Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

 Image associée  James (fake)

 

On voudrait que tous nos frères gays puissent toujours manifester une aussi belle humeur contagieuse que celle de JAKO ! cavaillongay

 

 

 

UN COUP MONTE : JAKO CHASSEUR DE BUZZ 

Lire Jako sur cyrillo :   https://cyrillo.biz/histoire-gay-2019_Informaticado.php

Lorsque les deux notes du carillon ont sonné à ma porte, ce matin-là, et bien que je n’attende personne, je n’ai manifesté aucune mauvaise humeur. J’étais en congé. Je venais de prendre une bonne douche après une petite heure de promenade au pas de course et un copieux petit déjeuner. Je me sentais propre, frais, reposé, dans mon fabuleux t-shirt brésilien richement illustré d’un paysage de rêve inspiré de la plage de Copacabana, mon bermuda tout blanc, celui que j’adore, avec plein de poches partout, et mes Adidas toutes neuves. J’étais bien.

J’ai ouvert la porte, presque guilleret. Une petite femme aux cheveux auburns, la quarantaine, l’air embarrassé. Dans la pénombre, je ne distingue pas bien ses traits. Sur mon invitation, elle entre. Elle me précède à petits pas gênés, protestant qu’elle est désolée de me déranger. Je la rassure. Elle s’assoit du bout des fesses, genoux serrés, sur le bout du fauteuil de cuir bleu marine.

À la lumière douce du salon aux murs clairs, je la reconnais : c’est la mère de mon petit voisin d’en face, le jeune vicelard qui ne perd pas une occasion de me mater lorsque je circule à poil chez moi (:). le geek a 18 ans mais il fait plus jeune !

Elle est plutôt mignonne, elle. Ce teint pâle d’Anglaise, ces taches de rousseur, j’adore. Elle me déballe son affaire, d’une voix un peu aigre, dans un parler populaire, mais dépourvu de vulgarité.

– Si je me permets de vous déranger, ce n’est pas pour moi, c’est pour mon fils, Alan. Il a eu un ordinateur pour son anniversaire. Il a eu dix-huit ans le mois dernier (Tiens, c’est curieux, je l’aurais cru plus jeune…). Tout marche très bien. Il y passe des heures, enfermé dans sa chambre ! Mais, là, il est déçu… Il m’a dit qu’il n’arrivait pas à installer un programme dont il a besoin. Moi, je n’y connais rien. Je fais des ménages... Alors, les ordinateurs, je ne m’en suis jamais servi… » Elle baisse les yeux, presque confuse de ne pas savoir se servir d’un truc dont on nous serine tous les jours qu’il est la clé de l’avenir. « Puis vous savez ce que c’est, ce n’est pas tous les jours facile d’avoir un grand garçon à la maison, quand il n’y a pas d’homme… enfin je veux dire pas de mari… » Elle repique un fard, mais poursuit quand même :

– Enfin bref... Alan, mon fils, m’a dit que vous aviez un ordinateur : vous savez, sans être curieux, il vous voit souvent travailler à votre bureau, à travers les rideaux… (Tu parles ! j’espère qu’il ne lui raconte pas tout ce qu’il voit, cet enfoiré…). Alors, il s’est dit que vous pourriez peut-être l’aider, avec son programme ? Je lui ai dit : « ben va donc voir le jeune homme, toi, et demande-lui ». Mais vous savez ce que c’est, à cet âge là, ils sont timides ! Alors je l’ai vu tellement embêté que j’ai décidé de venir moi-même. Ça ne vous ennuierait pas de le dépanner ? »

Je songe à son grand timide de gamin, planqué derrière son rideau à s’astiquer le calibistri…. Croyant que j’hésite, elle sort son joker :

– Mais, vous savez, je vous paierai, pour le temps passé…

Je décline, évidemment, grand seigneur, et je promets d’essayer de tirer d’embarras ce grand jeune homme dès que possible, dans la journée même. L’informatique est une grande famille…

– Oh, merci, Monsieur ! Alan va être content ! … Bon, très bien. Je ne vous ennuie pas plus longtemps. Vous pouvez monter quand vous voudrez. D’ailleurs, vous serez tranquilles, je dois m’absenter tout l’après-midi.

