Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
Attali, le dernier prophète (en date ! )
Vers un gouvernement du monde de Jacques Attali :


l'espion au deux visages. L'avènement d'Internet et des réseaux sociaux accélère ce phénomène, facilitant la constitution de communautés de choix, affaiblissant
les identités nationales, et produisant un monde d 'immédiateté, de globalisation culturelle, de métissage généralisé. Les individus deviennent directement des sujets de droit
international. «Attali» C'est à dire non rattachés à une race, une origine, une nation... ne relevant que de l'espace planétaire
"libre". Regardez comme les USA imposent leurs règles de droit sur toute la planète




Atlanta, Chicago, Dallas, Los Angeles, New York, San Francisco, Seattle et Washington, DC Dans chacune de ces villes, Intercept a identifié une installation AT & T contenant un équipement de réseau transportant de grandes quantités de trafic Internet à travers les États-Unis et le monde. Un ensemble de preuves - comprenant des documents classifiés de la NSA, des archives publiques et des entretiens avec plusieurs anciens employés d'AT & T - indique que les bâtiments sont au cœur d'une initiative d'espionnage de la NSA qui surveille depuis des années des milliards de courriels, d'appels téléphoniques et de discussions en ligne passant aux États-Unis. territoire.
La NSA considère AT & T comme l’un de ses partenaires les plus fiables et a salué la «volonté extrême de la société d’aider». C’est une collaboration qui remonte à plusieurs décennies. On sait cependant peu que son champ d’application ne se limite pas aux clients d’AT & T. Selon les documents de la NSA, AT & T apprécie non seulement parce qu’elle «a accès aux informations qui transitent par le pays», mais aussi parce qu’elle entretient des relations uniques avec d’autres fournisseurs de services de téléphonie et d’Internet. La NSA exploite ces relations à des fins de surveillance, en réquisitionnant l’immense infrastructure de AT & T et en l’utilisant comme plate-forme pour exploiter secrètement les communications traitées par d’autres sociétés.






