Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
avec des témoins sidérés d'entendre des choses pareilles :
Oh ! Ce soir tu vas prendre m'a dit Jo
"J'étais prévenu. Cette nuit, il y a eu un tremblement de terre corps. Ici, chez moi. Tout a été dévasté. J’ai été touché, trop. Ma peau en garde un souvenir rouge éclaté. Je voulais qu’il entre mille fois en moi. Il l’a fait. Jusqu’à ce que chacune des parcelles de mon corps ne puisse plus, se sature, s’overdose. « Tu es la pire des choses que je connaisse » disait-il. Je riais et je gémissais aussi. L’épuisement faisait de nous des chiffons mouillés. Mon cul me faisait mal à force de jouir. Les secousses étaient si fortes, comme pour dire au désir de se calmer : "Ça va maintenant, tu exagères ! Tu n’en as pas eu assez ? L’excès n’a pas de sens". "Je me tords maintenant. Je laisse résonner les caresses et mon coeur fibrille* tout seul .J’ai chaud dans tout ce désordre"
* "un infini recelant peut-être d’oniriques bactéries susceptibles de fibriller en travers de quelque horizon inimaginable". — (Ray Bradbury Unterderseaboat Doktor, traduit par Hélène Collon, dans Meurtres en douceur et autres nouvelles, page 26, 1997, Denoël)
Est-ce que tu te rappelles, quand on prenait le
temps
De s'aimer vraiment
Est-ce que tu te souviens, tes sourires innocents
On était des enfants
Ce soir je suis là pour toi, j'ai coupé mon téléphone
Je n' veux voir personne
Je veux qu'on soit comme avant
Qu'on ait les mains qui tremblent
Je ne veux plus attendre
Oh ! Ce soir tu vas prendre
Mais tu vas prendre
Comme si je sortais de prison
Après vingt ans de réclusion
Oh ! Tu vas prendre
Oui tu vas prendre
J'ai vu des culs toute la journée
Tant pis c'est toi qui va payer
Oh ! Tu vas prendre
Je suis fragile comme une fleur
Fragile comme la soie
J'ai besoin de toi
Je n'tarderai pas mon cœur
Glisse-toi dans les draps
Mais surtout ne t'endors pas
Parce que ce soir tu vas prendre
Oh ! Tu vas prendre
Je vais t'en mettre pour dix ans
Tu l'raconteras à tes enfants
Oh ! Tu vas prendre
Oui, tu vas prendre
J'espère que t'es véhiculé
Parce que tu pourras plus marcher
Oh ! Tu vas prendre
L'amour c'est un peu ça
C'est comme au cinéma
D'ailleurs j'ai pris la caméra
Et ce soir tu vas prendre
Oh! Tu vas prendre
Je sais, t'as bouffé chez ta mère
Mais je t'ai ram'né le dessert
Oh! Tu vas prendre
Oui tu vas prendre
Et si jamais t'as encore faim
J'ai ramené deux, trois copains
Oh ! Tu vas prendre
Oui tu vas prendre
Lalala Lalala
Ce soir tu vas prendre
Oui tu vas prendre
Lalala Lalala
J'te promets qu'tu vas prendre. Max Boublil
Protestation : celui qui me détruit mes images chez erog est un enculé
commentaire :
Admirez la fougue ci-dessous :
mais qui les arrache du blog ces belles images que j'ai mis tant de temps à trouver il m'arrive de penser qu'erog c'est NUL comme ce carré noir, comme un trou noir qui(vous)aval sans espoir de retour....Zappez le noir et voyez la passion.
fresque :
❤ l'amour est l'amour ❤
Les garçons aiment les garçons, les filles aiment les filles
«Et je ne peux pas changer, même si j'ai essayé. Même si je voulais »