Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

  - Qu'est-ce que tu me dis là ? tu l'as sucé ?, vraiment ? Je le prenais pour un hétéro pur et dur   

 

- Lui ? J'y crois pas !  !

!  !

 

Sur  http://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-55840288-1-0-1-0-pave-j-ai-suce-une-bite-mon-avis.htm

 

  Même dans la trahison son sourire est irrésistilbe !

           

  - Ben...oui, je te mens pas...- Bon, c'est pas allé plus loin non ? Tu lui as pas proposé la botte quand même (1) 

 

 

 Bon les kheys (2) je certifie 100% nofake cette histoire. J'ai sucé pour la première fois de ma vie une bite, c'était celle de mon pote, dans sa chambre hier soir. Ca m'a fait bizarre, je suis à la fois dégoûté et intrigué, je vous explique./  -Oui, mec, explique-nous, on aimerait comprendre !  

 

 

 

  -"maintenant que les invités sont partis, si on pensait un peu à nous, un peu à nous...On s'est toujours beaucoup aimés, Mais sans se toucher jamais, sans un jour pour vraiment s'occuper de nous "(parallèle avec Sardou les vieux amis = les vieux mariés ! )

 

 On était 4 potes è  Avignon : 3 garçons et une fille, on s'était fait une soirée pour le départ d'un de nos potes qui déménageait à Montpellier, il nous a invités chez lui, la soirée se passe, on discute de nos projets, etc, c'est cool. On rigole bien puis vers minuit tout le monde se casse, au dernier moment je me rends compte que j'ai oublié mes clés, que j'habite à l'autre bout du centre-ville, et comme je vis chez mes parents bah ils devaient sans doute dormir à cette heure-là.

Du coup mon pote m'a dit que c'était pas grave, pas de problème je pouvais rester dormir chez lui pour ce soir et repartir demain matin, lui prendrait le canapé et moi je dormirais dans son lit si je voulais.

J'accepte, faute de pouvoir faire autrement. Du coup on se pose sur son canapé, il me demande si il me ressert un verre, je réponds oui. Pendant qu'on boit, on discute tous les deux, et là soudainement me prend une nostalgie, je me rends compte que ce bon pote va nous quitter et ça me rend triste, je lui dit que ça me fait chier qu'il s'en aille. Je suis un peu alcoolisé donc je le complimente excessivement, et je sais pas ce qui me prend je lui dis même qu'il est plutôt BeauGosse./   -...

Il répond : "Aha je te remercie, toi non plus t'es pas mal. Je t'assure, je pense vraiment qu'il y a moyen que tu trouves une copine."
On rigole ensemble puis après un long silence.

Il me dit que d'ordinaire, il complimente jamais les mecs car c'est ambigu, mais avec moi c'est pas pareil. Il m'a toujours bien apprécié et qu'il savait qu'on se comprenait. C'est vrai que lui et moi on a toujours été proches. Du coup j'ai un peu sommeil et lui aussi, il me montre sa chambre pour que je me décide si je veux dormir dans le lit ou plutôt le canapé. Je lui dit que finalement je préfère le canapé, qu'il se gêne pas pour moi. Il me dit ok comme tu veux, et là il commence à se déshabiller et moi, pour épargner sa pudeur, je me tourne.

Il me dit : "oh te retourne pas va, t'as jamais vu de mecs à poil ? Je me mets toujours à l'aise quand je vais dormir, pas toi ?" au final, se retenant peut-être de tout lever, il a juste laissé son caleçon.
Je lui dis que de toute façon je vais dormir habillé sur le canapé pour éviter d'être à poil dans la maison. Il me dit que ça le dérangeait pas que je me mette à l'aise aussi. Du coup j'enlève mon tee-shirt mais sans plus.

Il se pose sur le lit, il sort son portable et il me dit : "viens voir faut que je te montre une vidéo marrante", je me pose un peu sur le lit aussi. On regarde sa vidéo on rigole puis après on s'est regardés et je sais pas pourquoi, les kheys*, mais j'ai eu envie de le prendre dans mes bras.

Donc spontanément je le serre contre moi, je sens la peau de son torse contre le mien, il avait la peau super douce, comme avec une fille, c'était bizarre, et il sentait le déo de mec. Lui aussi me serre fort, et là je sens sa queue qui bande. / -...
Il me dit désolé, ça lui fait toujours ça de se déshabiller, mais ça n'a rien à voir avec moi. Et il me dit : "si tu veux toucher tu peux ça me dérange pas"

Et là j'ai ressenti une boule au ventre, une sorte d'angoisse mêlée à de l'intrigue. J'ai touché sa bite à travers le caleçon, on aurait dit qu'il avait planqué un objet en dessous, mais non c'était bien sa bite. Puis je me mets à faire des va et viens avec son pénis à travers le caleçon. Il me regarde en souriant à moitié et en se mordant la lèvre de l'autre moitié et il me dit "tu fais ça bien, tu dois bien t'entraîner"
Après ça il s'est mis à retirer son caleçon et là... je l'ai vue./ - ah ouais...

