Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
des gaillards un peu hirsutes, très puissants, sans un regard pour la douleur certaine qu'ils occasionnent, mais tendres au fond de leur coeur
les bouts rimés sont une parodie du poème de Verlaine "écoutez la chanson bien douce..."
certainement une erreur dans ce titre ambigu : le passif est un jeune adulte amateur de grosse queue
Cette bite qui palpite en ton intimité
Cache et montre à ton cul qui s'étonne
La Vérité comme une étoile.
Est-ce une légende ? il a juté deux fois dans son cul avec sa grosse queue
Sois généreux dit la voix bienvenue,
Car la bonté c'est notre vie,
Et de la haine et de l'envie
Rien ne reste, la vie disparue.
La Voix te parle aussi de la gloire
D'ouvrir ton cul, simplement,sans plus attendre,
Et de baise en or et du tendre bonheur d'une paix acquise sans victoire.
Non sans rapport avec les grosses bites...:
"Ribaud Imberbe" c'est ainsi qu'on surnommait Arthur Rimbaud... Au 15e siècle une ribaude est une pute.
IKONOKLAST :- J'ai toujours pensé, d'après les poèmes érotico-homosexuels, dont celui ci-dessous, que Verlaine, fréquentant depuis longtemps les dragues parisiennes, attendait comme nous tous "le 2ème dépucelage"* : la bite la plus grosse que son cul ait jamais prise. J'ai toujours pensé qu'Arthur (Rimbaud) pouvait bien la lui avoir apportée quand , à 4 mois de ses 18 ans, il aborde sa relation homosexuelle avec Verlaine. Forcément, à cet âge, ayant atteint son plein développement sexuel, Arthur devait avoir une énorme verge du genre "crac boum hue" et quand 'il se la prend' il dit :"je suis élu", comprenons élu de Dieu et quand Rimbaud décule il dit :"je suis damné", comprenons "je souffre de ne plus t'avoir en moi...rentre vite ! " Trop bon !
* au fur et à mesure qu'on laisse entrer des bites de plus en plus grosses, à chaque nouveau calibre correspond un nouveau dépucelage -lol-
LE POEME :
"Je suis élu, je suis damné !
Un grand souffle inconnu m'entoure.
Ô terreur ! Parce, Domine* ! (*Epargne-nous Seigneur !)
Quel Ange dur ainsi me bourre
Entre les épaules tandis
Que je m'envole aux Paradis ?
Fièvre adorablement maligne,
Bon délire, benoît effroi* !( si elle causait de l'effroi
c'ést qu'elle était grosse et vaillante !)
Je suis martyr et je suis roi,
Faucon je plane et je meurs cygne !
Toi le Jaloux qui m'as fait signe,
Oui me voici, voici tout moi !
Vers toi je rampe encore indigne !
- Monte sur mes reins, et trépigne ! (Paul Verlaine 1872)
NOTES : * je lis : ' ce poème a été écrit en Mai 72' ce qui tend à prouver que, dès son arrivée
en 1871, à dix sept ans, Paul a profité des bontés de la verge d'Arthur...qui devait être hyper bonne hummmmhhh ! signé l'IKONOKLASTE
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