Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
les mecs qui l'ont infiltré avant moi lui ont inculqué la baise jusqu' au trognon à la cervelle
Mon cousin
Jérôme, que j'appelle Géronimo? MY SQUAW, est une petite salope insatiable au trou incroyablement gourmand. Tout a commencé au lycée quand, à Noël, nous
sommes arrivés bourrés chez nos grands-parentset avons fini par faire les cons dans notre chambre au sous-sol.
Il a dit qu'il voulait essayer "ce que ça fait de sentir une bite
dans son cul" et j'étais trop ivre et excité pour dire non. Il mentait car la vérité c'était que, pendant un bon moment,
Jérôme s'était pris des bites dans le cul pendant plus d'un an quand il était au Québec, sans parler de tous les godes qu'il avait volés dans la sexshop locale.
Par la suite, nous avons baisé
régulièrement,et depuis, son trou avide a besoin de ma bite dure au moins une ou deux fois par semaine. Et nous avons apprécié d'habiter si près l'un de l'autre ! Bonne chose !
C'est vous dire ! :
Le week-end
dernier, nous avons pris la route pour aller à un festival de musique au milieu de nulle part. Nous avons fini
par y arriver près de six heures de retard parce que chaque fois que nous allions aborder un long tronçon de route, Jérôme commençait à gémir et se tortiller sur son siège. Avec ce regard
désarmant qui le caractérise,
il me regardait avec
ses yeux de jeune chien et ses lèvres boudeuses et recommençait à mendier pour que ma pine revienne dans son cul.
Et j'étais trop bon chien-baiseur pour refuser ! Son anus, puisqu'il faut bien l'appeler par son nom, est doux,
légèrement parsemé d'un blond duvet, et juste assez de rose pour faire bander un saint quand il écarte ses jolis globes parfumés au lait de toilette. Quand il déployait "ses joues"
je plongeais,
léchais et lui bouffais ses arrières pendant une bonne dizaine de minutes avant que, n'en pouvant plus, j'empoignais ma queue de 20 cm et donnais des coups de bélier dans son
trou gourmand.
Vous ne pouvez imaginer le cri de plaisir et de satisfaction que ce garçon exhalait par son adorable bouche quand je le
remplissais et quand mon gland touchait sa prostate. Cela suffisait pour faire chanter mon petit rossignol de cousin. Ca ne prenait pas longtemps pour que ma sève abonde dans mes
couilles et, avant même qu'on en ait pris conscience, ma semence lui tapisse les intérieurs se sa crème blanche.
Il avait de la chance d'avoir un complice tel que moi car cette dose lui permettait de tenir à peu près une heure mais, au-delà, le manège, les supplications et les caresses à ma bite reprenaient pour que "je"redevienne dur et capable de le baiser. Je dis "je" car quand je baise, c'est toute ma personne qui entre et"ha-bite" mon partenaire et pas seulement mon dard ! ¤
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