Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
mon ballon rouge à moi ! une façon de compenser la frustration de ne pas avoir de père ? /les furies diront c'est un viol. Mais non, je me suis donné à cette jolie sphère, un bijou initiateur au plaisir pour mon joli cul.
Pensez ce que vous voudrez mais j'étais heureux
les ballons rouges c'est ma passion le vier de Rachid mon Beau Père allait faire mon enchantement
https://cyrillo.biz/histoire-gay-2017-BP-01.php
Bonjour à Tous…
Cette histoire s'est passée il y a bien longtemps.
A l'époque, je venais d'avoir 18 ans mais j'étais encore tout frêle, je paraissais bien moins que mon âge… On aurait dit que les hormones de la puberté m'avaient oublié.
Ma mère m'avait eu très jeune, par un amant de passage sans doute, et je n'avais jamais connu celui qui m'avait donné la vie.
Elle a eu quelques aventures, des fois qui ont duré un peu plus longtemps, mais vers mes 16 ans, elle s'est entichée d'un arabe algérien, super beau mec et très viril.
Elle avait 34 ans, lui 36 et moi 16… [humhum !] Très vite, il s'est installé à la maison, peu de temps après, ils se sont mariés, et Rachid devenait mon beau-père.
Il était vraiment beau… Le Mâle par excellence, hyper poilu, bien bâti et avec une bosse entre ses jambes qui devait donner beaucoup de plaisir à ma mère.
Très vite, il a été proche de moi, affectueux, câlin, protecteur.
Il lui arrivait souvent de me serrer dans ses bras, de ma caresser le dos, de laisser ses mains s'aventurer sur mes fesses et de m'embrasser au coin des lèvres.
J'aimais ce contact avec cet homme si viril qui était le mari de ma mère et qui me donnait, à ce que je croyais, beaucoup d'affection. Je sentais ses mains puissantes sur moi et son odeur forte de mâle arabe me chavirait.
A l'époque, je n'étais pas encore sûr de ma sexualité, mais je sentais que mes regards se portaient davantage sur les hommes, les vrais, que sur les filles.
J'étais trop content quand Rachid me prenait dans ses bras et que je sentais une barre de chair s'appuyer sur mon ventre de plus en plus fortement.
Ces « jeux » ont duré pendant quelques mois, et les attouchements se faisaient de plus en plus précis, ses mains avaient franchi la barrière de mon short et de mon slip pour caresser mes fesses avec ses doigts qui s'aventuraient autour de mon trou…
A chaque fois que j'étais dans ses bras, son sexe grossissait, et plus il le frottait contre moi en malaxant mon trou, plus je me laissais faire. C'était le mari de ma mère, j'avais honte, mais j'aimais ça…J'étais fasciné par sa virilité, subjugué par son odeur, son sexe que je sentais si gros sur moi… Je poussais même mon ventre sur lui, sur son membre et j'écartais bien les jambes quand ses doigts fouillaient mon intimité.
Peu après, ma grand-mère est tombée malade, c'était grave. Elle vivait loin de nous et ma mère est partie de suite pour s'occuper d'elle, me laissant seul avec Rachid.
J'étais bouleversé, j'aimais beaucoup ma grand-mère et j'étais très content que ma mère soit partie s'en occuper.
Le soir, seul avec Rachid, il s'est occupé de moi, m'a calmé, j'étais trop inquiet. On a mangé tous les deux et regardé un film. C'était la période des vacances scolaires, donc on a pu veiller tard.
A l'heure d'aller dormir, Rachid m'a dit de dormir avec lui, parce qu'il ne voulait pas me laisser seul. J'ai accepté, je ne voulais pas être seul, mais aussi, j'étais trop content d'être avec lui.
Il faisait chaud, alors j'étais en petit slip et lui en caleçon. C'était la première fois où je le voyais presque nu… Des poils partout…. Torse, ventre, jambes… des poils qui sortaient en touffe du caleçon…. Et surtout, c'était la première fois que je voyais cette bosse énorme, lourde, qui remplissait le tissu complètement. Je n'arrivais pas à détacher mon regard de ce mâle…dans toute sa puissance.
Une fois au lit, couchés, Rachid s'est collé à moi, m'a fait plein de bisous dans le cou et partout…. Ses mains se promenaient partout sur moi…
Pour me rassurer me disait-il… Pour me montrer qu'il était là pour moi… Pour me protéger… Et je me sentais bien dans les bras puissants de ce mâle. J'aimais son odeur forte, ses gestes virils et protecteurs.
Puis sa main a pris la mienne pour la mettre sur son torse très poilu, son ventre et enfin, dans son caleçon… Je caressais enfin la bite de mon beau-père… C'était gros… énorme pour moi, encore jeune puceau… Je n'ai pas pu m'empêcher de caresser ce membre de chair, de le faire grossir dans mes doigts qui ne pouvaient plus en faire le tour… Et ça grossissait, encore et encore. J'ai aventuré ma main plus bas pour rencontrer une masse lourde qui pendait, pleine de poils aussi. J'avais l'impression de toucher des œufs. Je commençais à comprendre le pourquoi de cette bosse hyper proéminente que j'avais remarquée dans son pantalon, démesurée à mes yeux et qui devait faire les délices de ma mère.
