d’un certain point de vue réussi son coup : pendant un moment mes pensées, mes sens, mes défenses ont été chamboulés, mis à rude épreuve.
C’est ce genre de chose qui s’autoverrouille. Comment en parler ? Il s’est foutu à poil et il a approché sa bite de mon visage, de mes yeux, de mes lèvres même ! Comment le dire ça : c’est à la fois insignifiant et Enaurrrhme ! L’occasion de clarifier se présenta très vite. Le retour fut triomphal pour l’équipe et surtout pour Rolland, qui avait réussi à se qualifier pour les championnats de France. Il eut le triomphe modeste le cher enfant et comme d’habitude il vint s’assoir tout près du poste de conduite que j’occupais en tant que chauffeur, le brave gosse, doux comme un enfant et fort comme un homme. Je lui dis : – « Bientôt c’est toi qui conduiras le minibus : tu auras ton permis incessamment sous peu ! » - « J’espère, je fais tout pour » - « Tu te rappelles quand tu étais si minot qu’on t’appelait trois kilos ? Pas moi en tous cas, hein, j’aime pas les surnoms » - « ... »(Silence) — « tu es un homme, un vrai maintenant... » - « Pas comme certains ! » Me répond-il plein de sous-entendus… – « Pourquoi tu dis ça ? Aujourd’hui, à ton âge on ne pense pas qu’on a le droit de vivre sa vie comme on veut ? » - « Pas certaines choses ! » Je conduis, j’ai charge d’âmes et lui qui me capte toute mon attention. Puis exactement dans le style de sa séance de strip du matin il me lance un brûlot : « Quelqu’un m’a parlé de toi. » Je serre le volant du Minibus — « QUI, “quelqu’un” ? Et d’abord, en bien ou en mal ? » - « il m’a fait jurer de rien dire et si je te dis qui c’est » ce merdeux n’est pas aussi joli dedans que dehors. - « Là, c’est TOI qui viens de te mettre en question : un traitre est un traitre, tu voudrais que je mendie les infos d’un traitre ? » - « C’est Pierrot. » J’ai forcé Rolland à abattre sa carte maîtresse, Il faut que je garde la main, mais tout d’un coupje suis moins inquiet. – « Pierrot n’a pas pu te dire du mal de moi » (gros sous-entendu dans ma tête) — « non... mais,,, » — « Tu me dis ça pkoi ? Moi, je vais dire à Pierrot le bon marché que tu fais de ses confidences. » Je l’ai cloué. Il ne répond rien puis : – « non il a pas dit du mal... » - « Bon, écoute : c’est la journée des journées : ta copine n’est pas là, tu me fais deux attaques en règle, on arrive bientôt au local du club, si tu es d’accord on se voit au club une aprèm pour une séance de coaching privé. Mardi aprèm 14h y a personne » lui dis-je en martelant mes paroles d’autorité et d’énergie — « OK je serai là »

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- « moi faut pas me lancer des défis de ce style ! »
14h mardi, Il est dans l’eau depuis demi-heure il s’est fait emmener vers 13h30, on se connait avec son père, mais suffisamment peu, et c’est mieux comme ça !
Avec Rolland (de Roncevaux comme, par jeu je le surnomme) il faut s’attendre à un évènement toutes les demi-heures… Je plaisante ! De son kayak aux couleurs multicolores (aïe ! Arc-en-ciel c’est seulement maintenant que je le note) il me salue et m’explique qu’il est arrivé en avance qu’il a commencé les séries, qu’il en a fait trois déjà et qu’est-ce qu’il fait après ? Les yeux dans les yeux je lui en dis, il boit mes paroles. Mais qu’est-ce qu’il est chouette ce jeune ! Oh encore un truc ! est-ce depuis aujourd’hui ? ou est-ce avant ? et ça lui va si bien au visage que ça ne se remarque pas : il a un pendant à chaque oreille ! Je m’engueule silencieusement de ce manque d’observation, surtout que ce nouvel Estanguet ne manque ni d’allure, ni de talent sportif, ni d’attrait sexuel*.
- « moi faut pas me lancer des défis comme ça ! »

