Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
J'étais en panne sur cette petite route et le garagiste, en attente d'une pièce, ne pouvait réparer ma voiture que le lendemain. Par
chance, pas loin du garage, j'ai trouvé un petit hôtel resto avec un grand parking où plusieurs camions étaient garés. J'ai réservé une chambre pour la nuit.
Il y avait un petit bois pas loin et j'ai pensé que le lieu devait être favorable à la drague.
J'y suis allé et, au bout de vingt minutes j'ai croisé un jeune, à peu près le même âge que moi.
Nous sommes allés conclure dans les buissons. On s'est sucé et il m'a baisé. Il n'a pas tardé à jouir et partir. Tout cela était un peu rapide,
j'avais tout mon temps et surtout encore envie.
En revenant vers l'hôtel, j'ai croisé un routier qui venait de descendre de son camion, la trentaine, bel homme, bien taillé, pas timide, qui s'est
tâté le paquet dès qu'il m'a vu.
" Tu cherches de la queue ?" et je lui réponds direct, comme lui:
" Oui, j'aime bien ça"
" Tu suces, tu te fais enculer?
" Les deux, j'adore."
" T'as envie que j'te baise?
Vu le gabarit du routier, je me suis dit: il doit avoir une belle bite, je vais me régaler. Il a dû deviner car il m'a pris la main et m'a fait
toucher son paquet…humm…c'était bien raide et ça avait l'air d'être du costaud.
" Oui mais on va plus loin, pour être plus tranquilles.
" Je peux dire à un pote de venir, si tu veux, on va t' baiser tous les deux.
" Il est comment ?
" Il a ce qu'il faut entre les jambes, tu vas pas être déçu.
" ok"
Ca m'a donné la trique, de plus, le jeune m'avait déjà dilaté le cul. J'étais chaud bouillant.
Nous nous sommes dirigés vers le fond du bois, une zone isolée, qu'il semblait connaître. Il a téléphoné à son copain Roland pour lui expliquer la
situation et ou on allait.
On a trouvé un coin idéal, au soleil et à l'abri des regards. Il a sorti sa queue déjà raide pour que je le suce. Je ne m'étais pas trompé: une belle queue bien ferme, de bonne taille. Elle sentait bon le mâle propre sur lui. Je me suis appliqué à la sucer, comme j'avais vu dans les film gay. Elle me remplissait bien la bouche. Un véritable plaisir.
" Tu suces mieux qu'une pute. T'aimes ça. Continues, c'est trop bon."
Et il me l'enfonçait au fond de la gorge, à la limite de m'étouffer. J'étais ravi.
" Mets toi à poil , tu m'excites."
Je commençais à penser que j'avais peut être vu plus que mes capacités pour me faire baiser, vu la taille du bonhomme et la bite épaisse qu'il
avait.
Je me suis déshabillé vite fait. J'ai enlevé mon pantalon pour pouvoir écarter les jambes et lui présenter mon cul.
Il s'est mis torse nu et a baissé son pantalon pour être à l'aise. Un beau mec tatoué et musclé, de beaux pectoraux, pas un poil mais une belle bite
veinée qui pointait vers le haut.
Il s'est adossé à un arbre, je me suis empressé de reprendre son beau sexe en bouche. Un régal. Il a fermé les yeux en disant "Putain, c'est bon Humm, continue" et gémissait d'aise.
Soudain, j'ai entendu du bruit. Il m'a rassuré en me disant que c'était son copain qui arrivait et m'a dit de continuer à le sucer sans me retourner.
J'ai senti une main me caresser et aller vers mes fesses. Le routier me dit:
" Lève ton cul et continue à me sucer. Tu fais ça trop bien. Il va s'occuper de ton cul"
Son copain m'a enfoncé un doigt dans le cul (heureusement que je venais de remettre du gel) puis est vite passé à deux doigts. Vu la taille de ses
mains, j'avais l'impression d'avoir déjà une bite dans le cul. Il m'a même lubrifié le trou. J'étais aux anges: il allait me baiser.
" Mec, tu vois pas que je suis occupé avec le petit jeune. "
Son gland est venu se caler contre mon trou. Avec l'effet du gel et la pression qu'il a exercée sur ma rondelle, il m'a ouvert (pour sûr, bien
ouvert !) s'est retiré puis a recommencé aussitôt. Sa queue était sûrement énorme. J'ai crié lorsque son gland a forcé l'entrée et que ma rondelle, vaincue, a laissé le passage. Là, il ne s'est
plus retiré. Il était en moi, attendait sans forcer avant de me visiter…. j'ai compris qu'il ne voulait pas me faire mal.
L'envie d'être baisé était trop forte. Je n'ai pas demandé d'arrêter.
Le routier me tenait fermement les bras et mes mains étaient en appui sur ses cuisses pendant que son pote me tenait les hanches. Il souriait et m'a
rassuré:
"T'inquiète pas. Il va te la mettre en entier. J'ai envie de voir ça."
J'avais sûrement la bouche autant ouverte que le cul et besoin d'air tant je ressentais l'intrusion de ce gourdin dans mon intimité….mais je sentais
aussi l'amour et la précaution qu'il y mettait pour me pénétrer.
Son pote Roland s'est retiré et a remis du gel. Sans tarder, il ma réintroduit sa queue qui a fait plusieurs centimètres de plus dans mon cul avant
de s'arrêter. J'ai gémi, les larmes me sont venues tellement le gourdin était gros et dur mais j'ai supposé que l'essentiel de sa queue était passé. Un peu rassuré, je n'ai plus offert de
résistance, mon corps a commencé à se détendre. Le plaisir arrivait….je gémissais différemment….de bonheur.