Elle est toute heureuse, frémissante de gratitude, et je la raccompagne vers la porte dans un sillage d’eau de Cologne Mont-Saint-Michel… Bah, reste à affronter le rejeton. C’est plutôt rigolo, d’ailleurs, et en y réfléchissant bien, un petit peu excitant…

Une grosse demi-heure plus tard, je frappe à la porte du petit informaticien sinistré. C’est lui qui ouvre. L’espèce de grimace qui crispe sa face veut sans doute être un sourire. Dans la pénombre, je crois le voir rougir. Comme il reste muet, j’attaque :

– Salut ! Je viens pour l’ordinateur…
– Ah ! « jour, m’sieur », bafouille-t-il, pétri de respect comme s’il accueillait le Dalaïlama (Pourtant, je n’ai guère que cinq ans de plus que lui). « Euh… merci bien… Ma mère vous a dit, hein ? Ouais, ch’ui planté grave, là, avec ma bécane : je n’arrive pas à installer Paint Shop. Ch’ais pas pourquoi, d’ailleurs… Un pote m’a passé plein de fichiers image, et je n’arrive pas à les ouvrir…
– Bon ! T’en fais pas, on va voir ça, fais-je, grand frère en diable.

Sourire radieux. On jurerait qu’une lueur d’intelligence a brillé dans ses yeux.

– Cool ! C’est par ici.

Je le suis dans le corridor sombre. Les lames de parquet craquent. Ça sent la bonne cire d’abeille. Vu de dos, il n’est pas si vilain que ça, le mateur. Presque aussi grand que moi, le dos large, mais un peu ossu, il porte un t-shirt collant, et un Levi’s destroy qu’il a bricolé en short, bords soigneusement effilochés d’où jaillissent cuisses et jambes fines, sans être maigres. Il a dû frotter le fond de son fute avec de l’eau de javel, et finir les reliefs de son anatomie avec du papier de verre… Il a si finement travaillé l’estompe qu’en clignant un peu des yeux, je le devine presque nu… Dans le sens de la trame du Denim décoloré, des fentes d’usure laissent deviner la peau de la fesse gauche du mec : ou il n’a rien en dessous, ou il porte des calebutes couleur chair !… En plus, son petit popotin balance plaisamment au gré de sa démarche un poil lascive et déhanchée. Du calme, James, du calme…

Nous entrons dans sa chambre. C’est la piaule typique de l’ado de base : le lit de célibataire recouvert d’une courtepointe en laine brute, pur Larzac garanti écolo ; des rayonnages remplis de bouquins divers : polars, livres scolaires, B.D…. ; un bureau avec tablette d’ordinateur en pin naturel, style promo de chez Confo à 110 euros ; une colonne à C.D. bien garnie, une microchaine à cent-vingt euros, style promo de chez Darty, tapis bigarré genre mexicain. Au mur, des posters. Je contemple la galerie des stars préférées d’Alan : DiCaprio ruisselant de toutes les fuites titanesques, Ricky Martin avec des dents blanches plein la gueule, Brad Pitt dont le beau sourire accentue la fluxion dentaire latente, les radieux « 2 be 3 » collés ensemble comme un brelan de tarlouzes, Mick Jagger dans toute sa gloire post-pubertaire, Roch Voisine à la fossette accrocheuse et au regard qui frise… Tout cela ne dégouline pas vraiment de virilité machiste, mais c’est pas moi qui le reprocherais à mon jeune protégé… Pendant mon inspection, Alan ne m’a pas quitté de l’œil, guettant mes réactions. Je ne peux m’empêcher de lui cligner un assentiment qui lui fait piquer un fard… Décidément, c’est une maladie congénitale. Pour briser la gêne, je lance sur un ton détaché :

– Bon ! Alors, ce vilain programme ?
– Ah, ouais… Voilà…

Il plonge, fébrile, dans une pile de CD-Rom pour en extraire le fameux Paint Shop Pro. Pendant qu’il s’affaire à placer l’objet dans son petit tiroir, je regarde plus attentivement son visage. Il est carrément roux, le jeune homme. Comme aurait dit ma grand-mère : « quand les carottes seront noires, ça fera un beau brun, çui-là ! ». Des quantités de gel entretiennent sur sa tête une ambiance de champ de bataille. Ce sympathique désordre donne à mon Poil-de-Carotte un air plus jeune qu’il n’est en réalité. Mais il a le même teint clair que sa mère, et, ô délice, des galaxies de taches de rousseur… Or, j’adore les taches de rousseur, ou plus exactement ceux qui en ont… De plus, ses lèvres charnues sont appétissantes comme des cerises mûres, et ses yeux verts-lagune sont fascinants. Bon, d’accord, ses oreilles sont un peu décollées et épaisses. C’est sans doute ce qui, de loin, lui donnait à mes yeux un air de demeuré. Mais les nouveaux atouts que je découvre me conduisent à réviser mon jugement initial…