Il est très essoufflé par les séries d’entraînement que je lui ai infligées. Il sue et se défait rapidement de ses vêtements. Le minislip bleu vole dans les airs aussi. Le voilà nu intégralement. Il dit viens on se douche. Bien sûr ! Me dis-je me voilà piégé. C’est lui qui dirige ! Sa grosse pine il veut me la mettre, j’en suis sûr. On se douche, bien sûr dans la même cabine. Nos corps s’étreignent sous l’eau, C’est lui qui l’a voulu, qui l’a manigancé soudain c’est quoi ? Il se met à genoux ; il me suce. Non c’est pas vrai ! Penché au-dessus de lui je le branle. Il est bien long à bander avec sa grosse queue. Moi non, je bande avant lui tandis qu’il me suce encore. À quatre pattes, avec force il me dit, sans même penser que quelqu’un pourrait entendre : – « Prends-moi, baise-moi ! » Je ne pourrai pas dire que c’est moi qui l’aurai voulu : il se saisit de ma queue et la présente à son derrière. Je dois accomplir mon agréable devoir. Bon, il s’est révélé tel qu’en lui-même, qu’il ait une grosse bite ou non. Là ma bite nage dans le plaisir et moi dans l’allégresse. Vaguement en lui tapissant les entrailles de mon nectar, je repense à cette histoire de Pierrot... et c’est là, encore essoufflé (cette fois par l’amour) qu’il me lance : – « Je veux… qu’on se fasse... un plan à trois… avec Pierrot » je n’en reviens pas : c’est Rolland qui a tout fait et, bien sûr, tout ça s’est réalisé, Ne dois-je pas, en fin de compte, me féliciter des indiscrétions de Pierrot ?

Et là, maintenant je l’attends ce plan à trois, les conduites sexuelles de chacun de nous se révèleront encore plus précisément. Comment cela va-t-il se passer entre nous trois ? Ça ne peut pas être une simple addition de nos comportements, mais plutôt une remise en question de chacun pour nos bonheurs respectifs. J’espère qu’aucun de nous, moi tout le premier, n’aura la place du con !... Celui qui ne fait que regarder sans rien faire et vu la beauté de chacun de nous ça ne serait pas forcément la plus mauvaise place. Une chose me tiendrait à cœur c’est de voir Pierrot se prendre la queue énorme de Rolland... et ça ne me déplairait pas non plus de me la prendre... Une chose est acquise : il n’y aura pas de (connerie de) pudeur entre nous ! Plusieurs athlètes olympiques et autres viennent de prouver que le sport de haut niveau et l’homosexualité se concilient à l’aise, il est passif, mais je ne me fais aucun souci pour les futures performances de Rolland.

* pourquoi ce serait mieux de dire le mot anglais « sex- appeal ? » au lieu d’attrait sexuel non ! : pour moi Pierrot et Rolland ont un très fort attrait sexuel ! Attrait sexuel attrait sexuel attrait sexuel, ne vous déplaise !

 

commentaire :

 

 

le fun des kayakistes au vestiaire :

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...Parfois à la muscu on se croisait dans les vestiaires et j’en profitais vraiment. À chaque fois il venait taper la discussion alors qu’il était en boxer et rien d’autre. Et à chaque fois j’avais du mal à garder mon regard sur ses yeux. Et à l’époque je pensais être grave discret quand je regardais son paquet, bien gros je dois dire, ou ses abdos bien dessinés.

 

 

  PLUS OU MOINS "LICITE" :

NOTES:

 

Un coach sportif très populaire dans son collège de Penn State a été arrêté le mois dernier aux États-Unis pour viols et autres abus sexuels...

