Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
Ah ce parfum ! qui était celui, envoûtant, de son corps...
C'est une histoire troublante comme beaucoup d'autres, pleine de passion, d'instinct, soutenue par une bonne dose d'adrénaline et pleine d'affection. Nous faisions parfois l'amour, dans des parcs, des bois, dans mon entrepôt, dans un hôtel, mais parfois nous avions des endroits très spécifiques, liés à l'heure du RV où nous nous cachions, dont, en particulier sa soute à bagages, dont il était responsable. L'attente :
Qui aurait pu nous trouver et nous espionner dans la nuit, dans un parking désert à six heures du matin?
Ecrire ce récit m'a donné envie de re-fantasmer sur ces jours où, les bouchers travaillant très tôt, j'allais -à 6 h du mat- rejoindre P… dans son arrière boutique au village voisin pour inaugurer, préfacer la journée qui, ni vu ni connu, enrichie de nos orgasmes respectifs allait être belle... Merci de votre fidélité ! Cavaillongay
à cette heure P...venait juste de décharger ses carcasses
L'excitation a commencé à monter lorsque nous nous sommes appelés ... "On se voit ... à l'endroit
habituel ?" ... "Arrivée ...".
J'étais toujours le premier à arriver, je me garais, je regardais autour de moi, je commençais à respirer l'odeur de la nature qui allait
bientôt entrer dans nos corps.
Il était beau, peu importe ce qu'il portait, ça aurait pu être un vêtement signé ou quelque chose acheté sur un marché de banlieue.
En hiver, il portait des joggings, un string magnifique et tout se distinguait par la beauté de son corps, vraiment exceptionnel.
J'ai rêvé toute cette nuit de cette rencontre, anticipant l'odeur de son corps qui m'avait frappé depuis notre premier rendez-vous, j'ai goûté à la
délicatesse d'une peau totalement dépourvue de poils.
Le voici qui pousse sa voiture derrière la mienne et descend, je suis sûr qu'il anticipe déjà le plaisir qui envahira son corps, son esprit,
son âme.
Nous montons tous les deux sur les sièges arrière, en faisant glisser les sièges avant le plus loin possible vers l'avant afin de laisser plus de
place à nos mouvements.
Nous nous embrassons, quelques mots et nos lèvres sont déjà en contact, c’est un baiser passionné, nos lèvres se fondent à l’unisson, nous n’avons
pas le temps pour trop de préliminaires, nous devons bientôt prendre le train qui nous mènera à nos respectifs emplois.
Et l'excitation l'avait déjà fait mouiller du cul et moi j'étais dur comme le roc, nous ressentons tous les deux l'excitation de
l'autre, comme toujours nous voulons faire quelque chose d'exceptionnel d'une fusion simplement habituelle. J'aime procéder étape par étape, comme si je montais un escalier aux paliers faits exprès, mes mains parcouraient tout son corps et
l’embrassaient partout, sur son visage, sur son cou, déboutonnant sa chemise et un gilet fantastiques montrant déjà leur contenu splendide.
Sa poitrine me rend fou, je le touche, je le caresse, je l'embrasse, je tiens un mamelon entre mes dents, délicatement, je suis un amoureux des tétons bien formés et il est petit, il est dur
et ferme comme du roc.
Ses mains bougent sur moi, elles parcourent mon sexe sous mon jean, il le voudrait déjà dans ses mains, dans sa bouche… à l'intérieur de lui-même.
Mes baisers descendent sur ses jambes, enveloppés dans un bas de jogging, s'arrêtant quelques instants pour capter son odeur, l'odeur de son désir ardent, j'aime embrasser sa chatte bien
rasée, il le fait exprès, il savait qu'une chatte bien rasée m'avait envoyé en extase, oui en extase.
Peu à peu, je suis excité et au moment où son anneau déborde de ma salive, le jeu de l'amour commence.
"Nooon !!! ... C'est trop beau d'être embrassé par toi à six heures du matin, un doux frisson parcourt son corps, un frisson d'excitation et le désir de profiter de ces quelques attaques plus
intensément que jamais. Le soleil pointe sun pour une aube nouvelle et encadre deux amoureux amoureux de leur passion.
