Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
c'est un luxe de se dire indifférent au problème du prix des carburants : luxe que s'offrent les bobos contre les "français d'en bas" qui n'en ont pas les moyens
le débat quotidien de C dans l'air sur la 5 en a bien rendu compte :
À l’approche de la mobilisation des « gilets jaunes » prévue ce samedi 17 novembre, les membres du gouvernement concernés par le sujet tentent chacun à leur façon de désamorcer la fronde. Le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner a ainsi ce mardi matin «expressément» invité les manifestants à déclarer leurs actions en préfecture, et prévenu : « Je demande qu'il n'y ait aucun blocage total (...) Partout où il y aura un blocage et donc un risque pour les interventions de sécurité mais aussi pour la liberté de circulation, nous interviendrons ».
Le seul argument audible concerne « la sécurité des personnes », avait déjà indiqué la veille la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, rappelant que les "gilets jaunes" n'étaient pas une organisation « structurée ». « Lorsque ce sont des grèves et des manifestations, il y a des gens responsables qui permettent de faire que ceux qui manifestent soient en sécurité », a expliqué la ministre sur le plateau de Public Sénat. « Là, nous ne sommes pas sûrs, il faut quand même que les personnes soient protégées et on ne sait pas ce qui va se passer parce que c'est plutôt des extrêmes qui s'en saisissent politiquement » , a-t-elle averti.
A J-4, l'inquiétude monte au sein de l’exécutif : quelle sera l’ampleur de ce mouvement protéiforme, parti du terrain, sans cadre syndical ni leader politique, qui appelle à bloquer le pays samedi prochain pour protester contre la hausse des prix des carburants ? Pour tenter de lui trouver une parade, une partie du gouvernement a planché hier à Matignon afin de finaliser des mesures d' « accompagnement ». Des décisions devraient être officialisées ce mercredi, jour de Conseil des ministres et de l’intervention du chef de l’État au 20 heures de TF1 depuis le porte-avions Charles-de-Gaulle. Objectif : faire des annonces pour baisser la tension avant le 17 novembre. Parmi les pistes sur la table : un renforcement de la prime à la conversion ou encore un élargissement du chèque énergie.
Mais ces annonces seront-elles suffisantes pour couper l'envie aux manifestants de se faire entendre le 17 novembre ? Qui sont les gilets jaunes ? À qui profite la fronde ? Le gouvernement a-t-il raison de s’inquiéter ?
Invités :
Christophe Barbier - éditorialiste à L’Express
Françoise Fressoz - journaliste et éditorialiste au Monde
Gilles Dansart - journaliste, directeur de Mobilettre
Jérôme Fourquet - directeur du département Opinion de l’institut de sondages IFOP
Ceux qui disent ça ont les moyens de payer cher
commentaire : "Hulot fouteur de merde s'est barré après"
La Manif pour tous "humiliée !!! "On n'oublie rien de rien, on s'habitue, c'est tout!"
à force de ménager la chèvre et le chou et de double langage, on va découvrir tous les mensonges :
Après les états généraux de la bioéthique organisés par le comité d'éthique avant l'été, le comité a publié son avis sur la fin de vie, l'intelligence artificielle ou encore la procréation. Mais le sujet qui fait vraiment débat, c'est la PMA (Procréation médicalement assistée), son élargissement aux couples de femmes et aux femmes célibataires. Alors que la perspective d'une loi se rapproche avec des discussions sur un projet de loi à l'Assemblée janvier 2019, les opposants se mettent en ordre de bataille pour tenter de stopper la machine. Et comme il y a cinq ans, La Manif pour tous dit qu'elle est en première ligne.
coommentaire suite : "Un effort pour ton le peuple au lieu d'efforts continus pour la banque. SVP"