Le Blog "case des hommes" :

http://case-des-hommes.blogspot.com/2011/12/la-curiosite-sexuelle-des-garcons.html

 

La curiosité sexuelle des garçons, l'attitude des adultes

Un coach sportif très populaire dans son collège de Penn State a été arrêté le mois dernier aux États-Unis pour viols et autres abus sexuels sur une quarantaine de garçons entre 7 et 13 ans (au moins huit victimes avérées). Des responsables de l'école auraient couvert ces délits. Samedi, le New York Times publiait une interview dans laquelle le présumé coupable (libéré sous caution) clame son innocence: "J'étais pour eux un substitut paternel". Blogueur invité, Robert G. se souvient. -- André.
Dans l’affaire d’abus sexuels envers des garçons par l'entraîneur de Penn State, je me méfie; certains Américains tendent à voir de la pédophilie dans des photos de bambins nus sur une plage. S’il ne s’agissait que de douche collective, partagée en tout bien tout honneur entre un adulte et une équipe de garçons même pré-pubères, je ne suis pas certain qu’il y ait de quoi crier au scandale. Quoi qu'il en soit, elle a réveillé des souvenirs d'enfance (années 1960). Est-ce que je me pose rétroactivement en victime?
Comme scout louveteau (8-12 ans) j’ai participé à un camp dont le responsable procédait chaque soir personnellement à la douche individuelle de chaque garçon à poil, passant consciencieusement son éponge savonneuse partout... Lui portait son short de bain, et je n’ai jamais rien remarqué d’inconvenant, même si nous disions que c’était curieux et étions soucieux d’éviter d’avoir le piquet. Je pense néanmoins qu’aucun de nous n’en a jamais parlé à ses parents: nous ressentions que cela ne se faisait pas. Cela ne m'a pas traumatisé (mais ce serait certainement l’effet d’en parler et de voir les réactions horrifiées que cela susciterait!). Pensez: dans le même camp circulaient entre les louveteaux des bandes dessinées pour adultes (petit format) barbotées aux parents. Ni chattes, ni bites, ni sperme, mais des belles filles seins nus et des beaux gosses (dont le slip noir faisait mon désespoir) dans des situations suggestives...
Au même âge et en d’autres circonstances, je n’avais qu’une envie, celle de voir les moniteurs jeunes adultes à poil. Mais ils attendaient (eux!) que nous ayons fini de nous rhabiller après la piscine. Une fois, j’ai oublié volontairement ma montre pour faire irruption plus tard dans le vestiaire... À l’internat, je me suis intentionnellement mis à bander dans une douche collective pour voir si cela déclencherait je ne sais quoi. Mais rien, hélas! (Aujourd'hui je serais probablement signalé à un service éducatif.) Et je conserve un souvenir ému de ma dernière colo de pré-ado où un garçon, qui avait déjà commencé sa puberté, présentait des organes transformés ornés d’une collerette de poils.   Si j’ajoute que, quelques années plus tôt, j’étais attiré par la pissotière du quartier dans laquelle je me rendais seul, on se dira que je suis totalement dépravé. En réalité pas du tout: je vivais alors dans une innocence inconcevable aujourd’hui, ignorant des choses du sexe et a fortiori de l’homosexualité, ou des pervers à l’affût... Je devais avoir 10-11 ans lorsqu'un copain a tenté de me faire croire des choses dégoûtantes sur ce que font le père et la mère pour avoir un enfant. À 13 ans, après notre première leçon d’éducation sexuelle donnée par une doctoresse, mon voisin de banc et moi-même avons bien compris que le nom scientifique du zizi était “anus”... Et je garde un regret éternel de mon déniaisement raté: à 12 ans, je me suis enhardi à dire au fils du boucher, gros vantard, que mon piquet remontait plus haut que le nombril. Mais la fin de la récréation a sonné et nous n'avons pas eu le temps de nous rendre aux WC pour comparer.   L’affaire de Penn State prend évidemment une toute autre coloration que ces souvenirs si l’entraîneur (père de six enfants) a réellement sodomisé un garçon de 10 ans dans un vestiaire et abusé de nombreux autres jeunes en situation familiale difficile. La curiosité sexuelle des adolescents fait partie de la construction de soi. La condition de leur épanouissement futur repose sur le fait qu'elle ne sera pas suivie d’un passage à l’acte. C’est aux adultes de savoir y résister, d’assumer la différence de rôle qui est le leur.
Robert G. sur case des hommes

 

 

 

COMMENTAIRE :  à mon avis ton gars savait très bien ce qu'ils faisait en te faisant de l'exhib "sous le nez"

 

 

Jeu 16 mai 2019 Aucun commentaire