-"S'il te plaît n'arrête pas ! "
Mais tout de suite après, c’est lui qui a voulu me faire exactement la même chose, il a enlevé mon jean, puis les boutons de son boxer, sa main s’est faufilée pour chercher mon
sexe dur qui le caresse lentement, bougeant avec un rythme doux comme s'il ne voulait pas faire mal.
Quelques secondes et il m'embrasse déjà, caresse ma bite de ses lèvres, puis il ouvre la bouche et la fourre dans sa gorge, la suçant goulûment, la léchant avec une maîtrise d'adulte, tourne sa
langue sur la chapelle à la hauteur de son gonflement , veut prendre son petit déjeuner avec ma semence, je l’aime tellement que c’est difficile de l’interrompre mais nous voulons tous les deux
autre chose!
La position la plus fréquente est la plus classique, lui sous moi les jambes écartées et posées sur mes épaules, il adore cette position, ça lui procure une pénétration plus profonde et
totale, un plaisir absolu pour lui, la poitrine serrée , bouche bée, je bouge son string et j'ai envie de sucer: c'est son désir immense de m'avoir à l'intérieur.
Je brosse ses lèvres anales avec le bout de ma bite, le chatouillant jusqu'à ce qu'elle se fraye un chemin dans sa nature.
Ainsi commence une danse, ma bite entre et sort, Lui garde la tête en arrière et garde souvent les yeux fermés. J'apprécie ces moments de plaisir et de le voir si satisfait me fait me sentir
bien. Je ne le regarde pas, je ne veux rien rater de ses grimaces, de ses frissons, de ses gémissements.
<< Oh oui, continue s'il te plaît, n'arrête pas . Viens en moi !. >>
L'excitation est à son apogée, la danse ne dure pas longtemps, viens s'il te plaît, je veux l'entendre profiter, c'est quelque chose de magique pour moi, un coup... un gémissement plus
fort...
<< Ouiiiii… encore… encore… je viens… c'est beau !!! >>
C'est vraiment fantastique, à chaque fois pareil mais à chaque fois comme si c'était sa première fois. Il se sent comme une femme, se sent aimé, jouit de mon attention envers lui,
s’abandonne complètement et aime raidir et serrer mes fortes épaules, les contractions de son petit cul sont le prélude à mon orgasme, je l’accompagne de mouvements plus lents et plus
délicats dans sa reddition.
À ce moment-là, je dois venir, sortir ma bite, jamais je ne veux qu'il ait à gérer la coulée de sperme en prenant le train et en se rendant au taf. Ma bite est dans son intérieur et avant qu'elle éclate avec une décharge de sperme libératrice, il se penche sur moi et la prend dans sa bouche.
Bois, bois tout mon nectar, jusqu'à la dernière goutte.
L'air s'est rempli decl'odeur que notre corps émet, nus, en sueur, satisfaits ... jusqu'à la prochaine fois.
Allez, on court vers le train qui nous attend…
Nos vitres embuées personne ne pouvait voir
ce qui se passait à l'intérieur
JUNGLE :
Je l'ai fait monter dans le fourgon et, à cause du monde autour on a vite claqué toutes les portes. Aussitôt son odeur corporelle envahit l'espace. Ce n'était peut-être pas un parfum.
« Le baiser fougueux qu'il me donna me plongea aussitôt dans un autre monde et nous nous aimâmes au milieu de cette foule grouillante et cela doubla notre plaisir. Nous sortîmes au grand soleil, complètement ivres de nos caresses et les gens étonnés commençaient à imaginer ce qu'on pouvait bien faire tout un après-midi dans un fourgon fermé et surchauffé. Nous seuls aurions pu donner une claire réponse à leurs questions, Nous étions contents de les avoir mystifiés, surtout les chauffeurs de pois lourd polonais garés tout près, Pourquoi nous serions-nous sentis mal à l'aise ? On était dans notre plein droit ! Il fait chier le monde, non ? »
commentaire :
"Moi vouloir toi
Moi vouloir toi
De haut en bas
De bas en haut
Sans bas ni haut
Sans haut ni bas
Moi vouloir toi" Françoise Hardy (eusèbe)
"Je passe la première et chacun de son côté
D'un signe de la main
Au revoir et à demain
Ouais, ouais ça va
Il fera soleil bip bip
Bye bye
Bye...
Ciao ciao bambino
Arrivederci!
On reviendra hein?
Dis on s'reverra hein ?!
Quand ça?
Quand ça ?! " Joe Dassin (synchro)