Déjà quand il a sorti sa bite il y avait une odeur bizarre, ça sentait la bite mais étrangement, ça avait un côté désagréable et excitant à la fois. Sa bite était étrangement normale, bien qu'un peu inclinée vers le haut, il avait son prépuce à moitié décalotté, il avait les boules rasées et un peu de poils sur le pubis. En fait sa bite me faisait un peu penser à la mienne, c'est comme si elle était le clône de tout ce qui se passait. Il faisait gonfler sa bite ce qui la faisait bouger un peu. C'était effrayant et j'étais pris d'excitation.

J'ai pris sa bite dans mes mains et j'ai commencé à le masturber, aucun de nous ne disait rien, les choses se faisaient naturellement. Sa bite était brûlante, à un moment j'ai arrêté et j'ai approché mes lèvres, je les ai posées sur sa verge, elle était douce et brûlante, un peu odorante, puis j'ai touché sa verge du bout de ma langue. Ensuite j'ai remonté et j'ai commis l'irréparable, j'ai saisi son gland pour le mettre dans ma bouche. -... je sais pas si j'aurais voulu être là   

Et les kheys*, je sais comment décrire la sensation que j'ai eue. Imaginez vous avez un putain de truc chaud dans la bouche mais avec un goût de peau, un truc qui se gonfle et qui lâche du liquide qui donne une sorte de goût intense au truc. Le truc que vous avez dans la bouche est relié à un corps de jeune gars qui a la vingtaine qui commence à prendre son pied. Je peux vous dire ça vous laisse pas indifférent. J'ai commencé alors à le pomper... J'ai sucé son pénis comme si il s'agissait d'un petit truc duquel il fallait prendre soin, je passais ma langue partout, ça avait un goût super léger. J'ai fait des va et viens pendant au moins 5 minutes et mon pote me caressait les cheveux et la nuque. Au bout d'un moment je me suis arrêté car j'avais mal à la mâchoire. Il en a profité pour me dire : "si tu veux arrêter vas-y, je veux pas te forcer" 

Mais j'ai préféré continuer, je sais pas pourquoi, j'avais honte de moi mais j'avais envie de continuer, continuer jusqu'à ce que ça me répugne, aller jusqu'au bout de l'expérience. Donc j'ai continué à le pomper encore 10 bonnes minutes en léchant les boules aussi (qui étaient franchement douces), puis au bout d'un moment il m'a dit d'arrêter. Donc j'ai arrêté, je l'ai regardé et il s'est mis à se masturber et il a lâché une de ces éjaculations, ça m'a presque rendu jaloux tellement il avait lâché de sperme, il en a même mis sur son oreiller.

Je l'ai regardé débander au fur et à mesure, c'est comme si sa bite se refermait sur elle-même, son gland rentrait dans son prépuce et il était couvert de sperme. Il est parti se nettoyer et moi je suis resté dans le lit, en repensant à ce que j'avais fait. Je l'entendais dire dans la salle de bain "tu veux te laver les dents ?" et moi j'ai répondu : "non ça va", étrangement j'avais envie de garder le goût à la bouche.

Après ça on s'est dit bonne nuit et moi je suis retourné sur le canapé pour aller dormir. J'ai pas dormi de la nuit et j'ai pas arrêté de repenser à ça. Le lendemain on en a pas reparlé, on a fait comme si de rien était mais tout à l'heure il m'a recontacté sur Fb pour me dire si ça allait, je lui ai répondu que oui et on a pas plus discuté. Il déménage mardi et je pense qu'après cette expérience, je vais encore plus déprimer de son départ. C'est comme si lui et moi on était passé à côté de quelque chose pendant tout ce temps. ¤

 

   

Quoi "passés à côté de qq chose" ?

Mon ptit pote, là t'es parti pour des regrets éternels,,,t'as pas fini de le rêver ! Moi qui suis assez vieux déjà, je peux te dire qu'il y un gars qui hante encore mes nuits et je pourrais te dire…que mon seul regret c'est qu'on n'ait pas baisé.

Aussi, vous les jeunes arrêtez de stopper vos élans en pleine course ! Aimez-vous sans entrave, consommez-vous l'un l'autre : on vit qu'une fois ! Et arrêtez les regrets :  y a rien de plus con !

 

 

 

  NOTES : PROPOSER LA BOTTE Origine : 

Comment amener à coup sûr une femme dans son lit ? Il semble, au vu de notre expression, qu'il faille lui proposer une botte. Non, on se rapprocherait plutôt de la botte de Nevers, cette botte secrète qui permettait à Largardère d'envoyer son adversaire dans l'autre monde. Autrement dit, c'est bien d'escrime dont on parle, lorsque celui qui, utilisant une botte sortie de derrière les fagots, pourfend son adversaire.
Cette 'botte'-là, qui date du XVIIIe siècle, serait donc une image comparant le duelliste à l'homme qui, doté de son 'épée' magique, 'embroche' sa partenaire. Mais on trouve aussi dans l'expression l'image de l'action rapide de la botte d'escrime mise en parallèle avec la proposition de fornication faite brutalement, sans travaux préalables d'approche et de séduction.

  À la même époque on parlait aussi de "la botte florentine" qui, cette fois, pouvait s'adresser aussi bien à un homme qu'à une femme puisqu'il s'agissait de sodomie.
Pourquoi 'florentine' ? Parce qu'à cette période, les habitants de Florence avaient une réputation d'homosexuels. Était-elle réellement justifiée ? On ne sait pas.

LES KHEYS =  les frères

commentaire :

 

 

 

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