Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
il m'injecte le Roland ET RAVI DE LE FAIRE
la vision QUE TOUT LE MONDE PEUT AVOIR DE ROLAND
et la vision que j'en ai conservée
mon DIEU-ROLAND dans les parois de mon cul INTESTIN .Au fond observez la lumière de ma jouissance
non, la sturb n'est jamais vraiment absente de l'extase.
Autour de nous la pénombre de cette chambre d'hôtel quelconque, un noir de nuit, sombre comme du tissu de deuil, chaud et moite qui eût pu paraître horrible si ça n'allait pas être la chambre de la joie.. Un village mort et en proie à une vie qui ne pouvait venir que de nous. Une heure, 23 heures le créneau des crimes heureux et des baisers volés par mon violeur tant désiré. On n'était plus dans nos vies d'adultes, mais des éternels adolescents. La rencontre était, elle, voulue, impréparée, frénétiquement attendue cependant du fait que je savais " ce qu'il allait me faire". Le TEMPS était aboli, les minutes, les heures, les secondes se confondaient. Après qu'on se soit un peu guetté, j'allais de nouveau me donner à ce camionneur, à la quarantaine entamée, de vingt ans mon aîné , effroyablement laid de visage, proportionnellement sublime de corps, mais brun à la limite du gitan ou de l'arabe, couvert de poils et de sueur, m'avait fait consentir à franchir tous les paliers dans notre clandestine et improbable romance que démentait l'alliance qu'il portait à la main gauche. Nous atteignîmes le sublime, moi plus que lui je crois, le Seigneur m’est témoin.
J'avais son visage en gros plan au-dessus du mien il avait l’œil large et gros, de l’éclat dans le blanc, de la pénétrance dans le noir. Une
impression ineffable donnait à penser à une beauté de l’œil ingrate, ternie par une once de brutalité dans le regard, ben il fallait : c'est les brutaux qui baisent bien, mais point trop bruta.
Doux par endroit bestial par endroit. Son cheveu crépu était de fort volume, noir et sec, révélant au front un crâne rugueux où les touffes s'enracinaient. Cette disharmonie horrible entre
l'âme et le corps était allégée quelque peu par le bandana rouge noué autour du cou qu'il ne quittait jamais qui réhaussait la tête et en rendait l’aspect plus prédateur. Du visage, peu de lignes
fines et gracieuses, tout était gros, les narines épatées et respirantes, les dents blanches et épaisses s’enchevêtrant dans une bouche qui semblait pouvoir en caser plus de 32. Ça lui faisait un
grand sourire à la fois niais et coquin mais franc, inapte à tricher, s’esclaffant grassement à la moindre opportunité. Ca faisait partie de sa séduction d'homme laid et gentil, bête et
intelligent.
Moi, "client" facile et docile, il mi inspirait une forme bâtarde de crainte, d’envie et de dégoût de moi-même. Eh, c'est comme ça le désir charnel.
Le désir de mon cul pour son monstrueux chibre qui m'avait déjà ...séduit et convaincu.
départ vers un rivage inconnu dans l'orgasme extatique dans lequel m'a plongé la bite de Roland je le répète,
et même pas beau le Roland ! un diamètre et une longueur de bite jamais expérimentés (avant cet aprèm-là pour ma part)
un lent et long et profond, entêté va et vient dans mon cul,
des pertes de lucidité et de conscience où je crois m'endormir, alternant avec, au contraire, une conscience aigüe de l'événement qui se joue entre lui et moi
un "lâcher prise" qui "mange" ma volonté : je vole
une tétanisation de tout mon corps mais ce n'est pas -je ne veux pas que ce soit-l'orgasme final : il faut que ça nous dure, que ce soit intense, dévastateur.
les changements de position sont les bienvenus
encore une crispation avant que je ne lâche tout
mon corps envahi d'une étrange chaleur m'échappe à l'image de mon ventre envahi, et mon cerveau, je vous dis pas !
de ma tête en proie à une ivresse sans alcool, sans pilule aucune tout est devenu sympa, l'ambiance de cette chambre minable
et Roland, le médecin, le chirurgien-sur-le-vif qui m'a mis en morceaux, en pâte molle, Roland le vilain est devenu le plus beau...ne suis-je pas en train de lui murmurer des conneries, des je t'aime ?...tu es beau mon Roland. Et Roland, à ce prix est heureux. Moi aussi.
Sexy Bear Truck Driver(naked)
Il est reparti sur la route ! Je suis sûr qu'il a plein d'aventures : les gars qu'il a baisés lui passent des textos et ils en redemandent ! ¤
commentaire : "j'adore faire jouer des marionnettes dans mes fictions" claudio