Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
Dan : -"En fait, sans le lui avouer j'avais eu et j'avais des amants, je draguais des hommes actifs, quelquefois deux ou trois dans la même journée. Comment a-t-elle deviné...?J'étais moi même un piètre amant au lit conjugal et justement je n'aurais été bon qu'à tenir la chandelle. Une fois les enfants entrés dans leur grande adolescence je lui ai proposé de nous donner un peu de champ. Elle est intelligente, fine même. Ca l'a seulement un peu choquée sans plus...le reste elle ne me l'a pas dit...elle aurait pu chercher à savoir pourquoi je lui proposais ça...un peu comme on propose une sortie au spectacle...juste pour voir, sans parler de sexe le moins du monde...
La grande ville est à 25 km ça m'a paru une distance raisonnable pour que si nous rencontrions des hommes, à cette distance de chez-nous, ça ne fasse aucun problème. Même si c'est un noir pourvu que ça reste un inconnu étranger à notre couple.
Qu'il soit classe :
fake
Même si c'est un noir des bas quartiers et j'étais là pour le regarder fourrer ma femme.
ici dans la salle du ciné du club libertin. Elle se draguait un bomec et me faisait des pressions de ses doigts pour que, sans dire oui....je dise oui.
Il fallait que je sois là,même pendant les actes : que je lui tienne la main pour marquer mon accord tacite, mon soutien.
Fallait pas que le mec soit timide et qu'elle sente son désir, sa bite grandir. Plusieurs fois les mecs ont pris nos mains pour les déprendre et gagner leur liberté d'entreprendre. Normal.
Nous avons Elle a eu des bomecs à foison, gratos, pour le prix de l'adhesion au club à l'année et de l'entrée.
Ma femme pouvait faire la comparaison avec son mari-moi-et les jeunes qu'elle gaulait n'étaient pas de ceux qui perdent leurs moyens quand quelqu'un regarde :
fake J'aidais. Et on en a rencontré des mecs !
préliminaires et après elle m'échappait et moi chaque fois je fixais les bites des mecs qui se faisaient ma femme. C'est, d'après moi,comme ça qu'elle a compris...
j'admirais, j'enviais, je rêvais, mais je ne faisais que la regarder avec envie, toutes les fois qu'un amant la prenait.
C'est là qu'elle-appelons-la EVA, je vais pas dire son nom-, brisant notre routine, devinant que je résistais à mes envies, Eva s'écartant de l'amant me dit : "suce-le" .Tout en disant non avec la tête, je disais oui avec le coeur. Elle m'a tiré, poussé, forcé et j'ai sucé la bite enduite de sa salive qu'elle même venait d'avoir en bouche. Bien sûr, moi, elle avons ressenti ce moment comme une libération : un monde de plaisirs à trois s'ouvrait à nous et cela établissait une sorte d'égalité : les gars se faisaient sucer par elle, eh ben, par moi aussi ! Avec ma permission les gars se la faisaient, eh ben elle, elle leur permettait de troncher son mari et de le faire hurler de plaisir.
Quels jeux on a commencé à inventer!(rien de neuf et tout devient nouveau ! )
ce collier a été pour moi un cadeau et une surprise , un soir.
là toute la jute est pour moi ! Elle voulait que ses hommes jouissent d'elle et l'un de l'autre
Ah? tu
étais arrivé ? Ben on a pris un petit acompte!
on le ferait comme ça, sans y penser ?
quand c'est à son tour de regarder et de donner sa permission
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FRESQUE :