Tandis qu’il s’escrime toujours avec son CD qui ne veut pas céder (vous pourrez la réutiliser, celle-là, si vous l’osez…), une petite pointe de langue rose s’agite entre ses lèvres au rythme hésitant de ses doigts tremblants. Enfin, ça y est. Tout est en place. Il me cède son fauteuil devant l’écran, et tire une chaise près de moi pour suivre l’opération. Au niveau informatique, les phases de l’installation se déroulent sans anicroche. Mais sous le niveau du plan de travail du bureau, par deux fois, sa jambe nue vient frôler la mienne. La première fois, j’écarte chastement ma cuisse, croyant à un geste involontaire. La seconde fois, je lui jette un coup d’œil, et son regard croise le mien. Je lui souris en coin ; il ferme les yeux comme au ralenti ; je déglutis avec émotion, et laisse ma cuisse aller son chemin, franchement, contre la sienne. La concentration sur l’installation du programme fléchit légèrement….

Le Paint Shop a fini de copier ses fichiers, et nous félicite de l’avoir installé avec succès… Surprise…

– Ben quoi ? m’étonnais-je. Ça tourne sans blème, ton truc !
– Bah ouais, je sais…
– Quoi ? ! Tu rigoles, ou quoi ?

Il fixe la souris, et rougit un coup, ferme les yeux, les rouvre en me regardant.

– « S’cusez-moi, m’sieur, j’voulais…
– Ho, ho, laisse tomber les “m’sieur”, tu veux ! Je m’appelle James… Alors, tu voulais quoi ?
– Il a toujours bien marché, ce programme, mais j’voulais… j’voulais que vous veniez ici, quoi… Son visage est devenu presque aussi rouge que ses cheveux. “Vous savez, c’est souvent que j’vous regarde…
– Ouais, ça je sais… P’tit cochon, va, dis-je en me marrant. Et alors ?”

Apparemment, il ne veut pas aller jusqu’au bout de ce qu’il a dans la tronche, mais je crois savoir à quoi il pense. Ça m’excite au-delà du raisonnable. Je sens qu’il me vient du monde dans le slip…

Il farfouille dans un tiroir du bureau, sort deux disquettes, en charge une dans l’unité A. Clic, clic. Fichier, Parcourir.

Clic. Sur l’écran s’aligne une série de vignettes. Il y a du beau monde : éphèbes nus et bandants s’astiquant la tige ; couples de mecs extatiques emmanchés et éjaculants ; enfilades de garçons enchevêtrés ; lèvres dégoulinantes de giclées crémeuses ; culs, couilles, bites, godes, lanières et bouches avides. Y’a du poilu, du glabre, du tatoué, du cuirassé… je reconnais certaines de ces photos que j’ai moi-même glanées au hasard de mes surfs sur les sites chauds. Ça m’émeut l’entrejambe et le fondement. Le petit Alan clique nerveusement sur un cliché, qui emplit instantanément l’écran. Un jeune mec sympa est à quatre pattes, et présente des cuisses largement écartées, laissant voir une raie offerte. À genoux derrière lui, un type, agrippé à ses hanches, a engagé un très beau braquemart dans le trou du jeune homme. Celui-ci regarde derrière lui, ce qui nous permet de voir sa face où se lisent les stigmates d’un plaisir intense.

Clic ! C’est maintenant un magnifique blond, très beau, à l’air très con. Il est assis sur un fauteuil de bois, les jambes relevées et écartées, les pieds posés sur l’assise. Il a passé ses bras devant ses cuisses (souple, le mec !). Ses couilles, bien glabres et pendantes, sont entravées dans une lanière de cuir noir cloutée d’argent, qui accentue une érection majestueuse et dégage bien son trou du cul, où il a introduit un godemichet imposant à la hampe cannelée façon épi de maïs, et terminé par deux amusantes petites mains formant butée (on n’est jamais trop prudent : une poussée un peu vive, et on propulse maladroitement ces trente centimètres de bonheur jusqu’aux portes de l’intestin grêle !).