Le routier me regardait subir et gémir, ravi de la situation:
" Tu la sens bien. Il t'a bien éclaté ton petit cul, mon pote."
Je n'avais pas la force de répondre mais je n'allais pas maintenant refuser cette gourmandise.
L'autre en a profité pour m'enfoncer les derniers centimètres de son braquemart sans s'occuper de mes gémissements. Il m'avait bien écartelé les
entrailles et avait réussi.
" OIOUHHH …Mon pote, je lui ai tout mis dans le cul….Putain que c'est bon"
Je venais d'entendre la voix de Roland.
Complicité délicieuse, le routier a voulu vérifier et a mis sa main pour s'assurer que son copain m'avait bien enculé à fond.
" Putain, t'es une vrai salope, t'as tout pris !" s'émerveilla-t-il.
J'ai vérifié moi aussi et j'ai touché le gourdin de son copain Roland : ma rondelle distendue ses plis effacés, mes doigts touchaient en même
temps mon anus et les poils pubiens à la base de ses couilles. J'en avais jamais eu une si grosse dans le cul. Ca m'a excité à fond de savoir que j'en avais une énorme dans le cul
et que quelqu'un nous regarde. J'étais heureux. La souffrance de mon cul était oubliée. La trique m'est revenue.
Le routier, surexcité, m'a redonné l'ordre de le sucer " Vas y, suce moi bien la bite " et a dit à son copain Roland:" Baise le à fond, il en veut, il prend bien la queue"
et celui-ci a commencé à me pistonner. L'excitation m'avait gagné. J'ai pris un plaisir énorme à me faire baiser et à sucer en même temps. Les coups de queue de l'un m'envoyant dans les couilles de l'autre. Mes gémissements étaient étouffés parce que j'avais la bouche pleine. Je me sentais
ailleurs que sur terre !
Tous les deux se sont fait plaisir, l'un pour me pilonner le cul, l'autre pour me bourrer la bouche ou se faire sucer les couilles mais sans aucune
violence et en prenant soin de mon plaisir.
Roland me tenait fermement les hanches pour bien m'enculer à fond.
Je vous laisse imaginer, pour un mec passif, le plaisir absolu de se faire ramoner par deux hommes en même temps, et en plus par des mecs bien équipés.
Mes gémissements avaient attiré deux autres mecs qui nous regardaient en se branlant. L'un d'eux a voulu sucer la belle bite du routier mais, pas
loin de juter, il l'a repoussé en lui disant:
" Mec, tu vois pas que je suis occupé avec le petit jeune. "
Il voulait que ce soit moi qui le suce et était sur le point de me récompenser. Ca m'a fait plaisir. Je lui ai caressé les boules en prime. Ca a eu son petit effet. Il était vraiment prêt.
" Ah, la salope, il va me faire jouir…ARGHHHHH….. Putaiiiiiiin "
Le routier a déchargé et m'a envoyé plusieurs giclées généreuses en bouche. Et c'était pas des dosettes, putain la quantité. Soulagé, les couilles
vides et très satisfait, il m'a saisi les bras pour me relever et m'a roulé une pelle d'enfer pour goûter à son sperme. Je n'aurais jamais imaginé ça de sa part.
J'étais soulevé pendant que Roland continuait à me pistonner. Le routier souriait, me léchant la bouche, devinant ce qui allait arriver, heureux de
voir son pote au bord de la jouissance.
C'était trop pour moi, j'ai joui en criant. J'ai giclé sur le ventre et les cuisses du routier pendant que Roland, dans un ultime coup de reins,
m'envoyait toute sa semence bien profond dans le cul.
AAAAAARGHHHHH " Le cul, la salope" " Putain que c'est bon"AAAAAAAARGHHHHHH
Lorsque Roland s'est retiré, j'ai enfin compris lorsque j'ai vu son énorme sexe encore dur. D'un large sourire il m'a dit:
" T'as un super cul…. Putain, tu m'as bien vidé les couilles. Je te rebaise quand tu veux."
Mon trou resté ouvert a laissé échapper le sperme crémeux et abondant qu'il venait de me décharger dans le cul.
Les deux mecs qui avaient assisté à la scène ont juté , les yeux rivés sur son sexe et mon cul dégoulinant de foutre.
C'est sûr, Roland le savait, il était gâté par la nature (son copain était bien pourvu lui aussi) mais il était surtout super heureux de m'avoir
baisé, sa grosse bite dans mon petit cul.
Trop excité, euphorique, malgré mon cul resté ouvert, je les ai remerciés:
" C'était trop bon. Merci à vous deux."
Ils m'ont embrassé tous les deux. Et j'ai vu Roland et son pote se caresser, sans un mot, se coller l'un contre l'autre, marquant leur amitié, satisfaits de leur jouissance mutuelle.
Ils m'ont dit qu'ils avaient bien aimé tous les deux, que c'était un super bon moment. Roland a ajouté:
" Viens à mon camion, mon petit chéri, tu vas me sucer. On va jouer les prolongations."
Le routier a souri en entendant son pote. Il était très heureux mais pas autant que son pote. En retraversant le petit bois, Roland m'a donné un petit bisou tout en gardant son bras sur mes épaules, en me caressant la nuque. J'étais à lui. Il me désirait encore.
Nous sommes arrivés sur le parking. Mon routier est reparti en klaxonnant et en levant la main. Son pote Roland est resté et, naturellement je l'ai invité à ma chambre d'hôtel. Par bonheur il avait le temps.
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Je peux dire à un pote de venir, si tu veux, on va t' baiser tous les deux". J'ai pris un plaisir énorme à me faire baiser et à sucer en même temps, lui heureux de voir son pote routier au bord de la jouissance.
commentaire :
je l'ai invité à ma chambre d'hôtel. Par bonheur il avait le temps.