Il n'attendait que ça. Dès qu'il a vu que je branlais sa bite… Il est devenu hyper dominant….
Il m'a enlevé mon slip et son caleçon aussi… Son sexe est sorti dans toute sa splendeur. Quand j'ai vu ce monstre devant moi, jamais je n'aurais cru qu'un sexe d'homme pouvait être aussi gros… A vue de nez…. 24cm, et hyper épais… (En fait 25cm et 7 cm de large… mais je l'ai su après)
Son corps s'appuyait sur moi, il m'écartait les jambes, caressait de son monstre mon trou vierge, mais il a senti ma peur…. J'avais très envie de lui, mais ça… c'était trop…
Il a remonté son sexe vers ma bouche, a ouvert mes lèvres et s'est introduit en moi
J'ai commencé à le sucer, du plus que je le pouvais… Chaque coup de sa bite le faisait s'enfoncer plus profond… En même temps que je le suçais, ses doigts fouillaient mon cul, l'ouvrant de plus en plus.
J'ai soudain senti son sexe se contracter dans ma bouche, ses mains ont lâché mon cul pour s'appuyer sur ma tête et un flot de liqueur d'homme s'est versé dans moi, à grands jets, encore et encore qui continuaient. J'avalais le sperme de mon beau-père.
Une fois vidé, il s'est mis sur le dos, m'a regardé d'un air gourmand et m'a dit…
« T'inquiète… J'ai pas fini avec toi… Je veux ton cul… »
Après que mon beau-père se soit bien vidé dans ma bouche, j'étais assez désemparé, surpris d'avoir aimé ça et de me rendre compte, à mes 18 ans passés, que finalement, ma sexualité se tournait vers les hommes.
En retard de puberté, je n'avais pas trop pensé au sexe, mais je devais reconnaitre que je regardais plus facilement les hommes que les filles, et Rachid m'avait toujours impressionné, par sa virilité si puissante, par son corps débordant de testostérone 'puant'le mâle à plein nez.
Je venais de sucer ce mâle, d'avaler sa liqueur, mais c'était le mari de ma mère. Je me sentais coupable, bien sûr, mais aussi heureux de lui avoir donné du plaisir. Je savourais encore le goût de son nectar, le premier que j'avalais, et j'aimais ça.
Mes mains ont continué à parcourir son torse couvert d'une toison drue, descendre sur son ventre et se perdre dans cette grosse touffe qui entourait ce membre démesuré et qui recommençait à reprendre une certaine vigueur. Continuant mon exploration, j'ai soupesé ce sac plein, gros, qui pendait entre ses cuisses tout aussi velues et mes doigts ont enserré ce pieu, même si je ne pouvais pas en faire le tour.
Ça grossissait, encore et encore… Pour arriver très vite à la taille énorme du manche que ma bouche avait accueilli.
« Je me suis pas trompé… Tu aimes la bite toi… !!! » dit-il, avouant un peu sa préméditation.
J'étais choqué d'entendre ces mots de sa part, mais je réalisais que j'étais en train de branler sa queue et que mon autre main se perdait dans ses poils.
Je n'ai pas répondu, et d'un coup, Rachid m'a mis sur le dos, m'a écarté les jambes et a pesé de tout son poids sur moi. Tout son torse hyper velu épousait le mien, ses jambes puissantes écartaient les miennes au max, et je me sentais femelle, soumise, offerte… Son membre viril frottait sur mon orifice, me procurant un plaisir inouï, inconnu jusqu'alors et je savais que j'allais céder…. Lui offrir ma virginité anale, malgré l'effroi qui m'envahissait d'être pris pour la première fois et par un tel calibre.
Rachid a senti que je cédais, que je n'opposais plus de résistance et que mon corps lui était offert.
« T'inquiète ma Belle… j'ai prévu… »
Il s'est relevé et a sorti, je ne sais trop d'où, un tube de vaseline… (Et oui… c'était ça à l'époque) et a commencé à m'en badigeonner le trou et son membre démesuré…
J'étais choqué par l'emploi du féminin… Mais je réalisais au même instant, que j'étais là, allongé, cuisses ouvertes, couvert par un mâle dont le sexe hors normes allait posséder mon trou…. Il avait raison finalement, posture offerte, j'étais bien une femelle…
« Tu vas avoir très mal ma chérie… mon zeb est très gros… mais tu sais, c'est bien d'être dépucelée par du gros, tu seras mieux habituée après… »
« C'est ce que tu veux, non ? Donner ton cul aux hommes, comme une vraie chatte… »
« Je vais te faire une belle chatte ma Chérie… Et je vais bien en profiter moi aussi… »
Son gland s'est frotté sur mon trou, et je sais pas pourquoi, je me suis senti m'ouvrir, prêt à accueillir cette énorme barre de chair dans moi.