Les cuisses d’Alan sont maintenant écartées à angle droit. À travers son Levi’s décoloré, on réalise clairement qu’il n’est pas une petite fille !

Clic !
– Ça, c’est celle que je préfère, annonce Alan d’une voix chevrotante.

Il faut dire que le tableau est saisissant… L’artiste (je parle du photographe, évidemment) a disposé ses deux modèles au centre d’une sorte de grand cube ouvert en façade, aux parois de glace. Le protagoniste passif est couché sur le dos, sur une table entièrement transparente. Le partenaire actif, classiquement, le travaille de face, portant les jambes sur ses épaules. Ainsi, grâce au jeu des miroirs, on voit tout, tout, tout ! De face, de dos, d’en haut, d’en bas, de droite et de gauche… Je ne sais pas si c’est un montage virtuel ou réel, mais le résultat est fascinant. On voit bien le chibre de l’enculeur engagé à mi-course dans le cul du garçon. On découvre les couilles de ce dernier reposant sur la tige qui l’empale voluptueusement. On ne perd pas une goutte de l’arabesque blanche qui jaillit du méat de l’endofé ravi. On communie dans l’extase que trahit son regard éperdu de bonheur.

Passé le choc de l’architecture de ce kaléidoscope du plaisir, je détaille davantage les personnages. L’aimable Ganymède qu’on encule hardiment porte des cheveux roux en savant désordre. Il n’a pas dû recevoir sa carte d’électeur depuis bien longtemps, et son jeune visage est éclairé d’un lumineux regard vert… Mais, ma parole, il ressemble à Alan comme un jumeau ! : poil-de-carotte, taches de rousseur, membres fins et déliés… Du coup, je regarde l’enculeur qui le besogne avec tant de cœur : c’est un beau brun, qui fait à peu près mon gabarit. Quoi ? Ce dos musculeux, ces biceps galbés et harmonieux, ces fesses rondes, haut placées, ce visage expressif et attirant : mais c’est tout moi, ça ! (mais oui, les mecs ! je ne vois pas pourquoi je m’enlaidirais dans une description, fût-elle littéraire : je colle à la réalité, je vous jure). Je comprends maintenant pourquoi Alan avait tant insisté pour que je lui rendisse visite, en ce beau jour d’été !

Voyant mon émoi, qu’il partage sans doute, Alan a passé son bras autour de ma taille. Je pose ma main sur sa cuisse, qui s’écarte immédiatement pour faciliter toute entreprise ultérieure, dévoilant plus encore son entrejambe congestionné. J’agrippe la forme oblongue qui s’est développée dans le 501. Je puis confirmer que c’est bien une gentille bistouquette, prête à l’emploi, que ma main étreint maintenant. Nos lèvres se joignent et nos langues, anguilles affolées dans leur bain salivaire (2) se pourchassent comme deux chiots joueurs en veine de chahut débridé. Côté mains et peau, ça frissonne, ça caresse, ça s’égare un peu partout. Mon élève fait n’importe quoi, mais son enthousiasme brouillon ajoute à mon émoi. Au cours de ses folles errances, il a pris mon manche en main, et ça a dû lui faire penser à quelque chose. Sa langue quitte un instant la mienne, et il me susurre à l’oreille :

– Je voudrais que tu me le fasses…
– Hein ? Que je te fasse quoi ?
– Ben, comme sur la photo !

Je rejette un œil sur la photo. Je fais l’innocent, mais en réalité, j’avais très bien vu ce qu’il voulait dire. Je tergiverse :

– Mais tu sais, dis-je hypocritement, ça peut te faire mal…

Il s’accroche :

– Mais non, regarde, je me suis entraîné… » Il se lève, ramène du fond d’un tiroir sous son lit marine, un gode assez fin de vingt centimètres, terminé lui aussi par deux petites mains ridicules. “Je me le colle dedans, poursuit-il, comme un plug, tout en me branlant.