« Tu vas saigner ma Belle, comme les femmes qu'on dépucelle dans mon pays, mais après, tu vas être heureuse, tu vas être baisée comme la femelle que tu es »
Il m'a écarté les jambes le plus possible, et son sexe s'est enfoncé dans moi. Malgré mes pleurs, il a continué et son gland a franchi la barrière de mon anneau. J'avais l'impression d'être ouvert en deux, malgré la vaseline, mon anus me brûlait… C'était gros… Trop gros…
Rachid est sorti de moi, a remis un peu de crème et son sexe s'est repositionné sur mon orifice encore béant.
« Je vais te dépuceler à l'arabe ma Chérie »
Dès que le début est rentré, Il s'est enfoncé dans moi d'un coup brutal, en entier… J'ai hurlé, j'étais sûr que j'allais mourir, que mon trou allait éclater, j'essayais de le pousser hors de moi, mais mes mains ne rencontraient que ses poils, qui m'excitaient tant.
« Calme toi ma Chérie… Tu es dépucelée maintenant…C'est juste un peu dur au début mais tu vas aimer… Je t'assure… »
Il est resté un moment enfoncé en moi en entier, et petit à petit, il a commencé des va et vient… Pas trop important d'abord, mais de plus en plus fort, insérant des mouvement de plus en plus amples…
Petit à petit mon trou s'est adapté… De la douleur, j'ai commencé à ressentir du plaisir… Ce mélange de plaisir douleur que ressent le vrai passif quand il se fait prendre par du gros calibre.
Quelque chose en moi, dans ma tête a cédé… Mon esprit a cédé, et mon corps a cédé aussi… Tous les neurones de mon cerveau m'ont envoyé le même message…
« Tu es fait pour ça… Offre-toi… Donne-toi… Ouvre-toi… Lâche-toi… !!! »
Ce sursaut d'adrénaline m'a libéré de toutes mes appréhensions, de toutes mes peurs, de cette douleur que je ressentais venant de cet énorme pieu qui me fouillait, et que, je le voulais vraiment, surmontant le feu de cette barre qui me brûlait.
Rachid a ressenti de suite mon relâchement, mon acceptation, ma soumission et que mon corps était maintenant prêt à l'accueillir sans réserve.
Il m'a saisi par les hanches et son monstre de chair m'a possédé, défoncé, violemment, dans toute sa puissance de mâle arabe qui possède sa femelle…
Ça a duré longtemps…il avait joui avant. Mais maintenant, mon corps acceptait de subir les assauts de ce mâle vigoureux… Et j'en voulais encore et encore plus… J'appuyais sur ses fesses poilues pour qu'il rentre encore plus fort en moi… Plus profond…
Son sexe avait ravagé mon trou puceau, caressait les parois de mon boyau… Et j'aimais ça….
D'un coup, Rachid a hurlé… Je l'ai senti s'enfoncer au plus profond de moi, et des jets chauds m'ont rempli… Rachid vidait son plaisir en moi….
Il s'est retourné sur le dos, sexe encore mi mou et m'a regardé en souriant….
« Tu as aimé Salope… J'ai pas fini avec toi…. La nuit fait que commencer… »
« Tu es faite pour être baisée… »
Il avait raison… Je sentais mon cul endolori, saignant, rempli de sperme, douloureux, brûlant… Mais j'étais heureux….
Mon beau-père m'avait appris ma voie, celle d'être pris… de me donner aux mâles. Que le petit appendice qui pendait entre mes jambes n'allait me servir qu'à pisser et que mon vrai sexe c'était mon trou, ce qu'il appelait ma chatte, mon vagin, mon instrument de plaisir pour les hommes.
Et il allait me l'apprendre bien plus que ça, après m'avoir défoncé encore trois fois dans cette nuit… Texte écrit avec un immense talent par CalinChaud sur cyrillo https://cyrillo.biz/histoire-gay-2017-BP-01.php il y a une suite : « Je viens d'avoir ta mère au téléphone… Elle ne reviendra pas avant plusieurs jours… Même 2 ou 3 semaines… »
« Je sais, elle vient de m'appeler… Mamy est mal et elle va rester tout le temps qu'il faut auprès d'elle… Son boss lui donne congé pour ça »
« On va rester seuls tous les deux ma Chérie…. Tu sais ce qui t'attend ? Tu vas remplacer ta mère dans mon lit… Tout le temps… Ok ? »
Un blanc dans cette conversation… Je ne savais pas quoi lui répondre… Sinon un faible…
« Oui »
« Je veux ta chatte jour et nuit… »
aucune de ces photos n'appartient à cavaillongay mais ont été recueillies sur le net pourexhauster notre perception des rapports entre les personnages
hanté par la peur qu'on nous voie et surtout la peur que ça le fasse arrêter
une fécondation qui me tirait à la fois hors de mes doutes virginaux et de ma solitude de jene homme
commentaire :