Un vrai pro ! Il me scie, le petit timide. Je lance méchamment :
– Tu te fais ça pendant que tu me zieutes, dans ma piaule ?
– Ouais, des fois… Il rebaisse les yeux en rougissant. Décidément, ce boy est un grand timide. Si j’étais naturaliste, je le désignerais par ‘timidus gigantis rubescens’ ! Mais je ne suis pas naturaliste, et je suis très emmerdé avec ce môme craquant, le gode à la main, et qui est sur le point de me supplier de lui faire subir les derniers outrages selon un plan de base dont il a prévu tous les détails…

Je me tâte au figuré. J’ai dit OK. Et on l’a fait. Comme prévu, le perfide ne portait rien sous son Levi’s. Le 501 râpé a glissé sur ses jambes. Sa petite bite était tout de suite sous la rangée de boutons en cuivre. Je la lui ai sucée délicatement. Il a gémi et disant : ‘C’est bon, c’est bon’. Je sais, c’était bon pour moi aussi. Puis je l’ai retourné doucement, j’ai écarté ses fesses rondelettes, il s’est courbé en avant, les mains sur les cuisses, et je lui ai longuement liché le fion, qu’il avait très propre et contractile. Il a re-gémi et redit : ‘C’est bon, c’est bon’. Puis, pour parfaire la préparation, je lui ai copieusement tartiné la raie avec du gel aromatisé à la pêche de vigne (j’avais préalablement écarté, comme trop tenace en bouche, le parfum ‘oignon blanc nouveau’, qu’il m’avait d’abord présenté). J’ai ensuite pratiqué les traditionnelles intromissions digitales d’alésage, en graduant la profondeur et le nombre d’articles comme il vous est indiqué dans toute bonne bibliothèque gaiement érotique. Figurez-vous qu’il n’a pu s’empêcher de souffler par deux fois : ‘C’est bon, c’est bon’.

Puis, comme il savait bien ce qu’il voulait, il s’est retourné vers moi et m’a demandé :

– Maintenant, James, enfile-moi, enfile-moi fort…

Immodestement, j’ai triomphé :

– Tu craques, hein ? T’en meurs d’envie ?

Candidement, il m’a répondu :

– Nan, ce n’est pas ça, mais j’aimerais que tu m’encules avant que Maman soit rentrée… "je voudrais que tu me le fasses"...(fake)

Putain ! Voilà qui m’a remis les idées en place… J’ai même failli en débander. Mais le spectacle que m’offrait ses cuisses ouvertes, sa rosette si bien préparée, et la queue bandée qu’il triturait nerveusement m’ont vite rendu mon ardeur, et l’excellente préparation a facilité la réalisation sans douleur de la figure luxurieuse dont il rêvait tant. Il serrait les miches comme un jeune dieu, et j’ai entamé dans la joie mon intense va-et-vient. Il a largué avant moi, en gémissant sa rengaine : ‘C’est bon ! Mais que c’est bon ! Je kiffe un max…’. Surpris par cette variante inattendue, j’ai re-failli débander. Mais non, Dieu merci, j’avais déjà franchi le point de non-retour, et j’ai juté grave dans son cul qui n’en finissait pas de se contracter en spasmes de jouissance.

Puis on s’est fait plein de poutous. Il ne disait plus rien, parce que ma langue empêchait la sienne de se mouvoir librement. Mais s’il avait pu, je crois qu’il aurait dit que c’était bon. Et c’était effectivement très bon d’embrasser comme un fou mon petit rouquin transi de bonheur. Il m’a fait jurer sur la flaque de foutre qui ornait son parquet qu’on se reverrait le plus souvent possible. J’ai promis. Et j’ai tenu.

Sa maman est rentrée, éperdue de reconnaissance en apprenant que l’application était bien installée, et que je me proposais de fournir, gratis, à son gamin, autant de séances de perfectionnement qu’il en souhaiterait. Elle m’a dit :

– Ce ne sera pas du luxe, parce qu’avec lui, c’est plutôt dur à rentrer !

J’ai failli lui dire que pas tellement, mais je me suis écrasé réalisant que nous ne parlions pas de la même chose.

Depuis, Alan a fait de gros progrès en informatique. Quand même.

 

  James entre, là, dans le nirvana des geeks !

  fake

 

 

commentaire :

 

 

d

Pierre Perret l'a si joliment raconté version hétéro ! Mais Alan, le 'gosse' du texte de James,  a aussi le feu au 'tambour' ! :

«Dépêche-toi mon amour
Je suis garée en double file
Dépêche-toi mon amour
Au lieu de mourir tranquille
Vous les mecs d'alentour
Si vous tombez dessus un jour
Ne lui dites même pas bonjour
Elle vous déballerait son discour
s ! »

!  Maître Perret

 

 

 

Lun 1 avr 2019 Aucun commentaire